Vivre avec un cancer au début de la vingtaine est
d’autant plus difficile que les médecins et autres
membres du personnel médical sont peu outillés
pour s’occuper de notre cas. J’ai même souvent
eu l’impression d’être un phénomène d’étude
pour certains tellement ils étaient peu habitués
d’être confrontés à une jeune adulte atteinte
d’un cancer.”
Stéphanie Bacher, 24 ans, étudiante en sciences politiques
« Il y a un réel besoin médical pour faire face
à la réalité des jeunes adultes atteints du
cancer, dès lors qu’aucun projet de recherche
ne s’adresse actuellement directement à eux,
malgré les taux de mortalité importants qu’on
relève au sein de cette population. »
Dr. Denis Soulières, hémato-oncologue et directeur du laboratoire de
biologie moléculaire du Département d’hématologie du CHUM.