Plan de l’atelier – page 3/3
Statistiques et probabilités : Solutions
1. le programme tire N nombres entiers aléatoires entre 1 et 365 et compte le nombre de couples de
valeurs égales (ce nombre est donné par la variable RESU).
2a. Pour chaque expérience, environ 1500 instructions sont effectuées. Si on veut répéter 10 000 fois
l’expérience, on va dépasser les 10 millions d’instructions et bloquer le programme.
Pour réduire le nombre d’instructions, il faut sortir de la boucle dès que le test vrai.
2b. Il faut englober le programme précédent dans une nouvelle boucle et créer un compteur de tests
vrais.
3. La fréquence est généralement supérieure à 0,5 à partir de N=23 (proba ≈ 0,507)
La fréquence est généralement supérieure à 0,9 à partir de N=41 (proba ≈ 0,903 ; mettre expT à 5000
pour ne pas dépasser les 10 millions d’instructions).
Fonctions : Solutions
1. Le programme donne des valeurs approchées du max et du min de f(x)=1/(x2+0,001) sur
[-0,95 ;0,95].
2. On peut supprimer le compteur i et incrémenter directement x de (b-a)/N. La boucle s’arrête quand
x>b.
4a. Il faut à présent un compteur i. On peut faire progresser la variable selon i2 ou 2i … La boucle
s’arrête au bout de N étapes à définir préalablement.
4b. Pour tester l’algorithme à pas constant, on peut prendre un intervalle et chercher le plus mauvais
(cad le plus petit) maximum quand N décrit cet intervalle.
Pour l’algorithme aléatoire, on peut fixer différentes valeurs de N, répéter 10 000 fois l’expérience et
prendre la moyenne des maximums trouvés.
On constate que l’algorithme aléatoire est meilleur pour les petites valeurs de N et que les algorithmes
se valent pour les grandes valeurs de N.
Sur une autre fonction choisie au hasard (et pas spécialement pour rendre l’algorithme à pas constant
peu performant), comme la fonction cos sur [-10 ;10], on constate le même phénomène.