DROIT Technologie du Bâtiment Second œuvre COURS Menuiseries intérieures/extérieures Convention de repréSentation EXERCICES Sur la figure 5 ci-dessous, on convient d’une notation conventionnelle de représentation sur les plans des principaux types de portes (élévation et Vue en plan). En élévation, l’ouverture du vantail (ou de l’ouvrant) est symbolisée : • Soit par une flèche pour une translation ; • Soit par un triangle isocèle, dont la base est l’axe de rotation. Dans ce dernier cas, les traits des côtés de ce même triangle isocèle sont : • Pleins lorsque le vantail s’ouvre vers soi (par rapport au plan du mur) ; • Interrompus lorsque le vantail s’ouvre à l’opposé de soi. EXERCICES ANNEXES EXERCICES Par ailleurs, on convient également d’une convention pour désigner le sens le l’ouverture, gauche ou droite. Cette convention est généralement la suivante : • L’ouverture est dite « gauche » si les paumelles sont à gauche de celui qui pousse l’ouvrant de l’extérieur vers l’intérieur ; • L’ouverture est dite « droite » si les paumelles sont à droite de celui qui pousse l’ouvrant de l’extérieur vers l’intérieur. Cette convention fait l’objet de l’exemple de la porte battante à un vantail de la figure 5 : Figure 5 : Notations conventionnelles des principaux types de porte intérieure Mais il peut arriver que cette convention soit juste l’inverse ! Par conséquent, il est d’abord primordial de vérifier que l’on est d’accord avec son interlocuteur sur la convention du sens d’ouverture, gauche ou droite, d’un vantail. ANNEXES Vous pouvez à présent réaliser le devoir 1 page 9 de W W W OUVR votre fascicule de devoirs IA281d AGE AUTOTEST ©SAS-ECS - Page extraite du cours « Technologie du Bâtiment Second œuvre ». Ces extraits sont donnés à titre indicatif et non contractuel. Les cours sont susceptibles d’être modifiés en raison d’évolutions normatives, techniques et/ou juridiques EXERCICES 8. DROIT GE Technologie du Bâtiment Second œuvre COURS C Cloisons intérieures EXERCICES EXERCICES AN EXERCICES Figure 11 : Cloisons sèches à parements rapportés sur une ossature en métal ou en bois Figure 12 : Cloisons sèches à âmes alvéolaires (en nid d’abeille) De même, les cloisons du type « placostil » de la marque « Placoplâtre » sont des cloisons sèches à plaques de plâtre cartonnées rapportées sur une ossature métallique qui contient un isolant rigide. Des ossatures supplémentaires peuvent assurer une bonne tenue aux angles et au droit des huisseries. Ces dernières cloisons sèches sont aujourd’hui couramment employées sur les chantiers de bâtiment. 2.1.3. Cloisons mobiles Les cloisons mobiles sont composées de panneaux juxtaposés et permettent de modifier plus ou moins facilement une configuration de locaux. Les panneaux peuvent être articulés, repliables ou coulissants, permettant la séparation ou la réunifi-cation très du rapide deTechnologie deux locaux contigus. ©SAS-ECS Page extraite cours « du Bâtiment Second œuvre ». Ces extraits sont donnés à titre indicatif et non contractuel. Les cours sont susceptibles d’être modifiés en raison d’évolutions normatives, techniques et/ou juridiques EXERCICES ANNEXES COURS GENERAUX ARTISTIQUES Technologie COURS COURS du Bâtiment Second œuvre Protections, fermetures et métallerie EXERCICES Les barreaudages doivent laisser des vides de 11 cm maximum dans le sens du garde-corps et de 18 cm dans le sens de la hauteur. Dans le cas de motif, l’ouverture ne peut dépasser une largeur de 18 EXERCICES cm pour une hauteur de 25 cm. EXERCICES Observons ces règles dimensionnelles de sécurité sur la figure suivante : ANNEXES ANNEXES EXERCICES EXERCICES ANNEXES EXERCICES Figure 33 : Règles dimensionnelles de sécurité De plus, un garde-corps doit pouvoir résister à un effort horizontal de 60 kgf appliqué en tête et à un arrachement de 100 kgf. ANNEXES Veuillez maintenant effectuer l’autotest 3 de la série 6, W W OUVR IA281d page 35 de votre fascicule Wde devoirs AGE AUTOTEST 4. Métallerie 4.1. Le métier de façadier métallier On terminera la présente série par un métier récent dans le monde du bâtiment, celui de façadier métallier. Ces derniers habillent les façades du bâtiment en se servant d’éléments métalliques. Ils travaillent et mettent en œuvre des produits métallurgiques qui constituent partiellement l’enveloppe du bâtiment. Dans- l’exemple decours la fi«gure 34 (page suivante), la façade exposée à la lumière possède à ©SAS-ECS Page extraite du Technologie du Bâtiment Second œuvre ». Ces extraits sont donnés à titre indicatif et non contractuel. Les cours sont susceptibles d’être modifiés en raison d’évolutions normatives, techniques et/ou juridiques l’extérieur du bâtiment des ailettes métalliques horizontales qui protègent l’intérieur du soleil. COU GENE DROIT Technologie du Bâtiment Second œuvre COURS COU Métallerie EXERCICES EXERCICES ANNE EXERCICES Figure 34 : Médiathèque de Vaise à Lyon Source : Wikimedia.org La métallerie concerne le travail de l’acier, de l’inox et de l’aluminium, sous forme de tubes, de carrés ou de ronds, de tôles pliées et d’éléments de métal déployé. Les ouvrages divers en métal à réaliser sur un bâtiment sont nombreux ; ils vont du garde-corps aux grilles de protection et de ventilation, des menuiseries métalliques aux portails, et comprennent de multiples éléments tels que des grattoirs et des quincailleries diverses. Les métalliers réalisent également des ouvrages comme l’ossature des serres et jardins d’hiver. 4.2. La protection des métaux Les métaux qui sont souvent en acier doux, sous forme de profilés laminés ou pliés, sont protégés soit par une peinture au zinc, ou par une galvanisation ou encore par un cadmiage. Avant de peindre du métal, en particulier un métal ferreux, il faut le protéger de l’oxydation ; il doit être débarrassé des traces d’oxyde de fer et dégraissé. La protection consiste en trois couches de minium d’oxyde de zinc ou de chromate de zinc. Le métal peut être protégé par des peintures plastifiantes ou être recouvert d’un dépôt plastique posé à chaud. Une autre protection peut être une immersion dans des métaux en fusion (galvanisation, zingage) ou dans une solution métallique (argentage du cuivre, cuivrage de l’acier). Les procédés électrolytiques (anode et cathode d’une pile électrique) 27 sont par exemple l’étamage, le cuivrage, etc. 27 Couples électrolytiques : un métal contient plus ou moins d’électrons libres (leur déplacement est le courant ©SAS-ECS - Page extraite du cours « Technologie du Bâtiment Second œuvre ». Ces extraits sont donnés à titre indicatif et non contractuel. électrique)Les ; mettre en contact deux métaux différents revient à faire se déplacer des électrons libres, et ainsi à cours sont susceptibles d’être modifiés en raison d’évolutions normatives, techniques et/ou juridiques provoquer un courant électrique. EXERCICES ANNEXES CO GEN DROIT Technologie du Bâtiment Second œuvre COURS Équipement sanitaire EXERCICES CO EXERCICES ANN ANNEXES ANNEXES Veuillez maintenant effectuer l’autotest 1 de la série 8, page 47 de votre fascicule de devoirs IA281d EXERCICES 2.3. W W W OUVR AGE Éléments de calculs AUTOTEST 2.3.1. Éléments de calculs pour l’adduction d’eau L’énergie mécanique dans l’écoulement (le filet) d’un fluide, par exemple l’eau dans une conduite, régit des grandeurs physiques comme : • z : la cote du centre de gravité de la section (transversale) du filet ; • p : la pression du fluide dans cette même section ; • ρ (lettre grecque se prononçant « ro ») : la masse volumique du fluide ; • v : la vitesse d’écoulement au droit de la section ; • g : la pesanteur ; • Q : le débit 30 du fluide au droit de la section ; • d : diamètre de la conduite. Une des premières équations est celle du théorème de Bernoulli ; mais il y en a d’autres, comme : • La formule de Darcy, relative à la perte de charge J31 dans une conduite circulaire : 0,0384 Q 2 avec : Q en m3/s J= 2 5 π d d en m J en m/m • La vitesse de l’eau dans une conduite circulaire de diamètre d : Puisque l’on a débit d’eau = vitesse de l’eau × section transversale : Q= v π d2 4 ⇔ v= 4Q π d2 avec : v en m/s Q en m3/s d en m 30 Débit d’eau dans une section de conduite : volume d’eau qui, pendant une unité de temps, traverse cette section de conduite. On a : débit d’eau = vitesse de l’eau × section transversale. 31 Perte de charge J : en prenant des similitudes entre un écoulement d’eau et l’électricité, la charge s’apparente à un potentiel et la perte de charge à une différence de potentiel. Ceci dit, une perte de charge dans un écoulement d’eau entraîne une baisse de pression. ©SAS-ECS - Page extraite du cours « Technologie du Bâtiment Second œuvre ». Ces extraits sont donnés à titre indicatif et non contractuel. Les cours sont susceptibles d’être modifiés en raison d’évolutions normatives, techniques et/ou juridiques EXERCICES Figure 40 : Robinets mitigeurs