1) différences entre nature et fonction
2) Variations sur la nature
3) Liens entre la nature et la fonction d’un mot
1) Différences entre nature et fonction
Très peu de temps l’invention du langage, les grammairiens sont nés, ils sont là pour ranger
des mots dans des tiroirs que l’on appel les parties du discours. Elles totalisent les
appellations de natures (ex : verbe >> to climb>> j’attribue la partie du discours verbe à ce
mot) art de lire et d’écrire en classant les mots. (ex : « it’s no crime to be in the woods on the
spring afternoon, Henry said. »
crime : nom commun >> sous catégorisation du nom
« it » : pronom personnel neutre/ « he\ him » : pronom personnel \sujet pronom personnel
complément.
tout ceci relève de la carte d’identité du mot he et him on est allé jusqu’à remonté à son ADN
sémantique (sens d’un mot).
Nature : attribution d’un mot d’une partie du discours, c’est le catégoriser dans une partie
du discours. La nature est la carte d’identité du mot car elle constitue une information
stable sur le mot.
Fonction : la fonction d’un mot dépend de sa place et du rôle qu’il occupe dans la phrase
(ex : Henry loves Julia >> Henry sujet du verbe « loves ».)[dire toujours de quoi un mot est
fonction, par rapport à quoi il occupe une fonction]. Julia loves Henry >> COD du verbe
« loves ». La fonction d’un mot est une information sensible au contexte qui change avec
chaque contexte d’apparition du mot. ATTENTION LE TABLEAU N’EST PAS COMPLET !
Verbe : 1) auxiliaires 2) lexicaux
Nom
Adjectif qualificatif
Pronom
Adverbe
Interjection
Verbes auxiliaires
Préposition
Conjonction
Déterminant
Mots lexicaux : ont un sens que l’on peut
expliciter sous les formes d’une définition, ils
ont pour vocation première de référer à une
parcelle de réelle, on les appelle classe
ouverte car on peut en inventer.
Mots grammaticaux : n’ont pas vraiment de
sens référenciel, leur vocation première est
de construire le message linguistique. Ils sont
les ciments de la phrase. Classe fermée.
Il faut nuancer le caractère stable de l’information relevant de la nature. Un mot peut avoir plusieur
nature. Nature et fonction sont certes deux infos sur le mot bien distinctent elles restent liées.
2) Variation sur la nature
La langue anglaise est assez économique. Tout mot est polysémique. Un mot peut avoir plusieurs
nature : (ex : « We’re looking for help » / “He helped me with the washing up” 1- ) le ed du
preterit est un suffixe qui va s’accoler au verbe et non pas au nom, critère d’ordre
morphologique. 2- la place du « help » dans la phrase, on relève ici d’un critère distributionnel,
« he »précède « help » [ critère phonétique]. 3- différence entre nom et verbe «he helped me »
on visualise un dynamisme, on visualise cette aide en tant qu’elle est effectuée par un agent
-Sujet du verbe x : « Julie studies grammar »Le
sujet est ce dont on parle, celui à quoi on réfère
tout ce que l’on dit. En général un objet humain
qui va modifier quelque chose dans le réel, il
transite vers l’objet. Le sujet est là pour produire
une énergie (manger, courir etc.).
-COD du verbe x : « give me an example » COD =
directement introduit après le verbe sans besoin
de préposition (ceci fonctionne pour l’anglais)
-COI du verbe x : « he gave his pain to Clara »
Clara COI du verbe « gave » complément vient
du verbe compléter, le complément d’objet est
là pour compléter le sens du verbe « I ate »
n’existera pratiquement pas dans un texte
anglais. L’objet est la cible de l’énergie produite
par le sujet.
-Attribut du sujet x : « Jackson is single »
« single » attribut du sujet Jackson.
-Complément du nom x : « Julia is Henry’s love »
ceci est un génitif, il est complément du nom
love « he met the love of his life »
-Complément circonstanciel du verbe x : sont
des compléments qui ajoutent une information
qui est grammaticalement facultative (lieu,
temps, manière, but, moyen, concession). Ils
sont facultatifs car ils ne sont pas nécessaires à
la compréhension globale de la phrase.
[contexte est le cadre dans lequel se déroule
l’action] Les compléments circonstanciels
agissent en périphérie de l’action. Contexte =
situation particulière. Les compléments
circonstanciels expriment ce que l’action à par le
verbe quelque chose de particulier ( à
l’exception des énoncés génériques)
(l’auteur de l’action), on visualise l’action en cours le verbe à une forte attache à cet agent. Un
verbe va changer de forme que si on a un sujet. On visualise un dynamisme alors que « help » on
visualise moins l’action que le résultat de cette action et c’est pour ça que le nom se suffit à lui-
même. Ne visualise que la trace laisser pas l’action d’aider. Avec l’ « aide » on visualise MOINS
l’action. On donne priorité sémantique de l’action « aider ». Une fois que l’action d’aider est
passé il ne reste dans le présent que l’action passée. Résultat doté d’une identité indépendante.
Il se suffit à lui-même car il ‘n a plus besoin de sujet. GENERALITE : la partie du discours à
laquelle appartient un mot est en soit une contribution sémantique importante à ce mot.
(selon qu’un mot soit nom ou verbe c’est une action différente qui sera mise en lumière). [ le
langage ne fournit que des représentation donc résultat représenté]. Le fait qu’une personne
utilise un nom montre que la personne se projette au moment où elle aura déjà obtenue l’aide.
Première différence qui relève de la définition d’un nom et d’un verbe.
Le nom : apporte une identité stable à son référent. (la partie du réel à laquelle renvoie le mot). Il
a sa propre temporalité, ça se voit moins que l’action.
Le verbe (d’action) : plonge un agent dans l’éphémère d’une action. Dans un dynamisme c’est-à-
dire dans le temps. Plonge un agent dans le temps, verbe conjugué à un certain temps. La plupart
des verbes plongent un agent dans un dynamisme qui dit dynamisme dit temps qui passe. [
lorsque quelque chose bougeait dans le champ de vision de l’homme tout de suite c’était une
menace pour lui. Tout dynamise était une menace potentielle. Et donc il a cherché à vouloir
contrôler ces menaces, et comment ? En les nommant, c’est comme prévoir, c’est donner une
identité stable]. Les verbes captent un truc limité dans le temps.
Quand on apprend un nouveau mot il faut apprendre toutes les natures de ce mot.
3) Liens entre la nature et la fonction d’un mot.
On a parfois besoin de réfléchir à la fonction d ‘un mot pour pouvoir donner sa nature. C’est
ne ça que nature et fonction sont liés. (ex : « spring is my favourite season »/ « when my
alarm rings I have to spring out of bed to turn it of” ici le point commun est le
bourgeonnement quand il y a bourgeonnement les choses “spring out” ce qui bourgeonne
jaillis de terre) On voit dans l’exemple a) que springest un nom en autre parce qu’il rempli
une fonction du sujet du verbe is, or en anglais les sujets sont plutôt des noms que des
verbes.
I) LA NATURE DES MOTS
Revoir tableau def. mot lexical et mot grammatical. On a coutume de distinguer ces deux grands
types de mots :
A) Comment trouver et justifier la nature d’un mot ?
On peut apprendre la logique qui permet d’attribuer une nature à un mot : on distingue
plusieurs types de critères qui sont des tendances.
1) Les critères sémantiques : Du point de vue du sens la plus grande distinction à
avoir en tête est celle du verbe et du nom. On dit que le nom réfère à des entités
alors que le verbe réfère à des procès>> ( c’est le référant d’un verbe, mais
attention faire attention de faire la différence entre la linguistique et
l’extralinguistique : ex : « to walk » c’est un verbe c’est-à-dire que c’est un mot
de la langue, matérialité graphique et phonique. Point de vue du
linguistique : « walk » est un verbe (signifiant) mais dans l’extralinguistique on
parlera de procès. Il y a plusieurs type de procès (signifié) : les actions et les
états. On dit procès pour ne pas dire action car on oublierait les 2 % de verbes
d’état.) Certain verbe réfère à des procès. Le verbe à besoin d’un nom pour
pouvoir se brancher sur le réel. Un verbe ne peut pas référer seul. Pour pouvoir
renvoyer à sa parcelle de réel le verbe à besoin d’un nom. Il est dépendant
souvent de son sujet. C’est aussi pour ça qu’il change en fonction de son sujet.
Celui qui à la morphologie qui change le plus c’est « be ». C’est une différence
essentielle entre le nom et le verbe. Importance référenciel que le verbe n’a pas.
C’est aussi cela qui fait la différence entre nom et adjectif. [Comme un adjectif >>
besoin du nom pour se connecter à sa parcelle de réel] Critère sémantique pour
un nom est essentiel.
2) Les critères grammaticaux (critères morphologiques) : On a les affixes: c’est
un petit bout de mot que l’on met au début ou à la fin d’un autre mot soit préfixe
soit suffixe, qui a un sens mais ne peut pas fonctionner tout seul. Il y a les
préfixes et les suffixes mais aussi les infixes (il vient à l’intérieur d’un mot) et des
circonfixes (qui viennent au début et à la fin d’un mot mais n’existent ni en
anglais ni en français). On ne parlera pas des préfixes car en anglais ils ne
permettent pas de déterminer la nature d’un mot. Les critères grammaticaux
permettent de justifier la nature d’un mot. Il y a une partie du mot qui aide à
donner la nature d’un mot : ce sont les suffixes. 2 grands types de suffixes :
dérivationnels, flexionnels.
a) Les suffixes dérivationnels : les suffixes dérivationnels sont des
marqueurs lexicaux. 2 types de dérivations qu’il faut connaitre : la
dérivation propre. Dans ce type de dérivation la nature du mot ne
change pas. ex : neighbor/hood. La deuxième de dérivation n’a pas
de mot elle consiste à changer la nature du mot. En fonction du suffixe
on peut très facilement trouver la nature. Il y en a servé aux noms : -
hood, -ness,- ful,- ity, -ety, -er, -ist,- ism, -ion, -ment, -ee. Réservé aux
adjectifs : -less, -ly, -ious, -able, -ful, -ive, -al, -ish. Suffixe pour les
verbes : -en, ize/ise, -ate,- ify. - -Ing et -ed ne sont pas dérivationnel.
b) Les suffixes flexionnels : les suffixes flexionnels contrairement aux
dérivationnels ne changent pas le sens du mot ce sont des marqueurs
grammaticaux. Quels sont-ils ? On a le suffixe de pluriel soit -s/es, soit
en. Marqueur de conjugaison : le -s de 3eme personne des verbes aussi,
-ing, -ed. Le -th et le -st des nombres ordinaux. -Est et er et parfois ed
forment aussi des adjectifs.
3) Critère distributionnel : c’est un critère assez bâtard, et qui n’est pas
systématique. C’est une méthode qui peut permettre de trouver la nature d’un
mot dans une phrase. Il permet de penser qu’une chose est un nom si elle
apparait après un déterminant, qu’elle est un adjectif entre un déterminant et un
nom, un déterminant si elle est devant un nom. Un mot peut avoir beaucoup de
place différente dans une phrase pas toujours très concluant. NE PAS OUBLIER
Sémantique, distributionnel, grammatical.
B) La nature des mots lexicaux.
1) Les noms Ex : le mot darkness(critère grammaticale) a le suffixe
dérivationnel ness qui sert à former des noms, il est précédé de « the »
(critère distributionnel) et il a une autonomie référentielle (sémantique).
2) Adjectif qualificatif le mot beautiful suffixe dérivationnel ful qui peut
former des adjectifs (to get an hearful = se faire gronder), il apparait entre un
article et un nom donc il y a des fortes chances que ce soit un adjectif
(distributionnel), les adjectifs attribuent une qualité à un support. [Critère
syntaxique fonction qui peut avoir un adjectif soit attribut sujet, attribut de
l’objet ou épithète du nom.]
3) Les verbes : PETIT RAPPEL: veillez toujours à bien faire la différence entre le
verbe (linguistique) réalité et le procès (extra-linguistique, discours sur la
réalité). On distingue les verbes lexicaux et grammaticaux. Les verbes lexicaux
sont ceux qui ont un sens : eat, killLes verbes grammaticaux aussi appelés les
auxiliaires sont de deux types (ceux de conjugaison be, have, do parce qu’ils
servent à former des temp et les auxiliaires de modalités : can et could, must,
may, might, should, shall, will, would. La différence entre les deux c’est que les
auxiliaires n’existent jamais seuls, ils sont des supports des verbes lexicaux, ils
n’ont pas vraiment de sens. Les verbes lexicaux sont une classe ouverte Ex : I
georgeclooneyed my coffee. Ex : le verbe applied (critère grammaticale)
suffixe flexionnel ed qui est la marque du passé, il est précédé de 3 auxiliaires,
très fréquent avec les verbes lexicaux, (critère sémantique), il fait référence à
une action, un procès, il a besoin d’un support pour exprimer cette action.
4) Les adverbes : les adverbes sont une catégorie assez fourre tout. C’est très
difficile de le définir correctement. Ex : Only (critère grammaticale) - ly suffixe
dérivationnel qui typiquement sert à fabriquer les adverbes (one+ly). C’est une
classe ouverte, on peut inventer de nouveaux adverbes. Critère sémantique que
signifie-t-il ? Typiquement un adverbe précise le sens un adjectif ou d’un verbe.
C) La nature des mots grammaticaux
Dans cette catégorie on ne peut pas en inventer de nouveaux. On peut tous les
apprendre mais la difficulté est que certain ont plusieurs natures. Ex : « this » quand il
introduit un nom est déterminant this chair. Mais par exemple dans « I love this »
il est pronom démonstratif. Prenons le mot « that » il est soit déterminant démonstratif
soit pronom mais il peut être aussi conjonction de coordination ou pronom relatif.
1) Les déterminants : c’est une catégorie que l’on peut appeler fourre tout, elle
regroupe tous les petits noms qui se placent avant les mots. Les articles :- the, -a,
-an, -Ø. Les déterminants possessifs : -my, -your, -her. Les déterminants
démonstratifs : -this, -that, -these, -those. Les déterminants indéfinis : -some, -
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