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Remerciements
A tout seigneur, tout honneur ! Je commencerai donc par remercier mon directeur de thèse, Philippe
Stee, sans qui ce travail n’aurait pas été possible. Et je tiens à le remercier non seulement pour son
aide, ses conseils et ses enseignements, mais également pour sa gentillesse, sa bonne humeur
permanente et son humour. Le professeur Thibaut n’avait donc pas tort lorsqu’il déclarait il y a près
de vingt ans maintenant : «la science, ce sont d’abord des hommes et des femmes qui cherchent ».
Côté goûts musicaux, notre collaboration a été plus difficile au début, mais je pense avoir réussi à
lui faire (re)découvrir le Rock, bien qu’il ait encore quelques problèmes avec quelques groupes
comme Radiohead par exemple. Enfin, personne n’est parfait. Concernant encore la musique qui
comme tout le monde le sait est plus forte que l’image puisqu’on ne peut s’y soustraire
naturellement en « fermant ses oreilles », je remercie tous nos voisins de couloir pour avoir
supporté notre pollution sonore pendant ces quelques années.
Et que serions nous tous sans notre stakhanoviste de la réduction AMBER, Alain Spang ?
Connaissant la complexité de l’instrument et la difficulté du traitement des données, je tiens tout
particulièrement à le remercier une fois de plus.
Il me faut également remercier tous les chercheurs (jeunes et plus confirmés) avec qui j’ai pu
interagir durant ma thèse, et en particulier, par ordre d’éloignement de leur bureau par rapport au
mien à l’heure actuelle : Denis Mourard, Daniel Bonneau, Olivier Chesneau (qui devrait prendre
plus de vacances à mon avis et éviter le surmenage), Yves Rabbia, Pierre Cruzalèbes, Armando
Domiciano (de Souza, sinon il va me le faire remarquer), Romain Petrov, Fabien Malbet,
Christophe Martayan et Florentin Millour. Et j’en oublie certainement (j’espère qu’ils ne m’en
voudront pas).
Et que dire de l’ensemble du personnel de l’Observatoire de la Côte d’Azur et en particulier de la
sympathie et de la qualité des services rendus par mes futurs ex-collègues du site de Roquevignon.
Merci donc à Alain Messin et David Chapeau et au service informatique, à notre directeur de labo
Pierre Exertier, ainsi qu’à l’ensemble des services administratifs et techniques.
Je remercie également l’administration de l’Université de Nice Sophia Antipolis et tout
particulièrement Olivier Michel et Marie-France Gallorini de l’école Doctorale pour ne pas m’avoir
pénalisé malgré mon incapacité maladive à respecter les procédures administratives et en particulier
les dates limites.
Et je ne serais pas là, en train de rédiger cette thèse sur l’étude des étoiles chaudes actives à l’aide
des instruments du VLTI, sans la passion communicative de quelques professeurs. Je tiens donc tout
particulièrement à remercier à nouveau Yves Rabbia, l’Homme-Fourier, dont les cours un peu fous
mais toujours captivants, ont contribués grandement à mon orientation vers l’interférométrie. Je
remercie également pour des raisons similaires, Eric Aristidi pour ces cours de Licence, et pour
l’encadrement de mon premier Stage de Maîtrise sur le thème de l’interférométrie speckles.
Enfin merci aux deux rapporteurs de ma thèse, Juan Zorec et Pierre Kervella pour avoir lu avec
intérêt mon mémoire et m’avoir gratifié de nombreux conseils, ainsi qu’à l’ensemble du Jury, son
président Romain Petrov, et ses membres Georges Meynet, et Anne-Marie Hubert.