Ghalib Al-Hakkak 2007 ةيوحنلا دعاوقلا
Ecrit
- ajoutons d'autres adverbes et locutions adverbiales :
= immédiatement, tout de suite /
= aussi /
= longuement / = un peu /
= effectivement, en effet / = exactement !
/ = jamais / = toujours / et
= vite, rapidement / = pardon, je vous en prie,
il n'y a pas de quoi... / = bienvenue / =
poliment, avec politesse.
- un pronom sujet précédé de exprime en arabe
l'équivalent de "voici, voilà...". Ex. :
= Voici ton père !
= Te voici qui parles comme les
Arabes !
- l'impératif des verbes simples (
supprimer le présent (inaccompli) et de le remplacer
par un alif. on obtient alors
). Au féminin, on ajoutera un
) et au pluriel au masculin et au
féminin (). Reste un détail d'importance,
à respecter : la voyelle à associer au alif. Celle-ci peut
être un u ou un i, selon les cas. En fait, elle est fonction
de la voyelle caractéristique du verbe lui-même.
Quand on entend un u dnas la verbe au présent, on
commence l'impératif avec une hamza ainsi vocalisée,
autrement la voyelle de cette hamza est le i :
présent impératif sing. masc. fém. pl. masc. fém
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- pour former l'impératif de et de (ainsi
déjà l'impératif. Ex. : = parle ! / = apprends
! / = souviens-toi ! / = déguise-toi !, etc.
- la même règle est valable pour le verbe . on
dira pour : pars en voyage !
- notons au passage un autre impératif "orphelin"
(sans passé, ni présent) : = donne ! apporte !
- dans une question, pour indiquer une alternative, à
la place de , on emploira qui se prononce 'am (à
ne pas confondre avec dans le sens de mère et qui
se prononce 'umm).
Exemple :
- la conjonction permet parfois d'introduire une
proposition explicative (cf. dilaogues 1 et 6).
- le terme ريغ
que". Plus tard, on verra qu'il qu'il s'agit aussi et
participes. Exemples :
= grand > = pas grand
= possible > = impossible, pas
possible
= connu > = inconnu, pas connu
- le (wâw d'état);
il se traduit par alors que..., tout en..., en... ; il est
souvent suivi d'une phrase nominale ; ce n'est plus
une conjonction de coordination. Exemple :
= comment pars-tu alors que
tu es malade !
- on appelle (tanwîn) le son n qu'on prononce à la