HOTEL DEb 11NG L` Importation des Cailles

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Tribunal de Commerce de Cannes, et
?\1me, venant de leur château des Fleurs
à Vence, ont repris #possession de leur
appartement, 3, boulevard d'Alsace.
M . Isnard, vice consul d ' Espagne, ancien conseiller municipal, retour de villégiature est rentré, hier, à Cannes.
* *xi
M . le docteur Girard, retour de villégiature, est rentr, hier en son appartement, rue d' Amibes.
0- . -
Elysée Pala,, , route d' Antibes . Palais se louant par appartements avec
pension . ouvert depuis le l '. octobre.
sb-- A L' HOTEL _M01N1FLrURP
Nous apprenons que l'Hôtel Momfleury a déjà ouvert ses portes, et qu 'un
grand nombre de chambreset d'appartements sont déjà occupés par ses hôtes
accoutumés De nombreuses arrivées
sont signalées de tous côtés, et des demandes pressantes arrivent, tous les
jour, au secrétariat de l'Hôtel.
Parmi les arrivées :
M. et Mme ' i(lv .r .
Capit
tain,. \' .iss et
:I I,
n Sf :,il
MI› et Miss Hat
I .,
FIOPITAL RUSSE
Ainsi que nous layions nnnon-é, hier
sont arrivés à 1 h>,i ;tal rasse créé psr S.
A . I . le grand-duc _.iichel ce Russie, villa du Méridien . rourte de Fréjus, M1M.
les officiers Russe, convalescents, qui
ont passé l'été e, Thorenc
--w---L'EsCADRB: Dr_ I- .\ MI-MTERR! `'- i:
Comme nous l' :n ons dit, M . le viceamiral Touchard n nris hier matin, à q
heures le commandement de l'escadre
de la Méditerranée . L . " .e ~aniral Touchard a arbore sr pioilloa sur le Suffren, et a été sal~_c par une salve de ci,
-vuecopsdan.
Le nouveau commandant en chef de
l ' escadre a écrit clans la journée l ' ordre
du jour suivant :
En prenant possession da commandement qui lui n été confié par le gouvernement de la république, le vice--amiral commandant c ri chef 1r- .=c tous,
états-majors et é q uipages, son cordial
salut . Ils heure . êt re
s ur( ., c'r toutes
circonstances, de son bienveillant appui.
Il compte sur leur ,encours dévoeé en
tout ce qui leur sera comm .nr'é pour le
bien du service et le sic es de -nos armes . »
il Amiral To(ICAAP.D . „
1'
Les punitions ont été levées et 1 ,écl
pages a eu double ration.
Oralyd if ÜLl-1 'ait I'
p ° HOn, .r~ P .n r,<r ., ..
3Vtill
tl df E
Le roi d'Angleteire a fixé au mardi
i ; octobre la réception des conseillers
municipaux français au palais de Buckingham . Cette invitation comprend
aussi, bien entendu, le président et les
membres du conseil de Londres.
De l'Echo de Paris, sur le dz,cours de
YI . Briand
M . Briand dans son désir de voir les
difficultés que rencontre son parti, disparaître affirme le patriotisme des socialistes et traite de calomniateurs ceux
qui osent le mettre en doute. Cependant
hier encore, le maire de Marseille était
obligé d'interdire aux collectivistes internationaliste de prêcher dans les locaux de la Bourse du Travail de Marseil le leurs doctrines, et rue du Châteaud'Eau dans ceux de la Bouse de Paris
ou prépare tranquillement un journal
pour propager les idées de M . Hervé.
De l'Eclau, sur l'échouage dit Sully
Quand le 23 février dernier M . Thomson eut à répondre à l'interpellation de
l'amiral Biemi .: : . : su : l'échouage du
Sidly il déclara que les responsabilités
devaient être recherchées.
t~ yen a une qui s'impose d'abord à l'attention du gouvernement et des Chambres, c 'est celle de AM . Pelletan qui,
après avoir durant de longs mois laissé
sans réponse les lettres du port de Toulon réclamant ..es améliorations reconnues indispensables à la suite d'essais
inquiétants, fit brusquement partir le
Sully, malgré l'avis des états-majors
qui le jugeaient hors d'état de naviguer.
Ce n 'est pas le premier navire que M.
Pelletait obligea à prendre la mer dans
ces conditions, ce n 'est pas le premier
qui périt par sa faute . On n 'a pas oubl
l'effroyable catastrophe du transport
Vienne . Est-ce que la majorité qui applaudissait en février dernier M. Thomscia va encore une fois couvrir de son approbation l'homme sur qui pèse la responsabilité de tant de désastres )
L ' Aurore, sur le traité anglo-japonais :
Le traité anglo-japonais a sa répercussion jusqu 'au coeur de la politique internationale européenne. Il n'y a pour s'en
assurer qu'à jeter les yeux sur la presse
allemande qui n 'essaye même pas de cacher son très vif mécontentement. Arrêtée en Chine, l ' alemagne voit s'élever
devant elle en Europe des barrières qui
inquiètent son ambition conquérante.
Elle s'efforce à tout prix, en ce moment de gagner IaRussie à sa cause tandis que l ' Angleterre, ayant pris ses curetés ne demanderait visiblement aujourd'hui qu'à se rapprocher de son ancienne ennemie . De Berlin on invite la
diplomatie russe à se défier des avances
de lord Lansdowne et c 'est un curieux
spectacle de voir la Russie vaincue tiraillée entre les protestations amicales
de l 'Angleterre et de l 'Allemagne.
Vo} ez là le présage des desseins en préparation et n ' oubliez pas à quel point
nous sommes intéressés dans l ' issue de
cette partie.
HOTEL DEb 11NG
Larve-Tr .w., — A .crn, . .r. — Till ~n oor . — U—e
Iprdin
Serai-es npfclal de rol,n re, poar 1° .lite
~ pr°rimltl ,i . I Egllee R°eee.
L ' Importation des Cailles
On sait que M . Ruau, ministre ale
l ' agriculture, a rapporté la décision du
ç octobre 1903 interdisant l'entrée et le
transit sur le territoire français d'autre gibier que ci-lui tué au fusll.
En prenant cette mesure. le ministre
a simplement autorisé, pendant la période (l' ouverture de la chasse, l ' inicortat'ion . e . le transport en transit des
cailles vivantes, auxquels l'état actuel
de la législation ne permet pas de
s 'opposer. Mais . introduction et même
le '.ransit dés cailles en temps de clôture de la chasse n'en reste pas moins
absoiuments interdits,
'_e~i'i~Ïtâ)
On télégraphie de Rome:
Le prince L'ùlow et M . Tittoni n'auront pas à prendre de nouvelles décisions à ce sujet, car dès qu 'a éclaté le
malentendu entre la France et l 'Allemagne relativement au Maroc, l'Italie
s'est trouvée dans une situation très délicate a cause des devoirs que lui
créaient d'un côté son alliance avec
f_illemagne et de l ' autre son amitié
arec la rrance, corroborée d'une adhésion aux accords qui règlent la situation dans la Méditerranée et y reconnaissent les intérêts légitimes et les
droits éventuels de l' Italie. I1 est invraisemblable qu'à cette époque le gouvernement allié, c'est-à- dire l'Alleman' ai'. pas été, sinon. consulté, au
moins tenu ai ., courant des négociations et des décisions du gouvernement
italien . Par conséquent, c~est alors que
l'attitude de l 'Italie a été netteritentpréciséa, et rien ne permet de croire que
la Consaita se soit juinais écartée de la
voie tracée . On peut même dire que la
situation toute spéciale de l'Italie entre
l'Allemagne et la France a pu contribuer à empêcher que le malentendu à
propos du Maroc ne dégéuérât 5 il ,
moment donné en crise cligne ou en
conflit . En effet, M. Ti>toni n ' a jamais
caché, mère ait, : haire-, les plus inquiétantes clés atermoiements dans les négociations entre les gouvernements français et allemand, la confiance qu'il avait
dans une solution pacifique
Quand sest produit le dernier incident entre le malczen et la France, il
est certain que l ' attitude de l'Italie n' a
jamais nu porter ombrage à la puissance voisine et amie, et il n'est pas vraisemblable que cette ligne de conduite
ait été adoptée à l ' insu de l'Alemagne.
Tout cela établit clairement l ' influence
bidnfaisa.nte de l'Italie dans l'affaire
marocaine et en même temps une politique arrêtée dès la première heure. --ucune raison n 'imposa de changement
dans cette politique.
Si donc les ministres ont parlé du
Maroc à Baden-Baden, ce ne pouvait
être gui en vue de la réunion de la conférence internationale d 'Algésiras, et la
situation de l ' Italie ]ni permettra d'être
encore dans cette conférence cor élément
pondérateur et un facteur de paix et
d'entente définitive.
EN CAS DE CONFUT AnGi,@ AGiIE,li1ND
Un de nos confrères parisiens, a interviewé un homme d'Etat anglais, sur
les conséquences possibles d'une guerre
angl o-allemande.
Cet homme d'Etat, dont les vues sont
remarquables, est néanmoins doué d'un
robuste optimisme.
D'après lui, la flotte de guerre allemande, serait dé'ruite, douze jours
après l ' ouverture des hostilités . Les
ports de Kiel, IIambourg, Cuxhaven.
Brême, Lubeck, Swinemunde, Danzig,
seraient un monceau de ruines Et les
Anglais débarqueraient 150 .000 hommes à l 'entrée du canal de Kiel.
En outre, les unités allemandes en
croisière seraient cueillies au fur et a
mesure quelles seraient signalées . Le
commerce allemand serait détruit, etc .. .,
etc ...
11 n'est pas douteux que, comme le dit
l 'homme d' Etat anglais, l ' amirauté britannique n'ait pris toutes ses mesures on
vue d' assurer la destruction de la flotte
allemande.
,,lais il faudrait connaître les mesures
qu'a prises de son côté, l ' amirauté allemande.
11 est sûr que la navigation de commerce allemande, serait anéantie et ce
serait une perte incalculable pour une
puissance qui place maintenant son agionit sur l'eau.
:dais la destruction de toute la flotte
de guerre allemande, paraît aléatoire
En tous cas, même blessée dans ses
ports, elle ne serait sûrement pas dans
la situation de la flotte russe à Port-Arthur.
L ' Angleterre ide l'estomac, c'est en- 1
tendu. ,dais elle n'a pas les moyens de
se pa} er le —écus complet d'un port
de L, Saltique . r.t son corps .,e débarquent : ~t clé t r,o .co0 hommes jeté à ] ' entrée du de Kiel aurait clos chances
de s'en ;Iller h l'eau.
il convient de relev er également les
aüirinations d- l'homme d'État anglais
touchant le sor, des ports militaires de
l'A i l cmagne.
S'il est un enseignement indiscutable
Qui ressort de la guerr- resso-japonaise
dont la trame est encore si obscure, c'est
précisément la puissance de résistance
des forts de terre contre les plus puissantes bp.tteries de marine.
Un canon à terre saut toujours un
navire, à la mer. I 1 au,>mentition de
portée de 1 artillerie donne encore
plus de Je . r 5. utude a . . baüerics
à la précision et au répérage du tir.
Togo a rlî: _e oncer bombarder
Port-Arthua autrement qu ' en tir indirect et lus résultats n'en ont pas été fîtPour en 'loir, tut conflit aunglo-aile- mand, serait ru n u~. pour l'humanité,
et le commerce de, nations • entres
i .'-i11em r r ue 3 sûrement beaucoup p l is éprolivéa que l'Angleterre.
Mais la puissun(e 1 ,r itannioue n'en
retirent urcnrant pas les avantages
qu'elle escon— c
1 . ip.t rot de tors semble être d'empocher le cornu. Mi ;s que faire 7 Quand
les tiens ycu'eat se battre et (,cils ont
polir cela quelque raison cl'rnté'ièt particulier, il es! Lien diïLcile I'eiiip,~( her
tôt nu tard clac rencontre désirée de part
et d'antre.
1~nus wons ripe noir-,eile guerre ee 'b
perspective . Et M . d 'Estournelle de
Co .stant, devrait bien, tout d'abord
s'en aller catéc hiser et le Kaiser et le
roi EdouardP. S.
àgina lfôtel 5ernaseou
Ps
tout
I.
uw•
Or Ire
LA CRISE IIu :~1ROI ...
Lorsque l'empereur François-Joseph
lança, le e.3 septembre dernier, son ultimatum dans lequel il sig-niliait si nettement son intention de rester sur ses positions si on ose dire. et de repousser
toute combinaison qui tendrait à modifier son programme a l'égard de la Hong rie,il se produisit un sentiment de profond découragement dans l 'opinion
austro-hongroise . Il tallait abandonner
semblait-il, tout espoir de voir se dé,nouer pacifiquement cette grave crise
On entrevoyait déjà les pires éventualités
Que s est.-il passé depuis lors dans l'esprit. du souverain? Le mystère impénétrable est celui qui règne autour
du palais du Sultan . Il est certain pourtant que l'Empereur paraît avoir réfléchi
sur les inconvénients de l'attitude intransigeante qu'il avait d'abord adoptée
dans la question des remaniements de
la Constitution hongroise . I Sa Majesté
n'entend en aucune façon limiter le domaine légal de la Constitution
déclare aujourd'hui le baron Fejervary.
La volonté impériale admet donc l'idée
d'une éventuelle révision de ce mécanisme compliqué, dont les rouages sont désormais usés.
Mieux encore : François-joseph a
c-nnsenti à écouter le président de la
Chambre clés magnats, dont le programme modéré constitue un , mmmuni, n acceptable des revendications
hongroises.
Et devant les „ faits nouveaux »
l'espoir renaît ; on entrevoit la possibilité d'un compromis honorable qui metTrait fin à une situation qui devient cha.
que jour plus périlleuse pour l'empire.
Nous concevons parfaitement que
]'Empereur ne puisse abdiquer les principes sur lesquels repose la base fondamentale de son autorité : ainsi l'unité de
commandement d ans l'armée nustr0hongroise.
Il semble pourtant que le prestige
impérial n'aurait pas à souffrir d'une
transaction sur la question du suffrage,
bien que cette concession offre sans doute des inconvénients au point de vue
de la tranquilité intérieure de la monarchie. Mais il importe du se rappeler
également que la tension actuelle, en se
prolongeant, menace d'entrainer une
crise politique et économique dont l'Autriche aussi bien que la Hongrie est appelée à subir les conséquences.
`±OTEia DEIS l AJLUIEIZI
ET DEB PBJENC"I M
♦n ..Igao e.r Iw /lw N 1'ietlrsl . —~Mei°!
.. .. r ..rtir T o . ., ~•° . .. .awd., . ~ 1...,e.
Le Secret du Japon
ICakasu OkaIura, dans son ouvrage
l'IdEa[ de L'Orient, avanco quo la règle suprême de 1e. rio au -lapon ut le sacrifico
de soi-mère à la cmmm~nauté . L'art est
pprisé pour les services qu'il rend à la société.
La musique e :d: placée au o:'anier rang, son
rôle étant de fair, régner parmi les hommes
la bonne harmonie.
L'éducation poétique est si répandue que
fréquemment pendant Ils haltes, au cours
d'une marche, on voit un soldat tirer sa tablette et écrire unrioéme sur une scène dont
il a été témoin. Loi des pélerinagcs religieux, las pél,rius les plus pauvres écrivent
un petit sonnet dans- l'endroit où ils se sont
, .posés pen(lant lz nuit. Des gens en prom,eadr-, un jour de tète, marchant avec
lcun, sandale : le bois, se in-tient à marquer le pas zei_in mi rythme.
Un r” acr r --s "[ans le bl,ntbty ifrtrme il la"', .I
. .nais mPn' que si le Japonais ont étc
evx de leurs ennemis.
c'es! à lest smr i lue ..- qu'ils le doivent Cultivez li n . ., t qu 1-, musique greeque surtout, et C, a1, r. adoucissons pas
nos mceurs . rnnm r s cor moins capables
des exploita les i~lnsvaleurcix.
A .ITIFÎRA P .LACE
ÉîOTEL PU" CE DE GA LLED
. z, ,>,-e .z.
Haata¢ran : e la aile
t cri•,,Aaee 1. TarCic A'Hir .•
Hai¢A r~rr 5 . nec . en Liyd- .i l'H6te1.
,
.n .c ., nr Hv. n~ .,rn-•
La Justice du a bon juge
On a vu, par une lettre rendue publique, que Al . le président Magnaud
reconnaît, très ingénument
cette ingénuité semble même friser l'inconscience que le motif de son ressentinient contre _ri . Vallé est que ce dernier ne lui a pas :accordé la présidence
du Tribunal de Remis, à laquelle il
aspirait C'est pour cela seul, malgré
toutes les belles phrases dont il colorait son intention, que le ai bon juge»
avait songé à se présenter contre son
ancien chef . Les « considérants
étaient forts pompeux, mais le „ dispositif » restait assez mesquin.
En présence de l'accueil qui a été
fait à cet essai de candidature, M . Magnaud a prestement battu en retraite.
Les motifs de se rancune contre M.
Val1é rien sont pas moins acquis, et
ils prouvent que cet inflexible justicier
paraît avoir, quand .- s'agit de lui-même, une singulilre idée de la justice.
En effet, le Tribunal de ChâteauThierry qu'il préside, n'est que de troisième classe . Et il voulait être appelé
d'emblée à celui de Reims, qui est de
première ! Il fait valoir, il est vrai,
qu'il y a dix-huit ans qu'il est à Château-Thierry . C'est entendu ; mais il
n'y est depuis si longtemps que parce
qu'il a bien voulu, et qu'il a orgueilleusement refusé les avancements blérarchiques qu'on lui offrait.
M . Magnaud n'a jamais consenti,
par exemple, à devenir conseiller, pour
ne pas ètre
noyé
clans une Cour.
Il lui faut une présidence pour continuer à rendre des jugements qui le signalent à l'attention pub'.ique, Et tout
en refusant d'avancer normalement, il
se prévaut de plus en plus de l'oubli
dont il est victime à Château-Thierry.
A ce compte, il n'y aura pas de raison,
lorsqu'il y sera resté encore une trentaine d'années, pour qu'il ne veuille.
pas obtenir de plain-pied, la première
présidence de la Cour de cassation.
Et peut-être alors, l'expérience étant
venue avec l'àge, en profiterait-il sagement pour casser la plupart des jugements qu'il aura rendus dans sa carrière. ..
L'AGè DE LA LECTURE
La bibliothèque publique de Cambridge a voulu savoir à quel âge on Iisait le plus, et elle a dressé cette intéressante statistique :
A quatorze ans, des lecteurs lisent
chaque année, 43 volumes ; à trente
ans, 174 volumes ; à cinquante ans, 27
volumes, et à soixante ans, les lecteurs
se bornent à 14 volumes
Et maintenant, que lit-on a chacun
des âges de la vie? Voilà ce qui serait
au moins aussi important de connaître'
Nous demandons un supplément d'enquête.
Voir A la mi ~rri .an,r.
I.
régénérateur d .s chat"cus,~Roval ~lT tnds,
gai 1 B171 AiQ gEJODg
~® Ouvvt au 1•• Oetobrn ¢u t+Jeiu
U . HwLer ne cr Hca n~n rr .rv, pro prietairo.
~hroniq ue ~c~~~~le
ese....~.wvw..
Exposilion de Fleurs, Fruits et Ligumes.
— Conformément à la décision prise par
Io Conseil d'administration de Lt Société
Centrale d'Agriculture, dans sa séance du
18 mai dernier, une Exposition nationale
de chrysanthèmes et fruits, légumes. plantes fleuries, etc ., sera tenue en l'Hôtel de
la Société, 113, promenade des Anglais, à
Nice, les vendredi 27, samedi z$, et dimanche eg octobre i9o5.
Tous les horticulteurs et arm :rte ers français et ceux de la Principauté de M.oaco,
sont invités à prendre à cette Exposition la
plus grande part possible.
Les récompenses consisteront en Grand
Prix d'Honneur (objet d'art ou grande médaille d'or), objets d'art, médailles d'or,
grandes médailles de vermeil, médailles de
vermeil, grandes médailles d'argent, médailles d'argent, médailles de bronze, mentions honorables et certificats de mérite.
U . diplôme accompagnera chaque récompense obtenue.
Toutes les récompenses seront laissées à
la libre appréciation du jury, dont les décisiens seront SOn~'ermnCS.
Dans le cas où un exposant obtiendrait
plusieurs réc,~lipens-es, il ne lui sera délivré
que celle de l'ordre la plus élevé et seulement les diplômes des autres.
Lecture du palmarès sera tonnée à l'issue de l'Exposition et les récompenses et
diplômes seront distribués lors de l'assemblée générale de tau t
p o .;ir m
Les récompenses +nu rein nGcs trois
mois après le jour 1 la distribution ne
seront plus d lr re_s et resteront de droit
acquis,~ .i I Socr-t .•.
Lacis ics g'm's lu plantes où i1 y- a pi_usieurs coucous e diriérant entre eux que
par le nombre de sujets, le mène exposant
ne pourca prendre part qu'à un seul de
ces concours.
Dans les ~;oncours de collections, il ne
sera acccp qu'un sp~cimmr de choque variété ou une assiette de chaque sorte de
fruits.
Dan.; !,s concours de collections où le
nombre des vegé taux est hxé, les Exposants
seront tous de ne présenter que le nombre indiqué au programme.
Dans les concoum de collections en fleurs
coupées, (lent le nombre n'est pas limité au
programme, il ne sera p.2 accepté plus de
cinq carafe ; pour une msnuo vaciétc.
Chaque prescntation formant un concours devra étre nettement s•_par_e.
Dans l'emplacement spécial -~f-,cté aux
zou
icés, il ne sera accepté plus de cinq
n >l .üres ou potées pour chaque nousutc.
La ut-me plant .- pourra Z.tr%e repr"scntée
dan le lot d ' . . rio .ant avec le nor .bre
indiqué a p
.corme.
Les con, .: r , :esteront entre horticult- i s, jardiniers, instituteur, dir -tours a ) -_mie ch- s des établissements snbscn . : .cal
t Socrtls d'horticulture en nom collecti_.
Ne seront a.lmis av la mention hors
concours que !as produits des jardins publics
ou scientifiques ; ceux tics , :,posants faisant partie uu Jury, ainsi que ceux des exposants ayant obtenu un grau 1 prie d'honneur à une des trois —positions précédentes.
Cor, i'r cl, la CJte d'Azur (D .S.F.S .A .) .—
Coranissioa dr Fo~~lti /t . — :',près le, -agmhques r ula tt obtenus par les épreuves
de na, tl n 2- rai le Comité de la
Côte tl'Az.v, celui-ci en tâcher de continuer
cette clic de
s clans l'organisation
des c,,a nia , il ,L, le tuotball.
M . L<,ice, pr; sidcnt de l'A. S. C. a été
chargé de la constitution de la commission
de tootLall-bi-oaru fion . La ;u arpe~cu~e et
le ciccoaenmat qu'il n'a c—s d'apporter
à ce sport le d,signaicet pour diriger cette
commvliton.
La prcmiére réunion aura lices à Cannes,
jeudi 5 contant, au sicge de l'A . S . C. Café
de l'Abeili Sq, r- d'Antib--s.
A . sujet du lie : (L; Lr r^-anr,n _la il nous
soit psmis d'adresser nos f'li ituions au
Conùté . En faisant couvre de décentralisation ii iaci :itcra je dépl :.camca : des nombzcuscs sociétés d'Antrbas, Vaitaurin• Cannes . lesquelles etaicrit toujours obliges d'effectuer le voyage à Nice . Cette mc>urc égalitaire sera bien appréciée par les groupements sportifs intéressés.
A. Imaaoer de suite 4e., rue Cl'Antibes, un
passage avec galerie v'trée.
Syndicat des Transways de Cannes — Les
membres du Syndicat des Tramcvavs de
Cannes, se réuniront ce soir, à 9 heures rl_
au siége social, café de la maison Dorée, ter
étage-.
Organisation du banquet ; Questlons diverses ; cotisations.
Pour les p¢wores . — La quète faite au
mariage, célébre, hier, à la Mairie, a produit la connue du 7 francs 90 centimes, pour
les pauvres.
Les arrivages de raisins . — Les arrivages
de raisins, eu gare de la Bocca P . V. qui
avaient subi un ralentissement, à cause des
mauvais temps de la semaine dernière, ont
repris avec intensité.
Hier, il est arrivé à cette Gare, environ
5o .000 kilos de raisins, qui se sont vendus
entre t, et r3 francs Ics roo kilos.
Ces raisins proviennent en grande partie
de ]a partie haute du Var.
e rr ir
Les arrivages de raisins sont toujours de
plus en plus nombreux à la place Gambetta
(ex-place Châteaudun) qui devient ainsi un
marché important.
Au Port.— Le vapeur -4 mphion, venant de
Marseille, est arrivé au port, avec r5o tonnes
de marchandises pour divers négociants de
notre ville.
Breael Elémmtaire . — Nous apprenons,
avec le plus grand plaisir, que le jeune
Lanzi, fils de M . Lanzi, facteur des postes
à Cannes, vient de subir, avec succès les
épreuves du brevet élémentaire de capacité,
qui se sont terminées, hier, à Nice.
Nous adressons nos plus vives félicitations
au jeune et studieux lauriat, ainsi qu'à ses
professeurs .
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