achab s`empara de la vigne de naboth

LE COMMENCEMENT DE LA CONNAISSANCE
Dimanche le 13 juillet Pr 1-3 ; vc. 1 :7 ; svc 2 :5
Salomon était lauteur
des proverbes. Il était le plus
sages parmi les sages. Bien quil
sadresse à tous, il est un livre
dédicacé à un jeune homme,
comme vous et moi. Il donne
une grande orientation pour la
jeune vie. Que Dieu bénisse
notre lecture des proverbes et y
trouve de grandes vérités
directives et disciplinaires. La
premier instruction donné au fils
était quil évite « le chemin des
pécheurs » qui chercheront à le
séduire. Dieu ne donne pas sa
parole seulement pour
linstruction ; elle donne la grâce
de montrer aux inconvertis le
chemin du salut. Ceux qui ne
lécoute pas auront honte un
jour. Alors il sera trop tard. Ah, il
faudra écouter plutôt maintenant
la voix de Dieu pleine de
sagesse, pour habiter en sécurité
sans crainte du jugement (33).
Le jeune fils est-il
décidé à se laisser instruire pour trouver la connaissance de Dieu ? (5) En effet, aucun
enseignement n’est vraiment profitable s’il n’y a pas un désir personnel d’acquérir
cette connaissance et le sentiment de l’importance du but ainsi poursuivi. Nous
sommes invités à la désirer, à la rechercher activement par la prière (3). Si notre cœur
n’est pas engagé avec lui par une ferme décision, la meilleure des éducations ne pourra
pas nous préserver longtemps (10). Sinon, nous seront à la merci des mauvaises
influences. La bonté et la vérité sont inséparable. Donc, nous devons écouter
l’avertissement, « mon fils, n’oublie pas. » (3 :1) Bienheureux celui qui obtient la
sagesse de Dieu (13), mais il faut méfier de notre propre intelligence (5).
Prière : Seigneur, fais-moi acquérir ta sagesse par la prière. Aide-moi surtout à être
remplie de désir saint dans ce monde si confus de valeurs sans foi.
Un mot : La crainte de l’Eternel est le commencement de tout.
Communion Biblique des Campus Paris
Pain Quotidien de la semaine 29
Psaume 119 Proverbe 3
(Ps 150 :1)
« … croissez dans la connaissance de Dieu. » (Col 1 :10)
Ps 1 :1-19 (1 :7)
Dieu s’est servi de Salomon, le plus sage
parmi les sages (1R 4 :29), pour nous
donner « les proverbes », ce livre de la
Sagesse. Bien que s’adressant à tous, il est
en quelque sorte dédicacé au jeune homme.
La lecteur est parvenu à l’âge de la
réflexion et du jugement personnel. C’est le
moment de l’orientation, donc celui
l’enseignement divin est pour lui de la plus
haute importance. A l’école de Dieu, les
proverbes constituent un des principaux
« livres de classe ». Il contient des
définitions, -- des règles avec leurs
applications, des exercices, des exemples à
suivre,… et d’autres à ne pas suivre. Mais
la Sagesse est en même temps une personne
vivante qui guide dans leur marche ceux
qu’elle appelle ses fils. La première
instruction donnée au fils lui enjoint
d’éviter « le chemin des pécheurs. »
Ps 119 :1-16(119 :1)
Heureux ceux qui sont intègrent dans leur voie,
qui marchent selon la loi de lEternel. Le sujet
principal et le mot clé de ce psaume est la parole.
Si nous demeurons dans la parole, elle nous
procure beaucoup de bonnes choses : la vie, la
liberté, la suppression de la honte, l’intégrité, etc.
Surtout elle nous procure le pardon de nos péchés
(9). Les jeunes gens se moquent ouvertement des
« scrupules » du jeune croyant. Mais pour ce
dernier, elle est capitale : « Comment le jeune
homme rendra-t-il pur son sentier ? La réponse
suit aussitôt : « En observant ta parole ». Puis, il
comprend que la volonté de Dieu est de ne pas
chuter de nouveau (11). Doù le désir du
psalmiste de serrer la parole dans son cœur. En
serrant la parole dans son ur, en y gravant des
passages essentiels comme ce verset 9, nous
seront ars pour « le mauvais jour où surgira la
tentation (Eph 6 :13,17). Car nous gardons
soigneusement ses préceptes, le Dieu fidèle nous
gardera avec le même soin.
HEUREUX CEUX QUI SONT INTÈGRES DANS LEUR VOIE
Lundi le 7 juillet Ps 119 :1-88 ; vc. 119 :1; svc 119 :14 :2
La voie de lEternel
est bonne, en donnant
naissance à la vie, à la liberté, à
labsence de honte, à
lintégrité, etc. Par-dessus tout,
il procure le remède au péché
(9). Lorsque la vie semble
précaire (17), et que les jours
terrestre se passent loin de la
maison (22,23), la parole de
Dieu donne un sens à
lexistence (17). Un Dieu
fidèle est aussi un divin
enseignant. La parole nest
compréhensible que lorsquil
lenseigne. Un esprit royal
craint Dieu et suit toute la
loi.Lhomme de Dieu
demeure en la parole du
Seigneur (2 Th 3 :10-16).
Aucune bénédiction nest plus
grande que celle de connaître
Dieu. Dieu nous donne des
dons tels que réconfort dans le
chagrin (50a), vigueur pour
affronter lopposition (50b-52),
sentiments ancrés dans les
vrais valeurs morales (53)
élévation des pensées lorsquune dépression menace de vous frapper (54,55). Eternel est notre
part.Nous ne pouvons avoir Dieu sans sa parole. Il nous est impossible de demeurer en lui, si ses
paroles ne demeurent pas en nous (Jn 15 :7). La discipline de Dieu est bonne. Dieu fait le bien (66), est
bon (68), et a en vue le bien (71). Par nécessité, il doit parfois nous bénir par laffliction, mais cest
pour nous attacher plus profondément à sa parole (67,71). Dieu est un Créateur fidèle. La créature que
nous sommes lui doit le dévouement sans mélange (80). Nous devons nous aider mutuellement
(74,79). On peut compter sur ses bienfaits, car sa parole nous le promet.. Lorsque les incroyants
semblent l’emporter sur la ligne, et que le silence de Dieu bafoue les élus, le seul réconfort est en Dieu.
Prière : Seigneur, fais-moi demeurer dans ta parole. Fais-moi y obéir, car tu bénit
toujours ceux qui te craignent, malgré les afflictions que tu nous donnent parfois.
Un mot : La voie de l’Eternel est bonne.
QUE TOUT CE QUI RESPIRE L’ADORE
Samedi le 12 juillet Ps 146-150 ; vc. 146 :2; svc. 147 :3
(Ps146) Le
psalmiste déclare « Je louerai
lEternel durant ma vie. » Lui
seul mérite notre hommage
comme aussi notre confiance.
Il ne faut pas mettre confiance
en lhomme. Les nobles, si
haut placés soient-ils, ne
procurent pas le salut. Ils
ressemblent à la vanité et sils
sont incrédules, ils périront en
un jour avec leurs desseins.
Au contraire, Dieu infiniment
puissant, infiniment sage et qui
nous aime est le seul qui peut
mettre en liberté les captifs de
Satan. Il ouvre les yeux de la
foi. Il relève ceux qui
marchent courbés sous des
fardeaux trop pesants. Il aime
les justes. Létranger,
lorphelin, la veuve jouissent
de soins appropriés à leurs
besoins. (Ps147) Le cri de joie
« alléluia » remplit la terre. En
qui lEternel prend-il son
plaisir ? En ceux qui le
craignent et qui sattendent humblement à sa bonté. (Ps148) Ce psaume donne essor à la louange
universelle. Elle retentira dans les cieux et sur la terre. Prodigieux concert, dans lequel chaque créature
aura une note à faire entendre. Le v.12 nous rappelle la belle réponse de Moïse au Pharaon, « nous
irons avec nos jeunes gens et avec nos vieillard, nous irons avec nos fils et avec nos filles, car nous
avons à célébrer une fête à lEternel » (Ex 10 :9) Dieu donnera à Israël dans le monde à venir la place
« près de lui. » (Ps149/150) Conclusion des Psaume. Toutes les souffrances qui y sont décrites ont
abouti à ce résultat final : la louange de Dieu par tout ce qui respire. Qui doit être adoré, où, pourquoi,
comment, et par qui le culte doit lui être rendu sont les sujets de la louange écrites ici. Toutes les
expressions diverses de cette louange universelles se fondent en une harmonie parfaite. Car le cantique
est unique : il exalte les actes puissants et la grandeur infinie de notre Créateur.
Prière : Seigneur, alléluia à ton nom. Tu es le seul digne de recevoir nos louanges. Que
pendant toute la vie sur la terre, toi seul soit exalté par nous.
Un mot : Toute la création ! Adore-le, lui seul.
Ps 146 :1-10 (146 :2)
Le psalmiste ne fait aucun requête ni aucune
allusion à un besoin personnel. Tout est
concentré sur Dieu, qui seul est digne de
louange. N’est-ce pas que notre prière doit
être de la sorte ? C’est la licité que
procure la confiance en l’Eternel qui suscite
une louange individuelle si fervente.
L’homme, même s’il est un noble n’a pas
les qualifications pour occuper une telle
position : il est incapable, puis ça ne dure
pas, par conséquent, il manque de
crédibilité. Au contraire, l’Eternel a la
puissance absolue du Créateur et de plus, on
peut toujours compter sur lui. Chez lui, la
puissance dont le domaine d’exercice
s’étend au social (7), au personnel (8), et au
moral (9) est unie à la pitié. L’Eternel, le
Dieu de grâce, décrit aux vs. 7-9 règne,
c’est-à-dire, exercera sa puissance
souveraine, éternellement, à tout jamais.
DIEU DELIVRE
Vendredi le 11 juillet Ps 140-145; vc. 140:2; svc.141 :5
(Ps140) Le
psalmiste a affaire
continuellement à des
ennemis. Cet homme
mauvais, violent, qui médite le
mal, qui affile sa langue
comme un serpent et sefforce
de faire trébucher mes pas.
Mais le Seigneur est la force
de son salut. Cest pourquoi il
adresse sa prière à Dieu. (Ps
141/142) Le psalmiste veut
garder sa pureté de sa langue.
« Eternel, veille sur ma
bouche, garde la porte de mes
lèvres ! » demande-t-il ici. Il
ne considère pas la
répréhension comme un
blessure damour-propre, mais
comme une faveur, une
« huile excellente » réservée
par le Seigneur aux siens (5).
Pourchassé par Saul, David
sest caché dans la caverne
dAdullam. Tout refuge
humain est perdu pour lui (5).
Mais la foi en lui permet de sécrier : « Eternel tu es mon refuge. » (Ps143) Chaque jour, le
psalmiste a besoin dentendre non seulement la parole de Dieu, mais aussi sa bonté, en ouvrant son
cœur pour lécouter. Donc, il prie, « enseigne-moi à faire ce qui te plaît ». (Ps144) Maintenant il prie
« Enseigne mes mains au combat… » Quel bienfaiteur est Dieu, qui pense à nous, des pauvres
créatures. Avant de lancer un combat, mes langues chanteront un cantique de louange, car il étendra
ses mains d’en-haut et humiliera les ennemis. Le combat appartient à Dieu. (Ps145) LEternel st
grand, dune grandeur insondable (3) ; ses actes sont puissants (4,12), merveilleux (5) et terribles (6).
Sa bonté est grande (7,8) et universelle (9). Sa force sera déclarée, sa justice hautement chantée. Mais
une de ses gloires surpasse toutes les autres : cest la grâce (8). Elle nous apporte le salut et elle
soutient, relève, donne la nourriture, rassasie, se tient près de ceux qui linvoquent, puis réalise les
souhaits de ceux qui le craignent, entend leur crie, les sauve, garde ceux qui l’aiment.
Prière : Seigneur, combien la méchanceté de l’homme est grande et sa bouche
venimeuse. Mais je crois que me protège et me délivre.
Un mot : Notre Dieu nous délivre.
UNE LAMPE À MES PIEDS
Mardi 8 juillet Ps 119 :89-176; vc. 119:105 ; svc.119 :140
Si fermement quait
été établie la terre, la parole du
Seigneur la été plus ferme
encore. Quel bonheur de
pouvoir conntre les pensée
éternelles de Dieu et de nous
confier dans ses promesses
immuables ! Le ciel et la terre
passeront mais ses paroles ne
passeront point. Au reste toute
la création na quun seul but :
« toutes choses sont à ton
service » (91). Qui se
hasarderait sans lampe à se
déplacer la nuit sur un terrain
semé dobstacles ? Dans les
ténèbres de ce monde au
milieu de pièges tendus par
des méchants embusqués, la
parole est cette lampe, cette
lumière indiscutable sur notre
sentier (105). La parole qui est
la lumière sur mon sentier, me
montre aussi combien les
ténèbres sont profondes. La
parole donne la vraie
intelligence (130). Le psalmiste veut être son serviteur décidé à observer la volonté de Dieu (125). Son
obéissance découle de lamour quil éprouve non seulement pour les témoignages merveilleux du
Seigneur, mais pour son nom. La justice de Dieu est la notre dominante (137-144). Elle nest pas un
sujet deffroi pour celui qui craint lEternel, qui marche à sa lumière et qui connaît aussi sa bonté
(149,159). Au milieu dun monde injuste le fidèle se plaît à célébrer cette justice de Dieu, qui demeure
à toujours. Plus nous la mettons à lépreuve plus elle montre quelle est la pureté même. Cest Dieu
qui donne la vie ; cest lui aussi qui la conserve et lentretient. Le principe de la parole est la vérité
(160). LA vérité, pas un des vérités. Le psalmiste trouve une grande joie dans la parole de Dieu
comme un homme qui trouve un grand butin (162). Israël aura été amené par la tribulation à
reconnaître son égarement. Ainsi il aura appris à haïr le mal et à ne chercher son salut quen Dieu
(166). Tout âme errante peut trouver le bon chemin dans sa parole (170).
Prière : Seigneur, tu es mon sauveur qui me sauve de tous mes ténèbres. Fais moi
allumer ta lampe chaque matin chaque soir dans mon cœur.
Un mot : Une lampe à mes pieds
Ps 140 :1-14 (140 :2)
Le psalmiste cherche la protection de Dieu
envers les hommes méchants. Les ennemis
en veulent sans cesse à sa vie. Ils sont
médisants, si bien que leur bouche est plein
de poison comme la langue de vipère plein
de venin. La calomnie est quelque chose la
plus insupportable. Le psalmiste se sent
placé dans des filets tout au long de sa
journée à cause des embûches qu’ils
dressent. Mais il ne se hâta pas pour douter
de l’amour de Dieu. Plutôt il vient à Dieu
pour supplier sa miséricorde. « Tu es mon
Dieu ! » dit-il, « Eternel, prête l’oreille à la
voix de mes supplications ! » Pour lui, le
Seigneur est la force de son salut. La
méchanceté des hommes méchants est
comme l’effet de boomerang (10, 11). Le
psalmiste ne doute surtout pas que Dieu
rendra justice et fera bien aux pauvres.
Ps 119 :89-112 (119 :105)
Le psalmiste marche dans les ténèbres, car
les ennemis l’environnaient sans cesse. Sa
vie était constamment exposée au mal des
ennemis. Mais il ne doute la délivrance de
Dieu et le loue. Dans son humiliation, il prie,
« Seigneur, fais moi vivre. » La raison de cet
appui est parce que la fidélité de Dieu,
différemment de celle des hommes, dure
d’éternité en éternité, de génération en
génération. Surtout, par sa parole toutes
choses s’étaient affermies et elles
s’affermissent encore. C’est pourquoi le
psalmiste fait de la parole ses délices. Son
commandement le rend sage pour affronter le
malice des ennemis. Grâce à lui, il est plus
intelligent que les vieillards. Grâce à la
parole, il peut se tenir loin des mauvaises
voies. Ses préceptes lui donnent l’assurance
de son héritage et la joie indicible.
LE SECOURS ME VIENT DE L’ETERNEL
Mercredi le 9 juillet Ps 120-132; vc 121 :2; svc 122 :1
(Ps120/121) 15
cantiques de degrés retracent
dune manière ascendante la
délivrance et la restauration du
résidu dIsraël. Le peuple
fidèle dans leur captivité au
milieu des nations regardent
les montagnes sans savoir doù
vient le secours, mais le
secours vient de lEternel.
Nous sommes dans le monde,
mais nous y sommes gardés
partout et toujours en réponse à
notre prière. (Ps122/123) Est-
ce avec joie (1) que, dès
maintenant, nous nous rendons
au lieu où il a promis sa
présence, afin dy célébrer son
nom ? Lamour pour
lAssemblée est une source de
prospérité spirituelle. Le fidèle
élève ses yeux vers son Dieu
dans le sentiment que toutes les
ressources sont en lui. Dans le
monde, il peut être outre
mesure rassasié du mépris et
des insultes. Mais bientôt, nous
seront rassasiés de son image. (Ps124/125) Dieu libère son peuple. Le Seigneur sait arracher les siens
du terrible piège de oiseleurs (7). (Ps126/127) LEternel a fait de grandes choses pour son peuple.
Toute notre entreprise est vouée à léchec si elle na pas au départ lapprobation du Seigneur.
(Ps128/129) Lhomme se figure parvenir au bonheur en améliorant ses conditions matérielles. Mais
lhomme est malheureux parce quil est pécheur. LEternel est juste. Les méchants seront arrachés (6).
Ils ne feront pas partie des gerbes rassemblées avec joie par le grand Moissonneur (7). (Ps130/131)
« la libération abonde auprès de lui ». Si bas quil se sente, lhomme peut toujours invoquer Dieu. Les
épreuves dun croyant contribuent utilement à l’humilier et à briser sa volonté propre. Dans létat de
privation, son âme se trouve comme « sevré. » (Ps132) Lest une introduction du Règne millénaire.
Prière : Seigneur, merci de ce que tu libère mon âme dans la détresse. Procure-moi ta
délivrance à mon âme angoissée.
Un mot : Le secours me vient de l’Eternel.
L’HUILE ET LA ROSÉE
Jeudi le 10 juillet Ps 133-139; vc. 133:2; svc.136 :1
(Ps133/134) Lunité
est toujours bon et agréable.
Elle est comme lhuile de
lonction de sacrificateur. Et
elle est aussi comme la rosée
de la montagne de lHermon.
Dans le dernier psaume de
degré, les rachetés du peuple
terrestre sont parvenus à la
plus élevée de ces quinze
marche figurées par autant de
cantiques. En franchissant les
portes de Jérusalem, ils se
tiennent maintenant dans la
maison de lEternel où il faut
quon adore pleinement à
cause de son salut immuable.
(Ps135) Le thème de louange
du serviteur est le grand nom
de lEternel. La fraternité est
bon et agréable, mais
maintenant lEternel lui-même
est bon et agréable.
Ladorateur a « goûté que le
Seigneur est bon ». (Ps136)
Toutes les voies de Dieu
envers sa créature ont un seul et même motif : sa bienveillance qui demeure à toujours. Dans lœuvre
de la création (4-9) et dans lœuvre de la rédemption, cette bienveillance se manifeste pleinement.
« Quand nous étions abaissés, il se souvint de nous » (23). (Ps137/138) Comment les pauvres
transportés auraient-ils pu chanter sur commande et se réjouir sous le joug de loppresseur ? Il na pas
de joie pour eux loin de Jérusalem. Ceux qui ont pris nont pu leur en ôter le souvenir. Le fidèle,
malgré son « bas état » (138 :6) chante de tout son cœur, et se prosterne vers Jérusalem. « Tu mas
répondu », peut-il dire ensuite, bien que rien ne soit encore changé dans ses circonstances. Mais Dieu a
augmenté la force de son âme (3). (Ps139) Dieu est lumière (1Jn 1 :5). Pour un pécheur : fuir ce
terrible faisceau de lumière. Mais celui-ci fouille les ténèbres où il cherche à se cacher (11).
Prière : Seigneur, l’unité est bon et agréable. Aide-nous à la chercher et éprouver de la
grande joie. Aide-nous t’adorer avec deux mains levées avec l’action de grâce.
Un mot : Sa bienveillance dure à toujours
Ps 133 :1-134 :3 (133 :2)
Le psalmiste loue le bienfait agréable de
l’unité des frères. Elle est comme l’huile
utilisée pour la consécration du souverain
sacrificateur. Elle symbolise la joie. Elle a un
effet de sanctification (Ex 30 :23-33). La
profusion de l’huile d l’onction suggère la
richesse avec laquelle l’Eternel bénit et
sanctifie son peuple au moyen de leur
communion fraternelle. Il compare aussi
l’unité à la rosée rafraîchissante, abondante
comme celle du Mont Hermon et qui tombe
aussi à Sion. La descente de la rosée de
l’Hermon sur Sion serait un miracle comme
la communion fraternelle est un miracle de la
grâce divine (Ep 2 :11-22). Bénissez
l’Eternel pendant la nuit en élevant les mains
et l’adorez avec l’action de grâce. C’est
l’activité qui convient aux serviteurs de Dieu
(134 :1-3).
Ps 120:1-121 :8 (121 :2)
Quand le psalmiste crie à Dieu dans sa
détresse, il ne manqua pas de venir l’écouter
et lui répondre. Les ennemis ne cessent de
proférer les mensonges et les tromperies. Les
traits aigus et charbons ardents. Il doit crier
désespérément au secours. Mais pendant
longtemps Dieu garde le silence. Sans cesse,
il a voulu pour la paix, mais dès qu’il ouvre
la bouche, les ennemis lancent une flèches
de guerre. Le cœur du psalmiste est
tellement étouffé qu’il n’a qu’à regarder les
montagnes, en disant, « D’où me viendra le
secours ? » La réponse était , « le secours me
vient de l’Eternel. » Oui, Dieu donne le
secours au peuple dont la souffrance est
grande devant les ennemis. Il ne chancellera
pas son pied. Car celui qui garde l’âme ne
sommeille pas. Pendant le jour, le soleil ne
frappera pas. L’Eternel garde l’âme de tout
mal.
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