Modèle de lettre : Discours du conjoint ou mari fêtant le 40e

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Modèle de lettre : Discours du conjoint ou mari
fêtant le 40e anniversaire de sa conjointe ou
épouse.
AVERTISSEMENT :
Note pour les modèles à caractère juridique :
Ce modèle ne dispense en rien de consulter un spécialiste pour adapter au besoin
les règles au cas par cas.
Il résulte de ce qui précède que la responsabilité de l'auteur ne saurait être
recherchée du fait de l'utilisation du modèle de lettre ci-après sans qu'il n'ait é
fait appel à une analyse au cas par cas de la situation.
Les articles de lois, s'ils sont donnés, le sont à titre purement indicatif et ne
sauraient en aucun cas constituer une garantie de l'orientation du droit en vigueur.
Par conséquent, il est, en toutes circonstances, impératif de solliciter les conseils
d'un professionnel, avant toute rédaction et action.
Aides à la rédaction
Contexte :
Vous avez réuni votre famille et vos amis à l'occasion des 40 ans de votre conjointe ou
épouse. Au moment du dessert, vous allez annoncer votre intention de lire un petit
discours.
Notre conseil :
Lire et relire à haute voix ce discours plusieurs fois, avant de le prononcer devant une
assemblée. N’ hésitez pas à marquer des poses, à « jouer » comme un comédien votre
discours.
M / Mme / Mlle NOM PRENOM
Adresse
Ville
PAYS
M / Mme / Mlle NOM PRENOM
Adresse
Ville
PAYS
Objet :
X, tu as 40 ans aujourd'hui. 40 ans, je sais ce que tu penses. Les aiguilles
s'affolent, s'emballent. Tu n'as pas vu le temps passer. Tes pieds se dérobent.
Mais, n'aie pas peur, tu n'es pas seule. 40 ans, ce n'est que 2 fois 20 ans. Et
rappelle-toi...À 10 ans : en fin de primaire, tu redoutais ( ex : la rentrée en
6<sup>e</sup>. Tu paniquais à l'idée de perdre tes camarades...)A 15 ans : tes
premiers flirts, lequel sera le bon ? Y en a t-il un qui sera le bon ?À 20 ans :
étudiante, incertaine de ton avenir, encore hésitante, tu ne savais encore quel
chemin choisir.À 25 ans : tu regrettais déjà un peu tes choix mais tu t'entêtais. À
quoi bon revenir sur le passé ?À 30 : tu te posais encore plein de questions :
est-ce le moment de faire un enfant, mon banquier me prêtera t-il assez pour
acheter la maison de mes rêves ?À 35 ans, les questions se faisaient plus
insidieuses : mon mari m'aimera t-il encore avec mes premiers cheveux blancs,
mes rides au coin des yeux ?Et à 40 alors ?Une petite crise, tu t'offrirais bien une
petite crise. Histoire de dire que tu es « normale ». Mais rappelle-toi celle de ton
adolescence... Combien de temps déjà, elle a duré ? Si tu décidais de passer
outre. Si tu te disais : d'accord, je n'ai plus 20 ans mais ces petites rides me vont à
merveille : un sculpteur a pris le temps de les modeler sur mon visage, ce visage
unique qui se reflète dans les yeux de x (nom de celui qui fait le discours). Je
m'excuse, il fallait bien que je me mette en scène.40 ans, c'est encore l'âge de
tous les possibles. À 40 ans, Victor Hugo écrivait les Contemplations.Comme je
ne suis pas poète, pour toi, je lui ferai quelques emprunts. Dans ce discours,
j'aurais voulu conjuguer le verbe « aimer ». Mais tu connais mon peu d'amour
des conjugaisons. D'autres diront que ce mot est difficile à prononcer. Pourtant,
ce texte que j'ai écrit, ne parle pas d'autre chose. Je t'ai aimée, je t'aime, je
t'aimerai. Joyeux anniversaire, X (nom de la personne).
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