Les Alliés font une percée victorieuse à
partir de juillet 1918.
Début novembre 1918, l'Allemagne, qui est
en révolution, demande l'armistice.
La signature de l'armistice du 11 Novembre
1918 à Rethondes (en forêt de Compiègne)
marque la fin de la 1ère Guerre Mondiale.
A 6 heures du matin, les généraux allemands
signent l'armistice avec les alliés.
Dans le wagon-restaurant aménagé en salle
de réunion, l'amiral Wemyss, le maréchal Foch et
le général Maxime Weygand mettent fin à quatre
ans de guerre.
Le cessez-le-feu prend effet à 11 heures,
dans toute la France, les cloches sonnent à la
volée : la guerre est finie. Tous les combattants
veulent croire que cette guerre est la "der des
der".
11 novembre 1918 : signature de
l'armistice
Le front de l'est...
La Russie se mobilise plus vite que l'Allemagne ne le croyait. Elle envahit cette
dernière avec une armée très nombreuse, mais très mal équipée (le « rouleau
compresseur russe »).
Cependant, l'Allemagne, ayant des soldats bien équipés et entraînés, repousse la
Russie hors du territoire allemand en quelques semaines, mais n'arrive pas à détruire
l'armée russe qui tiendra, au prix de grands sacrifices, jusqu'au début de 1917.
L'armée russe a plus de succès militaires contre l'Autriche. Mais celle-ci, aidée par
l'Allemagne, bat les Russes.
En janvier 1915, les Britanniques et les Français, qui veulent porter secours aux
Russes, ne parviennent pas à franchir le détroit turc des Dardanelles qui relie la mer
Méditerranée à la mer Noire.
Ils maintiennent cependant sur place des soldats qui combattent les Turcs, puis les
Bulgares qui sont les alliés des Allemands.
À l'est, la Russie quitte la guerre en 1917 après les deux révolutions russes. Le 15
décembre 1917, c'est la signature de l'armistice germano-russe.
La jeune république russe bolchevique , issue de la révolution d'octobre, signe
finalement le traité de Brest-Litovsk le 3 mars 1918, qui met un terme définitif au
conflit à l'est.