
c) La subordonnée circonstancielle
Elle est complément circonstanciel de la proposition principale dont elle dépend.
Elle répond à la question « quand », « pourquoi », « à quelle condition »…
Elle est introduite par une conjonction de subordination (quand/ comme/ si/ lorsque/ puisque…) ou
par une locution conjonctive (alors que/ avant que/ depuis que/ dès que/ parce que/ bien que/ au
moment où/ au cas où…).
Fonction grammaticale : complément circonstanciel.
J’écoute ce disque puisqu’il me plaît.
Je lis ce livre parce qu’il m’intéresse.
d) La subordonnée interrogative indirecte
Elle est introduite par un pronom ou un adverbe interrogatif (qui, pourquoi, comment, quand…) et
est le plus souvent précédée par un verbe de demande (demander, interroger, questionner…). Elle
permet de formuler une question tout en gardant un type de phrase déclarative.
Fonction grammaticale : COD.
Je me demandais pourquoi il était là.
II. La subordonnée sans connecteur (= sans mot de liaison)
a) La subordonnée participiale
Le verbe de la subordonnée est conjugué au mode participe (présent ou passé).
Fonction grammaticale : complément circonstanciel.
J’écoute ce disque, les paroles étant passionnantes.
J’ai aimé ce livre, l’histoire ayant été bien écrite.
b) La subordonnée infinitive
Le verbe de la subordonnée est à l’infinitif.
Il a un sujet qui lui est propre et qui n’est donc pas celui de la proposition principale.
Fonction grammaticale : COD.
J’écoute le chanteur répéter son texte.
II- Exercices :
Ex 1 :
1) que les Prussiens ont envahie : PSR
2) qu’ils prendront la diligence : proposition subordonnée conjonctive