Les chèvres.
Les chèvres étaient retournées à l'état sauvage.
Mais comme presque toutes les bêtes qui vivent
en liberté, elles s'étaient organisées en groupes
que commandaient les boucs les plus forts et les
plus sages. Ces maîtres boucs obéissaient eux-
mêmes à un roi bouc d'une taille et d'une force
terribles, qui s'appelait Andoar. En cas de danger,
le troupeau se rassemblait, les bêtes du premier
rang baissaient la tête pour former une barrière
infranchissable.
Les chèvres.
Les chèvres étaient retournées à l'état sauvage.
Mais comme presque toutes les bêtes qui vivent
en liberté, elles s'étaient organisées en groupes
que commandaient les boucs les plus forts et les
plus sages. Ces maîtres boucs obéissaient eux-
mêmes à un roi bouc d'une taille et d'une force
terribles, qui s'appelait Andoar. En cas de danger,
le troupeau se rassemblait, les bêtes du premier
rang baissaient la tête pour former une barrière
infranchissable.
Les chèvres.
Les chèvres étaient retournées à l'état sauvage.
Mais comme presque toutes les bêtes qui vivent
en liberté, elles s'étaient organisées en groupes
que commandaient les boucs les plus forts et les
plus sages. Ces maîtres boucs obéissaient eux-
mêmes à un roi bouc d'une taille et d'une force
terribles, qui s'appelait Andoar. En cas de danger,
le troupeau se rassemblait, les bêtes du premier
rang baissaient la tête pour former une barrière
infranchissable.
Les chèvres.
Les chèvres étaient retournées à l'état sauvage.
Mais comme presque toutes les bêtes qui vivent
en liberté, elles s'étaient organisées en groupes
que commandaient les boucs les plus forts et les
plus sages. Ces maîtres boucs obéissaient eux-
mêmes à un roi bouc d'une taille et d'une force
terribles, qui s'appelait Andoar. En cas de danger,
le troupeau se rassemblait, les bêtes du premier
rang baissaient la tête pour former une barrière
infranchissable.
Les chèvres.
Les chèvres étaient retournées à l'état sauvage.
Mais comme presque toutes les bêtes qui vivent
en liberté, elles s'étaient organisées en groupes
que commandaient les boucs les plus forts et les
plus sages. Ces maîtres boucs obéissaient eux-
mêmes à un roi bouc d'une taille et d'une force
terribles, qui s'appelait Andoar. En cas de danger,
le troupeau se rassemblait, les bêtes du premier
rang baissaient la tête pour former une barrière
infranchissable.
Les chèvres.
Les chèvres étaient retournées à l'état sauvage.
Mais comme presque toutes les bêtes qui vivent
en liberté, elles s'étaient organisées en groupes
que commandaient les boucs les plus forts et les
plus sages. Ces maîtres boucs obéissaient eux-
mêmes à un roi bouc d'une taille et d'une force
terribles, qui s'appelait Andoar. En cas de danger,
le troupeau se rassemblait, les bêtes du premier
rang baissaient la tête pour former une barrière
infranchissable.
Les chèvres.
Les chèvres étaient retournées à l'état sauvage.
Mais comme presque toutes les bêtes qui vivent
en liberté, elles s'étaient organisées en groupes
que commandaient les boucs les plus forts et les
plus sages. Ces maîtres boucs obéissaient eux-
mêmes à un roi bouc d'une taille et d'une force
terribles, qui s'appelait Andoar. En cas de danger,
le troupeau se rassemblait, les bêtes du premier
rang baissaient la tête pour former une barrière
infranchissable.
Les chèvres.
Les chèvres étaient retournées à l'état sauvage.
Mais comme presque toutes les bêtes qui vivent
en liberté, elles s'étaient organisées en groupes
que commandaient les boucs les plus forts et les
plus sages. Ces maîtres boucs obéissaient eux-
mêmes à un roi bouc d'une taille et d'une force
terribles, qui s'appelait Andoar. En cas de danger,
le troupeau se rassemblait, les bêtes du premier
rang baissaient la tête pour former une barrière
infranchissable.
Les chèvres.
Les chèvres étaient retournées à l'état sauvage.
Mais comme presque toutes les bêtes qui vivent
en liberté, elles s'étaient organisées en groupes
que commandaient les boucs les plus forts et les
plus sages. Ces maîtres boucs obéissaient eux-
mêmes à un roi bouc d'une taille et d'une force
terribles, qui s'appelait Andoar. En cas de danger,
le troupeau se rassemblait, les bêtes du premier
rang baissaient la tête pour former une barrière
infranchissable.