plus qu’aux autres ; aux hommes la part qu’ils ont acquise, et aux femmes la part
qu’elles ont acquise. Demandez à Dieu de sa Grâce. Car Dieu, certes , est Omniscient.
» Coran 4/32 La femme, comme l’homme, peu maîtriser les valeurs économiques et en
disposer selon l’intérêt. En effet, le droit à la propriété est garanti en Islam par les
textes du Coran et de la Sunna, quelle que soit la nature de cette propriété (argent,
bien immobiliers, terres agricoles, etc.).
Les femmes ont le droit d’hériter. « Aux hommes revient une part de ce qu’ont laissé
père et mère ainsi que les proches ; et aux femmes une part de ce qu’ont laissé les
pères et mères ainsi que les proches, que ce soit peu ou beaucoup ; une part fixée. »
Coran 4/7 Par contre, pas la même portion que l’homme
Sécurité
financière
(et dans le
cas du
divorce),
dot lors du
mariage
Si la femme travaille pour survivre et se prendre en charge, l’Islam lui a garanti ce
droit, car le régime de la prise en charge en Islam enjoint au père de prendre la
charge de sa fille jusqu’à ce qu’elle se marie, après quoi sa charge et celle de ses
enfants reviennent à son mari ; si son mari meurt, cette charge revient à nouveau
chez son père ; s’il ne vit plus, celle-ci revient à ses enfants et si ses enfants sont
en bas âge, cela revient à ses frères et ainsi de suite, aux plus proches parents.
Elle est ainsi prise en charge, de la naissance à la mort et n’a pas besoin de
travailler pour manger et vivre. On lui accorde tout cela pour qu’elle se consacre
exclusivement à la délicate mission qui consiste à prendre soin du foyer et éduquer
sainement les enfants, mission qui exige d’elle un effort immense et beaucoup de
peine. http://womeninislam.ws/fr/le-travail-de-la-femme.aspx
L’Islam a garanti à la femme le droit à être prise en charge matériellement. Il a imposé
cette obligation à l’homme - qu’il soit père, époux ou fils - en exemptant la femme de
toutes charges économiques du foyer, tout en protégeant l’ensemble de ses droits civils
et financiers. Ainsi, la femme mariée possède ses propres biens. C’est à l’époux qu’à
été attribuée la charge des dépenses du foyer et de sa femme. C’est là une des
marques de la grande sollicitude de l’Islam envers la femme. http://www.aslim-
taslam.net/article.php3?id_article=234
Droit à la dot : « Et donnez aux épouses leur matin (dot) de bonne grâce [...] » Coran
4/4. C’est l’époux qui est obligé de verser la dot. Celle-ci est un droit absolu pour la
femme. Sans elle le mariage n’est pas valable.
Droit à
l’avortemen
t
(interruptio
n volontaire
de
grossesse)
L’islam considère l’interruption volontaire d’une grossesse comme étant un péché. La
femme musulmane ne possède donc pas le droit à l’avortement.
Les femmes peuvent témoigner, mais Le Coran rend le témoignage de l’homme égal à
celui de deux femmes (dans les affaires financières) « Ô les croyants ! Quand vous
contractez une dette à échéance déterminée, mettez-la en écrit ; et qu’un scribe l’écrive,
entre vous, en toute justice ; un scribe n’a pas à refuser d’écrire selon ce que Dieu lui a
enseigné ; qu’il écrive donc, et que dicte le débiteur : qu’il craigne Dieu son Seigneur, et
se garde d’en rien diminuer. Si le débiteur est gaspilleur ou faible, ou incapable de dicter
lui-même, que son représentant dicte alors en toute justice. Faites-en témoigner par deux
témoins d’entre vos hommes ; et à défaut de deux hommes, un homme et deux femmes
d’entre ceux que vous agréez comme témoins, en sorte que si l’une d’elles s’égare, l’autre
puisse lui rappeler. » (sourate 2 intitulée la Vache, Al-Baqarah, verset 282). devant la Loi
islamique, les deux sexes ont droit à la même égalité. http://www.islamophile.org/spip/La-
position-de-l-Islam-quant-au.html La justice n’a pas de sexe. D’après le Coran, hommes et
femmes reçoivent la même punition pour les crimes tels que le vol (5 : 38 [1]), la
fornication (24 : 2 [2]), le meurtre ou les blessures corporelles (5 : 45 [3]).
Selon la majorité des jusristes,le témoignage de la femme ‘est pas recevable dans les