Difficultés rencontrées dans la reconnaissance des
structures corticales en 2D
Grande variabilité anatomique
interindividuelle
Facteurs génétiques
Facteurs environnementaux
Variations avec l’âge
Effacement ou déplacement des
structures anatomiques en cas de
processus expansif intracrânien
Les modifications de l’anatomie
corticale dans les anomalies du
développement cortical et
certaines affections psychiatriques
peuvent être discrètes, étendues,
diffuses
La reproductibilité
interobservateurs dans la
labélisation des sillons sur les
images 2D est variable selon la
méthode utilisée et selon la
structure étudiée
Meilleure reproductibilité pour les
scissures et les principaux sillons,
notamment le sillon central
Meilleure reproductibilité lorsqu’un
nombre plus important de critères
anatomiques est pris en compte
Certaines anomalies corticales
sont mieux détectées sur les
reconstructions 3D qu’en 2D