Campagne « Arrêt cardiaque : 1 vie = 3 gestes »

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Campagne
« Arrêt cardiaque : 1 vie = 3 gestes »
DOSSIER DE PRESSE du 19 janvier 2008
SOMMAIRE
Fiche 1
Lancement de la campagne annuelle d'information grand
public : « Arrêt cardiaque : 1 vie = 3 gestes »
p.3
Fiche 2
Reconnaître l'arrêt cardiaque pour sauver des vies
p.5
Fiche 3
Que faire en cas d'arrêt cardiaque? Appeler, masser,
défibriller
p.6
Fiche 4
Résultats de l'étude FFC - TNS Healthcare "les Français et
l'arrêt cardiaque" : un besoin d'information et de formation
p.7
Fiche 5
Équipement en défibrillateurs automatiques ou semiautomatiques externes : état des lieux
p.8
Contacts presse :
Charlyne Saudrais - i&e Consultants
Tél. : 01 56 03 12 16 - [email protected]
Céline Dos Santos - Fédération Française de Cardiologie
Tél. : 01 44 90 70 21 - [email protected]
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Fiche 1
Lancement de la campagne annuelle d’information grand public de
la Fédération Française de Cardiologie :
« Arrêt cardiaque : 1 vie = 3 gestes »
La Fédération Française de Cardiologie lance en janvier 2008 sa campagne annuelle
d’information grand public sur le thème « Arrêt cardiaque : 1 vie = 3 gestes ». Soutenue par
plusieurs acteurs éminents de la cardiologie, de l’urgence médicale et du secourisme, cette
campagne poursuit un double objectif : inciter le grand public à se former aux gestes de
premiers secours et encourager l’équipement en défibrillateurs des lieux publics et des
entreprises.
Site Internet, film pédagogique, diffusion de brochures, actions d’influence et événements en
régions rythmeront l’ensemble de l’année 2008.
Le coup d’envoi de la campagne aura lieu le samedi 19 janvier 2008, lors d’une conférence
publique gratuite au Palais des congrès de Paris, en marge des Journées européennes de la
Société Française de Cardiologie.
Un moment idéal pour sensibiliser le grand public, les élus et les entreprises
50 000 personnes décèdent chaque année d’un arrêt cardiaque en France. De même, seulement 7 % environ
des Français sont formés aux gestes qui sauvent. Notre pays accuse ainsi un sérieux retard en termes de survie
après un arrêt cardiaque : moins de 3% !
Or dans certains pays où la population est davantage formée et où les lieux publics et privés sont mieux
équipés en défibrillateurs automatisés externes, ce taux de survie peut atteindre 30 %.
Par une recommandation publiée en janvier 2007, l’Académie de Médecine encourage la sensibilisation et la
formation du grand public aux gestes de premiers secours. Par ailleurs, depuis le décret du 4 mai 2007, le grand
public est enfin autorisé à utiliser un défibrillateur alors que jusqu’ici, seuls les secours pouvaient le faire.
Dans ce contexte favorable, le moment est venu de sensibiliser le grand public à cette pathologie et de l’inciter à
se former aux gestes qui sauvent. C’est aussi l’occasion pour les acteurs de la cardiologie et du secourisme de
se mobiliser pour inciter les élus locaux et les entreprises à s’équiper en défibrillateurs automatisés
externes et à former leur personnel, leurs administrés.
3 gestes simples pour sauver une vie
Aujourd’hui, les techniques thérapeutiques en matière de récupération d’un arrêt cardiaque sont
très avancées. Encore faut-il que les personnes victimes d’un arrêt cardiaque soient conduites
encore en vie à l’hôpital. C’est pourquoi le rôle des premiers témoins est primordial : c’est à eux
d’agir au plus vite en attendant les secours pour augmenter les chances de survie.
•
•
•
Appeler le 15 (le Samu) pour prévenir les secours et déclencher la chaîne de survie ;
Pratiquer le massage cardiaque en exerçant des séries de 30 compressions sur le
thorax de la victime. On peut aussi pratiquer la ventilation artificielle (bouche-à-bouche)
si on sait la faire. Sinon, il faut continuer à masser le cœur jusqu’à l’arrivée de secours ;
Utiliser un défibrillateur automatisé externe si un tel appareil est disponible à
proximité.
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Le dispositif de la Campagne « Arrêt cardiaque : 1 vie = 3 gestes » en 2008
- 19 janvier :
- Conférence publique gratuite en présence de l’ensemble des partenaires de la campagne au Palais
des congrès de Paris, en marge des Journées européennes de la Société Française de Cardiologie
(14h-16h30 - Amphithéâtre Bordeaux) : information, diffusion du film pédagogique « 1vie = 3 gestes »,
démonstrations des gestes qui sauvent et de l’utilisation des défibrillateurs automatisés externes.
- Mise en ligne du site Internet www.1vie3gestes.com
- Février :
- Campagne media dans la presse généraliste et la presse des élus
- Actions d’influence menées en régions auprès des élus et des entreprises, pour les inciter à
s’équiper en défibrillateurs automatisés externes et à former leur personnel/ leurs administrés
- Septembre :
- Insertion de la problématique de l’arrêt cardiaque et des gestes qui sauvent dans la série
Plus belle la vie sur France 3
- Semaine du cœur (22-29 septembre) : formations aux gestes qui sauvent, conférences publiques,
journées portes ouvertes dans les hôpitaux et dans les Maisons du cœur… une quarantaine
d’événements sur le terrain pour sensibiliser le grand public et l’inciter à se former.
- Présence de la campagne « Arrêt cardiaque : 1 vie = 3 gestes » lors des grands congrès de cardiologie :
Printemps de la cardiologie (Montpellier, 31 mai), Congrès des cardiologues libéraux (Nice, octobre).
Les acteurs de la campagne
De nombreux acteurs éminents du monde de la cardiologie, de l’urgence médicale et du secourisme se
joignent cette année à la Fédération Française de Cardiologie pour conduire sa campagne d’information
annuelle. Tous ont à cœur de se mobiliser afin de sensibiliser un maximum de Français à cet enjeu de santé
publique.
Conseil Français de Réanimation Cardiopulmonaire
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Fiche 2
Reconnaître l’arrêt cardiaque pour sauver des vies
50 000 personnes par an en France décèdent prématurément d’un arrêt cardiaque (ou cardiorespiratoire). Dû à un trouble du rythme, l’arrêt cardiaque provoque un arrêt de la respiration et
une perte de connaissance.
Or beaucoup de ces victimes pourraient être sauvées si les premiers témoins agissaient sans
attendre pour relancer le coeur. Il est donc primordial de savoir reconnaître l’arrêt cardiaque et
de réaliser au plus tôt 3 gestes simples : appeler le 15 (SAMU), masser et défibriller le cœur de la
victime. Chaque minute gagnée, c’est 10% de chances de survie en plus !
L’arrêt cardiaque n’est pas une fatalité : chacun peut agir pour sauver des vies
L’arrêt cardiaque provoque aujourd’hui près de 50 000 décès prématurés par an en France, soit environ
130 par jour. Cela représente dix fois plus de victimes que les accidents de la route !
Seules 2 à 3 % des personnes ayant subi un arrêt cardiaque y survivent, faute d’intervention précoce par un
massage cardiaque et/ou une défibrillation du cœur.
7 fois sur 10, l’arrêt cardiaque survient devant témoins, or moins de 20% d’entre eux font les gestes qui
sauvent. Les chances de survie à un arrêt cardiaque pourraient donc être considérablement augmentées si les
premiers témoins de l’accident agissaient immédiatement en réalisant les gestes de premiers secours. Car 4
victimes sur 5 ayant survécu à un arrêt cardiaque ont bénéficié de ces gestes simples, pratiqués par le premier
témoin.
Comment reconnaître l’arrêt cardiaque ?
La victime perd connaissance. Elle tombe et n’a aucune réaction quand on lui parle, quand on la stimule.
Sa respiration est inexistante ou très irrégulière. Sa poitrine ne se soulève pas.
Que s’est-il passé ? L’arrêt cardiaque ou cardio-respiratoire est dû à une désorganisation de l’activité électrique
du cœur. Un trouble du rythme (tachycardie, bradycardie…) empêche soudain le cœur de pomper le sang et de
le faire circuler dans l’organisme, privant ainsi les cellules de l’oxygène nécessaire. Cet accident est mortel en
quelques minutes en l’absence de prise en charge. Une intervention précoce peut faire repartir le cœur et éviter
ainsi de lourdes séquelles.
Pourquoi fait-on un arrêt cardiaque ?
90% des arrêts cardiaques ont une cause cardiovasculaire. Le plus souvent, la fibrillation ventriculaire qui
provoque l’arrêt cardiaque est une complication d’un infarctus du myocarde. Quand c’est le cas, les signes
annonciateurs sont identiques à ceux de l’infarctus du myocarde : grande douleur thoracique qui s’étend
jusqu’au(x) bras, une sensation d’oppression, d’étouffement voire d’écrasement. Mais l’arrêt cardiaque peut
également survenir brutalement sans aucun signe avant-coureur.
Il existe aussi d’autres causes à l’arrêt cardiaque comme la noyade, l’électrisation, l’intoxication, l’hypothermie,
l’overdose…
Témoin d’un arrêt cardiaque : 3 réflexes (cf. fiche 3)
Il est vital d’agir au plus tôt car au-delà de 5 minutes, si rien n’est fait,
le cerveau qui n’est plus oxygéné par le cœur, subit de graves dommages qui peuvent être irréversibles,
jusqu’à causer la mort de la victime.
Trois réflexes à acquérir : appeler le SAMU, masser et défibriller le cœur de la victime. Car chaque minute
gagnée, c’est 10% de chances de survie en plus !
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Fiche 3
Que faire en cas d’arrêt cardiaque ?
APPELER - MASSER - DEFIBRILLER
Trois gestes simples, pratiqués dès le premier instant, offrent à la victime d’un arrêt cardiaque
sa seule chance de survie. Le rôle du premier témoin est donc essentiel. Il doit appeler le 15
(SAMU), masser le cœur et pratiquer une défibrillation à l’aide d’un défibrillateur automatisé
externe. Ces gestes sont très simples : il est donc facile de s’y former et de les réaliser. Être prêt
quand le moment se présente permet d’agir avec sang-froid et avec une plus grande rapidité.
APPELER le 15 (SAMU) pour donner l’alerte
En premier lieu, il faut placer la victime dans une zone sécurisée, pour elle
comme pour le témoin.
Signaler qu’une personne a besoin de secours médicalisés d’urgence
permet d’enclencher immédiatement la chaîne de survie.
Au téléphone, il faut donner les informations nécessaires pour localiser la
victime afin que les secours se rendent auprès d’elle dans les plus brefs
délais (adresse précise, étage, code éventuel..). Il faut aussi décrire
précisément la situation : ce que le témoin a vu, ce qu’il a fait, s’il sait
pratiquer un massage cardiaque, afin que l’interlocuteur puisse le guider
au mieux jusqu’à l’arrivée des secours.
MASSER le coeur
La victime doit être allongée sur une surface dure et plane.
Le massage cardiaque ainsi que la ventilation artificielle par bouche-àbouche permet de se substituer au cœur qui ne réalise plus son travail de
pompe au sein de l’organisme. En effet, grâce au massage cardiaque, le
sang continue à circuler et ainsi alimenter en oxygène les cellules et surtout le
cerveau de la victime. Le bouche-à-bouche quant à lui permet de nourrir en
oxygène le sang. Néanmoins dans les premières minutes, il est possible de se
concentrer sur le massage, car il reste encore assez d’oxygène dans le sang.
 Comment faire ? Pratiquer 100 compressions par minute, par séquences
de 30. Pour cela, il faut se placer à genoux à côté de la victime, et positionner
ses mains l’une sur l’autre. Il faut ensuite appuyer de tout son corps sur son
thorax et enfoncer ses mains de 3 à 4 centimètres, en remontant entre chaque compression.
A Savoir :
Au bout de 2 minutes, le témoin peut interrompre le massage cardiaque et défibriller le cœur avec un
défibrillateur automatisé externe, si un tel appareil est disponible à proximité. Dans le cas contraire, il faut
continuer le massage cardiaque jusqu’à l’arrivée des secours.
DEFIBRILLER le cœur à l’aide d’un défibrillateur automatisé externe
Le défibrillateur permet, par un choc électrique, de relancer l’activité
cardiaque. Très simple d’utilisation et sans danger, il guide le sauveteur
vocalement étape par étape.
Il lui indique comment placer les électrodes sur le thorax de la victime au bon
endroit. Puis l’appareil réalise lui-même le diagnostic et déclenche le choc
électrique seulement si cela est nécessaire, il n’y a donc aucun risque de se
tromper.
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Fiche 4
Résultats de l’étude FFC - TNS Healthcare « Les Français et l’arrêt cardiaque » :
un besoin d’information et de formation *
Le sondage FFC - TNS Healthcare révèle des connaissances très approximatives des Français
en termes de gestes de premiers secours, mais un réel désir de changer les choses : 2 français
sur 3 souhaiteraient se former aux gestes qui sauvent. En effet, les Français ne connaissent que
partiellement les bons gestes à accomplir devant une personne victime d’arrêt cardiaque et ils
sont encore trop peu nombreux à avoir suivi une formation pour les pratiquer avec assurance
(36%). Par ailleurs, l’utilisation du défibrillateur automatisé externe par le grand public, rendue
possible depuis le décret du 4 mai 2007, est encore peu connue et mérite un effort d’information.
70% des Français sous-estiment le nombre annuel de décès par arrêt cardiaque
50 000 personnes décèdent suite à un arrêt cardiaque chaque année, soit plus de 130 par jour. Ces
chiffres sont méconnus du grand public : lorsqu’on les interroge sur ce sujet, 70% des Français citent un nombre
inférieur et 1 français sur 4 estime que ces décès sont deux fois moins nombreux que dans la réalité. Seuls 8%
des personnes interrogées font une juste estimation de ces décès (entre 50 000 et 60 000).
Faire les bons gestes : une connaissance encore incomplète
• Seuls 23 % des Français connaissent les 2 gestes vitaux ensemble : appeler les secours et faire la
massage cardiaque
Quand on les interroge sur la bonne attitude à adopter face à une victime d’arrêt cardiaque, moins d’un Français
sur quatre cite les deux gestes vitaux à pratiquer absolument : appeler le 15 (SAMU) et faire le massage
cardiaque. Si l’appel des secours est cité en majorité (88%), la pratique systématique du massage cardiaque
n’est pas encore maîtrisée : seuls 30% mentionnent le massage cardiaque. Or l’un ou l’autre n’est pas
suffisant pour améliorer les chances de survie.
… et quasiment personne ne sait qu’il faut défibriller le cœur (1%)
2 français sur 3 disent savoir ce qu’est un défibrillateur et 29% sont capables d’en donner une définition précise :
un appareil muni d’électrodes, qui sert à envoyer une décharge électrique pour faire repartir le cœur.
Ces données encourageantes demeurent pourtant à un stade théorique. En effet, le réflexe « défibrillateur »
est très peu acquis : seul 1% des personnes interrogées le citent comme faisant partie des gestes à
accomplir en cas d’arrêt cardiaque. Il existe donc un besoin réel d’information sur cet appareil et son
utilisation, au regard du nombre de vies qui pourraient être sauvées grâce à celui-ci.
•
Les gestes qui sauvent : un besoin et un désir de formation des Français
64 % des personnes interrogées déclarent n’avoir jamais reçu aucune formation aux gestes qui sauvent.
Parmi elles, les femmes sont plus nombreuses (69% contre 59% d’hommes), de même que les retraités (79%
des 65 ans et plus) et les inactifs (70%).
Les personnes qui déclarent avoir été initiées ou formées (1 français sur 3), sont en majorité des professions
intermédiaires (45%), davantage susceptibles d’avoir été sensibilisées à ce geste citoyen via leur entreprise. En
revanche, les personnes plus extérieures au monde de l’entreprise comme les inactifs, les artisans ou
commerçants sont moins nombreuses à être formées (respectivement 30% et 23%).
En tout état de cause, qu’ils soient déjà formés ou pas encore, 2 français sur 3 souhaiteraient se former aux
gestes qui sauvent.
*
Etude TNS Healthcare (SOFRES) pour la Fédération Française de Cardiologie « Les Français et l’arrêt cardiaque », réalisée par
téléphone les 28 et 29 août 2007 auprès d’un échantillon représentatif de la population française composé de 1016 individus âgés de 15
ans et plus.
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Fiche 5
Équipement en défibrillateurs automatiques ou semi-automatiques externes :
état de lieux
L’utilisation d’un défibrillateur automatisé externe en cas d’arrêt cardiaque augmente
considérablement les chances de survie d’une victime d’un tel accident. Encore faut-il
qu’un tel appareil soit disponible à proximité.
La France connaît un retard important en termes d’équipement de ses lieux publics, en
comparaison de ses voisins européens, ou même des Etats-Unis.
Néanmoins, les collectivités locales, les grandes entreprises et les grands centres
commerciaux s’équipent peu à peu en défibrillateurs automatisés externes.
S’équiper en défibrillateurs pour multiplier les chances de survie à un arrêt cardiaque
De nombreuses études ont démontré que, en cas d’arrêt cardiaque, plus vite est réalisée la défibrillation
du cœur, plus les chances de survie sont élevées. Jusqu’à présent, ce sont les secours qui, une fois
arrivés sur les lieux de l’accident au bout de 8 à 10 minutes, utilisent le défibrillateur. Or ce délai doit
être raccourci afin que la défibrillation intervienne le plus tôt possible : chaque minute qui passe sans
intervenir correspond à 10% de chances de survie en moins.
En mettant à la disposition du public des défibrillateurs automatisés externes et en les autorisant à les
utiliser, on permet d’augmenter considérablement les chances du survie. Les pays comme l’Autriche, la
Grande-Bretagne, mais aussi les villes de Chicago ou Seattle qui ont mis en place ce type de
programme connaissent de très bons résultats1. A Seattle par exemple, le taux de survie après un
arrêt cardiaque s’élève à 30% contre seulement 2 à 3% en France.
En France, où en est-on ?
Aujourd’hui, les Pompiers disposent d’environ 8 000 défibrillateurs sur l’ensemble du territoire et près de
10 000 appareils équipent les hôpitaux2.
Grâce au décret du 4 mai 2007 qui autorise le public à utiliser un défibrillateur automatisé
externe, un pas a été franchi. De nombreuses collectivités locales (villes, départements, petites
communes) se sont déjà équipées en défibrillateurs. On estime ainsi le nombre de défibrillateurs à la
disposition du public à 1 000 à 1500 appareils (état des lieux précis page suivante).
Il faut maintenant que l’équipement en défibrillateurs automatisés externes de tous les lieux publics,
accompagné de formations à leur utilisation, se généralise.
1
2
Pr Pierre Carli, « Défibrillation automatisée externe des arrêts cardiaques par le public », Vigilance n°9, Septembre 2007
Source : La Revue des Samus, le Bulletin officiel des marchés publics
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Collectivités locales équipées en défibrillateurs en janvier 2008 3 :
• Villes :
Amiens (80)
Angers (49)
Arcachon (33)
Bagnères de Bigorre (65)
Cabourg (14)
Caen (14)
Courseulles sur Mer (14)
Dunkerque (59)
Epoisses (21)
Hyères (83)
Issy les Moulineaux (92)
Lorient (56)
Luchon (31)
Luçon (85)
•
Macon (71)
Marseille (13)
Montbard (21)
Montpellier (34)
Mulhouse (68)
Nancy - Communauté de communes (54)
Nice (06)
Nîmes (30)
Paris (75)
Pau (64)
Puteaux (92)
St Quentin (02)
Villefranche de Rouergue (12)
Départements / Conseils généraux :
Alpes-Maritimes (06)
Aube (10)
Meurthe et Moselle (54)
Nord (59)
Pyrénées-Orientales (64)
Collectivités locales bientôt équipées en défibrillateurs (achat / marché public en cours) :
• Villes :
Cannes (06)
Clermont Ferrand (63)
Nancy (54)
Nantes (44)
Vannes (56)
Peugeot
Lafarge
EDF - centrales nucléaires
3
• Départements / Conseils généraux
Hauts de Seine (92)
Entreprises équipées en défibrillateurs :
Michelin
Artema
Groupe ACCOR
Source : La Revue des Samus, le Bulletin officiel des marchés publics
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