Untitled - COLLEGE PAUL FEVAL à DOL de BRETAGNE

Atelier 1 : « Ceci est mon corps »
Cette nuit,
La gorge tournée vers les étoiles,
Les pieds tournés vers la Lune,
La tête posée sur l’herbe,
Et le cœur tourné vers le ciel,
Tout me sourit.
Je m’illumine d’immensité.
La terre m’a reçue à bras ouverts :
J’entends sa respiration.
Le monde est beau, confus aussi.
Mais qui pourrait garder le silence
Face a l'horreur de la vie ?
Mais qui pourrait ne rien faire
Face à un meurtre ?
Le monde est parfois beau, confus aussi
Certain font la guerre d'autres s’enlacent
La gorge tournée vers les étoiles
Vers l'horizon, Vers la vie,
Vers l'obscurité, Vers l'inconnu
La gorge tournée vers les étoiles,
Les étoiles s'aggripant au ciel.
Les pieds pointés vers le ciel,
Les jambes allongées sur l'herbe.
Les doigts au bout des bras,
Les doigts pointés vers l'univers.
Allongé dans l'herbe,
Je m'illumine d'immensité.
Ceci est mon corps.
Je m’illumine d’immensité.
Et m’éteins comme l’obscurité.
Les choses deviennent de plus en plus difficiles,
Et mes pensées refont surface.
La gorge tournée vers les étoiles ;
Je pense à vous,
Vous qui me manquez,
Je me rappellerai toujours de cette phrase que vous
aviez dite : « le monde est beau, confus aussi … »
Ceci est mon corps,
Ceci est mon âme.
La gorge tournée vers les étoiles,
Je regardais le ciel en pensant que
Le monde est beau, confus aussi.
Je n’ai pas ma place ici,
Je devrais être au paradis.
Je regardais mes amis, mes frères,
Ils allaient obscurs dans la nuit solitaire
En m’abandonnant seule sur cette terre.
Je ne l'aime pas.
Il déborde un peu
Il n'a pas une forme gracieuse
Il n'est pas aimé
Ceci e st m o n c orp s .
La g or g e tourn é e v er s le s ét oil e s , je pense que
Le m o n d e e st b e a u, c o nfus a u s si car
Certains me font du mal à cause des normes
Et d'autres me disent qu'il est normal.
Les sentiments que nous ressentons sont
étranges,
Toi, tu es l'amour qui ne se rassasie pas
d’étreintes, de baisers.
Mon cœur, lui, erre pour trouver l’illumination.
Je cherche et réfléchis pour comprendre
La gorge tournée vers les étoiles.
Le soleil s'est couché et je suis toujours
enveloppée de noir,
Mon incompréhension face à ces nouveaux
sentiments,
Ressemble à un puzzle que l'on ne peut
résoudre.
Un soir, le brouillard qui emprisonnait mon
âme,
Commença à se dissiper et une conclusion me
parvint :
« Le monde est beau, confus aussi »
Puis tout s'est éclairci, je vois enfin la lumière.
Mon CORPS est . . .
Mon CORPS est gros tel un rocher.
Mon CORPS est petit tel un grain.
Mon CORPS est brillant car je suis un diamant.
Je suis tellement brillante que je m'illumine d'immensité.
Mon CORPS est tourné vers les montagnes.
Mon CORPS est tourné vers le sable.
Mon CORPS est tourné vers le ciel.
La gorge tournée vers les étoiles.
Mon CORPS est....le MONDE.
Ceci est mon CORPS.
Mais qui pourrait garder le silence
devant ce monde immense?
La gorge tournée vers les étoiles,
le soleil se reflète sur cette toile.
Le monde est beau , confus aussi
en regardant la nuit , les étoiles brillent ici.
Où l'on observe aussi cette magnifique vue
depuis l’immense monde.
Je m'illumine d'immensité,
Dans ce monde sans lumière,
Je marche dans la cité,
Ils allaient obscurs dans la nuit solitaire.
La gorge tournée vers les étoiles
Je regarde le ciel comme on regarderait
une toile
Je lutte dans ce monde sans vie,
Je suis dans la nuit.
Je m'en vais sans me retourner vers ce
décor,
Ceci n'est pas mon corps.
Ils allaient obscurs dans la nuit solitaire.
La gorge tournée vers les étoiles,
Les yeux perdus dans les cieux.
Le monde est beau, confus aussi.
Des millions de questions se posent,
Les yeux scrutant la pénombre.
La galaxie est une vie,
Qui pourrait être sans souci.
Ils font preuves de philosophie,
Pour trouver ce que les mots signifient.
Ainsi se trouvant sous la pluie,
Et dans la nuit.
Mes maux et moi, nous regardions l'univers.
Nous regardions ce ciel de nuit.
Je me suis mise à crier, la gorge tournée vers les
étoiles, la gorge serré vers cette lumière sombre.
Le monde est beau, confus aussi.
Pendant que je restais là,
Ils allaient obscurs dans la nuit solitaire.
La nuit
Je sortais de chez moi,
je voyais des chats,
ils allaient obscurs dans la nuit solitaire,
je me sens comme une plume légère.
La gorge tournée vers les étoiles;
il y en a beaucoup, comme des moustiques
enfermés dans une toile,
dans la nuit noire,
pleine d'espoir.
La lune est ronde,
toute seule, elle gronde,
avec l'envie de rester dehors toute la nuit;
le monde est beau, confus aussi,
je rentre et je m’ennuie.
Toi tu es l’amour qui ne se rassasie pas
d’étreintes, de baisers
Tu es l’amour sans limite
La grande liberté d’aimer
Au-delà de soi
La grande générosité d’aimer.
Face à toi
Je m’illumine d’immensité
La gorge tournée vers les étoiles
Tu es l’infime
L’insaisissable
Tu es le vent qui caresse la peau des nuages
Tu es l’eau qui s’écoule infiniment
Tu es le miroir du monde
Tu es, tout simplement
Tu es
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