Sujet : "le professeur d'EPS se préoccupe de faire comprendre aux élèves le sens et la portée des valeurs qui sont à la base de nos institutions et les prépare au plein exercice de la citoyenneté". Commentez ces propos pour des élèves du cycle central. Attentes : Les termes du sujet méritent d'être définis car ils sont de l'ordre de finalités ; ils sont à replacer dans le contexte scolaire (définitions institutionnelles) : "Valeurs et citoyenneté" doivent être définis, précisés. Ces deux termes englobent les attentes du sujet. De même, le candidat peut présenter quelques traits caractéristiques des élèves du cycle central dès l'introduction. Les termes secondaires n'en sont pas moins essentiels et doivent subir une analyse : "Se préoccupe" : il s'agit de son rôle institutionnel et des rôles qu'il aura à endosser pour permettre à l'élève de comprendre, accepter, appliquer... "Faire comprendre" : il enseigne, transmet en explicitant, justifiant les règles ainsi que toutes les sanctions encourues en cas de transgression. L'actualité récente nous rappelle combien la "violence" (toutes les formes de violence - de verbales et d'attitudes à physiques) est présente dans toutes les secteurs de la société. Il s'agira de responsabiliser les élèves, leur attribuer des rôles et tâches en relation avec leurs capacités. "Aux élèves" : ceux-ci sont à considérer comme des citoyens en puissance, mais n'en sont pas encore ; ils sont en formation ; ne pas confondre élève et citoyen, même si des parallèles ou rapprochements sont attendus durant le devoir. "Sens" : les contenus doivent être compris par l'apprenant ; pour cela, l'enseignant est "invité" à justifier ses pratiques, objectifs et contenus ; il présentera les organisations, les rôles de chacun, les règles de fonctionnement ainsi que les sanctions encourues en cas de transgression. "Portée" : la notion de transfert est essentielle en éducation ; il est attendu que les candidats précisent le niveau de transfert des compétences acquises (court terme, moyen terme, long terme). Le respect des valeurs, et notamment des normes et règles sociales permet de s'intégrer dans la vie sociétale. Les notions de compétences et contenus font partie des attentes du sujet (comme dans pratiquement tous les devoirs d'écrit 2) ; faites le nécessaire pour aborder dans votre écrit les concepts de compétences et contenus, en relation avec les textes !!! "Base de nos institutions" : les textes et les lois ; base du fonctionnement du cours d'EPS, son règlement !!! quelles sont les règles sociales qui régissent le cours d'EPS ? Quelles sont les relations avec le fonctionnement social ? "Les prépare" : souci de formation non pas seulement sportive ou motrice, mais bien générale ; les situations construites par l'enseignant sont des situations éducatives. "Plein exercice" : au niveau scolaire l'élève applique et gère sous surveillance rapprochée de l'enseignant. Le plein exercice consistera en une autonomie sociale qui est en relation avec l'autonomie scolaire (les deux niveaux d'autonomie se différencient par le mode de contrôle beaucoup plus rapproché au niveau scolaire, ce qui est tout à fait logique). Le plein exercice de la citoyenneté est la capacité pour un individu (socialisé) de gérer ses projets et participer occasionnellement à celui d'autrui dans le respect des valeurs et normes de la société dans laquelle il évolue. Le sujet proposé comporte le thème "classique" de la citoyenneté et la difficulté réside dans l'opérationnalisation pour un niveau déterminé. Il s'agit d'un sujet hautement institutionnel : la référence aux textes est une des attentes ; un concours de recrutement de fonctionnaires passe par l'évaluation de la connaissance (et application "didactique") de ceux-ci. Les devoirs ne se référant pas (ou peu) aux textes se verront sévèrement sanctionnés. Ce devoir doit permettre aux jurys d'apprécier votre maîtrise des textes ainsi que leur application avec des groupes d'élèves particuliers(5ème / 4ème). Les propos retenus dans le libellé figurent dans le texte relatif aux missions de l'enseignant. Il est attendu que les candidats s'y réfèrent, en présentant les contenus du texte : B.O. n°22 du 29 mai 1997. Tout devoir ne présentant pas de "caractéristiques" d'élèves "théoriques" ou réelles ne rentrera pas dans les attentes du traitement. De même les propos non illustrés n'auront que très peu (ou pas) de valeur. Il est attendu que le candidat se positionne personnellement et en relation avec les textes ; comment envisage t'il de transmettre des valeurs à travers les situations (quelles compétences ? générales ou relationnelles ? Quels contenus d'enseignement dans les situations éducatives ? même si tous les jurys ne sont pas tous d'accord sur les définitions de contenus, nous pouvons en trouver à travers les programmes d'accompagnement et même hors du cadre purement institutionnel. Nous vous proposons un contenu non moteur : "la relation à autrui", in. Les cahiers EPS de l'académie de Nantes n° 18 - juin 1998 ; les candidats doivent en tous les cas s'engager et c'est la cohérence et les références qui donneront de la crédibilité à leurs propos ; ne vous engagez pas sur les voies des compétences et contenus sans références institutionnelles et ce quel que soit le type de sujet proposé ; les exemples de compétences et contenus sont puisés dans la pratique pédagogique ainsi que dans les textes relatifs à la discipline). Les valeurs transmises et les normes et règles dans le cours d'EPS sont les mêmes pour tous les élèves sans aucune distinction. La citoyenneté active s'acquiert à partir de cette condition basée sur la conformisation à certaines valeurs et normes. L'enseignant doit faire comprendre la nécessité du respect des règles (toutes les formes de règles : sécuritaires, groupales, organisationnelles) dans le but de permettre à chacun de s'épanouir, accéder à son plus haut degré de performance, d'autonomie et de socialisation. L'enseignant est le garant du respect de ces différentes règles et détient le pouvoir des sanctions (il faut en présenter durant le devoir : sanctions pédagogiques, sanctions administratives, voire judiciaires). Le sujet spécifie que le thème des valeurs est celui qui doit être développé en priorité ; toutefois un élargissement est attendu (valeurs, normes, règles, sanctions, règlements, transgressions, déviances). Les valeurs constituent : la tolérance, la solidarité, l'honnêteté, respect (des droits et des devoirs). thèmes déjà préconisés lors des initiatives citoyennes de 1997. La notion de règles doit être abordée dans ce devoir : Quelles règles ? de vie de groupe, de sécurité, de fonctionnement, d'organisation...c'est le candidat qui doit présenter ses formes d'organisation et d'éducation à travers ses situations d'enseignement. Le candidat présente l'ensemble de ces règles, les organisations correspondant à leur transmission ainsi que tout le dispositif d'évaluation et de sanctions en cas de non respect. Les rôles attribués aux élèves sont aussi à aborder dans le sujet, dans le respect des besoins d'élèves du cycle central (5ème - 4ème). Le candidat doit absolument aller jusqu'à la présentation d'illustrations concrètes en s'appuyant donc sur les APS : quelles compétences ? quels contenus liés à l'activité ? quels contenus greffés autour de la motricité ? Le candidat aborde des points concrets tels que : Organisation d 'équipes, ou de travail en groupe sur atelier… Rôles à respecter, liés à des responsabilité… Respect des différences… et incidences sur les APS (gestion de la mixité) Evaluations, observations… Installation du matériel et son rangement… Respect des règles de jeu… Projets de jeu commun… Parades… Ce n'est pas tant l'illustration en soi qui prime mais bien la façon dont elle est justifiée par le candidat. Toutes les illustrations caricaturales se verront sanctionnées sur un tel sujet : nous pensons à des propos tels que : "les sports collectifs développent la solidarité…." Cela peut tout autant se vérifier en gymnastique ; le candidat doit le prouver à travers ses objectifs (compétences) et contenus d'enseignement, à travers une transposition didactique des APS dans un contexte, et pour des élèves particuliers. Les élèves du cycle central doivent être décrits durant le devoir : pour cela, le candidat est invité à se référer aux textes (B.O. n°1 du 13 février 1997 - hors série) et pourquoi pas à des connaissances plus empiriques (vécu), ou "scientifiques" (auteurs). C'est un passage incontournable du traitement du sujet !!! Il est impératif de décrire l'élève de 5ème, 4ème en termes de comportements observables (éviter les banalités et généralités) : "5ème, 4ème, classes sensibles, turbulences de l'adolescence" : comportement à préciser… "Décalages dans les représentations" : comportement à décrire… "Différences morphologiques importantes" : à présenter… "Différences dans les motivations (garçons et filles) : euphorie ou désengagement total" : à montrer… Classes de 5ème : classes difficiles à gérer car grande hétérogénéité et période d'instabilité ; les règles sont à fixer très rigoureusement. "Les encouragements de la mixité et du travail en sous-groupes sont à poursuivre pour ces niveaux de classe. A travers les compétences générales, les élèves doivent s'entraider dans les apprentissages. Règles collectives et individuelles de sécurité. Savoir demander de l'aide et en apporter. Accepter les différents rôles et responsabilités. Participer activement à la vie de la classe". Ces derniers thèmes doivent être intégrés dans la pratique pédagogique ; chaque candidat peut choisir et illustrer un ou plusieurs de ceux-ci. Ce n'est pas (nous le rappelons) la quantité, mais bien la qualité des illustrations qui est attendue. VALEURS, NORMES, REGLES, REPERES, LIMITES, REGLEMENT, SANCTION, LOI, DROITS, DEVOIRS sont des notions que les candidats devront aborder, éclaircir et opérationnaliser. Des définitions et engagements sont attendus par rapport aux concepts de valeurs, normes et règles. En fonction des références bibliographiques des distinctions apparaîtront : La réglementation pouvant être plus précise pour les norme que pour les valeurs ; en effet, si les valeurs d'une société sont de grands principes, les normes se traduisent par des comportements attendus (ils sont observables) ; les enseignants fixent donc les normes et les explicitent à travers des règles et leurs sanctions. Il faut éviter de laisser des règles implicites que l'élève pourrait ne pas comprendre et maîtriser. Dans la vie sociale, c'est le cas, on présente des valeurs (politesse, respect, solidarité) mais on ne fixe pas les lignes de conduite ; dans le cadre du système éducatif, il ne faut pas en rester aux valeurs et s'efforcer de les normaliser, les traduire en règles et sanctions (en ce sens, elles doivent être explicitées). C'est une des attentes du sujet, et vous devez être en mesure de présenter illustrations et/ou opérationnalisations. Nous vous livrons une partie de cours de sociologie sur les normes et valeurs à titre d'information, dont certains propos permettent d'approfondir les notions de valeurs, normes et règles (une simple distinction suffisait dans ce sujet) : Les concepts de norme et de valeur font, l’un comme l’autre, partie du vocabulaire classique de la sociologie contemporaine et tendent à y occuper une position centrale. Peutêtre vaut-il cependant la peine de signaler que, si les spécialistes s’accordent dans l’ensemble sur la signification qu’il convient de donner au concept de norme et l’emploient dans des acceptions voisines, les définitions relatives aux valeurs varient davantage et l’usage sur ce point est moins fermement établi. Dans le langage sociologique, une norme constitue une règle ou un critère régissant notre conduite en société. Il ne s’agit pas d’une régularité statistique dans les comportements observés, mais d’un modèle culturel de conduite auquel nous sommes censés nous conformer. La norme acquiert une signification sociale dans la mesure où, comme le fait ressortir le terme de culturel, elle est jusqu’à un certain point partagée. C’est une des caractéristiques de la loi que de s’appuyer sur une structure destinée à prévenir, comme à punir, les atteintes à la règle qu’elle édicte. C'est le cas du règlement intérieur d'un établissement et des règles "imposées " par le professeur au sein de son cours. Il ne faudrait pas croire pour autant que les sanctions ne peuvent être que formelles et négatives, à l’image de celles qui découlent d’une violation de la loi. Par le terme de sanction, en effet, le sociologue désigne tout autant les récompenses accordées pour conformité aux normes que les châtiments subis par celui qui les a transgressées. En définitive, les normes représentent des attentes collectives liées à l’éventuelle application de sanctions qu’elles ont tout à la fois pour objet de spécifier et de justifier. Les normes définissent le comportement approprié, au niveau des usages, ou la conduite requise, au niveau des moeurs et des lois ; elles impliquent donc l’existence de principes plus généraux à la lumière desquels leurs prescriptions et leurs interdits peuvent être légitimés. C’est à ces principes qu’on tend à donner, dans la sociologie contemporaine, le nom de valeurs. Cette notion de valeur a souvent été prise dans d’autres acceptions, plus génériques et, du même coup, moins précises. La différence alors apparaît clairement entre normes et valeurs : tandis que les normes sont des règles de conduite, stipulant quelle est la conduite appropriée pour un acteur donné dans des circonstances déterminées, les valeurs (ou les orientations vers les valeurs, pour employer un terme qui évite toutes les équivoques attachées à cette notion) sont des critères du désirable, définissant les fins générales de l’action. Les normes incarnent généralement des valeurs, mais il ne faudrait pas en déduire qu’elles ne sont qu’un simple reflet de motivations plus profondes qui s’exprimeraient à travers les valeurs. Au lieu de chercher vainement à dériver les normes des valeurs, peut-être vaut-il mieux se souvenir que les premières sont directement soumises aux nécessités de l’action en société et constituent de ce fait le foyer de la régulation sociale. Système normatif, contrôle social et déviance : On peut constater que les acteurs sociaux se conforment, dans leur très grande majorité, aux normes de leur groupe ou de leur société ; néanmoins, et tout particulièrement dans les sociétés industrialisées, il existe généralement un assez fort taux de déviance. Le problème est alors d’interpréter ou d’essayer d’interpréter de tels phénomènes. C'est ce qui est constaté au niveau du système éducatif français, au niveau des relations enseignésenseignants. L'enseignant doit mettre l'accent sur ces phénomènes afin d'anticiper sur les dérives comportementales. Les facteurs de conformité aux normes : On explique souvent, en première analyse, cette conformité aux normes par la peur du châtiment ou, selon le dicton populaire, celle du "gendarme". On dira, d’une manière un peu plus subtile, que l’intérêt bien compris de l’acteur l’amène à tenir compte des risques de sanction négative dans ses calculs : le respect de la norme lui apparaîtrait comme la voie la plus sûre. Le contrôle social prendrait ici une forme négative, celle de la contrainte externe. Si important que puisse être ce facteur, il ne saurait, à lui seul, rendre compte de la conformité. Certains sociologues, avec, à leur tête, Talcott Parsons, ont tendu à mettre l’accent sur les processus de socialisation, au cours desquels certaines normes sont intériorisées par les individus qui se sentent engagés à s’y conformer. D’externe qu’elle était, la contrainte est devenue interne et prend la forme d’une obligation morale ; le contrôle social est saisi cette fois sous son aspect positif, celui de la régulation. La recherche de l’acceptation ou de l’approbation d’autrui peut répondre à des motifs très différents, selon qu’il s’agit d’un sens bien compris de ses intérêts, d’une complémentarité des attentes, due à l’intériorisation par les divers partenaires des droits et des devoirs propres à leurs rôles, ou enfin d’un effort pour préserver et quelquefois gagner la participation à une vie de groupe hautement valorisée. La déviance et ses types : Une des théories les plus classiques de la déviance a été proposée par Robert K. Merton. Le sociologue américain part d’une différenciation entre buts culturels et moyens institutionnalisés, c’est-à-dire, en fait, de la distinction proposée plus haut entre valeurs et normes. Pour Merton, la déviance résulte d’un divorce entre les idéaux culturels proposés aux acteurs et les modèles légitimes de conduite. Si la société met essentiellement l’accent sur la réalisation des fins, sans assurer aux représentants des différentes couches sociales des chances réalistes de les atteindre par les moyens légitimes, on risque alors d’avoir comme c’est le cas aux États-Unis un fort degré d’innovation, surtout dans les groupes les moins favorisés : c’est-à-dire que les modèles prescrits seront abandonnés au profit de moyens techniquement plus efficaces pour parvenir aux fins culturellement valorisées. On sera alors en présence d’un cas d’anomie, du moins au sens littéral du terme, dans la mesure où les normes tendront à être rejetées et parfois oubliées (mais non pas au sens originel, puisque Émile Durkheim avait tenu compte, dans son analyse de l’anomie, du manque de clarté des fins de l’action propre aux "crises de prospérité" comme aux périodes de dépression). Variations et changements des systèmes de valeurs Le déterminisme normatif et ses postulats : L’attention portée à la déviance devrait permettre de saisir sur le vif l’erreur d’un déterminisme normatif quelque peu naïf qui postule que les normes contrôlent en réalité la conduite, sous prétexte qu’elles sont censées le faire. Mais on ne s’est pas débarrassé pour autant des formes les plus subtiles et les plus insidieuses de ce déterminisme normatif : si l’on a déjà eu l’occasion, dans le cadre de cet exposé, d’en critiquer une thèse, selon laquelle une norme ne serait qu’un reflet, donc qu’un effet, d’un principe de valeur plus général, il reste encore à l’aborder sous sa version la plus ambitieuse. Elle consiste à poser les valeurs ou les orientations fondamentales vers les valeurs comme variables indépendantes, ou, si l’on préfère, comme déterminant ultime. C’est là une conception qui ne facilite guère la compréhension des sociétés réelles ; s’il part de tels postulats, le chercheur ne sera pas, en effet, en mesure d’expliquer la création de nouvelles valeurs et de nouvelles normes, c’est-à-dire, par un étrange paradoxe, de rendre compte de ce qui se produit dans le domaine même auquel il avait accordé d’emblée la primauté. Les écueils du déterminisme normatif ne doivent pas pour autant faire méconnaître l’importance des systèmes culturels de valeurs comme objet d’étude et champ de recherche. Deux axes principaux peuvent être ici distingués, selon qu’on met l’accent sur les variations dans l’espace ou sur les changements dans le temps. "Apprendre à vivre ensemble, Comprendre les règles du savoir-vivre ensemble, Vie en société : efforts et travail, Donner le meilleur de soi-même et être attentif aux autres ; faire preuve de solidarité". (initiatives citoyennes). Ces thèmes, proches des valeurs et des propos qui ont précédé peuvent aussi faire l'objet d'opérationnalisations. Le succès dans ce devoir est conditionné par ces mises en oeuvres. Bien entendu, tout ce qui vient d'être proposé ne peut être exploité par un candidat ; il lui faut faire des choix, comme pour tous les devoirs d'écrit professionnel et éviter les lourdes et longues énumérations de connaissances. Une problématique possible pour ce devoir pouvait être : Nous nous efforcerons à travers ce devoir de démontrer que nous pouvons en tant qu'enseignant d'EPS et en conformité avec les directives institutionnelles, proposer des situations d'enseignement conduisant progressivement l'élève à comprendre et respecter les règles sociales tout en l'incitant à s'investir collectivement dans et autour des tâches motrices. Une première partie : les textes institutionnels et les compétences et contenus d'enseignement permettant de conduire l'élève vers une citoyenneté "scolaire et sportive" ; exemples attendus. Une deuxième partie : les situations d'enseignement adaptées au niveau des élèves (caractéristiques et besoins) et l'ensemble des règles imposées ou proposées ainsi que les sanctions : illustrations indispensables. Une troisième partie : les rôles de l'élève et ses implications dans le cours d'EPS, son niveau de responsabilisation dans et autour des situations : la gestion de son projet, de celui d'autrui, son niveau de citoyenneté, pour soi (autonomie) et envers les autres (règles et solidarité).