2.3 Les publics bénéficiaires
Les publics bénéficiaires d’Alternative Assistance Informatique ne peuvent être que des
particuliers, dans la mesure où la coopérative s’est engagée par un contrat d’exclusivité
avec l’État à n’effectuer que des services à la personne.
2.4 La dimension financière
La coopérative n’a bénéficié de subventions que lors de son lancement.
Ces dernières étaient :
une subvention de la Région Alsace équivalente au prêt contracté auprès de
l’A.D.I.E. (Association pour le Droit à l’Initiative Economique) soit 3 000 euros ;
une subvention de la Fondation Macif pour les opérations de communication de 5
000 euros.
Quant aux autres financements du projet :
15 000 euros ont été apportés par le fondateur principal du projet ;
2 000 euros par l’ensemble des associés.
La mise en oeuvre du projet
3.1 Les étapes de mise en oeuvre
Janvier 2006 : démarrage du projet : le fondateur se forme en management, gestion,
droit grâce à l’A.F.P.A. (Association nationale pour la Formation Professionnelle des
Adultes). Phase d’étude de marché et de montage du projet. Développement du site
internet et du logiciel de la coopérative.
Octobre 2006 : date de démarrage officielle, création de la S.C.O.P. (Société
Coopérative de Production). Période de communication.
Novembre 2006 : début des activités en clientèle.
3.2 Les méthodes
De manière générale, la méthode utilisée pour la mise en oeuvre du projet diffère
peu de la méthode classique de création d’entreprise : étude de marché, montage d’un
business plan, dépôt des différents statuts…
Le choix de statut SCOP implique évidemment une connaissance du fonctionnement,
des avantages et inconvénients de ce dernier.
3.3 Les moyens techniques
Les principaux moyens techniques :
La création en amont du site internet et le travail sur son référencement (support
de communication).
Le développement sur ce site d’un logiciel qui permet de gérer les interventions
des techniciens, les plannings, les demandes de renseignement ou d’intervention etc.
Cet outil permet de fédérer les activités et de garantir certains aspects juridiques dans
la mesure où, par exemple, le gérant doit qualifier et valider les demandes
d’interventions prises en charge par les intervenants salariés.
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