De l`éthique disciplinaire en particulier et en sciences sociales plus

EEGS « l’espace social : outils et méthodes, objets et éthique(s) », Rennes 2006 – atelier Ethique(s)
Pour citer cet article : Viala L., De l’éthique disciplinaire en particulier et en sciences sociales plus généralement. Penser contre ou avec
variations autour du projet epistémologique de la géographie sociale, http://eegeosociale.free.fr/rennes2006, 4 pages
Laurent Viala, chercheur en géographie, Université Montpellier 3
De l’éthique disciplinaire en particulier
et en sciences sociales plus généralement.
Penser contre ou avec variations
autour du projet epistémologique de la géographie sociale
n préambule, une courte explication du titre trois niveaux) de cette proposition
s’impose. D’abord, pour rappeler qu’à côté du sens commun permettant d’évoquer un
ensemble de règles de conduite applicables au chercheur (ographe en l’occurrence)
dans son activité l’éthique constitue un domaine de la philosophie pour ne pas dire une
discipline philosophique qui centre son intérêt sur le bien et se donne pour objectif
d’énoncer les conditions d’un vivre ensemble fondamentalement empreint de justice.
Ensuite, pour insister sur la cessité de hisser le débat relatif à l’éthique au niveau qui doit,
très tôt, être le sien à savoir celui qui pose la « rité » comme impossible. s lors, il s’agit
de choisir son camp : penser contre ou avec la tradition scientifique, penser contre ou avec
l’ordre institutionnel, penser contre ou avec la méthode scientifique instituée.
Enfin, la destinée de la géographie sociale doit être pensée avec force épistémologique si
l’Université, au moins, lui en laisse la possibili. Le traitement des questions sociales,
l’investissement idéologique du chercheur comme son engagement politique ne peuvent à
eux seuls, même combinés, assurer la rennité de la présence de la géographie sur la
question sociale.
Cette proposition de contribution aux bats insiste donc sur la nécessité de faire intervenir
la question éthiques les prémices de l’acte de recherche — qui trouve sa traduction
notamment en termes de construction de l’objet géographique et d’outils à mettre en œuvre
c’est-à-dire au moment doivent être rappelés ou élaborés les grands principes
épistémologiques et méthodiques assurant la cohérence de la marche disciplinaire ou
transdisciplinaire de l’acte de recherche engagé. Un positionnement plus catégorique
placerait d’ailleurs l’intervention bien en deçà de celui- ci et l’inscrirait dans le champ plus
vaste des sciences sociales. Ainsi, la saisie par la géographie sociale de l’espace social en ses
objets, méthodes, outils prendrait ritablement son sens avec cette mise en cohérence
épistémologique.
Mes travaux de thèse (1) et les recherches menées à leur suite initient et soutiennent cette
proposition. Globalement, l’intention initiale ayant moti la recherche de thèse visait une
meilleure comphension des formes de l’être et du vivre ensemble dans les grandes villes
françaises en proie à la métropolisation. Plus précisément, la part prise par les référents
symboliques et imaginaires dans la construction métropolitaine du territoire en France et des
identités inrentes a été exploe. Profitant de cette entrée problématique, cette tse a
inauguré une entreprise épistémologique et théorique. En effet, elle a montré l’utilité de la
refondation transdisciplinaire du concept d’espace public urbain afin de mieux saisir les
fondements et enjeux de cette construction et de ses effets sur les processus ayant pvalu
jusque-là. La tse a conclu, notamment, à une idéologie métropolitaine dont l’analyse
encourage le développement d’une nouvelle ographie urbaine critique. Désormais, le
phénomène tropolitain rencontrant ses premres limites et incohérences, se pose la
question de la construction territoriale de la métropole qui impose, cette fois, de passer avec
succès l’épreuve de la gouvernance, qu’on la qualifie d’urbaine, de métropolitaine ou de
territoriale.
Dans ce nouveau cadre, un des prolongements de la recherche de thèse prend pour objet la
qualité de vie dans les métropoles régionales françaises, notamment par la consiration
idéologique du recours à la nature dans le projet métropolitain. Ce questionnement demande
à être resitué entre production politique de l’espace et construction sociale de
E
EEGS « l’espace social : outils et méthodes, objets et éthique(s) », Rennes 2006 – atelier Ethique(s)
Pour citer cet article : Viala L., De l’éthique disciplinaire en particulier et en sciences sociales plus généralement. Penser contre ou avec
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l’environnement urbain. C’est sur cette base problématique, faisant des repsentations
sociales de la nature un point d’ancrage majeur, que la contribution envisagée prend appui.
Concrètement, et pour en revenir à l’éthique, l’énoncé susceptible d’être mis au bat
s’exprime en termes d’inégalités environnementales et sociales pour au final trouver sa
traduction en termes de justice. Une question émerge de cette nouvelle problématique dans
la perspective actualisée d’un ajustement de la forme de la ville entendue comme saisie
totale de la réalité tropolitaine restaurant le droit de cité de l’habitant et garantissant sa
participation concrète aux processus menant à l’action. Comment le ographe, et plus
largement le chercheur en sciences sociales, peut-il concilier veloppement d’une pensée
critique et mise à disposition du savoir savant (voire plus pratique) pour informer ou
accompagner au mieux ce processus en matière notamment de diagnostic territorial en liens
avec des finalités d’aménagement et d’urbanisme, par exemple ? Au-delà de cette implication
« contractuelle », le champ de la recherche plus « fondamentale » est concerné, comme
d’ailleurs la mission d’enseignement et de formation devant composer elle aussi avec la
logique métropolitaine à l’œuvre, jusqu’ici quelque peu en contradiction avec les idéaux
affichés de la géographie sociale. En effet, sur le plan de l’urbanisme et de l’aménagement, la
planification urbaine stratégique est présentée comme la solution à tous les maux. Dans les
faits, elle supporte un développement socio- économique globalement libéral, celui de la
métropole, n’écoutant que les forces les plus productives et instrumentalisant habilement les
autres.
Trois positions encadrent cette proposition et ont, dans le même temps, tendance à en faire
un vain effort. Mais l’intérêt de la soumettre tient notamment à cette ambivalence. Ces trois
positions sont autant d’entrées en matière qui insistent, avec l’aide de la philosophie, sur trois
points critiques (au sens de cisifs pour l’avenir) pesant sur les sciences sociales. Le premier
rappelle leur cantonnement dans un rôle d’observateur et d’interprète. Logiquement, le
deuxième évoque l’immixtion de la philosophie dans le champ social, opposant à toute forme
de scientificité valant intime conviction, une rigueur logique à prétention torique. Le
troisième, quant à lui, ressert la question de la postmodernité en rejetant son traitement
systématiquement polémique pour enfin toucher à l’essentiel de son message c’est-à-dire
l’évolution naturelle des pratiques disciplinaires au regard de l’évolution sociale (i.e. des
sociétés) mais également de la connaissance. Ces trois points interpellent la ographie. En
délicatesse avec la position postmoderne (au moins en France : cf. le dernier bat rapporté
en 2004 dans L’Espace géographique 1/04), son rapport à la philosophie restant aujourd’hui
quelque peu marginal, notre discipline, lorsqu’elle essaie de se dégager de son rôle
d’observateur, est bien en peine de contribuer à la théorie sociale. N’a-t-elle pas à dépasser ce
qui fait sa spécificité disciplinaire dans la mesure celle-ci n’est en rien responsable de son
affirmation comme science sociale ?
Bref retour sur ces trois positions.
La première permet de compléter la bibliographie établie pour l’appel à la réflexion. Sciences
sociales et mocratie, texte publpar Henri-Pierre Jeudy il y a presque dix ans, interroge le
pouvoir normatif des sciences sociales. La ographie en tant que telle n’y est pas prise en
référence, mais ne peut échapper à l’appciation. Se prévalant d’une ambition plus
englobante, cet ouvrage montre comment et pourquoi la philosophie analytique
contemporaine renvoie l’ensemble des sciences sociales aux conditions épismologiques de
leur analyse ; le discours scientifique ne serait qu’un jeu de langage parmi d’autres. Dans le
texte de Jeudy, le rapport à la théorie comme les grands principes de scientificité sont mis à
l’épreuve de l’humanisme mocratique des sciences sociales, valant principe ologique en
phase avec le tournant pragmatiste observé, et donc de l’utilitarisme politique et social qui les
motive. La question éthique interroge directement le projet épistémologique des sciences
sociales. Que peut en penser la ographie sociale ? Ses objets, méthodes, outils, pour se
saisir de l’espace social, dépendent de cette cessaire prise de position.
La deuxième position ingre la premre. Elle retient l’apport actuel de la philosophie
analytique qui investit efficacement le champ social par le politique. La philosophie politique
de John Rawls et ses propositions pour une justice politique (Torie de la justice), brillantes
mais discutées pour leur inspiration libérale, sont convoquées au regard de la contradiction
apportée par la philosophie critique de rgen Habermas qui, s ses débuts, avait mis en
EEGS « l’espace social : outils et méthodes, objets et éthique(s) », Rennes 2006 – atelier Ethique(s)
Pour citer cet article : Viala L., De l’éthique disciplinaire en particulier et en sciences sociales plus généralement. Penser contre ou avec
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contact politique, science et opinion publique (La Technique et la science comme idéologie).
Le glissement de la philosophie analytique la philosophie du langage, notamment,
complétant les approches syntaxique et sémantique par la pragmatique faisant du langage
une activité sociale (Austin proposera de passer des fonctions descriptive et constative à
l’énonciation performative) à une philosophie sociale par la philosophie politique et
morale fait cette fois advenir la question éthique en termes d’offre torique à destination du
social. Au-delà des propositions respectives de ces auteurs position originelle pour Rawls
contre situation idéale de parole à vocation consensuelle pour Habermas (Théorie de l’agir
communicationnel) un aspect crucial est mis au bat : du juste ou du bien, se situe la
priorité ? Les sciences sociales, et la géographie précisément, travaillant pour le bien selon un
référent normatif établi, contribuent-elles à une forme d’équité ?
La troisième revient sur la très controversée position postmoderne amendant sans complexe
les repères de la modernité ayant jusque-prévalu. Ecartant toute possibilité d’une théorie
de la justice, en tant qu’elle serait torie, sans pour autant se dégager de la perspective de
justice, la position postmoderne s’inscrit contre tout universalisme et privilégie, par son
adhésion plus ou moins marquée au relativisme, l’expression d’une localité. Cette réalité
contextuelle permet d’introduire l’éthique, prenant corps dans quelques valeurs, en tant
qu’elle concerne la société (communauté humaine) et les conditions inrentes de l’être et du
vivre ensemble. Sans doute moins conforme aux contours universalistes de la modernité, la
perspective ologique de cette éthique (des situations) répond à la morale (individu) qui
relèverait du devoir (la loi morale chez Kant) et donc de la ontologie (réflexion sur les
principes). L’occasion est alors donnée d’orienter la réflexion dans deux directions : la
premre interroge une possible inspiration pragmatiste caractérisée par un souci d’efficacité
(Richard Rorty) tandis que la seconde, soucieuse de voir le champ de la connaissance se
dégager de sa léthargie, encourage la sortie du dogmatisme scientifique par endroits
stérilisateur et en appelle à une forme de « créativité », marginalement exposée par la
philosophie des sciences, et précisément dès 1975 par Paul Feyerabend avec son radical
Contre la méthode.
Les premières questions concrètes soumises à discussion :
1. Comment puis-je être observateur et interprète de la réalité métropolitaine des
grandes villes françaises sans développer une pene critique de la logique à l’œuvre ?
2. Comment puis-je contribuer à déterminer la conduite et l’action de l’homme en
participant de cette logique ou du moins en en faisant la situation de référence indiscutable
pour une recherche/action ou recherche/développement ?
3. Comment rendre les positions énoncées en 1. et 2. compatibles ? Est-ce d’ailleurs
souhaitable ou même possible ?
4. Peut-on imaginer une ographie politique de la forme de la ville, grande
inspiratrice d’une nouvelle ographie urbaine critique, qui accompagnerait en les adaptant
les objectifs de la philosophie politique et sociale ?
BIBLIOGRAPHIE
AUDARD Catherine [et al.], 1988, Individu et justice sociale. Autour de John Rawls, Seuil, 317 p.
AUSTIN John Langshow, 1962, Quand faire c’est dire (1991), Seuil, 202 p.
FELDMAN Jacqueline et CANTER KOHN Ruth, 2000, L’Ethique dans la pratique des sciences humaines : dilemmes,
L'Harmattan, 300 p.
FELDMAN Jacqueline, FILLOUX Jean-Claude [et al.], 1996, Ethique, épistémologie et sciences de l'homme, L'Harmattan,
202 p.
FEYERABEND Paul, 1975, Contre la méthode. Esquisse d’une théorie anarchiste de la connaissance (1979), Seuil, 349 p.
FEYERABEND Paul, 1987, Adieu à la raison (1989), Seuil, 374 p.
HABERMAS Jürgen, RAWLS John, 1997, Débat sur la justice politique, Cerf, 187 p.
HABERMAS Jürgen, 1991, De l’Ethique de la discussion (1992), Flammarion, 199 p.
HABERMAS Jürgen, 1982, Théorie de l'agir communicationnel (1987) Vol. 1. Rationalité de l'agir et rationalisation de la
société, Vol.
2. Critique de la raison fonctionnaliste, Fayard, 448 p. + 480 p.
HABERMAS Jürgen, 1968, La Technique et la science comme idéologie (1973), Gallimard, 211 p.
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JEUDY Henri-Pierre, 1997, Sciences sociales et démocratie, Circé/Poche, 242 p.
LYOTARD Jean-François, 1979, La Condition postmoderne. Rapport sur le savoir, Les Editions de Minuit, 108 p.
RAWLS John, 1971, Théorie de la justice (1987), Seuil, 666 p.
RAWLS John, 1993, Le Droit des gens (1996), 10/18, 154 p.
RORTY Richard, 1995, L’Espoir au lieu du savoir, Albin Michel, 149 p.
1 - Au début des années 1990, les premières analyses du phénomène métropolitain en France ont assez rapidement imposé un cadre particulièrement
étroit et prégnant à tout questionnement sur le développement urbain des grandes villes, notamment. Une approche totale de la ville semblait à nouveau
possible, mais cette opportunité s’est finalement perdue dans quelques figures archétypales. Il devenait alors intéressant de juger des effets de la
métropolisation et des représentations qui en étaient ainsi données sur les formes de l’être et du vivre ensemble dans ces espaces. Tel était l’enjeu de
connaissance, ambitieux, qui devait trouver ses principales traductions en termes identitaires et territoriaux. Suite aux premières recherches engagées en
DEA proposant quelques variations sur le concept d’espace public, l’entrée problématique a retenu l’espace public urbain comme révélateur de ces
mutations métropolitaines. L’objectif de cette thèse était donc de comprendre comment, à travers la mise en question du concept d’espace public urbain,
une meilleure connaissance des formes de l’être et du vivre ensemble dans la métropole régionale française induisait un renouvellement de la pratique
géographique et aboutissait dans le même temps à la reconsidération de la pensée de la ville. La notion d’espace public impliquait, pour prendre force
conceptuelle et être insérée dans un dispositif théorique, une rupture profonde par rapport aux usages disciplinaires renvoyant à des contenus finalement
différents et favorisant l’amalgame. En un jeu de déconstruction/reconstruction, il s’est agi de travailler à l’élaboration d’un concept unitaire. L’espace public
urbain a davantage pris le sens de sphère publique, promu par la philosophie politique (Habermas, 1962), que celui de lieu public, privilégié par
l’architecture et l’urbanisme, notamment. S’il dispose d’ancrages concrets en quelques lieux de la ville, cet espace public urbain désigne ce que l’on pourrait
appeler une sémiosphère (Raffestin, 1986) et entretient donc quelque rapport avec la construction territoriale. Ces lieux — dits lieux de rhétorique
(Debarbieux, 1995) sont autant de condensateurs de discours, paroles, objets (patrimoniaux, par exemple), opérations d’aménagement, manifestations,
etc. qui, tout à la fois, reçoivent, traduisent et, par leur dépassement, instituent la réalité sociopolitique de l’établissement humain pris en référence. Outre le
positionnement épistémologique tentant de concilier approche compréhensive et critique, l’appareil théorique élaboré a guidé la mise à l’épreuve de la
réalité. L’analyse multi sources des discours relatifs à la ville métropolisée (Ion, Micoud, 1995) complétée par l’appréhension de la rhétorique métropolitaine
en actes a constitl’essentiel de la démarche de recherche. Trois grandes villes françaises Marseille, Montpellier, Toulouse ont constitué le vivier
dans lequel ont été puisées les situations concrètes tests. Si une bonne connaissance de ces villes s’est imposée tant du point de vue historique
qu’économique, social, politique ou urbanistique notamment, la réalité de leur ancrage local (en région) mais également régional (sens géographique) a
également été intégrée car la cohabitation des enjeux d’agglomération et des prétentions supra locales anime la métropole en formation. Les situations
concrètes évoquées ont renvoyé à des opérations d’aménagement et d’urbanisme, à des politiques publiques, à la réception des unes et des autres par les
habitants notamment, à des situations de conflits, à des pratiques sociales, à la réalisation et à la vie d’objets urbains...Les conclusions de la thèse ont
notamment proposé quatre résultats de nature différente. 1/ Au regard de l’intention initiale : l’analyse du sens divulgpar l’espace public urbain invite à
identifier une idéologie métropolitaine posant la métropole et la métropolisation comme vérité unique et modèle de développement indépassable. 2/ Au
regard des enjeux conceptuels et théoriques : l’élaboration du concept unitaire « espace public urbain » et son association au paradigme dit de la
métropolisation rendent possible une approche totale de la alité de la ville. En amont, l’identification et la qualification des expressions les plus actuelles
de l’espace public urbain, réalité mythique à réaliser, avaient conclu à une lecture fragmentée des mutations de la grande ville française permettant
d’insister sur quelques tensions sociétales, hautement politiques, implicitement inscrites dans l’espace de la ville. 3/ Au regard de l’épistémologie de la
géographie : la nécessité de mise en œuvre d’une géographie politique de la forme de la ville a conduit à annoncer l’élaboration d’une nouvelle géographie
urbaine critique. 4/ Au regard de la question sociale : le renouveau des modes de rationalisation de l’habiter passe par la reterritorialisation des existences.
Pour un résumé complet de la thèse : http://viala.neuf.fr/page6.html
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