2 RENSEIGNEMENTS RELATIFS AU
PRICOS DEFENSIVE
2.1 DATE DE LANCEMENT ET PRIX DE SOUSCRIPTION INITIALE:
Date de lancement: 5 décembre 2003
Prix de souscription initiale: 50 EUR
Monnaie: EUR
2.2 COTATION EN BOURSE:
Pas d'application.
2.3 INFORMATIONS AUX ACTIONNAIRES
Conformément à l’article 96 du Code des sociétés, les éléments suivants sont communiqués :
Le bilan et le compte de résultats exposent d’une manière fidèle l’évolution et les résultats de
l’organisme de placement collectif. Le chapitre “Vision globale des marchés” présente une
description des risques et incertitudes majeurs auxquels est confronté l’organisme de placement
collectif.
Aucun événement important n’a eu lieu après la clôture de l’exercice.
En ce qui concerne des circonstances susceptibles d’avoir une influence notable sur l’évolution de
l’organisme de placement collectif, nous renvoyons au paragraphe “Prévisions” au chapitre “Vision
globale des marchés” de ce rapport.
L’organisme de placement collectif n’exerce pas d’activités de recherche et développement.
L’organisme de placement collectif ne possède pas de succursales.
L’établissement et l’application des règles de valorisation reposent toujours sur le principe de la
continuité des activités de l’organisme de placement collectif, même lorsque le compte de résultats
fait apparaître une perte pendant deux exercices consécutifs.
Toutes les données qui doivent être insérées en vertu du Code des sociétés sont reprises dans ce
rapport.
Le profil de risque de l’organisme de placement collectif, mentionné dans le prospectus, donne un
aperçu de la maîtrise des risques.
2.4 VUE D’ENSEMBLE DES MARCHÉS
La crise du crédit de 2008-2009 risquait d'enfoncer l’économie mondiale dans une spirale négative,
qui a dû être brisée par des incitants budgétaires massifs et une politique monétaire agressive. Le
vent a tourné à la mi-2009 mais la reprise est restée étroitement dépendante des mesures de
relance. Les ventes de voitures et d’habitations se sont à nouveau essoufflées aux États-Unis, après
la suppression des primes à la casse et des réductions fiscales pour l’achat d’une première
habitation.
La crainte d’une récession à double creux s'est avérée sans fondement
En 2010, les créations d'emplois l’ont emporté sur les suppressions de postes mais le rythme de
croissance de l’emploi est demeuré limité. Dans le contexte d’une croissance atone de l’emploi et de
hausses salariales négligeables, l’augmentation du pouvoir d’achat des ménages a largement été
attribuable aux incitants fiscaux. Ceux-ci ont soutenu la consommation mais de manière modérée et
ils ont surtout été affectés à la résorption de l’endettement. Aux États-Unis, la croissance (+2,8% en
2010) a également été freinée par l’assainissement des finances des États et des administrations
locales ainsi que par l'intensification des importations.
En Europe, la croissance (+1,6%) est demeurée modeste mais surtout inégale. Elle a été assez
vigoureuse (+3,5% à 4%) en Allemagne, en Autriche et en Scandinavie. La demande intérieure
(recul du chômage, diminution du taux d’épargne, reprise des investissements des entreprises,
mouvement de rattrapage de la construction) a fait des exportations le moteur de la croissance. La
Grèce, l’Irlande et l’Espagne, qui exportent assez peu, ont eu trop peu de latitude pour tempérer les
conséquences d’une politique budgétaire restrictive et n’ont pu éviter une croissance négative. La
Belgique (+2%) a rejoint le noyau dur de la zone euro plutôt que sa périphérie.