Dossier Fosca - Cie Théâtre Manuscrit - Theatre

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COMPAGNIE THEATRE MANUSCRIT
Aude Guérit
d’après le roman d’Iginio Ugo Tarchetti
Mise en Scène - Yves Bombay
COMPAGNIE THEATRE MANUSCRIT
FOSCA
Aude Guérit
d’après le roman d’Iginio Ugo Tarchetti
Tout public à partir de 15 ans
CONTACT : Yves Bombay - 06 13 06 62 16 - [email protected]
cietheatremanuscrit.theatre-contemporain.net
L’histoire se déroule dans une pension de famille tenue par Clara, très belle jeune
femme, mariée et maman d’un petit garçon. Giorgio, l’un des pensionnaires, y est
installé depuis quelques semaines afin de se remettre d’une maladie pulmonaire
qui le rend ponctuellement inapte à ses fonctions militaires. Il aura suffi d’un simple regard à Giorgio et Clara pour devenir amants. Mais un jour – et c’est là que
commence la pièce – arrive en convalescence Fosca, jeune femme extrêmement
laide, maladivement hystérique mais douée d’une intelligence aussi séduisante que
diabolique. S’enclenche alors une intrigue amoureuse dévastatrice. Une triangulaire infernale où les personnages se retrouvent confrontés aux contradictions de
l’amour, du désir et de l’admiration.
NOTE DU METTEUR EN SCENE
A l’origine de Fosca d’Aude Guérit, il y a la proposition
que je lui ai faite d’écrire une adaptation théâtrale du roman italien d’Iginio Ugo Tarchetti dont j’avais tant aimé
l’histoire, il y a des années. J’avais été frappé par la modernité percutante du récit, sous la couleur éperdument
romantique de l’époque dans laquelle il avait été écrit.
Plus tard, j’avais vu et admiré le film qu’en a fait Ettore
Scola, Passione d’Amore. Je m’étais dit : un jour j’en ferai quelque chose…. Mais maintenant que la pièce existe,
elle prend pour ainsi dire toute la place – et je me vois, en
tant que metteur en scène, invité à oublier la source littéraire et sa mise en images cinématographiques. Je garde
certes ma grande estime pour Tarchetti et Scola, mais la
version d’Aude Guérit me défie à aller bien plus loin que
juste raconter la belle histoire sur un plateau.
Sous la tendre cruauté dramaturgique d’Aude Guérit, la
« belle histoire » est devenue une triple descente en enfer : l’enfer de l’honnêteté envers soi-même que les trois
personnages s’infligent et qui fait que tous les trois vont
faire souffrir les autres… sans vraiment savoir pourquoi.
C’est juste plus fort qu’eux. Quelque chose d’impitoyable s’est emparé d’eux : l’amour, tendre et respectueux,
qui ne veut que du bien mais qui est tellement exigeant
qu’il en devient intenable. Chacun cherche courageusement, lucidement, les réponses à des questions tellement
inextricables, tellement enfouies au fin fond de leur âme,
que les choix en deviennent impossibles. On retrouve un
thème majeur dans les textes d’Aude Guérit : la quête inéluctablement solitaire des personnages vers une rédemption hypothétique dont ils ne sauraient absolument pas
définir la nature et qui ne fait que rendre leur solitude et
leur incapacité à vraiment toucher l’autre, plus grandes,
plus douloureuses.
Ce triangle parfaitement équilibré (plus que dans le
roman ou le film – le rôle de la belle Clara a pris de
l’ampleur dans la version théâtrale), ces trois façons
très distinctement dessinées de raisonner, ces trois
langages subtilement différenciés me fournissent un
véritable laboratoire scénique pour ce à quoi j’aspire toujours : voir comment les corps, les voix et
l’imagination des acteurs s’imprègnent des mots de
l’auteur pour faire vibrer l’émotion du spectateur.
Le défi est aussi scénographique. A première vue,
l’intrigue appelle un certain réalisme (deux chambres bien distinctes dans une pension de famille, des
accessoires très quotidiens…), mais le texte lui-même mine subtilement cette solution, par les adresses
directes au public et par les petits commentaires que
les personnages en font entre eux (qui d’ailleurs apportent au tragique de la pièce un humour, une légèreté digne de ce que seuls les vrais auteurs de théâtre peuvent se permettre). Le public est là, présent,
interlocuteur silencieux mais vital…. D’autre part,
l’action change très souplement d’espace, comme
s’il n’y avait ni murs, ni portes dans cette pension,
comme si le temps « logique » d’aller d’une chambre à l’autre était complètement inexistant, ou
fluide. Le théâtre d’Aude Guérit impose en toute
simplicité, doucement, sans crier gare mais implacablement, ses propres lois. Des lois qui ne marchent
qu’au théâtre – et qui en ouvrent l’immense liberté.
A nous tous d’oser le jouer.
Yves Bombay
NOTE DE L’AUTEUR
J’avais lu il y a quelques années Fosca, le roman d’Iginio
Ugo Tarchetti, et l’avais profondément aimé sans penser
du tout, à l’époque, en faire une adaptation théâtrale. Certes, l’intrigue amoureuse du soldat Giorgio tiraillé entre
son amour pour la belle Clara et sa fascination pour la répugnante Fosca m’avait particulièrement émue, mais le «
tout » me semblait alors n’appartenir qu’à son époque : le
romantisme du 19ème siècle en Italie. De fait, quand Yves
Bombay m’a proposé d’en faire une pièce, j’ai tout de suite
su que la matière première de mon texte serait cette triangulaire infernale, bien plus que l’atmosphère un peu trop
romantique qui entoure les trois personnages du roman.
Ecrire Fosca fut un vrai nouveau défi, je n’avais encore jamais écrit une pièce à partir d’un matériau qui n’était pas le
mien. Il a tout d’abord fallu concentrer toute l’histoire sur
les trois personnages. Ensuite, je me suis très vite aperçue
que pour l’équilibre dramaturgique de la pièce, il faudrait
donner bien plus d’épaisseur au personnage de la belle Clara
qu’elle n’en a dans le roman.
Tout en gardant la trame chronologique du récit
de Tarchetti, mon but était que le texte final soit
ma pièce et non une pâle copie du roman. Et là je
me suis amusée ! Les allers-retours entre le texte
original et ce que je découvrais pouvoir en faire
avaient vraiment quelque chose de jouissif. Au fur
et à mesure de l’écriture, les personnages se sont
gorgés de folie, d’amour et de complexité, et m’ont
emmenée presque malgré moi vers les questionnements qui sont toujours présents dans mon travail
– et vers une fin à découvrir puisqu’elle n’existe
pas chez Tarchetti…
C’est donc d’une libre adaptation du roman dont
il s’agit ici. J’espère et je souhaite que mes infidélités théâtrales offrent à Fosca une deuxième vie :
sur le plateau.
Aude Guérit
DISTRIBUTION
Texte - Aude Guérit d’après Fosca d’Ugo Tarchetti
Mise en Scène / Scénographie - Yves Bombay
Lumière - Elsa Jabrin
Jeu - Lou Wenzel / Fosca
Flora Brunier / Clara
Arthur Fourcade / Giorgio
Création - 2016 - 2017
Production - Cie Théâtre Manuscrit
Coproduction - En cours
La pièce a été sélectionnée par le Comité de Lecture du Panta Théâtre de Caen.
Une lecture publique de la pièce a été réalisée le 9 avril 2014 au Lieu-Dit à Paris.
Cette lecture a bénéficié du soutien de la Ville de Saint-Étienne.
BIOGRAPHIES
AUDE GUERIT
Aude Guérit est auteur de théâtre et plasticienne.
Pendant plusieurs années elle travaille pour diverses associations socioculturelles
avec lesquelles elle anime des débats en milieu scolaire sur les thèmes de la laïcité, de
la violence à l’école et de l’altérité. Dans ce cadre, elle anime également des ateliers
d’écriture pour des collégiens.
En parallèle, elle se forme à la scène dans de nombreux stages et spectacles (Marc
Quentin, Niels Tavernier, Christian Esnay, Laurent Gutmann, Yves Bombay, Rui
Frati, François Rancillac...). En 2009, sur proposition de Jean-Claude Berutti, la
troupe permanente de La Comédie de Saint-Etienne dirigée par Yves Bombay met
en espace sa pièce C’est ici, et elle est lauréate du concours Quelles Nouvelles avec
sa nouvelle Simple curiosité publiée aux Editions La Passe du vent.
En 2010, elle traduit pour La Comédie de Saint-Etienne More fun than bowling de Steven Dietz et elle est dramaturge pour Le Temps d’un spectacle, je vendrais mon âme pour être... mis en scène par Yves Bombay au Festival
des Nuits de la Bâtie d’Urfé. En 2011, le théâtre Le Carré 30 lui propose et organise une lecture de sa poésie, et
elle fonde avec Yves Bombay la Cie Théâtre Manuscrit.
En mai-juin 2012, La Galerie Eva Doublet organise une exposition personnelle de ses estampes numériques
Les Pietà, exposition qui a donné naissance en 2015 à l’édition d’un livre réunissant une quarantaine d’entre
elles.
Son monologue Vindicta, a été créé en 2012 à Montpellier par la Cie Théâtre Manuscrit dans une mise en
scène d’Yves Bombay, puis repris à Saint-Etienne et à Lyon.
En 2013, Les Pietà sont sélectionnées et exposées au Musée des Beaux-arts de la ville de Liège dans le cadre de
la 9ème Biennale Internationale de Gravure Contemporaine.
IGINIO UGO TARCHETTI
Iginio Ugo Tarchetti (1839-1869), par sa vie de bohême et son engagement politique et littéraire, est l’une des figures de proue du romantisme et de la Scapigliatura.
Influencé par de nombreux écrivains étrangers comme Hoffmann, Poe, Baudelaire
ou Heine, il aspire à un art engagé, suscitant de nombreuses polémiques. Il s’essaie
à plusieurs formes – roman, récits, poésie, pamphlets (dont Une Noble folie, dans
lequel il attaque l’armée et l’autorité). Il meurt de phtisie à l’âge de 30 ans.
YVES BOMBAY
Yves Bombay est né en Belgique (Flandres). Après des études universitaires à Louvain (un master en Philologie Slave et une spécialisation en Sciences Théâtrales), il
suit une formation d’acteur à l’Institut Supérieur d’Art Dramatique Studio Herman Teirlinck à Anvers.
Il commence son parcours artistique en tant qu’acteur et collaborateur à la mise en
scène, en Belgique et aux Pays-Bas. Ses rôles les plus importants sont Achilles dans
Penthésilée de Von Kleist, Rosencrantz et Fortinbras dans Hamlet de Shakespeare,
Happy dans Mort d’un commis-voyageur d’Arthur Miller, et Oswald dans Les Revenants d’Ibsen. Pendant quatre étés, il est assistant personnel de Frank Dunlop,
directeur du Festival International d’Edimbourg en Ecosse.
De plus en plus la mise en scène prend le dessus. Pendant 6 ans, au Théâtre Royal Flamand de Bruxelles, il est
metteur en scène et assistant principal du directeur artistique Franz Marijnen. Il met en scène (entre autres)
Mademoiselle Julie de Strindberg, Leatherface d’Helmut Krausser, Anéantis de Sarah Kane, L’Horloge la plus
rapide de l’univers de Philip Ridley et L’Inquisitoire de Robert Pinget. Parallèlement, il enseigne le jeu théâtral
dans plusieurs écoles de théâtre ; il monte Tragédie de Maïakovski au Conservatoire d’Anvers. Plusieurs de ses
traductions théâtrales - Gogol, Tolstoï…- sont publiées (en Néerlandais).
En France, il partage l’aventure du Théâtre du Peuple avec Jean-Claude Berutti en tant qu’assistant et animateur de nombreux ateliers (amateurs, enseignants, collégiens, lycéens et universitaires). Il travaille sur des textes
de Shakespeare, Karl Valentin (spectacle Duos de tous les côtés) et Koffi Kwahulé (mise en espace d’El Mona).
De 2002 à 2009 il est responsable pédagogique de L’Ecole Nationale Supérieure d’Art Dramatique de La Comédie de Saint-Etienne, sous la direction de Jean-Claude Berutti et François Rancillac. Il met en scène La Fondation de Venise de Goldoni, Chaque pas que fait le soleil de Maïssa Bey, et de nombreuses courtes pièces d’auteurs
comme Paul Emond, Koffi Kwahulé, Jean-Marie Piemme, Wajdi Mouawad, René Zahnd et Anja Hilling. De
2009 à 2011, il est dramaturge, chef de troupe et metteur en scène à La Comédie de Saint-Etienne. Parmi ses
mises en scène : La Cène d’ Howard Barker (mise en espace), Plus marrant que le bowling de Steven Dietz et
Ashes to Ashes de Harold Pinter.
En 2011 il fonde sa propre compagnie, Théâtre Manuscrit, avec l’auteur de théâtre Aude Guérit. Il crée Vindicta
d’Aude Guérit (mars 2012), Red Rubber Balls de Peter Verhelst (novembre 2012) et Bestiaire, USA d’Anne
Sexton (novembre 2015). Plusieurs projets sont en cours d’élaboration : Fosca, d’Aude Guérit d’après le roman
d’Iginio Ugo Tarchetti et une série de petites formes pour la Communauté de Communes Aunis Sud. Il enseigne régulièrement à l’Ecole Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théâtre (Lyon), au département
Arts du Spectacle de l’université Lumière Lyon 2 et à l’Ecole Supérieure de Comédiens par l’Alternance - Studio
d’Asnières. Il continue également à travailler avec des amateurs (La Bonne âme du Se-Tchouan de Bertolt Brecht)
et en milieu scolaire (Antigone à Kourou d’après Sophocle).
LOU WENZEL - FOSCA
De 2000 à 2002, Lou Wenzel suit la formation d’acteurs de l’Ecole du Théâtre National de Chaillot à Paris. En 2001, elle joue dans Une Fille s’en va d’Arlette Namiand, mis en scène par Jean-Paul Wenzel, à Montluçon. Elle intègre
ensuite L’Ecole Nationale Supérieure d’Art Dramatique de La Comédie de
Saint-Etienne (2002-2005) où elle joue dans des spectacles de Jean-Claude
Berutti, François Rancillac, Yves Bombay et Vincent Goethals.
Au cours de la saison 2005-2006, elle est comédienne dans la troupe permanente de La Comédie de Saint-Etienne ; elle joue dans Une Saison chez les
cigales de Gilles Granouillet, mis en scène par Philippe Zarch et dans Occupations d’après Simone Weil, mis en scène par Jean-Claude Berutti.
Depuis, elle est engagée dans de nombreux spectacles, principalement en région parisienne, dont (entre autres)
Judith ou le corps séparé de Howard Barker, mis en scène par Jean-Paul Wenzel ; 20 Poèmes d’amour et une chanson désespérée de Pablo Neruda, mis en scène par Cano Lopez ; La Force de tuer de Lars Noren, mis en scène par
Adrien Lamande ; L’Orestie d’Eschyle, mis en scène par David Géry ; La Jeune fille de Cranach de Jean-Paul
Wenzel (mise en scène de l’auteur) ; Fairy tale heart de Philip Ridley, mis en scène par Nicolas Guilleminot ;
Le LCRCG, mis en scène par Laetitia Guédon; Ombres portées d’Arlette Namiand, mis en scène par Jean-Paul
Wenzel et Les Troyennes, adaptation de Kevin Keiss, mis en scène par Laetitia Guédon.
Pour le Festival de Villeréal, elle met en scène Dehors devant la porte de Wolfgang Borchert (2013) et Kvetch
de Steven Berkoff (2015). Au Théâtre du Lucernaire, elle crée Frangins de Jean-Paul Wenzel (2015).
FLORA BRUNIER - CLARA
Après une licence d’anglais-allemand et un premier prix d’art
dramatique, Flora Brunier intègre l’Ecole Nationale Supérieure
d’Art Dramatique de Saint-Etienne, où elle travaille notamment
avec François Rancillac, Jean-Marie Villégier, Vincent Goethals et
Dominique Cabrera. A sa sortie en 2005, elle joue à la ComédieFrançaise sous la direction de Jean-Claude Berutti, puis au Théâtre
de la Ville avec Nadia Xerri-L.
Depuis, elle a travaillé entre autres avec Jérôme Wacquiez, Gilles Bouillon, Hugues Chabalier et Morgane
Gauvin, sur des auteurs aussi bien classiques (Molière, Shakespeare) que contemporains (Crimp, Vinaver).
Elle prête également sa voix aux radiophoniques de France Culture et à l’émission « Karambolage » d’Arte,
et traduit des ouvrages anglais et allemands en français.
ARTHUR FOURCADE - GIORGIO
Né le 23 mars 1985, Arthur Fourcade a été formé à l’école de la Compagnie
THEC à Cambrai. Il a participé au Festival Off d’Avignon en jouant dans
Anéantis de Sarah Kane (2005) et dans Don Juan (DJ) (2007), mis en scène
par Antoine Lemaire. Sous cette même direction, il a également joué dans
Vivre sans but transcendant est devenu possible.
A Lille, il a multiplié les activités théâtrales de toutes sortes : jeu, pédagogie,
mise en scène, assistanat, écriture ; avec un goût certain pour la pluridisciplinarité, les formes contemporaines, l’écriture de plateau et la création collective.
Dans le cadre d’un master 2 de philosophie à l’université Lille 3, il a notamment mené un travail de réflexion sur
«la présence de l’acteur» en s’appuyant avant tout sur les pratiques artistiques qu’il a rencontrées.
En 2009, il est admis à L’Ecole de La Comédie de Saint-Etienne. Il y a joué dans Don Juan revient de guerre
d’Odön Von Horvath, dirigé par Michel Raskine, dans Introspection de Peter Handke sous la conduite de Gwenaël Morin, et dans Un Jeune se tue de Christophe Honoré mis en scène par Robert Cantarella.
En 2012, il joue dans Pelléas et Mélisande de Maeterlinck, mis en scène par Béatrice Venet et met en scène Manque de Sarah Kane. Au cours de la saison 2012-2013, il est l’assistant à la mise en scène d’Arnaud Meunier pour
Candide de Voltaire, première création du Groupe 25 de l’Ecole de La Comédie de Saint-Etienne.
Avec l’ensemble de sa promotion de l’Ecole de La Comédie de Saint-Etienne, il a constitué un collectif – Le
Collectif X – ensemble d’artistes qui se définissent comme acteurs avant tout mais où chacun, tour à tour, explore
la mise en scène. Il joue ainsi dans Le Soulier de Satin de Paul Claudel, mis en scène par Kathleen Dol au Théâtre
du Point du Jour à Lyon et dans Cannibale d’Agnès D’halluin, mis en scène par Maud Lefebvre ; et met en scène
VILLES# - SAINT-ETIENNE (en collaboration avec Yoan Miot) et Seul le chien d’Agnès d’Halluin.
Par ailleurs, il joue dans A la nuit où j’ai tremblé de Magalie Mougel, mis en scène par Nicolas Orlando et dans
L’Amant de Harold Pinter, mis en scène par Olivier Maurin.
Il compte poursuivre sa réflexion universitaire sur «la présence de l’acteur» dans le cadre d’une thèse, et développer son activité de metteur en scène.
CIE THEATRE MANUSCRIT
12 Rue Antoine de Saint-Exupéry
17700 Surgères
06 13 06 62 16
[email protected]
[email protected]
cietheatremanuscrit.theatre-contemporain.net
Licences 2-1044996 / 3-1044997
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