Politiques de dépistage en France,
en Europe, au Canada
et aux Etats-Unis
Des politiques contrastées?
Caen 22 novembre 2005
Plan
1. Organisation générale des dépistages
2. L’exemple du cancer colo-rectal
3. L’exemple du cancer du sein
4. L’exemple du cancer du col utérin
Organisation générale
Une tendance à la décentralisation : l’importance de l’échelon local
France : 3 niveaux
-National : l’impulsion
Le Ministère de la Santé fixe le programme de dépistage organisé et le
cahier des charges
L ’Assurance Maladie finance les actes
La Ligue contre le Cancer participe aux campagnes d’information
-Régional : le pilotage
Le Comité régional des politiques de Santé : suivi des structures de gestion
-Départemental : la mise en œuvre
Structure de gestion associative, sous la responsabilité du Conseil général et
de l’Assurance Maladie
invitation des patientes, formation, évaluation de la qualité…
Organisation générale
Une tendance à la décentralisation : l’importance de l’échelon local
France
Plan Cancer : « vers un dépistage mieux organisé »
mesures 21 à 28
-généraliser le dépistage organisé du cancer du sein d’ici au
1er janvier 2004 ;
-favoriser le dépistage individuel du cancer du col de l’utérus ;
- faciliter le développement du dépistage du cancer du côlon ;
- améliorer les conditions de détection précoce du mélanome ;
-garantir l’accès aux tests de prédisposition génétique des
formes familiales de cancer.
Organisation générale
Une tendance à la décentralisation : l’importance de l’échelon local
Finlande
Des services de soins et de prévention décentralisés
Grande autonomie des municipalités depuis 1972
ont en charge la responsabilité de mise en oeuvre
les hôpitaux, les structures sociales
le dépistage (cancer du sein et de l’utérus)
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