Si tu veux la paix, défend toi ! vidéo de la vision

publicité
A part les Iraniens, personne
n’aide l’Irak dans la guerre
contre Daesh
«L’Iran, plus que toute autre partie, coopère avec l’Irak,
dans la lutte contre Daesh, et d’autres pays, impliqués dans
cette guerre, ne font que mentir»,
a souligné le chef du Conseil du Salut de la Province d’AlAnbar. Selon Al-Alam, ce responsable local irakien a déclaré
que les Iraniens aidaient, plus que toute autre partie, le
gouvernement irakien, dans ses combats contre le groupe
terroriste de Daesh. «A l’exception des Iraniens, personne ne
coopère avec les Irakiens, dans ce domaine», a indiqué Cheikh
Hamid al-Hayes. «Nous attendons le retour d’une délégation de
la Province d’Al-Anbar envoyée à Washington, afin de discuter
avec elle et d’autres responsables locaux, des diverses
questions liées à la province», a-t-il ajouté. Sumeriya News,
citant Cheikh Hamid al-Hayes, a souligné : «La visite
prochaine d’un groupe de responsables et de notables de la
Province d’Al-Anbar, en Iran, sera évoquée, lors de ces
négociations. La date de cette visite officielle n’est pas
encore déterminée».
USA : Obama présente un
budget de 4000 milliards de
dollars
Le président américain a présenté un budget de 3990 milliards
de dollars en 2016, pour aider au développement des
infrastructures ainsi qu’à la couche moyenne de la société.
Une partie de cette source financière sera assurée par
l’augmentation des impôts. Le budget 2016 des Etats-Unis
connaîtra un déficit de 474 milliards de dollars soit 2.5% du
PIB du pays. Washington a, aussi, annoncé qu’il avait alloué
un budget de 8.8 milliards de dollars à la lutte contre Daech
et l’aide aux opposants syriens. De même, le Président
américain, Barack Obama a demandé, dans la proposition du
budget 2016 au Congrès, environ 170 millions de dollars pour
ce qu’il appelle la lutte contre l’intervention de la Russie
en Ukraine, Géorgie et Moldavie.
Irak: plus de 80 terroristes
ont
été
tués
selon
le
ministère de la Défense
Le ministère irakien de la Défense a fait part de la mort de
plus de 80 terroristes dans les deux provinces de Salaheddine
et d’Al-Anbar.
Selon la chaîne de télévision al-Iraqia, dans un communiqué
émis dimanche, le ministère irakien de la Défense a annoncé
que les forces de la division 14 de l’armée irakienne sont
arrivées à tuer 25 terroristes à Garmah. De même, épaulées
par les forces de la mobilisation populaire, elles ont
affronté les terroristes à Tikrit causant la mort d’AbouHafsa al-Tikriti un des chefs du groupe terroriste de Daesh.
Plusieurs blindés des terroristes ont été détruits à AlSarsar tandis qu’un grand nombre d’éléments terroristes
étaient tués à Al-Naïmiya.
Etat Islamique : « Nous
allons conquérir l’Europe et
tuer
500
millions
de
personnes » (video)
L’auteur allemand Jürgen Todenhöfer a passé dix jours avec
les jihadistes du groupe terroriste Etat islamique. Il est le
seul à être entré dans les rues de Mossoul cette année, le
seul à avoir pénétré dans la mosquée où le chef de Daesh
s’était autoproclamé calife de l’Etat islamique. Le
journaliste a pu interviewer des membres du groupe terroriste
et voir leur arsenal militaire. Sept mois de négociations ont
été nécessaires pour la réalisation de son reportage.
‘L’Etat islamique prépare la
plus
grande
campagne
de
nettoyage religieuse… » qui
refuseraient de se convertir
à leur islam sunnite, l’homme
lui a répondu… »
Je pense que l’Etat islamique est bien plus dangereux que les
dirigeants de l’Occident ne le pensent. Ils croient en ce
pour quoi ils se battent et ils préparent la plus grande
campagne de nettoyage religieux que le monde ait jamais
connue».
Cette déclaration, c’est celle que Jürgen Todenhöfer, un
auteur allemand de 74 ans qui vient de passer une dizaine de
jours dans le « califat » de l’Etat islamique (EI), a faite
dans une interview donnée à CNN à son retour.
Todenhöfer a notamment visité les villes de Raqqa et Deir
Ezzor en Syrie, ainsi que Mossoul, en Irak. Sa conclusion,
c’est que la vie quotidienne sous le règne de l’EI a retrouvé
une certaine « normalité ». Même s’ils redoutent les terribles
sanctions qu’ils encourraient an cas de transgression des
règles strictes de la charia imposée par le groupe terroriste,
les gens apprécient la stabilité qu’il leur a apportée, malgré
le départ des Chrétiens, chassés de la ville, de la fuite des
musulmans chiites, et du meurtre de plusieurs personnes.
Todenhöfer a particulièrement été frappé par la dévotion et
l’enthousiasme manifestés par les combattants. Il affirme
qu’une cinquantaine de candidats se présentent quotidiennement
pour être admis dans les rangs des troupes de l’EI. « Et
l’éclat de leur regard était incroyable. Ils avaient
l’impression d’être arrivés sur une terre promise, comme s’ils
combattaient pour la bonne cause. Ce ne sont pas des gens
idiots. L’un de ceux que nous avons rencontrés venait
d’obtenir son diplôme de droit, on lui avait proposé de très
bons emplois, mais il avait préféré y renoncer et partir au
combat », relate-t-il, expliquant que l’un des plus grands
atouts de l’organisation, c’est la volonté de ses combattants,
prêts à se sacrifier pour elle sur le champ de bataille.
Mais l’un des moments clés de cette visite a
avec un djihadiste allemand qui a expliqué
l’EI à Todenhöfer, qui lui demandait si
l’intention d’étendre son influence en Europe
été la rencontre
les ambitions de
le groupe avait
:
Nous conquerrons l’Europe un jour. La question n’est pas si
nous conquerrons l’Europe, mais plutôt quand cela arrivera.
Mais c’est certain… Pour nous, les frontières n’existent pas.
Il n’y a que des lignes de front. Notre expansion sera
perpétuelle (…) et les Européens doivent comprendre que
lorsque nous arriverons, ce ne sera pas beau à voir. Ce sera
avec nos armes. Et ceux qui ne se convertiront pas à l’islam,
ou qui refuseront de payer la taxe islamique, seront tués ».
Et lorsque Todenhöfer lui a demandé comment ils avaient
l’intention de traiter les croyants des autres religions, et
en particulier les Chiites, qui refuseraient de se convertir à
leur islam sunnite, l’homme lui a répondu : « 150 millions,
200 millions ou 500 millions, ça ne compte pas pour nous. Nous
les tuerons tous ».
The Adobe Flash Player is required for video playback.
Get the latest Flash Player or Watch this video on YouTube.
expresse.be
2015 sera l’année de la
confrontation finale entre
l’empire
du
chaos
et
l’eurasie
Les petites lueurs démocratiques surgies en Europe (Podemos,
Syriza) suffiront-elles à illuminer une année 2015 menacée par
la périlleuse confrontation entre un vieil empire occidental
décadent et des forces émergentes qui ne s’en laissent plus
conter ?L’année 2014 aura été marquée par la brutale
aggravation de la crise économique et financière mondiale et
par la fuite en avant de l’Otan vers un dangereux chaos
guerrier dont les métastases touchent désormais le continent
européen.
Les masques statistiques euphoriques n’abusent plus que
les gogos. La prétendue « reprise » continue à être
financée par de la dette pour « une période
considérable » . Les banques sont incapables de
satisfaire à des stress-tests édulcorés. Les chiffres du
chômage sont trafiqués par des radiations massives. La
distribution de « food stamps » (tickets d’alimentation)
bat des records aux États-Unis. Et plus alarmant encore,
la courbe de la mortalité infantile US vient de repartir
à la hausse [1].
L’État islamique en héritage : aux confins orientaux de
leur empire, les maîtres du monde, venus semer à les
entendre le Bien et la Démocratie, n’ont récolté que le
chaos. Aux potentats régionaux détrônés succèdent les
ravagés de l’État islamique qui sont aux États-Unis ce
que Mr Hyde était au Dr Jekyll. Les atrocités
médiatisées des uns ne valent-elles pas les
bombardements à l’aveugle ou les pratiques tortionnaires
enfin révélées des autres ?
Le cancer de la guerre frappe désormais aux portes du
vieux continent européen : venue faire la nique à la
Russie du vilain Poutine, l’Otan s’est pris les pieds
dans le bourbier ukrainien après y avoir fomenté un coup
d’État, sans manifestement maîtriser les moyens de le
pérenniser.
Une course poursuite entre deux chaos
C’est donc une course contre la montre entre deux chaos, l’un
« civil » (économique, financier, social), l’autre guerrier,
qui se jouera en 2015. Une chose est sûre, aucune solution
acceptable n’est à attendre des autorités politiques de
l’empire. Paul Craig Roberts, qui connaît bien ce monde
interlope pour l’avoir servi [2], est catégorique : les ÉtatsUnis sont plus que jamais aux mains d’un complexe militaroindustriel US va-t-en-guerre agissant dans l’ombre d’un
président de comédie.
Le président Obama a perdu ce qui lui restait de pouvoir lors
des dernières élections de mi-mandat le 4 novembre dernier.
Les faucons néoconservateurs de Washington règnent en maîtres
au sein de l’empire. Et ce ne sont pas leurs pâles vassaux
européens, à l’image d’un Hollande déjanté et d’une Merkel ne
sachant plus vraiment sur quels intérêts allemands danser, qui
risquent de contrarier cette folle fuite en avant suicidaire.
Au point, juge Paul Craig Roberts, que le seul « espoir »
restant est que le chaos économico-financier soit suffisamment
rapide et retentissant pour couper court aux velléités de
chaos guerrier.
« L’espoir vient de l’extérieur du système politique.
L’espoir est que le château de cartes ainsi que les marchés
truqués érigés par les décideurs politiques pour le
bénéfice des 1% [de riches, ndlr] s’effondrent. »
La recomposition géopolitique du monde
« Attachez vos ceintures ; 2015 sera un tourbillon opposant
la Chine, la Russie et l’Iran contre ce que j’ai décrit
comme l’empire du Chaos. »
Selon le journaliste brésilien Pepe Escobar, l’année qui
s’annonce renforcera sans aucun doute une recomposition
géopolitique houleuse du monde autour d’un nouveau bloc :
l’Eurasie.
La politique de sanctions occidentales n’aura rien réussi de
mieux que de ressouder les liens entre les pays émergents des
BRICS et pourrait même être en train de conduire à un
rapprochement entre ces derniers et un autre « puni » :
l’Iran. Pour Pablo Escobar, le chaos est en passe de se
retourner contre l’empire qui l’a propagé.
Une si fragile lueur démocratique en Europe
Face à ce paysage dévasté, on assiste en Europe à la montée en
puissance de mouvements alternatifs portés par des opinions
publiques exténuées après des années d’austérité destructrice.
Podemos et Syriza paraissent en mesure de profiter en 2015 de
scrutins opportuns dans leurs pays respectifs, l’Espagne et la
Grèce.
Mais la tâche s’annonce ardue :
Les « amicales » pressions des « démocrates » officiels
de Bruxelles contre ces empêcheurs de capitaliser entre
soi sont rien moins qu’agressives et intrusives. On
imagine sans peine ce que seront ces pressions si
d’aventure les « indésirables » viennent à s’emparer du
pouvoir. Angela Merkel a d’ores et déjà prévenu Alexis
Tsipras que ce serait la rigueur budgétaire (allemande)
ou la porte (de la zone euro).
Les vieux partis (communistes) de gauche du siècle
dernier s’échinent à défendre les derniers lambeaux de
leurs prés carrés électoraux contre ces nouveaux venus
qui leur font de l’ombre. En Espagne comme en Grèce,
Izqierda Unida et le KKE passent au moins autant de
temps à cogner sur Podemos et Syriza que sur leurs
gouvernants de droite.
Reste qu’en ces temps ténébreux, il me semble préférable de
s’accrocher aux petites lueurs démocratiques qui passent, MÊME
AU RISQUE DE SE TROMPER, plutôt que d’essayer de les éteindre
prématurément comme s’y emploient avec un zèle mauvais les
inévitables pisse-vinaigre. Allez, santé à tous les autres.
M’est avis que cette année 2015 va être chaude bouillante.
Notes
[1] Lorsqu’il écrivit en 1976 son essai sur la décomposition
de la sphère soviétique, « La Chute finale » (éd. Robert
Laffont), Emmanuel Todd fonda sa prédiction sur le constat de
l’inversion à la hausse de la courbe de mortalité infantile en
URSS, considérant cet élément comme fondamental de la réelle
santé d’une puissance. Or en 2014, la mortalité infantile US
est passée de 5,90‰ à 6,17 (rappel France : 3,31 – source :
Statistiques mondiales.com).
[2] Paul Craig Roberts, économiste et journaliste américain,
fut sous-secrétaire au Trésor dans l’administration Reagan et
est un des pères fondateurs des Reaganomics.
Le Yéti
Vingt-six vérités sur le
groupe État islamique (EI)
qu’Obama veut vous cacher
La guerre menée par les États-Unis contre le groupe armé État
islamique est un grand mensonge.
Pourchasser les « terroristes islamiques » et mener une guerre
préventive dans le monde entier pour « protéger la patrie
étasunienne » sont des concepts utilisés pour justifier un
programme militaire.
L’État islamique en Irak et au Levant (EIIL) est une création
du renseignement étasunien. Le programme de « lutte contre le
terrorisme » de Washington en Irak et en Syrie consiste à
appuyer les terroristes.
L’incursion des brigades du groupe État islamique (EI) en Irak
ayant débuté en juin 2014 faisait partie d’une opération
militaire et du renseignement soigneusement planifiée et
soutenue secrètement par les États-Unis, l’OTAN et Israël.
Le mandat de lutte contre le terrorisme est fictif. Les ÉtatsUnis sont le « commanditaire numéro un du terrorisme d’État ».
L’État islamique est protégé par les États-Unis et leurs
alliés. S’ils avaient voulu éliminer les brigades de l’État
islamique, ils auraient pu bombarder intensément leurs convois
de camionnettes Toyota lorsqu’ils ont traversé le désert entre
la Syrie et l’Irak en juin.
Le désert syro-arabe est un territoire ouvert (voir la carte
ci-dessous). D’un point de vue militaire, cette opération
aurait pu être effectuée efficacement, rapidement et de
manière extrêmement précise avec des chasseurs à la fine
pointe de la technologie (F15, F22 Raptor, CF-18).
Dans cet article, nous abordons 26 concepts qui réfutent le
grand mensonge. Alors que les médias interprètent cette
opération militaire à grande échelle contre la Syrie et l’Irak
comme étant une entreprise humanitaire, elle a engendré
d’innombrables morts civiles.
Cette opération n’aurait pas pu être entreprise sans l‘appui
inflexible des médias occidentaux, lesquels ont maintenu que
l’initiative d’Obama représentait une opération de contreterrorisme.
LES ORIGINES HISTORIQUES D’AL-QAÏDA
1. Les États-Unis appuient Al-Qaïda et ses organisations
affiliées depuis presque un demi-siècle, depuis le début de la
guerre soviéto-afghane.
2. Des camps d’entraînement de la CIA ont été mis en place au
Pakistan. Entre 1982 et 1992, la CIA a recruté quelque 35 000
djihadistes venus de 43 pays musulmans pour faire le djihad en
Afghanistan.
« Payée par des fonds de la CIA, des annonces publicitaires
incitant à se joindre au djihad ont été placées dans les
journaux et bulletins d’information à travers le monde. »
3. Washington appuie le réseau terroriste islamique depuis
l’administration Reagan.
Ronald Reagan a appelé les terroristes des « combattants de la
liberté ». Les États-Unis ont fourni des armes aux brigades
islamiques. C’était pour « une bonne cause » : la lutte contre
l’Union soviétique et un changement de régime ayant mené à la
disparition d’un gouvernement laïc en Afghanistan.
Ronald Reagan rencontre les commandants des moudjahidines
afghans à la Maison-Blanche en 1985 (Reagan Archives)
4. Des manuels djihadistes ont été publiés par l’Université du
Nebraska.
« Les États-Unis ont dépensé des millions de
dollars pour fournir aux écoliers afghans des manuels remplis
d’images violentes et d’enseignements islamiques militants. »
5. Oussama ben Laden, «le demon» (Bogeyman) des États-Unis et
fondateur d’Al-Qaïda a été recruté par la CIA en 1979, dès le
début du djihad contre l’Afghanistan, appuyé par les ÉtatsUnis. Il avait 22 ans et a été formé dans un camp
d’entraînement de guérilla soutenu par la CIA.
Al-Qaïda
n’était
pas
derrière
les
attaques
du
11-
Septembre. Le 11 septembre 2001 a fourni une justification à
la guerre contre l’Afghanistan, basée sur l’idée que
l’Afghanistan pratiquait le terrorisme d’État en soutenant AlQaïda. Les attaques du 11-Septembre ont contribué à
l’élaboration de la « guerre mondiale au terrorisme » (Global
War on Terrorism)
L’ÉTAT ISLAMIQUE
6. Le groupe État islamique (EI) était à l’origine une entité
liée à Al-Qaïda et créée par le renseignement étasunien avec
le soutien du MI6 britannique, du Mossad israélien, de
l’Inter-Services Intelligence (ISI) pakistanais et du General
Intelligence Presidency (GIP) saoudien, Ri’āsat Al-Istikhbarat
Al-’Āmah (‫)رﺋﺎﺳﺔ اﻻﺳﺘﺨﺒﺎرات اﻟﻌﺎﻣﺔ‬.
7. Les brigades de l’EI ont participé à l’insurrection en
Syrie contre le gouvernement de Bachar Al-Assad, insurrection
appuyée par les États-Unis et l’OTAN.
8. L’OTAN et le Haut commandement turc étaient responsables du
recrutement de mercenaires pour l’EI et Al-Nosra dès le début
de l’insurrection syrienne en mars 2011. Selon des sources du
renseignement israélien, cette initiative consistait en « une
campagne visant à enrôler des milliers de volontaires
musulmans dans les pays du Moyen-Orient et le monde musulman
pour combattre aux côtés des rebelles syriens. L’armée turque
logerait ces volontaires, les formerait et assurerait leur
passage en Syrie. (DEBKAfile, NATO to give rebels anti-tank
weapons, 14 août 2011.)
9. Il y a des forces spéciales occidentales et des services de
renseignement occidentaux dans les rangs de l’EI. Des forces
spéciales britanniques et le MI6 ont participé à la formation
de rebelles djihadistes en Syrie.
10. Des experts militaires occidentaux travaillant à contrat
pour le Pentagone ont formé les terroristes pour utiliser des
armes chimiques.
« Les États-Unis et certains de leurs alliés européens
utilisent des entrepreneurs liés à la Défense pour montrer aux
rebelles syriens comment sécuriser les stocks d’armes
chimiques en Syrie, ont déclaré dimanche à CNN un haut
responsable étasunien et plusieurs diplomates de haut rang. »
(CNN Report 9 décembre, 2012)
11. La pratique de la décapitation de l’EI fait partie des
programmes d’entraînement des terroristes appuyés par les
États-Unis et mis en œuvre en Arabie Saoudite et au Qatar.
12. Un grand nombre de mercenaires de l’EI,recrutés par
l’allié des États-Unis, sont des criminels condamnés qui ont
été libérés des prisons saoudiennes à condition qu’ils se
joignent à l’EI. Des condamnés à mort saoudiens ont été
recrutés pour rejoindre les brigades terroristes.
13. Israël a soutenu les brigades de l’EI et d’Al-Nosra sur le
plateau du Golan.
Des djihadistes ont rencontré des officiers israéliens de
Tsahal ainsi que le premier ministre Nétanyahou. Les haut
gradés de Tsahal reconnaissent tacitement que « des éléments
du jihad mondial en Syrie » [EI et Al-Nosra] sont soutenus par
Israël. Voir l’image ci-dessous :
« Le premier ministre israélien Benjamin Nétanyahou et le
ministre de la Défense Moshe Yaalon,aux côtés d’un mercenaire
blessé, à l’hôpital militaire de campagne israélien sur le
plateau du Golan occupé à la frontière de la Syrie, le 18
février 2014. »
LA SYRIE ET L’IRAK
14. Les mercenaires de l’EI sont les fantassins de l’alliance
militaire occidentale. Leur mandat tacite est de ravager et
détruire la Syrie et l’Irak, au nom de ceux qui les appuient,
les États-Unis.
15. Le sénateur étasunien John McCain a rencontré des chefs
terroristes djihadistes en Syrie. (Voir la photo à droite.)
16. La milice de l’État islamique, actuellement la cible
présumée d’une campagne de bombardements des États-Unis et de
l’OTAN en vertu d’un mandat de « lutte contre le terrorisme »,
est toujours soutenue clandestinement par les ÉtatsUnis. Washington et ses alliés continuent à fournir de l’aide
militaire à l’État islamique.
17. Les bombardements des États-Unis et de leurs alliés ne
visent pas l’EI, ils visent plutôt l’infrastructure économique
de l’Irak et la Syrie, dont les usines et les raffineries de
pétrole.
18. Le projet de califat de l’EI relève d’un programme de
longue date de la politique étrangère des États-Unis, ayant
pour but de diviser l’Irak et la Syrie en territoires
distincts : un califat islamiste sunnite, une République
chiite arabe et une République du Kurdistan.
LA GUERRE MONDIALE AU TERRORISME (GMAT)
19. « La guerre mondiale au terrorisme » (GMAT) est présentée
comme un « choc des civilisations », une guerre entre les
valeurs et les religions concurrentes, alors qu’en réalité,
elle constitue une véritable guerre de conquête, guidée par
des objectifs stratégiques et économiques.
20. Les brigades terroristes d’Al-Qaïda soutenues par les
États-Unis (et appuyées secrètement par le renseignement
occidental) ont été déployées au Mali, au Niger, au Nigeria,
en Centrafrique, en Somalie et au Yémen.
Ces différentes entités affiliées à Al-Qaïda au Moyen-Orient,
en Afrique subsaharienne et en Asie sont appuyées par des
« atouts du renseignement » soutenus par la CIA. Ils sont
utilisés par Washington afin de faire des ravages, créer des
conflits internes et déstabiliser des pays souverains.
Guerre et mondialisation: La
septembre, Michel Chossudovsky
vérité
derrière
le
11
21. Boko Haram au Nigeria, Al-Shabab en Somalie, le Groupe
islamique combattant en Libye (GICL) (soutenu par l’OTAN en
2011), Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), la Jemaah
Islamiyah (JI) en Indonésie, entre autres groupes affiliés à
Al-Qaïda, sont soutenus clandestinement par les services de
renseignement occidentaux.
22. Les États-Unis appuient également des organisations
terroristes affiliées à Al-Qaïda dans la région autonome
ouïgoure du Xinjiang en Chine. L’objectif sous-jacent consiste
à déclencher l’instabilité politique en Chine occidentale.
L’on rapporte que des djihadistes chinois auraient reçu « une
formation terroriste » de l’État islamique « dans le but de
perpétrer des attaques en Chine ». L’objectif déclaré de ces
entités djihadistes situées en Chine (servant les intérêts des
États-Unis) est d’établir un califat islamique s’étendant
jusque dans l’ouest de la Chine. (Michel Chossudovsky,
America’s War on Terrorism, Global Research, Montréal, 2005,
chapitre 2).
TERRORISTES D’ORIGINE INTÉRIEURE
23. Les terroristes c’est nous
: Les États-Unis sons les
architectes inavoués du groupe armé État islamique et le
mandat sacré d’Obama est de protéger l’Amérique contre les
attaques de l’EI.
24. La menace terroriste d’origine intérieure est une
fabrication. Les gouvernements occidentaux et les médias en
font la promotion dans le but d’abroger les libertés civiles
et d’instaurer un État policier. Les attaques terroristes
perpétrées par de présumés djihadistes et les avertissements
d’attentats des terroristes sont invariablement mis en scène.
Ils sont utilisés pour créer une atmosphère de peur et
d’intimidation.
Les arrestations, les procès et les condamnations de
« terroristes islamiques » visent pour leur part à entretenir
la légitimité du Homeland Security, l’État sécuritaire des
États-Unis, et de l’appareil d’application de la loi, de plus
en plus militarisé.
L’objectif ultime est d’inculquer dans l’esprit de millions
d’Étasuniens l’idée que l’ennemi est réel et que
l’administration étasunienne va protéger la vie de ses
citoyens.
25. La campagne de « lutte au terrorisme » contre l’État
islamique a contribué à la diabolisation des musulmans, qui,
aux yeux de l’opinion publique occidentale, sont de plus en
plus associés aux djihadistes.
26. Toute personne qui ose remettre en question la validité de
la « guerre mondiale au terrorisme » est accusée d’être un
terroriste et soumise aux lois anti-terroristes.
Le but ultime de la « guerre mondiale au terrorisme » est de
soumettre les citoyens à l’autorité, de dépolitiser
complètement la vie sociale aux États-Unis, d’empêcher les
gens de penser et de conceptualiser, d’analyser les faits et
de contester la légitimité de l’ordre social inquisitorial qui
gouverne le pays.
L’administration Obama a imposé un consensus diabolique avec
le soutien de ses alliés, sans compter le rôle complice du
Conseil de sécurité des Nations Unies. Les médias occidentaux
ont adopté le consensus; ils décrivent le groupe État
islamique comme une entité indépendante, un ennemi extérieur
qui menace le monde occidental.
Le grand mensonge est devenu vérité.
Dites non au « grand mensonge ».
Passez le mot.
Au bout du compte, la vérité est une arme puissante.
Pour la paix et la vérité dans les médias.
Michel Chossudovsky
Video:
guerre
La
mondialisation
de
The Adobe Flash Player is required for video playback.
Get the latest Flash Player or Watch this video on YouTube.
la
Si tu veux la paix, défend
toi ! vidéo de la vision
apocalyptique du monde de
demain.
(vidéo,
musique
produite par cybercomnet)
je vous laisse regarder la vidéo qui en dira beaucoup plus que
tout un roman !
The Adobe Flash Player is required for video playback.
Get the latest Flash Player or Watch this video on YouTube.
L’état islamique s’étendra
jusqu’à Rome, voila ce qu’a
déclaré le « calife » al
Baghdadi. !
L’état islamique s’étendra jusqu’à Rome, voila ce qu’a
déclaré le « calife » al Baghdadi. !
Abu Bakr al Baghdadi, le « calife » autoproclamé de l’Etat
Islamique sur le territoire qui comprend l’Irak et la Syrie,
a promis de conquérir Rome.
Il a lancé un appel aux musulmans du monde entier afin qu’ils
émigrent vers cettenouvelle terre (Irak et Syrie) pour
combattre tous ensemble sous son drapeau.
« Tous ceux qui peuvent immigrer dans l’Etat Islamique
doivent le faire car, venir dans la maison de l’islam est un
devoir » a déclaré al Baghdadi dans un message audio publié
sur le site web d’un groupe connu sous le nom d’Etat
Islamique d’Irak et du Levant.
« Hâtez-vous, ô musulmans, de venir dans votre pays. C’est
votre Pays. La Syrie n’appartient pas aux Syriens ni l’Irak
aux Irakiens. Cette terre appartient aux musulmans, à tous
les musulmans » a-t-il ajouté.
C’est « The Telegraph online » qui a révélé les déclarations
de celui qui s’est proclamé premier calife de l’islam depuis
l’effondrement de l’empire ottoman.
« Voila ce que je vous propose. Et si vous suivez mon
conseil, vous pourrez conquérir Rome et vous deviendrez les
maitres du monde, avec la volonté d’Allah » a-t-il conclu.
califfato
Les partisans de cet Etat Islamique ont publié sur twitter
cette carte (ci-contre) qui indique les territoires que les
terroristes veulent conquérir d’ici cinq ans et étendre ainsi
la domination du tout nouveau califat.
Cette carte comprend le Moyen-Orient, l’Afrique du Nord, les
Balkans et une grande partie de l’Asie occidentale. L’Espagne
fait aussi partie des territoires à conquérir puisque celleci fut occupée par les musulmans pendant 700 ans, jusqu’en
1492.
La conquête de Madrid est prévue pour 2020.
Et maintenant, Abu Bakr al Baghdadi a rajouté Rome dans ses
désirs de domination. Rome, qui jusqu’à présent avait été
épargné par les conquêtes islamiques.
Téléchargement