´2) Patients avec trouble lié à une substance
pourraient avoir présentation similaire au TPL en
raison des effets de l’abus/dépendance, plutôt que
de la personnalité de base.
´Entrevues mettant l’emphase sur la présence des Sx
du TPL, en dehors des périodes de consommation,
font chuter la prévalence de 61 à 46% (donc
association est moindre, mais demeure significative
entre les deux Dx).
(Rounsaville et al., 1998)
´3) Les deux troubles partagent des facteurs étiologiques
communs:
«Notion supportée par une des études de la Colaborative
Longitudinal Personality Disorders Study (CLPDS)
Sur 7 ans, TPL ont plus de chance de développer un trouble lié
à une substance qu’ils n’avaient pas au point de départ,
comparé aux contrôles (TPOC), sans égard au fait que le TPL
soit entré en rémission ou non, avec le temps.
²13 % contre 6% pour ROH (P = 0,044)
²11% contre 4% pour autres drogues (P = 0,006)
(Walter, Gunderson, et al. 2008)