La rénovaon des bâments abbaaux
Une volonté polique
Un pôle de développement culturel et économique
Commune de la Chaise-Dieu – Juin 2013
L’abbaye de La Chaise-Dieu a conservé l’ensemble des bâments
abbaaux. Son site à la fois grandiose et austère ne manque pas
d’impressionner. La marque de son fondateur, saint Robert, reste,
et fait de l’abbaale un haut lieu spirituel. Au cours des ans, ont été
rassemblées des œuvres d’art remarquables : la fresque de la danse
macabre, les tapisseries, l’orgue . La pete commune de La Chaise-
Dieu (800 habitants) a toujours eu beaucoup de mal, même avec
l’aide de l’Etat, à entretenir cet énorme patrimoine. La créaon du
syndicat mixte va enn lui permere de concréser ses projets.
A l’iniave de Gérard Roche, sénateur et président du conseil général de la Haute-Loire, le projet de mise en valeur du site de
l’abbaye a été coné à un syndicat mixte regroupant la commune de La Chaise-Dieu, le communauté de communes du plateau
de La Chaise-Dieu et le département de la Haute-Loire. Il a également mobilisé l’ensemble des acteurs concernés
* L’Etat, et en parculier, la D.R.A.C. Auvergne
* La Région Auvergne
* Le Fesval et l’Académie de musique
* Les Frères de Saint-Jean et Les amis de l’abbaale Saint-Robert
Une enveloppe de 18 millions d’Euros a été aectée à ce projet ; projet ; l’Etat et le conseil général interviennent à même hau-
teur. Le conseil régional, l’Europe, la commune de La Chaise-Dieu et la communauté de communes du plateau de La Chaise-
Dieu (pour 2,5% chacune) complètent le nancement.
La première pare du projet (Auditorium, Chapelle des Pénitents, aile Ouest) a été conée à Stefan Manciulescu, architecte en
chef des monuments historiques (Clamart), le reste du projet (cloître, abbaale, aile de l’écho, porte du For) à Richard Goulois,
architecte du patrimoine (Saint-Chamond).
L’ambion de ce projet est de mere en valeur ce
patrimoine religieux et culturel, tout en
poursuivant le développement du pôle musical
constué par le Fesval et l’Académie de
musique. Retrouver la fréquentaon que l’abbaye
connaissait vers 1960 servira bien sûr l’économie
locale, mais constuera un pôle de
développement culturel et économique pour la
Haute-Loire et l‘Auvergne.
La mise en valeur
d’un patrimoine exceponnel