STE 110, 2009-2010, CC de cours, jeudi 5 Novembre 2009
Jean Braun, Emmanuel Lemeur, Jérôme Nomade
C : une distance d’environ 10,5 Milliards de kilomètres. Non ça c’est la taille du système
solaire. 80UA, donc 80*150 000 000.
D : une distance de 150 Millions de kilomètres. Non c’est une UA.
E : la taille du système solaire.
5. La magnitude d’un séisme :
A : varie de manière inversement proportionnelle à la distance à l’épicentre. C’est phrase est
vrai pour l’intensité locale (calculé pour un endroit) mais la magnitude est calculé pour
l’hypocentre.
B : se mesure avec l’échelle de Mercalli. Non ca c’est l’échelle pour l’intensité.
C : permet de quantifier l’énergie libérée lors de la rupture. Oui car la magnitude est
globalement proportionnelle à l’énergie libéré.
D : varie proportionnellement à la surface de rupture mise en jeu. En première ordre oui.
E : se mesure sur une échelle ouverte. Oui même si on pense que du fait des particularités
rhéologiques de la croûte et de son épaisseur il ne devrait pas être possible d’avoir des
séismes de magnitude supérieure à 10. Le « record » actuel est de 9.5 au Chili en 1960,
Sumatra (et son tsunami) ne faisait que 9.2.
6. Dans la lithosphère océanique on trouve :
A : de la croûte océanique et du manteau lithosphérique. C’est exactement la définition.
B : des basaltes, des gabbros et des péridotites.
C : du manteau asthénosphérique. Non Cf. question 15.
D : essentiellement des roches granitiques.
E : des roches hydratées. Toutes les roches de la partie superficielle de la lithosphère sont
hydratées par l’hydrothermalisme océanique. Pour rappel en quelques Ma toute l’eau
des océans passe dans le manteau !
7. Le champ magnétique terrestre :
A : existe depuis 4.5 Milliards d’années. A priori depuis que le noyau liquide existe.
B : est enregistré par les basaltes océaniques. Oui, non seulement les inversions sont
enregistrées mais les intensités aussi.
C : est d’origine extraterrestre.
D : suit des lignes d’aimantation de direction globalement méridienne. On ne l’a peut être
pas dit en cours mais les schémas avec le champ magnétique sont très clair.
E : prend sa source dans le noyau interne. Non dans l’externe qui est liquide et dont les
mouvements génère le champs magnétique.
8. Le bombardement météoritique :
A : décroît de manière linéaire dans le temps. Non en exponentielle inverse.
B : est enregistré sur la surface de toutes les planètes. Non pas sur celle qui ont des
« activités » de surface.
C : est enregistré sur la surface de Mercure et la Lune. Oui car elles sont inactives depuis au
moins 3.5 Ga (et ont donc la mémoire des impacts produit depuis)
D : permet d’établir une référence chronologique relative. Oui sur la lune par exemple.
E : existe toujours sur Terre. Oui même si ce bombardement est faible… mais des fois des
trucs gros tombent.
9. A propos de la structure du globe :
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