Le pouvoir des principes de la féodalité au Moyen-Âge.

Le pouvoir des principes de la féodalité au Moyen-Âge.
Introduction
L?histoire est marquée par plusieurs époques et des événements qui ont changé au fil du temps. Le Moyen-Âge est
une époque connue pour l'importance de la religion.Il débute vers les années 500 après Jésus-Christ jusqu'au
années 1500. Elle est marquée par l?évolution des arts, de la science, de la religion, de la culture, du grand pouvoir
exercé et de la guerre. Dans ce texte qui suit, nous verrons les quatre valeurs du Moyen-Âge dont la fidélité des
gens envers l?église, la fidélité entre suzerain et vassaux, entre paysans et seigneurs ainsi que la fidélité entre
époux. Ces valeurs forment les principes féodales qui sont des importants pouvoirs dans la société.
Développement
La fidélité des gens envers l?Église
«Le christianisme est au c?ur de l'histoire médiévale : il modèle la pensée de la période, principalement en raison
de son universalisme et à cause de la montée en puissance, en Occident.» Le christianisme était devenu une
obligation pour chaque individu. C?est ainsi que l?Église prend le pouvoir et met en place une hiérarchie nommé
Ecclésiastique. Le clergé se faisait respecter et obéir au doigt et à l??il par ses nombreux fidèles. C?est eux qui
amenaient les sacrements nécessaires pour le salut de l?âme et ils exerçaient les fonctions sociales telles que la
charité, l?éducation des enfants et les soins médicales. Le curé baptisait les enfants, mariait les nouveaux couples,
bénissait les moissons, il écoutait les confessions des gens et pardonnait leurs péchés. L?église servait de lieu de
rencontre chaque dimanche et elle était toujours au c?ur du village pour montrer l?importance du christianisme.
Dans cette période du siècle, les fidèles manifestaient leur foi et pouvaient faire tout ce que l?église leur demandait.
C?est ainsi que plusieurs participèrent aux croisades pour construire de nouveaux chemins pour le pèlerinage.
La religion reflétait une formation sociale et religieuse. La majorité des gens de l?Europe du Moyen-Âge étaient
chrétiens et devaient être baptisés au moment même de leur naissance. Ils devaient sans exception participer à tous
les rites ecclésiastiques que l?Église imposait. Cette période est une époque de la mystique chrétienne. La peur de
l?enfer et du diable augmentait la croyance des gens. L?Église catholique faisait payer des impôts à chaque
habitant. Chaque chrétien donnait une dîme à chaque fin du mois et si les croyants n?obéissaient pas, ils étaient vus
comme pécheurs et ils pouvaient, ensuite, être bannis du village.
La fidélité entre suzerains et vassaux
Les vassaux étaient des chevaliers qui devaient se lier à un suzerain. Pour devenir vassal, il y avait une cérémonie
comportant trois étapes importantes à passer. La première, était l?hommage où le vassal devait prononcer « je le
veux ». Ensuite, il y avait le serment où, avec les mains jointes, le vassal devait prononcer le serment qui était
effectué sur un objet très sacré comme la bible ou une relique. Finalement, il y avait l?investiture où le seigneur
remettait un «fief» à son vassal, le fief était une terre où le vassal pouvait obtenir des revenus. Après cette
cérémonie, le vassal ne pouvait pas nuire à son suzerain, à sa famille et à ses biens. Il devait promettre à son
seigneur de l?aider financièrement et militairement. Il devait donner de l?argent où des cadeaux lorsqu?il voulait se
marier avec la fille aînée de son suzerain. Les vassaux devaient aussi participer aux assemblées féodales afin de
fournir des conseils à leur seigneur puisque celui-ci ne pouvait pas prendre aucune décision sans son vassal. Le
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vassal qui manquait à une des obligations était considéré comme félon, qui signifie traître et celui-ci pouvait
mériter la mort.
Il devait également protéger son vassal contre tous ses ennemis et lui rendre justice et ce, jusqu'à la mort . Le
seigneur pouvait imposer le droit de punir et le droit de juger son propre vassal. Le suzerain et son vassal se
devaient d'être loyal l'un envers l'autre. Le vassal devait servir corps et âme son maître, tandis que le suzerain
devait protéger son vassal de toutes ses forces. Si le seigneur n?accomplissait pas son obligation envers son vassal,
« Le vassal le désavoue, il saisit le seigneur du seigneur. Le seigneur désavoué est jugé par ses pairs et le vassal
plaignant devient alors le vassal du seigneur du seigneur désavoué.»
La fidélité entre paysans et seigneurs
Les paysans devaient donner leurs meilleurs biens en agriculture, en meubles ou en l?argent à leur seigneur. Les
seigneurs avaient une très grande autorité envers les paysans de l?époque. En d'autres mots, ils étaient les esclaves
des seigneurs. Sans l?accord du seigneur, les paysans hommes ne pouvaient pas se mariés, à condition qu?ils
versent un impôt sur la future mariée. Les seigneurs étaient des propriétaires terriens et ils devaient assurer la
prospérité de leur fief (terre) afin de pouvoir trouver des solutions aux problèmes agricoles de l?époque. De plus,
ils exerçaient sur les paysans un très grand pouvoir seigneurial appelé le ban. Le ban leur donnaient quatre droits
qu'ils pouvaient exercés. La justice était la première, le deuxième était le droit de corvée qui : « Dit qu'un paysan
peut être affecté à tous genre de corvée sous la gouverne de son seigneur » , le troisième était le droit de la monnaie
et enfin le droit de paysage qui était que tous les paysans devaient payer en main propre le cens (impôt) à son
seigneur à une date fixe. Les paysans devaient satisfaire aux exigences du maîtres. Ils devaient rester soumis
jusqu'à leur affranchissement ou leur mort.
La fidélité entre les époux
Dans le Moyen-Âge, le mariage était considéré comme une tradition qui peu à peu, est devenu une grande
importance dans la société. Le modèle du mariage chrétien était basé sur une relation monogamique, qui signifie un
mariage seulement entre un homme et une femme. Le mariage est une invention médiévale qui date du treizième
siècle. Lorsqu?il y avait un mariage, l?homme et la jeune femme devaient faire un échange de terre à la famille.
Dès leur enfance, leur union était décidé par les parents. Les jeunes femmes étaient mariés généralement à l'âge de
quatorze ans et à l'âge de douze ans pour les hommes. La plupart du temps, les jeunes mariés ne s?épousait pas par
amour, mais par obligation. La femme devait accepter le choix du père ou de sa famille, quel que soit l?homme. Si
ils ne voulaient pas se mariés, ils étaient déshérités par leurs parents. Chaque femme devait être vierge avant le
mariage. Une pure femme garantissait la fidélité que la femme aura après son mariage envers son époux. Cette
fixation sur la virginité de la femme était une des valeurs importante chez les femmes du Moyen-Âge. La virginité
signifié la pureté chez la femme et devait être très privé jusqu'à la nuit de noce. Le divorce était accepté par le
prêtre s?il y avait un problème de stérilité, d?impuissance chez l?homme ou si la femme était obligée d?entrer au
couvant. Sinon, le divorce n'était pas acceptable. Les époux se devaient fidélité tout au long de leur mariage. Par
contre, au Moyen-Âge, l?époux pouvait tuer sa femme si celle-ci commettait adultère et il pouvait la persécuter
toute nue devant tout le peuple.
Conclusion
En conclusion, le Moyen-Âge fut une période très différente par rapport autres époques. Elle s?est démarquée par
sa société différente, sa culture, sa religion, par sa politique et par ses arts. Les temps modernes ont vraiment
évolué en comparaison au Moyen-âge où la liberté des gens était en quelque sorte manipulée. Chaque
caractéristique de cette époque a contribué à permettre des changements pour chaque période qui a suivi.
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Bibliographie
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