Tribunal de Commerce de Cannes, et ?\1me, venant de leur château des Fleurs à Vence, ont repris #possession de leur appartement, 3, boulevard d'Alsace. M . Isnard, vice consul d ' Espagne, ancien conseiller municipal, retour de villégiature est rentré, hier, à Cannes. * *xi M . le docteur Girard, retour de villégiature, est rentr, hier en son appartement, rue d' Amibes. 0- . - Elysée Pala,, , route d' Antibes . Palais se louant par appartements avec pension . ouvert depuis le l '. octobre. sb-- A L' HOTEL _M01N1FLrURP Nous apprenons que l'Hôtel Momfleury a déjà ouvert ses portes, et qu 'un grand nombre de chambreset d'appartements sont déjà occupés par ses hôtes accoutumés De nombreuses arrivées sont signalées de tous côtés, et des demandes pressantes arrivent, tous les jour, au secrétariat de l'Hôtel. Parmi les arrivées : M. et Mme ' i(lv .r . Capit tain,. \' .iss et :I I, n Sf :,il MI› et Miss Hat I ., FIOPITAL RUSSE Ainsi que nous layions nnnon-é, hier sont arrivés à 1 h>,i ;tal rasse créé psr S. A . I . le grand-duc _.iichel ce Russie, villa du Méridien . rourte de Fréjus, M1M. les officiers Russe, convalescents, qui ont passé l'été e, Thorenc --w---L'EsCADRB: Dr_ I- .\ MI-MTERR! `'- i: Comme nous l' :n ons dit, M . le viceamiral Touchard n nris hier matin, à q heures le commandement de l'escadre de la Méditerranée . L . " .e ~aniral Touchard a arbore sr pioilloa sur le Suffren, et a été sal~_c par une salve de ci, -vuecopsdan. Le nouveau commandant en chef de l ' escadre a écrit clans la journée l ' ordre du jour suivant : En prenant possession da commandement qui lui n été confié par le gouvernement de la république, le vice--amiral commandant c ri chef 1r- .=c tous, états-majors et é q uipages, son cordial salut . Ils heure . êt re s ur( ., c'r toutes circonstances, de son bienveillant appui. Il compte sur leur ,encours dévoeé en tout ce qui leur sera comm .nr'é pour le bien du service et le sic es de -nos armes . » il Amiral To(ICAAP.D . „ 1' Les punitions ont été levées et 1 ,écl pages a eu double ration. Oralyd if ÜLl-1 'ait I' p ° HOn, .r~ P .n r,<r ., .. 3Vtill tl df E Le roi d'Angleteire a fixé au mardi i ; octobre la réception des conseillers municipaux français au palais de Buckingham . Cette invitation comprend aussi, bien entendu, le président et les membres du conseil de Londres. De l'Echo de Paris, sur le dz,cours de YI . Briand M . Briand dans son désir de voir les difficultés que rencontre son parti, disparaître affirme le patriotisme des socialistes et traite de calomniateurs ceux qui osent le mettre en doute. Cependant hier encore, le maire de Marseille était obligé d'interdire aux collectivistes internationaliste de prêcher dans les locaux de la Bourse du Travail de Marseil le leurs doctrines, et rue du Châteaud'Eau dans ceux de la Bouse de Paris ou prépare tranquillement un journal pour propager les idées de M . Hervé. De l'Eclau, sur l'échouage dit Sully Quand le 23 février dernier M . Thomson eut à répondre à l'interpellation de l'amiral Biemi .: : . : su : l'échouage du Sidly il déclara que les responsabilités devaient être recherchées. t~ yen a une qui s'impose d'abord à l'attention du gouvernement et des Chambres, c 'est celle de AM . Pelletan qui, après avoir durant de longs mois laissé sans réponse les lettres du port de Toulon réclamant ..es améliorations reconnues indispensables à la suite d'essais inquiétants, fit brusquement partir le Sully, malgré l'avis des états-majors qui le jugeaient hors d'état de naviguer. Ce n 'est pas le premier navire que M. Pelletait obligea à prendre la mer dans ces conditions, ce n 'est pas le premier qui périt par sa faute . On n 'a pas oubl l'effroyable catastrophe du transport Vienne . Est-ce que la majorité qui applaudissait en février dernier M. Thomscia va encore une fois couvrir de son approbation l'homme sur qui pèse la responsabilité de tant de désastres ) L ' Aurore, sur le traité anglo-japonais : Le traité anglo-japonais a sa répercussion jusqu 'au coeur de la politique internationale européenne. Il n'y a pour s'en assurer qu'à jeter les yeux sur la presse allemande qui n 'essaye même pas de cacher son très vif mécontentement. Arrêtée en Chine, l ' alemagne voit s'élever devant elle en Europe des barrières qui inquiètent son ambition conquérante. Elle s'efforce à tout prix, en ce moment de gagner IaRussie à sa cause tandis que l ' Angleterre, ayant pris ses curetés ne demanderait visiblement aujourd'hui qu'à se rapprocher de son ancienne ennemie . De Berlin on invite la diplomatie russe à se défier des avances de lord Lansdowne et c 'est un curieux spectacle de voir la Russie vaincue tiraillée entre les protestations amicales de l 'Angleterre et de l 'Allemagne. Vo} ez là le présage des desseins en préparation et n ' oubliez pas à quel point nous sommes intéressés dans l ' issue de cette partie. HOTEL DEb 11NG Larve-Tr .w., — A .crn, . .r. — Till ~n oor . — U—e Iprdin Serai-es npfclal de rol,n re, poar 1° .lite ~ pr°rimltl ,i . I Egllee R°eee. L ' Importation des Cailles On sait que M . Ruau, ministre ale l ' agriculture, a rapporté la décision du ç octobre 1903 interdisant l'entrée et le transit sur le territoire français d'autre gibier que ci-lui tué au fusll. En prenant cette mesure. le ministre a simplement autorisé, pendant la période (l' ouverture de la chasse, l ' inicortat'ion . e . le transport en transit des cailles vivantes, auxquels l'état actuel de la législation ne permet pas de s 'opposer. Mais . introduction et même le '.ransit dés cailles en temps de clôture de la chasse n'en reste pas moins absoiuments interdits, '_e~i'i~Ïtâ) On télégraphie de Rome: Le prince L'ùlow et M . Tittoni n'auront pas à prendre de nouvelles décisions à ce sujet, car dès qu 'a éclaté le malentendu entre la France et l 'Allemagne relativement au Maroc, l'Italie s'est trouvée dans une situation très délicate a cause des devoirs que lui créaient d'un côté son alliance avec f_illemagne et de l ' autre son amitié arec la rrance, corroborée d'une adhésion aux accords qui règlent la situation dans la Méditerranée et y reconnaissent les intérêts légitimes et les droits éventuels de l' Italie. I1 est invraisemblable qu'à cette époque le gouvernement allié, c'est-à- dire l'Alleman' ai'. pas été, sinon. consulté, au moins tenu ai ., courant des négociations et des décisions du gouvernement italien . Par conséquent, c~est alors que l'attitude de l 'Italie a été netteritentpréciséa, et rien ne permet de croire que la Consaita se soit juinais écartée de la voie tracée . On peut même dire que la situation toute spéciale de l'Italie entre l'Allemagne et la France a pu contribuer à empêcher que le malentendu à propos du Maroc ne dégéuérât 5 il , moment donné en crise cligne ou en conflit . En effet, M. Ti>toni n ' a jamais caché, mère ait, : haire-, les plus inquiétantes clés atermoiements dans les négociations entre les gouvernements français et allemand, la confiance qu'il avait dans une solution pacifique Quand sest produit le dernier incident entre le malczen et la France, il est certain que l ' attitude de l'Italie n' a jamais nu porter ombrage à la puissance voisine et amie, et il n'est pas vraisemblable que cette ligne de conduite ait été adoptée à l ' insu de l'Alemagne. Tout cela établit clairement l ' influence bidnfaisa.nte de l'Italie dans l'affaire marocaine et en même temps une politique arrêtée dès la première heure. --ucune raison n 'imposa de changement dans cette politique. Si donc les ministres ont parlé du Maroc à Baden-Baden, ce ne pouvait être gui en vue de la réunion de la conférence internationale d 'Algésiras, et la situation de l ' Italie ]ni permettra d'être encore dans cette conférence cor élément pondérateur et un facteur de paix et d'entente définitive. EN CAS DE CONFUT AnGi,@ AGiIE,li1ND Un de nos confrères parisiens, a interviewé un homme d'Etat anglais, sur les conséquences possibles d'une guerre angl o-allemande. Cet homme d'Etat, dont les vues sont remarquables, est néanmoins doué d'un robuste optimisme. D'après lui, la flotte de guerre allemande, serait dé'ruite, douze jours après l ' ouverture des hostilités . Les ports de Kiel, IIambourg, Cuxhaven. Brême, Lubeck, Swinemunde, Danzig, seraient un monceau de ruines Et les Anglais débarqueraient 150 .000 hommes à l 'entrée du canal de Kiel. En outre, les unités allemandes en croisière seraient cueillies au fur et a mesure quelles seraient signalées . Le commerce allemand serait détruit, etc .. ., etc ... 11 n'est pas douteux que, comme le dit l 'homme d' Etat anglais, l ' amirauté britannique n'ait pris toutes ses mesures on vue d' assurer la destruction de la flotte allemande. ,,lais il faudrait connaître les mesures qu'a prises de son côté, l ' amirauté allemande. 11 est sûr que la navigation de commerce allemande, serait anéantie et ce serait une perte incalculable pour une puissance qui place maintenant son agionit sur l'eau. :dais la destruction de toute la flotte de guerre allemande, paraît aléatoire En tous cas, même blessée dans ses ports, elle ne serait sûrement pas dans la situation de la flotte russe à Port-Arthur. L ' Angleterre ide l'estomac, c'est en- 1 tendu. ,dais elle n'a pas les moyens de se pa} er le —écus complet d'un port de L, Saltique . r.t son corps .,e débarquent : ~t clé t r,o .co0 hommes jeté à ] ' entrée du de Kiel aurait clos chances de s'en ;Iller h l'eau. il convient de relev er également les aüirinations d- l'homme d'État anglais touchant le sor, des ports militaires de l'A i l cmagne. S'il est un enseignement indiscutable Qui ressort de la guerr- resso-japonaise dont la trame est encore si obscure, c'est précisément la puissance de résistance des forts de terre contre les plus puissantes bp.tteries de marine. Un canon à terre saut toujours un navire, à la mer. I 1 au,>mentition de portée de 1 artillerie donne encore plus de Je . r 5. utude a . . baüerics à la précision et au répérage du tir. Togo a rlî: _e oncer bombarder Port-Arthua autrement qu ' en tir indirect et lus résultats n'en ont pas été fîtPour en 'loir, tut conflit aunglo-aile- mand, serait ru n u~. pour l'humanité, et le commerce de, nations • entres i .'-i11em r r ue 3 sûrement beaucoup p l is éprolivéa que l'Angleterre. Mais la puissun(e 1 ,r itannioue n'en retirent urcnrant pas les avantages qu'elle escon— c 1 . ip.t rot de tors semble être d'empocher le cornu. Mi ;s que faire 7 Quand les tiens ycu'eat se battre et (,cils ont polir cela quelque raison cl'rnté'ièt particulier, il es! Lien diïLcile I'eiiip,~( her tôt nu tard clac rencontre désirée de part et d'antre. 1~nus wons ripe noir-,eile guerre ee 'b perspective . Et M . d 'Estournelle de Co .stant, devrait bien, tout d'abord s'en aller catéc hiser et le Kaiser et le roi EdouardP. S. àgina lfôtel 5ernaseou Ps tout I. uw• Or Ire LA CRISE IIu :~1ROI ... Lorsque l'empereur François-Joseph lança, le e.3 septembre dernier, son ultimatum dans lequel il sig-niliait si nettement son intention de rester sur ses positions si on ose dire. et de repousser toute combinaison qui tendrait à modifier son programme a l'égard de la Hong rie,il se produisit un sentiment de profond découragement dans l 'opinion austro-hongroise . Il tallait abandonner semblait-il, tout espoir de voir se dé,nouer pacifiquement cette grave crise On entrevoyait déjà les pires éventualités Que s est.-il passé depuis lors dans l'esprit. du souverain? Le mystère impénétrable est celui qui règne autour du palais du Sultan . Il est certain pourtant que l'Empereur paraît avoir réfléchi sur les inconvénients de l'attitude intransigeante qu'il avait d'abord adoptée dans la question des remaniements de la Constitution hongroise . I Sa Majesté n'entend en aucune façon limiter le domaine légal de la Constitution déclare aujourd'hui le baron Fejervary. La volonté impériale admet donc l'idée d'une éventuelle révision de ce mécanisme compliqué, dont les rouages sont désormais usés. Mieux encore : François-joseph a c-nnsenti à écouter le président de la Chambre clés magnats, dont le programme modéré constitue un , mmmuni, n acceptable des revendications hongroises. Et devant les „ faits nouveaux » l'espoir renaît ; on entrevoit la possibilité d'un compromis honorable qui metTrait fin à une situation qui devient cha. que jour plus périlleuse pour l'empire. Nous concevons parfaitement que ]'Empereur ne puisse abdiquer les principes sur lesquels repose la base fondamentale de son autorité : ainsi l'unité de commandement d ans l'armée nustr0hongroise. Il semble pourtant que le prestige impérial n'aurait pas à souffrir d'une transaction sur la question du suffrage, bien que cette concession offre sans doute des inconvénients au point de vue de la tranquilité intérieure de la monarchie. Mais il importe du se rappeler également que la tension actuelle, en se prolongeant, menace d'entrainer une crise politique et économique dont l'Autriche aussi bien que la Hongrie est appelée à subir les conséquences. `±OTEia DEIS l AJLUIEIZI ET DEB PBJENC"I M ♦n ..Igao e.r Iw /lw N 1'ietlrsl . —~Mei°! .. .. r ..rtir T o . ., ~•° . .. .awd., . ~ 1...,e. Le Secret du Japon ICakasu OkaIura, dans son ouvrage l'IdEa[ de L'Orient, avanco quo la règle suprême de 1e. rio au -lapon ut le sacrifico de soi-mère à la cmmm~nauté . L'art est pprisé pour les services qu'il rend à la société. La musique e :d: placée au o:'anier rang, son rôle étant de fair, régner parmi les hommes la bonne harmonie. L'éducation poétique est si répandue que fréquemment pendant Ils haltes, au cours d'une marche, on voit un soldat tirer sa tablette et écrire unrioéme sur une scène dont il a été témoin. Loi des pélerinagcs religieux, las pél,rius les plus pauvres écrivent un petit sonnet dans- l'endroit où ils se sont , .posés pen(lant lz nuit. Des gens en prom,eadr-, un jour de tète, marchant avec lcun, sandale : le bois, se in-tient à marquer le pas zei_in mi rythme. Un r” acr r --s "[ans le bl,ntbty ifrtrme il la"', .I . .nais mPn' que si le Japonais ont étc evx de leurs ennemis. c'es! à lest smr i lue ..- qu'ils le doivent Cultivez li n . ., t qu 1-, musique greeque surtout, et C, a1, r. adoucissons pas nos mceurs . rnnm r s cor moins capables des exploita les i~lnsvaleurcix. A .ITIFÎRA P .LACE ÉîOTEL PU" CE DE GA LLED . z, ,>,-e .z. Haata¢ran : e la aile t cri•,,Aaee 1. TarCic A'Hir .• Hai¢A r~rr 5 . nec . en Liyd- .i l'H6te1. , .n .c ., nr Hv. n~ .,rn-• La Justice du a bon juge On a vu, par une lettre rendue publique, que Al . le président Magnaud reconnaît, très ingénument cette ingénuité semble même friser l'inconscience que le motif de son ressentinient contre _ri . Vallé est que ce dernier ne lui a pas :accordé la présidence du Tribunal de Remis, à laquelle il aspirait C'est pour cela seul, malgré toutes les belles phrases dont il colorait son intention, que le ai bon juge» avait songé à se présenter contre son ancien chef . Les « considérants étaient forts pompeux, mais le „ dispositif » restait assez mesquin. En présence de l'accueil qui a été fait à cet essai de candidature, M . Magnaud a prestement battu en retraite. Les motifs de se rancune contre M. Val1é rien sont pas moins acquis, et ils prouvent que cet inflexible justicier paraît avoir, quand .- s'agit de lui-même, une singulilre idée de la justice. En effet, le Tribunal de ChâteauThierry qu'il préside, n'est que de troisième classe . Et il voulait être appelé d'emblée à celui de Reims, qui est de première ! Il fait valoir, il est vrai, qu'il y a dix-huit ans qu'il est à Château-Thierry . C'est entendu ; mais il n'y est depuis si longtemps que parce qu'il a bien voulu, et qu'il a orgueilleusement refusé les avancements blérarchiques qu'on lui offrait. M . Magnaud n'a jamais consenti, par exemple, à devenir conseiller, pour ne pas ètre noyé clans une Cour. Il lui faut une présidence pour continuer à rendre des jugements qui le signalent à l'attention pub'.ique, Et tout en refusant d'avancer normalement, il se prévaut de plus en plus de l'oubli dont il est victime à Château-Thierry. A ce compte, il n'y aura pas de raison, lorsqu'il y sera resté encore une trentaine d'années, pour qu'il ne veuille. pas obtenir de plain-pied, la première présidence de la Cour de cassation. Et peut-être alors, l'expérience étant venue avec l'àge, en profiterait-il sagement pour casser la plupart des jugements qu'il aura rendus dans sa carrière. .. L'AGè DE LA LECTURE La bibliothèque publique de Cambridge a voulu savoir à quel âge on Iisait le plus, et elle a dressé cette intéressante statistique : A quatorze ans, des lecteurs lisent chaque année, 43 volumes ; à trente ans, 174 volumes ; à cinquante ans, 27 volumes, et à soixante ans, les lecteurs se bornent à 14 volumes Et maintenant, que lit-on a chacun des âges de la vie? Voilà ce qui serait au moins aussi important de connaître' Nous demandons un supplément d'enquête. Voir A la mi ~rri .an,r. I. régénérateur d .s chat"cus,~Roval ~lT tnds, gai 1 B171 AiQ gEJODg ~® Ouvvt au 1•• Oetobrn ¢u t+Jeiu U . HwLer ne cr Hca n~n rr .rv, pro prietairo. ~hroniq ue ~c~~~~le ese....~.wvw.. Exposilion de Fleurs, Fruits et Ligumes. — Conformément à la décision prise par Io Conseil d'administration de Lt Société Centrale d'Agriculture, dans sa séance du 18 mai dernier, une Exposition nationale de chrysanthèmes et fruits, légumes. plantes fleuries, etc ., sera tenue en l'Hôtel de la Société, 113, promenade des Anglais, à Nice, les vendredi 27, samedi z$, et dimanche eg octobre i9o5. Tous les horticulteurs et arm :rte ers français et ceux de la Principauté de M.oaco, sont invités à prendre à cette Exposition la plus grande part possible. Les récompenses consisteront en Grand Prix d'Honneur (objet d'art ou grande médaille d'or), objets d'art, médailles d'or, grandes médailles de vermeil, médailles de vermeil, grandes médailles d'argent, médailles d'argent, médailles de bronze, mentions honorables et certificats de mérite. U . diplôme accompagnera chaque récompense obtenue. Toutes les récompenses seront laissées à la libre appréciation du jury, dont les décisiens seront SOn~'ermnCS. Dans le cas où un exposant obtiendrait plusieurs réc,~lipens-es, il ne lui sera délivré que celle de l'ordre la plus élevé et seulement les diplômes des autres. Lecture du palmarès sera tonnée à l'issue de l'Exposition et les récompenses et diplômes seront distribués lors de l'assemblée générale de tau t p o .;ir m Les récompenses +nu rein nGcs trois mois après le jour 1 la distribution ne seront plus d lr re_s et resteront de droit acquis,~ .i I Socr-t .•. Lacis ics g'm's lu plantes où i1 y- a pi_usieurs coucous e diriérant entre eux que par le nombre de sujets, le mène exposant ne pourca prendre part qu'à un seul de ces concours. Dans les ~;oncours de collections, il ne sera acccp qu'un sp~cimmr de choque variété ou une assiette de chaque sorte de fruits. Dan.; !,s concours de collections où le nombre des vegé taux est hxé, les Exposants seront tous de ne présenter que le nombre indiqué au programme. Dans les concoum de collections en fleurs coupées, (lent le nombre n'est pas limité au programme, il ne sera p.2 accepté plus de cinq carafe ; pour une msnuo vaciétc. Chaque prescntation formant un concours devra étre nettement s•_par_e. Dans l'emplacement spécial -~f-,cté aux zou icés, il ne sera accepté plus de cinq n >l .üres ou potées pour chaque nousutc. La ut-me plant .- pourra Z.tr%e repr"scntée dan le lot d ' . . rio .ant avec le nor .bre indiqué a p .corme. Les con, .: r , :esteront entre horticult- i s, jardiniers, instituteur, dir -tours a ) -_mie ch- s des établissements snbscn . : .cal t Socrtls d'horticulture en nom collecti_. Ne seront a.lmis av la mention hors concours que !as produits des jardins publics ou scientifiques ; ceux tics , :,posants faisant partie uu Jury, ainsi que ceux des exposants ayant obtenu un grau 1 prie d'honneur à une des trois —positions précédentes. Cor, i'r cl, la CJte d'Azur (D .S.F.S .A .) .— Coranissioa dr Fo~~lti /t . — :',près le, -agmhques r ula tt obtenus par les épreuves de na, tl n 2- rai le Comité de la Côte tl'Az.v, celui-ci en tâcher de continuer cette clic de s clans l'organisation des c,,a nia , il ,L, le tuotball. M . L<,ice, pr; sidcnt de l'A. S. C. a été chargé de la constitution de la commission de tootLall-bi-oaru fion . La ;u arpe~cu~e et le ciccoaenmat qu'il n'a c—s d'apporter à ce sport le d,signaicet pour diriger cette commvliton. La prcmiére réunion aura lices à Cannes, jeudi 5 contant, au sicge de l'A . S . C. Café de l'Abeili Sq, r- d'Antib--s. A . sujet du lie : (L; Lr r^-anr,n _la il nous soit psmis d'adresser nos f'li ituions au Conùté . En faisant couvre de décentralisation ii iaci :itcra je dépl :.camca : des nombzcuscs sociétés d'Antrbas, Vaitaurin• Cannes . lesquelles etaicrit toujours obliges d'effectuer le voyage à Nice . Cette mc>urc égalitaire sera bien appréciée par les groupements sportifs intéressés. A. Imaaoer de suite 4e., rue Cl'Antibes, un passage avec galerie v'trée. Syndicat des Transways de Cannes — Les membres du Syndicat des Tramcvavs de Cannes, se réuniront ce soir, à 9 heures rl_ au siége social, café de la maison Dorée, ter étage-. Organisation du banquet ; Questlons diverses ; cotisations. Pour les p¢wores . — La quète faite au mariage, célébre, hier, à la Mairie, a produit la connue du 7 francs 90 centimes, pour les pauvres. Les arrivages de raisins . — Les arrivages de raisins, eu gare de la Bocca P . V. qui avaient subi un ralentissement, à cause des mauvais temps de la semaine dernière, ont repris avec intensité. Hier, il est arrivé à cette Gare, environ 5o .000 kilos de raisins, qui se sont vendus entre t, et r3 francs Ics roo kilos. Ces raisins proviennent en grande partie de ]a partie haute du Var. e rr ir Les arrivages de raisins sont toujours de plus en plus nombreux à la place Gambetta (ex-place Châteaudun) qui devient ainsi un marché important. Au Port.— Le vapeur -4 mphion, venant de Marseille, est arrivé au port, avec r5o tonnes de marchandises pour divers négociants de notre ville. Breael Elémmtaire . — Nous apprenons, avec le plus grand plaisir, que le jeune Lanzi, fils de M . Lanzi, facteur des postes à Cannes, vient de subir, avec succès les épreuves du brevet élémentaire de capacité, qui se sont terminées, hier, à Nice. Nous adressons nos plus vives félicitations au jeune et studieux lauriat, ainsi qu'à ses professeurs .