1 - Le plan : 1) En quoi la sociologie est une discipline théorique

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Le plan :
1) En quoi la sociologie est une discipline théorique vivante?
2) La sociologie est une discipline ayant un contact étroit avec d’autres disciplines proches
(anthropologie, histoire, psychologie, psychologie sociale, etc.)
3) En quoi la sociologie est en prise avec la vie des individus ? En quoi elle permet de
mieux comprendre les étapes de la vie ?
4) L’expérience politique : le politique a fait une partie du processus de socialisation ainsi
que l’expérience de l’entrée ou de la rencontre avec le monde du travail.
Le travail sur la socialisation c’est réfléchir sur le rapport entre l’individu et la société pour le
sociologue, c’est une interrogation sur le mécanisme. Comment une collection d’individus devient une
société ? Comment expliquer que ces collectivités humaines existent et se maintiennent ? Comment les
individus se rattachent à celle-ci ? Comment est-ce que chacun d’entre nous devient capable de tenir et
de gagner une place dans la société en ayant des comportements appropriés ? Comment une société
parvient à changer tout en restant elle-même ?
C’est parce que nous sommes tous des êtres socialisés et parce que la société met en place des
dispositifs, des mécanismes qui ont pour fonction d’assurer notre socialisation. C’est la société qui agit
sur chaque individu pour en faire un être social qui est un être adapté à la société et à la collectivité. Le
terme de socialisation a une histoire compliquée : il y a plusieurs manières de l’interpréter et de
l’analyser.
Les auteurs, parce qu’ils appartiennent à des courants de pensée différents et ont des
définitions différentes de la société, ont des définitions de la socialisation différentes.
Pour présenter la notion de socialisation, on peut utiliser 3 axes :
l’axe chronologique : quels sont les auteurs qui ont dit quelque chose d’important sur la
socialisation.
L’axe théorique : quels sont les écoles, les paradigmes différents qui ont quelque chose à dire
sur la socialisation. C’est lié au premier axe.
L’axe thématique : quels sont les aspects de la vie sociale concernés, les agents de
socialisation (école, famille, monde du travail, etc.) et quelles sont les dimensions de la vie
sociale impliquées : les conséquences de la socialisation sur les émotions et les manières dont
la socialisation viendra façonner notre corps.
Si on veut comprendre la diversité des réponses, on doit resituer l’approche théorique de l’auteur :
Durkheim (1858-1917), son école théorique est la sociologie comme science du déterminisme
sociologique, les faits sociaux consistent en des manières d’agir, de penser extérieures à l’individu par
un pouvoir de coercition. Durkheim s’est beaucoup intéressé à la question de l’éducation éducation
et morale » ; « éducation et sociologie »), pour lui, « l’éducation consiste en une socialisation
méthodique de la génération », l’individu peut être représenté de manière abstraite en 2 parties : l’être
personnel et l’être social qui correspond à un système d’idées, de sentiments et d’habitudes qui
expriment en ouvrant non pas notre personnalité mais les différents groupes dont nous faisons partie.
Dans cet être, on va retrouver tout ce qui est de l’ordre des croyances et des opinions collectives. Pour
qu’une société fonctionne, « il faut que par les voies les plus rapides, à l’être égoïste et asocial qui
vient de naître, elle en rajoute un autre capable de mener une vie morale et sociale » selon Durkheim.
Or, le social n’existe pas dans l‘individu mais en dehors. La grande question qui va animer Durkheim,
c’est comment devient-on un être social, comment est-ce que la société pénètre l’individu et comment
est-ce qu’elle agit sur lui.
Max Weber, son école est la sociologie comme science des interactions sociales, sa définition
de la sociologie : « une science qui se propose de comprendre par interprétations l’activité sociale et
d’expliquer causalement son déroulement et ses effets ». On peut dire que sa sociologie est
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compréhensive : le travail du sociologue est d’essayer de comprendre le point de vue des acteurs
individuels et collectifs. L’activité sociale se rapporte au comportement d’autrui (les interactions), la
question de la socialisation se pose dans le cadre de l’orientation du comportement de l’individu à
l’égard de celui d’autrui. Cette question se pose dans le cadre de l’interaction.
G. Simmel (1858-1918), c’est un sociologue contemporain de Durkheim et Weber qui va
refuser l’idée substantialiste de la société (que c’est un tout figé, homogène) : il insiste sur l’idée de la
reconstruction permanente de la société et de la création permanente de liens sociaux, de formes de
sociabilité. Pour lui, la socialisation ça consiste non seulement dans la capacité de former des liens
avec les autres pour agir de concert mais aussi en ce que Simmel appelle « l’agir conflictuel » : agir
avec et contre les autres : on s’interroge sur la possibilité de la société. La sociologie « c’est l’étude
des formes d’actions réciproques socialisantes ».
Les anthropologues culturels comme Mead, Erickson, Linton : il y plusieurs types de
personnalité selon les sociétés : qu’est-ce qui explique ces différences ? L’existence de traits
spécifiques, de cultures, de façons d’être avec de jeunes enfants qui peuvent être différentes d’une
société à une autre.
Bourdieu, sa théorie de l’habitus n’est pas originale par rapport aux auteurs plus anciens mais l’idée de
socialisation différenciées est nouvelle : la position sociale, le milieu d’origine induisent un type de
socialisation et donc la transmission d’un habitus spécifique.
Berger et Luckmann se sont interrogés sur la socialisation primaire et secondaire.
La question de socialisation professionnelle est ouverte par eux et approfondie par Dubar.
Percheron ouvre sur sujet de l’importance de la socialisation politique chez les enfants, comment ça
donne une identià l’enfant et comment se transmettent les opinions dans la sphère familiale : il ne
s’agit pas uniquement de transmission mais en réalité le socialisé a un rôle actif à mener dans sa
socialisation.
L’action de la famille comme agent de socialisation est étudié par Piaget, Lautrey : la famille
est une espèce de maillon intermédiaire entre l’enfant et la société : quels sont les éléments du
fonctionnement familial qui explique la production d’enfants différents (performance scolaire,
personnalité, etc.) ?
La question des identités : elle n’est pas donnée dès le départ, elle se construit mais pas seul.
D’après Dubar c’est « le produit des socialisations successives ».
Le dernier des agents de socialisation : l’école, les transformations importantes qui joue un rôle
important dans l’apprentissage des conduites, des rôles à tenir dans la société.
La socialisation est un terme compliqué car il recouvre plusieurs sens proches mais pas
toujours identiques et on le retrouve dans la presse et d’une autre manière par la sociologie. Pour le
discours commun, ça désigne deux choses : l’idée de mise en commun et le fait que la socialisation
renvoie à la notion de partage, de répartition (ex : la sécurité sociale est un organisme qui va opérer
une socialisation des risques, elle protège chacun contre le risque en demandant une contribution, elle
met en place une mutualisation, une socialisation des risques de l’existence : la socialisation est proche
de l’idée de solidarité ; Internet est un instrument de socialisation des savoirs : il faut concevoir le net
comme un instrument de partage du savoir, c’est l’idée de communication). La socialisation renvoie à
la notion d’apprentissage en groupe comme par exemple : elle désigne l’étape du développement
animal, le dressage au cours duquel l’animal va devoir prendre en compte son environnement : ça
désigne l’acquisition de savoirs particuliers, on va retrouver 3 termes approximatifs : la solidarité, la
communication et l’acquisition (les deux premières ont un lien avec la définition sociologique mais
qui est moins précise).
Si on cherche une première approche, on peut dire que la socialisation c’est le processus à
travers lequel un individu est rendu apte à la sociale. Dans cette première définition, on retrouve l’idée
que la vie sociale est faite d’échanges (éco, sociaux, verbaux, etc.), l’idée qu’il lui faut de la
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communication ; de la solidarité. La deuxième idée c’est que l’aptitude de l’individu résulte d’un
processus et donc ça rejoint l’idée d’acquisition qui est importante.
En sociologie, il y a 3 systèmes :
le système social : l’ensemble des parties interdépendantes qui forment une unité informelle :
la société.
Le système culturel : l’ensemble des manières de faire, de penser, de sentir partagées pas les
personnes qui constituent a société.
Le système individuel : l’ensemble des composants psychiques de l’être humain.
Cette distinction est abstraite car ces 3 niveaux sont appliqués :
1er niveau : toutes les actions humaines engagent la personnalité de l’acteur qui agit selon des valeurs,
des principes à l’intérieur du système social. Elle permet de mieux concevoir la socialisation parce que
c’est le processus qui va garantir un ajustement suffisant entre la personne et la société. La
socialisation va expliquer comment se coordonnent l’individu et la société.
Définition plus précise de la socialisation : G Rocher (« l’action sociale ») : c’est le processus par
lequel la personne humaine apprend et intériorise au cours de sa vie les éléments socioculturels de son
milieu, les intègre à sa personnalité et s’adapte ainsi à l’environnement social où il doit vivre : cette
définition comporte 3 aspects importants :
- l’apprentissage de la culture : processus continu tout au long de la vie mais qui va être plus
intense pendant l’enfance. Certaines étapes de la vie vont exiger un apprentissage d’un nouvel
ordre ou une adaptation.
- L’intégration de la culture à la personnalité : c’est par là que la culture fait partie intégrante
de la personnalité, ça devient une manière naturelle » de se conduire.
- L’adaptation à l‘environnement social : c’est le résultat sociologique du processus de
socialisation, la personne socialisée va être liée à son milieu, avoir en commun un arrière fond
commun avec les autres, d’où le fait qu’on puisse communiquer.
La socialisation influence les sens, les aptitudes corporelles (l’appareil sensori-moteur).
2ème niveau : le niveau affectif, la socialisation influence les sentiments que l’on peut avoir et la
manière dont on peut les exprimer : l’amour romanesque du 19ème n’existe pas en occident avant le
Moyen Age, la passion n’était que par rapport à Dieu ; en Italie du Sud, la souffrance est exaltée, on
invite des pleureuses professionnelles aux enterrements.
3ème niveau : le niveau intellectuel, la socialisation façonne notre intelligence, nous inculque des
catégories de pensées et nous transmet des stéréotypes à partir desquels on va produire un jugement.
La socialisation produit de la conformité dans la société : elle produit suffisamment de conformité
pour que la société puisse durer. C’est une définition qui souligne un certain nombre de question
comme la capacité de certaines instances de socialisation à pouvoir continuer le processus de
socialisation, etc.
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Chapitre 1 : les approches théoriques de la socialisation
La socialisation n’est pas un thème réservé aux sociologues, il est utilisé dans des disciplines
voisines comme pour le développement de la personnalité individuelles (psychologie), etc.
Ce qui intéresse le sociologue c’est la façon dont se forme la personnalité sociale chez l’individu :
c’est l’aptitude à l’action sociale et l’acquisition des pré requis de cette action, c'est-à-dire les normes
de comportement, les valeurs individuelles. Comment une personne est amenée à conduire son action
en fonction de motifs ou de buts qui lui sont proposés par la société dans laquelle il vit (ex : pourquoi
un individu essaie de gagner sa vie en travaillant plutôt que par la fraude ou la violence) ou encore
comment la motivation des individus va s’ajuster à la motivation sociale. On retrouve une question
centrale dans le travail de la socialisation : l’articulation des niveaux individuels et collectifs. Dans une
société les individus se comportent d’une façon qui leur semble normale : ces individus ne semblent
pas subir de contraintes particulière, tous ces comportements quotidiens ne résultent pas d’un
ajustement spontané ou naturel, c'est-à-dire que les actions humaines ne sont pas nécessairement
conformes aux attentes de la société, se conformer aux attentes de la société se n’est pas s’inscrire
dans la nature de l’homme : c’est culturel.
Les théories de socialisation essaie de comprendre pourquoi les hommes adhèrent aux valeurs de
leur milieu : 2 façons de répondre :
la socialisation passe par la contrainte : la société nous détermine.
L’approche déterministe : la contrainte sociale sur l’individu, la socialisation résulte des
différentes influences subies par l’individu mais aussi des choix qu’il effectue entre ces
influences
I- La socialisation comme contrainte
Penser les relations entre l’individu et la société revient à se poser la question du poids de l’influence
du social que l’individu mais aussi des modalités de cette influence.
a) Durkheim et la socialisation
Durkheim va donner la pulsion déterminante à la sociologie, il développe une sociologie très riche. Il
donne un fondement scientifique à l’analyse des phénomènes sociaux.
La sociologie se n’est pas une spéculation théorique, elle soit permettre de mieux comprendre la
société et agir pour améliorer son fonctionnement : on relève une finalité instrumentale.
On est à une époque où la société française subit des mutations importantes et fortes, Durkheim va
essayer d’apporter une réponse à la cohésion sociale dans une société qui aurait des bouleversements
assez profonds suite à la révolution française et industrielle (fin 19ème).
1) la cohésion sociale et la conscience collective
Une des caractéristiques importante de la modernité pour Durkheim c’est la perte de la cohésion
dans les sociétés modernes : le processus de division du travail (de plus en plus poussé et complexe) se
traduit par une disparition des formes anciennes de solidarité, on serait passé d’une société à solidarité
mécanique à une société à solidarité mécanique ; d’une société par similitude (tous les individus
partagent les mêmes croyances, valeurs, sentiments, un individu sans spécificité et sans autonomie) à
une société par différences qui a divisé les fonctions : dans ces sociétés, les individus ont des rôles
spécifiques et complémentaires, cette société repose en partie sur la complémentarité des fonctions.
On peut repérer un certain nombre de pathologies sociales (revendication individuelles qui
augmentent, crise économique, progression du taux de suicide : indice de ces transformations) qui
entraîne une montée de l’individualisme à la fois émancipatrice mais aussi potentiellement destructrice
du lien social.
Selon Durkheim, le changement social a été trop rapide, il a rendu moins efficace les institutions
traditionnelles (famille, église, Etat, etc.) et sans rien ajouter. On retrouve chez cet auteur l’idée d’une
crise des institutions socialisatrices. On peut s’interroger que les conditions qui permettent d’assurer la
continuité de la société en intégrant les individus qui arrivent à chaque nouvelle génération
complètement vierges de spécificité sociale et c’est ce qui pousse à la différenciation des individus ; la
société prime toujours sur l’individu selon Durkheim, il y a une priorité historique des sociétés sur les
individus car les individus autonomes n’apparaissent que progressivement dans l’histoire et quelque
soit le type de société dans laquelle on se trouve : le social s’impose toujours aux individus, il
préexiste à l’individu et exerce une contrainte que l’homme donc la société n’est jamais la résultante
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de l’agrégation des intérêts individuels, c’est plus que ça : la société transcende les individus, elle a
une vie propre qui n’est pas égale à la somme des individus qui la compose.
Attention : il faut toujours chercher à expliquer les comportements individuels par l’action de la
conscience collective sur les individus. Cette notion est centrale chez Durkheim, la définition de la
conscience collective « c’est l’ensemble des croyances et des sentiments communs à la moyenne des
membres d’une même société et formant un système déterminé qui a sa vie propre ». La conscience
collective est un ensemble de mentalités partagées par la majorité de la population et qui s’impose aux
individus indépendamment de leur volonté : elle a une grande force sociale. Elle implique l’existence
de valeurs communes qui sont concrétisés par des normes et la contrainte sociale est un ensemble de
règles que se donne une société pour atteindre les dispositifs que la société met en place pour rendre
ces règles effectives. Ces règles ne sont pas innées mais transmises, les individus doivent les
intérioriser et la socialisation peut être définie comme les mécanismes de transmission des valeurs et
des normes nécessaires à l’intégration des individus et pour que ces individus puissent tenir leur place
dans la société. Cette intériorisation des normes est plus ou moins consciente, les habitudes qu’on peut
avoir dans la vie sont, pour Durkheim, des ormes qui sont appliquées machinalement tellement elles
sont bien intériorisées (ex : à table avec N. Elias).
Cette socialisation est un phénomène universel mais qui peut prendre des formes variées selon les
contextes sociaux : il n’existe pas de société sans conscience collective, ça consiste en la transmission
des modèles culturels à partir des générations adultes vers les générations montantes : l’objectif c’est
pas seulement d’introduire les individus à la vie en société et au travail mais aussi et surtout c’est
d’assurer le maintien et la reproduction de l’ordre sociale pour Durkheim.
2) Le processus d’intégration et de régulation
Dans sa théorie de la socialisation, Durkheim fait la distinction entre intégration et régulation.
L’intégration c’est la façon dont un groupe social attire un individu et se l’approprie. Ce processus
passe par des contacts fréquents (interactions) entre les membres du groupe et ça permet le partage
d’idées, de sentiments. Ce processus conduira à l’existence de passions uniformes et donc à la
poursuite de buts communs. Ce processus conduit à l’attachement au groupe selon Durkheim.
Le principe de régulation est complémentaire mais différent à celui d’intégration. Il ne fait pas
seulement intégrer l’individu mais il faut aussi harmoniser et régler son comportement : le processus
de socialisation doit jouer un rôle modérateur. Les individus ont des désirs infinis or la stabilité d’une
société exige des individus disciplinés : il faut leur apprendre la contention. La régulation sociales
c’est ce qui permet de passer de l’univers infini à l’univers fini et hiérarchi des passions sociales : ça
conduit à l’esprit de discipline.
3) Education, école et corporation
L’éducation pour Durkheim n’a pas seulement pour objectif l’individu et ses intérêts mais c’est
surtout un moyen pour la société d’assurer sa permanence, ça permet la reproduction sociale.
« L’éducation consiste en une socialisation méthodique de la jeune génération et l’objectif est de
constituer en chacun de nous l’être social », cet être social a un système d’idées, de sentiments,
d’habitudes qui sont en nous et qui exprime le groupe ou les sous groupes différents dont on fait
partie, ce sont les opinions collectives, les croyances et les pratiques morales, les traditions (nationales
ou professionnelles), les croyances religieuses, etc. Cet être social n’existe pas dans la constitution
primitive de l’homme mais la société se trouve à chaque génération en face d’individus « vierges ».
L’idée c’est que la société ne peut vivre que si il y a une homogénéité suffisante entre les membres :
l’éducation renforce cette homogénéisation et va renforcer chez l’enfant la vie productive.
« L’éducation est l’action exercée par les générations adultes sur celles qui ne sont pas encore mûres
pour la vie sociale, elle a pour objet de susciter et de développer chez l’enfant un certain nombre
d’états physique, intellectuels et moraux que réclament de lui et la société politique dans son ensemble
et le milieu social auquel il est particulièrement destiné ».
L’éducation via l’école est un processus de socialisation central : la période charnière pendant
laquelle les individus apprennent à aimer les instructions, à vivre en groupes, etc. c’est le canal
d’intégration de la société. Pour Durkheim, les institutions de socialisation ne jouent plus bien leur
rôle car l’industrie moderne va avoir 2 conséquences : la division du travail social (déracinement des
individus : les cadres sociaux traditionnels sont bouleversées) et les individus s’émancipent des
anciennes manières de faire, d’agir et de penser. L’église et la famille sont peut être moins en mesure
de jouer leur rôle socialisateur : la transmission des coutumes qui donné une stabilité de la vie sociale.
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