III/ Disuasion et vente liée

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Un bonne partie des arguments à propos de la prédation consiste à interroger la crédibilité de la
stratégie de prédation. En effet, il est tout à fait rationnel de menacer un concurrent de prédation, mais
un fois que la firme concurrente est sur le marché, il n'est pas nécessairement rationnel de mettre à
exécution cete menace. On a ici un exemple d'un phénomène "d'incohérence temporelle". Appliqué à la
prédation, ceci implique de toujours se poser la question de la crédibilité de cette stratégie, et donc de
ca rationnalité à travers le temps. On peut distinguer trois scénarios possible d eprix prédateurs qui sont
trois types de manipulation de l'information:

Consite à baisser les prix afin de faire croire que le marché est peu rentable, ainsi le concurrent
décide soit de sortir du marché, soit de na pas y rentrer.

Scénario de réputation: dans ce cadre la firme dominante entend montrer aux autres
entreprises qu'elle adopte systématiquement une politique agressive à l 'encontre des
concurrents, c'est notamment le cas quand cette firme dominante est menacée sur plusieurs
marchés différents par des concurrents différents.Ce construire une réputaion agressive peut
être rationnelle pour convaincre d'autres concurrents sur d'autres marché que l'hésitera pas à
jouer la prédation plutôt que la non prédation. On ne doit donc pas envisager cette stratégie sur
un jeu particulier, mais sur plusieurs jeux qui correspondent à plusieurs marchés.

Scénario d la prédation financière: les prix prédateur visent la faillite du concurrent, faillit qui se
réalise notamment si le marché financier est imparfait, car le marché finanier qui constate les
prtes ne sait pas nécessairemetn que ses pertes sont dûe à la prédation mais cette fois ci vis à
vis des préteurs. Dans l'affaire???? considère l'action de Gloxo comme appratenant à la fois au
scénario 2 ou 3, il s'agissait de ruiner les laboratoires GLABGLAB, mais également de se
construire une réputation agressive vis à vis e tout les autres laboratoires qui cherchaient à
fabriquer des médicaments génériques de produits Glaxo récemment tombés dans le domaine
public.
II/ La forclusion
On appel forclusion du marché , le fait non plus d'exclur un concurrent, mais de l'empecher
d'entrer sur un marché. C'est notamment le cas lorsque l'entreprise en position dominante possède
une ressource essentielle, à savoir un actif absolument nécessaire à la production d'un bien ou d'un
service. Dès lors le refus de vendre à un concurrent potentiel peut être une intention de le tenir en
dehors du marché. Cette stratégie à pour but de limiter la concurrence et constitue un abus.
Cette théorie des ressources essentielle provient des E-U notamment dans l'arret Saint-Louis.
Dans ce cadre, le droit de la concurrence sanctionne ce refus au titre de l'abus de position
dominante. On doit noter que cette ressource peut aussi bien être un service, une matière
première, ou encore un droit de propriété intellectuel.
Une ressource essentiel est une ressource telle qu'il est impossible d'entrer sur un marché si on
la possède pas. Elle doit être difficilment reproductible sauf à un coup prohibitif. Bref ce qui compte,
c'est l'inexistance d'une solution alternative pour pénétrer le marché en cause. On peut trouver de
nombreux exemples: une infrasructure comme une ligne de chemin de fer ou un aéroport, un
réseau de télécommunication ou encore un droit de propriété sur les programmes de télévision.
Le scénario typique de forclusion concerne les industries de réseaux car lors de la mise en
concurrence, l'opérateur historique se retrouve le plus souvent détenteur du réseau et offreur de
service en concurrence avec d'autres entreprises. Or ces concurrents en aval ont besoin de l'accès
au réseau de monopole de l'opérateur historique pour pour pouvoir le concurrencer sur le marché
aval. L'opérateur historique peut alors être tenter d'utiliser son monopole sur le réseau pour
empecher la concurrence sur ces services.
Il faut noter que cette doctrine des ressources esstenielles est maniée avec beaucoup de
précaution par les autorités et il faut que le refus soit motivé par la volonté d'xclur un concurrent. Or
il peut être très difficile de prouver cette caractéristique.
Parrallélement cette doctrine à de nombreuses conséquances économique, elle peut
notamment amener l'entreprise qui détient la ressource à sous investir dans cette ressource
puisqu'elle sait qu'elle ne sera pas la seul à l'utiliser. Ou cela amène encore à réduire les droits de
propriété que détiennent les acteurs sur leurs actifs. Dès lors on peut assiter à un sous
investiissssement dans la recherche de brevet ou dans l'investissement puisque là encore de
nombreux acteur pourrait en profier. Ces arguments expliquent la prudence des autorités dans
l'application de cette doctrine.
III/ Disuasion et vente liée
Le troisième cas classique d'abus de position dominante est le cas de la disuation où l'objectif de
la firme dominante est d'empecher l'entrée d'un concurrent. Ce cas se distingue de la prédation,
dans la mesure ou il peut mettre en oeuvre des stratégies autres que des stratégie en prix. C'est le
cas des ventes liées, de la saturation des marchés ou encore de l'augmentation des coûts.
Une politique de stauratuio des marché comme le cas des céréale au EU dans es années 70 peut
générer une dissuasion du marché car elle multiplie les segments de marchés et impose à la firme
entrante de rentrer sur tout les segments de marché en même temps. Il y a bien ici un risque de
dissuasion, surtou si cette différniation à uniquement pour but de segmenter les marchés. On
retrouve des considérations de politiques commerciales dans le cas des ventes liées. Dans ce cadre
une entreprise possède une positiono dominante sur un marché mais pas sur l'autre et elle impose
au consommateur d'acheter en même temps les biens qu'elle produit sur les deux archés.
On peut avancer deux argument:
- les ventes liées favorise l'efficacité car elle permettrai une bonne comptabilité entre
produits complémentaires.
des
- à l'inverse on peut considérer que l'enreprise utilise sa position dominante sur le
marché
A pour obtenir une position dominante sur el marché D, c'est sur ce
fondement que
microsoft à été attaquer par la commision européene, la commission considérée que le fait de
vendre en même temps un système d'exploitation et d'autres logiciels permettait à microsoft
d'obtenir une position dominante sur ce marché des logiciels grace à son monopole de fait sur les
systèmes d'exploitations. On retrouve ces ventes liées dans beaucoup de secteurs notamment la
téléphonie, mais également la télévision payante. ( examen cas pratique)
En dehors des cas typique de prix prédateur et de forclusion, on peut renontrer de nombreux scénarios
où le comportement de l'entreprise en position dominante et dictée par sa volontée de limiter sa
concurrence ou de limiter l'entrée sur son marché. Simplement il peut être difficle pour les autorités
de prouver que de telles pratiques constituent bien des abus. C'est la raison pour laquelle les
condamnations de telle pratqiue sont plus rares que celles fondée sur les prix prédateurs ou sur la
forclusion.
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