Retour au menu Inst. ,Ann. Nat. Agro. El-Hsrrach, ,RELATION ENTRE LA CROISSANCE DE QUERCUS SUBER L. Vol. 12, no spécial, pp. 1-26 AERIEN DE L’APPAREIL ET LE COMPORTEMENT 1988 DE LYHANTRIA DISPAR. APPLICATION AU GROUPEMENTPHYTOSOCIOLOGIQUEA QUERCUS SUBER par L. ZERA’IA Départemnt de Foresterie et Protection de la Nature Institut National Agronomique .- Alger .- Résumé l’auteur aprés avoir observé et la croissance mesuré de l’ap- pareil aérien de Quercus suber et observé le comportement de Lymantria dispar au niveau de stations caractéristiques par le type de groupement exprime miques veau avec. les extrêmes thernotamment au niacquis en et interprete de l’éco-physiologie Lymantria corrélation les résultats phytosociologique de Quercus suber li6e à l’influence de dispar. DES STATIONS -ET NATURE DES OBSERVATIONS Choix -- des Aprés une étude, namique de la’végétation stations phytosociologique dans et les Maures -l- une cartographie et au niveau de la de 1’ Atlas dy- Retour au menu Tellien L nous MAURES .- avons choisi Dans trois r$gions le Versant Sud, niveau un certain Nord les principaux limités régions à une étude entre de dégradation différentes comparative MAURES un&omportement Les stations nous nous au niveau de la suberaie trois stable phénologique sommes triflorus). dans les au niveau de de groupement. attaquées particuliérement Une attaque des Maures. au Massif le Versant de la suberaie. humide (groupement à Quercus suber et Cytisus Ce choix a été effectué apresxr constaté ce type : et le Centre, nous avons retenu au quatre types de groupements représen.stades Dans quatre ATLAS TELLIEN.- de stations réparties différentes de chacune, tant nombre types Nous de suberaie importante a et6 observée exprimons’ les résultats au niveau humide a Quercus suber et Cytisus au Mont Fenouillet. un maquis gari,s situé (ls,) Ce dernier à Quercus suber, Erica au Grand UBAC de la scoparia forêt unedo et Calluna de la (F2) vul- Garde Freinet l groupement nale des formations de dégradation de : une suberaie située en 1974 fait à chêne-liege avancé ce dernier partie de l’aire limite septentrio- méditerranéennes. Malgré son stade groupement U3 a été épargné par -2- Retour au menu l’attaque . Par contre les stations F, et trice du phytophage. Le groupement micro-climat plus froid. I.Z.- ont été de chaque observés groupement ,(âge supérieur - le chêne-liège - le jeune Les observations une attaque dévasta- est caractérisé épargné par un et du milieu végétal trois types de chêne-liege : - le chêne-liège / subi phénologiques Les observations Au niveau Fp ont futaie CI 50 ans) non demascle chêne-liège quantifiées - l’accroissement âge de la (âge de 15 21 30 ans). âgé de moins de 10 ans. , ont porté sur : du rameau de l’année et de la feuillaison du chêne-liége - la floraison et herbacées du chêne-liège et des autres espèces ligneuses du groupement - La mesure réguliére des extrêmes thermiques au niveau du grou- pemen t . - l’allongement exprimé en mm de la chenille pendant la periode végétative, -3- de Lymantria dispar Retour au menu Les observations biocénose de la aérien la pousse chenille et sur l’évolution de la espèces avant et après l’apdispar) au niveau de l’appaporté particulièrement plus au niveau de de l’année. concerne le comportement phénologique de l’appareil pensé utile de rappeler les résultats acquis aérien nous niveau f lorus des groupements II.- de Lymantria du chêne-liège En ce qui dans mides ont de différentes (apparition parition reil qualitatives avons le en équilibre cadre de l’étude Tellien de l’Atlas au à Quercus suber et Cytisus tricomparative entre les suberaies hu- et les suberaies humides de Provence. CROISSANCE DE L’APPAREIL AERIEN : Méthodologie - expression des résultats. II.1 .- Evolution du système des résultats. foliaire Méthodologie II.l.l.- Pour évaluer le comportement et’la croissance pendant la période végétative nous avons utilisé suivant et expression : Méthodologie foliaire le code de cotation du système : Feuillage . Feuillage plutôt devenant foncé luisant 21 un vert , ayant plutôt de couleur changé clair, les feuilles sont passant du vert encore souples F.L. . . Feuillage ment ne présentant frappant pas un aspect ou apparent particulier et un change- F.N. 4 Retour au menu . Feuillage . Feuillage plutôt chétif ayant souffert B feuilles avec cassantes les traces F.C de mortalité de feuilles jeunes F.S. . Feuilles nouvelles . Feuilles encore f. groupées . Nombre de feuilles au niveau au débourrement dissociées apparentes de la nouvelle f-g pousse et individualisées (exprimée en nombre de feuilles) n. f. Bourgeon . Bourgeon B. sans croissance apparente B.N. Bourgeon en allongement ssns débourrement . Bourgeon entrou’vert avec apparition des pointes . Pousse . ELongation . Arrêt . Reprise pousse nouvelle ou allongement d’allongement vertes du nouveau du nouveau rameau de la P.E. nouvelle pousse P.A.E. rameau (ou de la nouvelle . > 4.S Quercus suber adulte q.s. Zn Jeune plant de 3 à 8 ans de Chêne-liége Quercus faginea Qi Quercus ilex II.1 ;2.- Expression P..R.E suivi dei résultats systéme foliaire au niveau suivi du . entre les Maures et l’Atlas située au niveau de la suberaie humide caractérisée ment à Quercus suber et Cytisus. triflorus. L’étude B.O. P. ou d’élongation d’élongation B.E. comparative -!% Tellin a été par le groupe- Retour au menu Elle intéresse l’élongation de la pousse en fonction longement de la station et yenne années de deux exprimé du temps 1973 des températures en jours. et .1974 pour 1976 et 1978 pour l’Atlas le débourrement du bourgeon, Tellien les (L, extrêmes Les résultats Maures ZERA’IA, et et l’ai- au niveau sont de deux en moannées 1981). ATLAS TELLIEN MAURES b-------i--L---- de température Maxima d’élongation Maxima tures en début dti bourgeon maximorum des 22O 220 310 31b tempéra- l’élongation pendant de la pousse annuelle 9 Ecart entre thermique des minima le début de l’élongation du bourgeon longation et la fin de la poussas? annuelle La’durée dans de l’é- de la période végétative les Maures et 47 jours la période de végétation atteint pour l’Atlas active est plus une moyenre Tellien. étalée 60 Nous pour de 25 jours constatons le Chêne que Liège centra& algérienne. Par dantre dans son aire limite septentrihale (Maures) le chêne liége “concentre” sa croissance sur une période limitée dans le temps, dans son aire 6O Retour au menu Malgré tats cette variabilité ci-dessus libre que le représente lieu et des comportements minima des la pendant En plus d’évaluer de cette végétal écologique seuils ressort qui s'y ou en para-équipour l’étude du mi- manifestent. maxima végétative résuJ- au vu des en équilibre thermiques période il fondamentale biologiques similitude l’accroissement caractéristiques et minima et écarts des constituer semblent cela nous avons Tellien voisine comme par n'avons pas que micro-climatique annuel ou campagnes l'Atlas telle temps une base d’appréciation. essentielle Pour le groupement une.unité La similitude des dans pris le ligneuses retenu ou celles exemple en compte moyen les espèces qui ont le chêne les une nous des de la suberaie pubescent résineux sinon et et les le les analogue chêne essences espèces humide. entre identiques essayé principales confondu éc'ologie avons zéen. Maures du moins Nous particulières chataignier. Espèces Atlas Tellien Maures Arbutus unedo 1,ll 1,37 Cytisus triflorus 1,31 0,91 0,92 1,13 1,14 2,40 . 1,04 Erica arborea Phyllirea sp Quercus pubescens Quercus canariensis 1,79 . Quercus ilex 1,47 0,90 7,75 7,75 1,29 1,29 Total général Accroissement confondu moyen du cerne en mm -7- et Retour au menu part, l’étude de la suberaie D’autre au niveau tats suivants comparative humide de la (L. production ZERA~A,1981) nous subéro-ligneuse donne les resul- : mm : 0,75 (liège ) + 0,92 (bois) = 1,7 mm pour les mm : 0,44 (liége) =+ 1,27 (bois) = 1,7 mm pour l’Atlas espèces ayant Maures Iel- lien. Les nologie résultats les principales dans au niveau intéressent obtenus du groupement Analysant phénophases nous l’indice semble pendant de PATTERSON, tout Evolution période iso-chrovégétative à fait J. PARDE (1961) admet qu’au niveau production ligneuse est identique logique au vu des résultats considérer le groupement végétal en équilibre que appréciable pour l’étude de la biocénose. 11.2.- la une phytosociologique. de deux associations climatiquesla pour les mêmes espéces considérées. Il des de la floraison comme une : Méthodologie acquis unit6 de écologi- et expression des résultats. II.Z.l.- Méthodologie Pour l’évaluation étant donné pements a.- des le nombre Maures début de élevé > nous de floraison premières la floraison des espèces d’espèces avons ( 93 au niveau suivies retenu de l’espèce fleurs. -f3- trois végétales stades confondu groupement des 12 grou- du essentiels. avec l’apparition des Retour au menu b .- Pleine c.- Fin floraison de l’espèce de floraison de l’espece, parition L’appréciation pèce occupant tuée au milieu des a une porté en fonction confondu avec la dis- fleurs. un ensemble moyenne d’individus d’observation d’une de 200 m2 même es- environ si- du groupement. de la températures des les paramétres 1 .- sur surface l’évaluation Pour dernières stade suivants floraison du chêne-liège extrêmes au niveau nous de chaque avons noté groupement : : bourgeon floral entr’ouvert laissant floraison apparaitre l’inflorescence longue de 5 mm environ (inflorescence mâle) position sur le remeau en fonction de l’année début de de végétation. 2 .- Mesure de la longueur s’effectue sur l’arbre moyenne du chaton mâle. La mesure en fleur dans les mêmes conditions zone d’observation pour le débourrement et l’allongement d’exposition et de que celles de la pousse le. La longueur moyenne est mesurée sur un châton choisi parmi les 30 premiers apparus. 3 .- apparition 4.- pollinisation du chaton et femelle fécondation 5 .- fructification -9- retenues annuelmoyen Retour au menu Le rayon d’action rapprochement les étude des observations différents port de notre stades du pollen des de la anthères en période du chêne-liège Le châton permis, malgré le stigmates. résultats des a pas de floraison, de distinguer comme par exemplë le trans- pollinisation jusqu’aux Expression 11.2.2.- ne nous et au niveau la floraison de du groupement mâle L’inflorescence mâle apparait au débourrement de l’appéreil aé- rien sur les rameaux de l’année n-l et sur les rameaux de l’année cours dès la Premiere semaine de végétation active. Les être la chatons visibles, fin cences ils leur de sont rocheux, de 2 à 5 mm en moyenne et une Au niveau des dimension varie mâle suberaie de 20 commencent atteignent à à à 70 mm. Ces inflores- des en fonction le cistaies châton ils à Calycotome du des conditions ecolo- de groupement. humide cistaies par les contraintes les froids ils par le type de la Au niveau par 2 à 4 quand jaune. du châton 60 mm en moyenne. limitée longs couleur de représentées Au niveau moyenne. sont groupés développement La longueur giques être peuvent en présente ne dépasse spinosa, pas son milieu , particulièrement printaniers, les parasites (galles) se précoce au mois de juin. Le nombre’ des fleurs portées mâle est plus élevé au niveau de la suberaie climatique. fleurs est échelonnée dans le temps au niveau du chaton à l’autre en fonction de l’exposition, sur un même arbre, -lO- longueur une de 30 mm en évolution est les substrats et la sècherespar le châton L’anthèse et d’un des chaton Retour au menu Le châton femelle L’inflorescence femelle après végétative , tion majorité de la velle. La fleur l’arbre. Les fleurs tiers de la pareil la juin, convoitée thria dispar. velles verdâtre apriS la matura- par la pousse nou- à déceler difficile aléatoire plus de la pousse par les appréciée de son sur apparition. végétative est, phytophages, tel élevées) de années consécutives en évidence la présence auquel les plus des espèces au niveau appartient. En effet du milieu la floraison de la suberaie de 12 groupements) de phénophases individuelle elle conditions ne permettent la floraison La participation généralisée. d’attaque apparaissent deux groupement portées et croissance fin Mai que Lyman- de la pousse support et’lieu de réalisation une limitation importante de la fructification en cas pousses L’étude maximum de la > nulle températures distale et La destruction femelles , entraine peut-être caractére du partie début fin par 2 & 4 , apparaissent au dernier Cette localisation très précise de l’apcorrespondant à la fin de la pdriode de femelle, la la regroupées de l’année. En effet, vers nouvelles est de couleur femelles, témoigne que d’allongement feuilles femelle reproducteur végétation, période des pousse n’apparait fleurs qui même si de nou- (sécheresse et femelle. (93 espéces a permis sur de mettre précises. de ,l’espèce est caractéristique Son comportement phénologique -ll- des du reste . Retour au menu lié à une Les phénophase premières se cituent raison précise manifestations en pleine des du groupement. chenilles de Lymanthria printaniére phénophase concomittante III.- au niveau caractérisée Quercus suber et de Cistus de dispar par la flo- salviifolius. PHYTOSOCIOLOGIQUE DES TROIS GROUPEMENTS CARACTERISATION SIGNIFICATIFS Les trois - une suberaie humide de 300 m en versant - une suberaie sud à une cotome et stations quelque de 250 logique de sans : sur schistes cytise . située à une schiste Fenouillet dégradée. constituée par pieds située de chêne-liège altitude (Maures). sur de 280 m du Mont une versant (Maures en cistaie à la à colylimite sep- m. littorales F,, met F2 sont mer et reçoivent (Hyères). pluviométrie sont du grand Ubac des Maures sur grès perméen à une al- de la La station très située retenus nord du Mont Fenouillet altitude tentrionale titude (F,) sèche - une suberaie Les à chêne-liège groupements U3 est annuelle ces trois une plus à quelques pluviométrie annuelle continentale et moyenne de 1057 groupements mm/an froide .,l.a est représenté -12- centaines moyenne en de mètres de 650 mm/an hiver, composante par le Tableau reçoit une phytasocio1 suivant: Retour au menu Tableau phytosociologique Groupement Quercus Cytisus Erica Groupement F2 F,, suber triflorus arborea Arbutus unedo Quercus ilex Teucrium scorodonia Quercus suber(semis) Cis’tus no1 salviifolius --------------------- _______---------- 3.3 1.2. 2.2 + 1.2 2.2 + + + 3.3 2.3 2.3 1.2 1.2 1.2 1.1 . 1.1 Pulicaria odora 1.1 Lavandula staechas 1.1 1.1 1.1 1.1 1.1 + + + + Asparagus acutifolius Quercus pubescens Quercus pubescens(semis) Erica scoparia Melica pyramidolis Euphorbia &arasias Lonicera implex a Ruscus Teucrium acaleatus charmoedrys Carex longiceta Viola riviniana Genista wilosa var.microphylla Cytinus hypocistus Luzula forsteri Groupement F3 + + + + + + + 1.1 + + 1.1 + + + + + + + -13- + Retour au menu Calarninta + clinopodium ,‘lauti.a coefolia arvensis var dispsa+ Rubus + tomentosus Campanula rapunculoides + Geum urbanum + Hieracium +. murorum odoratum Anthoxantum Hedera + helix Brchypodium Viola pinnatum + alba Adenocarpus 1.1. grandiflorus Cytisus monspessulanus Genista linifilia Phylliréa + + odorata Agrostis + 1.1 + angustifolia 1 .l t. f Rubia peregrina 5 milax aspera + Ruscus aculeatus + Calycotome Andryala Odondites 1.1 integrifolia + lutea Helychrisum Cistus spinosa stoetihas Asphodelus Dorycnium + ramosum 1.1 microcarpus + tuberaria 1.1 Helianthemum Calluna + a lbi dus Brachypodium Serapias + + cordigera vulgaris suffritocosum -Î4- Retour au menu Asperula cynanchica Phillyrea media Pinus mesogensis Pinus pinea Hieracium muror um Trifolium arvense Trifolium campestre Dancus (semis) carota -15- Retour au menu De l’analyse groupement 700 et le phytosociologique est F, humide au niveau il à cytise ressort retrouve qu’on de l’atlas que tellien le entre en contact avec vert. La station F2 à feuille est de lin à 300 m d’altitude ple suberaie 800 m d’altitude chêne genet une de ce tableau une suberaie (Téliné environ sèche linifolia) telle que de basse altitude rencontre qu’on la suberaie de M’Sila avec le en Algérie par exem- (Oranie). La station U3 est un stade de dégradation des formations avancée à chêne-liège. Les groupements cisto-lavanduletea Fp et U3 sont telles Erica que caractérisés par des espèces des I : arborea Cistus solviifolius Lavandula stachas Calycotome spinosa Andryala integrifolia Cytinus hypocistus Mais le groupement U3 représente en plus xerophiles des espèces des Calluno-ulicitea climat relativement plus humide et plus qui froid - Genista pilosa var microphylle n’existant pas en Algérie). - Erica scoparia (présente dans -16- de ces espèces thermo- appartiennent telle que : à un (influence les suberaies du froid d’El-Kala) Alpin,. Retour au menu vulgaris - Calluna atlantique). Ces espèces trouve IV.- qui ne l’état situation ensemble sub-atlantique des un microclimat et caractérisée données par symphénologiques dispar la des . à carac- humide permettra pas à Lymantrks dégradé de la suberaie. écologique au niveau de se végétation trois dé- re- se groupements. Exp6rience et interprétation des données symphénologiques au niveau des trois groupements Les résultats caractérisée veau climat de . représentent tère continental velopper malgré Cette (espèce des La par l’attaque phénodiagrammes floraison groupements en fonction Le Tableau étudiées, trois des dispar de Lymantria qui suivent groupements sont pour l’année représentés au ni- : (-1 et le débourrement (+> des principales espèces des observées et évaluées d’une maniére concomittante des extrêmes thermiques au niveau du groupement concerné ont surface d’une symphénologiques leur été de 400 m2 qui suit codification environ. (L.C.l) représente et la nature -17- la liste des des espèces observations végétales effectuées. Retour au menu I ! / &+CH *,.,,.................,.*... i L I I, h-lru, j :thfua : ,\<c* rukr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . WlviijCC1lL3 . . . . . . . . . . . . . . . . . es IltiPd .,..............*....... l.a*ru*hr~ ; iJc!wtYme rhtdw QJiWM ................... ................... iiatul nwwbptliw~i~ ................ leuicitn UyCzrJ .................... i<> tur Pebidu, ..................... G4bi.t ycncg*ilw ..................... Awi>ta VilsSa ...................... L.(Cll, C2rurid l;r,rrcw ...................... ojjicindib ............... .‘ft:i$a$ tijkub .................... Hit¶xitm l*i?r~iull .................... Puciw tcnwdmia .................. I’ich r+z.4ttiJ .................... U:ticvJ%m rtoecluU .................. Fi4#fbIM ayrn;7wCi jt*tYin .............. i.Abilbula ctiuwdiw< ............... ............ AJeb~ WWdii~0U.J ............... 4rdz~guCa tiF+ijoLu fil$k%liA CJrataa, ................. ficaria nanwicutaide~ ............... I&ta adAatm ............... L’raviu coadwez4 .................... cdailcti eut-Lt ...................... Lb foa.x& ...................... &A&¶ cwdicrull ..................... &ir-'tcul WtijC~ ................... ?mda(ca bi&ùno~ a ................. tuea swp7a.a ....................... DI4ul UMti ........................ :Un~ OI~wdtlu ................... hagoaia vebcp ....................... C-&ZW& ..................... ..................... huLia pwlvu .................... :erhe ..................... AniA& Luujati ................... cuIce&ticLu 044itinPte .............. cdi.l eh<y-rrputi ................. UOW~ Uhh.UtiCOu¶ ............. auüb,pdirrr-~4ua . . . . . . . . . .. . . . . . . cae.ewm uuegu LPeJlwM c.!lmam **::::::::::::::::::: l.uhLyuLd a& ....................... Ch vuegti .................... C*h UeQehs .................... sdaaaApt.u ........................ j Sotidtqa tiga-ayen ................. t !.ltiell pg.umhb . ................... t k4pa1qu.4 as2Azqoti ................ I cklqblda *<ÿunur2ua ................. ’ Imcti bL(bouu .................. j Anu&eoel!.iE uamia‘ ................. TeueGu rhMn&l& 1 +dw.b” amt~&&Gder ................................ : Putaeh.in &A&u .................. ................... ......................... ....................... .................... ........................ ! D&ne glL4dium ....................... i 9wACur i-k ........................ : Ih WtgaAc ...................... il1814 +--- Wupitwd ...................... ..................... 1 2 3 4 J 6 1 8 9 10. II 12 13 14 13 16 17 18 ,Y 20 21 22 23 24 25 26 21 . 26 29 3n Il 12 33 34 35 36 37 36 39 40 41 42 43 44 45 46 46 Lll 49 FI 52 s3 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 66 09 70 71 bl 13 tJ7 75 2 -..* 79 2i 24 24 24 15 14 10 9 . 9 6 7 7 6 6 6 b 6 6 6 5 5 5 4 4 c 4 3 3 3 3 3 3 3 2 2 2 2 2 2 2 2 2 1 2 2 2 2 I l I I I I 1 I I I L I I I I 1 : l I 4 I 1 I I 1 l 9 7 2 2 1 6 : 6 : 6 6 3 6 I b i I 6 b * 2 I 2 l l . l l l i 2 4 ; 6 6 6 ; 6 i 4 3 . i 1 i i i 3 I i i I I I 9.9. C.I. 94. L.m. Cl.+ C.I. L.1. Cd. I.Q. c.p. l4dc.laa. a.0. cyt.t. si*r.m. T.S. v.1. llal.si. Ptlyl .a. Cal.cl. Ad.g. And.in. e.c. ric.r. Anc.oQ. srr.c. od.l. L.f. l 1 3 I l i 3 2 2 2 l l . . l i I i t . . . i I . . i . . ; I 1 I I 1 I I I 1 . . . I I 1 . . . 4 i I I .. ‘ : 1 I i 2 i . . . l . :::: Ii0K.b. e.scp. Danc.c. J.O. F.W. CJSC.#. PUl.od. I(n.?. JU.8. G.1. V[X. orch.ci. D-8. 0r.r. Ca1.v. I.I.C. l..n. ca1 .P. CJI .tl. .%.a. So1d.v.a. M.Q. *a,.ac. CW,,.r&Q. I1JR.b. hrisr.ror. T.Ch. tu,nh.a. P.I. 1.1. 0rch.p. P.V. 1lir.b. Vi8c.a. mp.<. Q.i. 7’ 10.“. AW.. &Y... W.lWl. AI,>h . f . ‘:..y,. ,l4,, 4. ‘7hyr.V. *mm. A.Y. O.P. 1).‘4#1. HlYl... 1’, b . Retour au menu IV.- Cas de la suberaie w .‘.G - _-Y.!.__, _.E.r._.._, _,_.___ .,. p-*‘;fi -‘-bat-‘-‘-‘-‘-‘- ..---_--.. . A.-----. et de ce premier principales Cytisus - une triflorus vrier. phénophases triflorus de Viola phénophase Quercus suber (Q.s> - une phénophase crium scorodonia, Ces trois raie titude humide la suberaie de hivernale, (Cyt.t.).Cette - une phénodiagramme nous humide constatons à Quercus suber : phénophase par la floraison (F.l) -----f,r, ..._ -_.-... .y’fw.s -Y-r.:.:-‘-‘-‘- -‘--.. -------.-“‘,.._. -.--: ._..-....-. .Giim,c,,.-.--- F’ +:.-~.:q..--L-,.ï. ..___ .-. ..-_ _..., De l’observat,ion trois humide caractérisée sylvestus Cistus estivale Calaminta Erica (V.S) florale phénophase printanière avant (C.s>, : caracterisée clinopodium, arborea hivernale caractérisée salvifolius le mois mars, de (E.a) débute Cytisus en Fé- par la floraison Lavandula staechas(L.s.) par la floraison Campanula de de Teu- rapunculoides. principalesphénophases caracterisent le type de subea Quercus suber et Cytisus triflorus située à 500 m d’al- en moyenne en Provence occidentale et 700 m d’altitude en rroyeme Retour au menu auniveeu par de l’Atlas Genista Tellien. pilosa La suberaie microphylla ssp. humide qui Provençale est enrichie pas en suberaie n’existe tel- lienne. IV.~.- Cette Cas de la suberaie formation plus s’appauvrit hélophile - la et (F2) en cytise en immortelle hivernale phénophase d’Erica sèche plus et s’enrichit en bruyère arbre scerique. .- est caracttirisée par la floraison arborea - La phenophase de Quercus printanière suber et Cistus - La phénophase Helychnisum estivale .- est caractérisée salviifolius. est caracterisée par la floraison par la floraison de staechas. : Ce type de suberaie séche située en Adret (Exposition sèche) occupe les stations des versants sud et ouest de l’Atlas Tellien, caractérisée par un manque d’humidité stationnelle -ZO- suffisante. Retour au menu T.V.3,- Cas de la Physionomiquemept des.arbres clairsemés suberaie il dégradée s’agit d’ur représentant . La phénophase hivernale . La phénophaae printani?we arborea. Quercus suber et Cistus . La phénophase estivale CU.31 maquis de chêne-liège un faible est caractérisée caractérisée par recouvrement. par la floraison d’Erica par 1a floraison est caracttkisée de salviifolius. est caractérisée par la floraison d’Andryale sinuata. Remarque générale Nous phase avec constatons au niveau des trois groupements que pendaQt la printanière la floraison de Ciatus salviifolius est concomitante le débourrement et la floraison mâle de Quercus suber. -21- phéno- Retour au menu V.- EVOLUTIDNDE LYMANTRIADISPAR PAR TYPEDE GROUPENNT Dans le tableau de Quercus suber en fonction des folius 3 .- de groupement de Lymantria aérien de Quercus salviifolius de suberaie suber , dans le pour l’année est comprise la au stade floraison nous du rameau de Cistus constatons est dispar n’apparait chenille absente que salvii: au niveau du suber au niveau qu’après des la types de l’apfloraison pleine de suberaie humide sèche. de Lymantria atteint dispar dispar au niveau La chenille n’ait. l’accroissement U .3. La chenille de Cistus T.l) et de Lymantria La chenille et thermiques du type pareil (Tableau de Lymantria extrêmes groupement 2 .- suit l’évolution au niveau l.- qui cas une de l’étude, valeur concernée, entre dispar, n’apparait qu’après comprise tandis 22O et 29O. -22- entre que la au niveau que le 6O et valeur minima 10° à la du maximum de Quercus thermique mi-mai thermiqe Retour au menu 4 .- La chenille niveau sente de Lymantria du maquis est froid station. n’est 1 ‘année concernée, veau de la 5 .- station de la de la station plus phytosociologique au que cette constatons que 21 Od jusqu’a la la chenille F, et ab- ,,. le ‘, minimum mi-mai de occupe dé je la suberaie évolué et se confirmer mieux le moins régulé ,%-.,:‘, au niveau dégrade. liaire : ‘, 2’ de l!année :Correspondant CI Papparition dé la .’ fécondation turelle humide ‘, ,. F,. .’ ” complexe du g& .. ‘., y.’ .:, ‘..,: .,I‘: : <’ ,,..I, ,: ..,. ., .‘. î.‘, : /’,, maxi&@e~~~. ‘, Y,,‘,’ .> .: .;/, ,, .’ ‘: :’ .,: ‘.‘;, floraison et de fructification de la suberaie pour l’annee mettant en cause la régenération’ ” ii ,., : ,’ na- ! /‘.., 7)- On constate, au niveau’ des, stations. ,humides .humides une pousse nouvelie, I ‘et oarticulièrement, importante début juillet pour pour les rameaux .‘. /,, ,’ -attaqués. .’ suivante. ,’ _’ ‘. .. ,,: .,: femelle du chênes iiege B l!extrémité terminale du rameau. , ‘_ ,‘.‘. ‘: ., . .,:,”“...I .,’ ‘, ‘/ < ,. : :. Il en “résulte que la destruction de cette pousse terminale par. le’ .,:, ‘..: ’ phytophage ravageur entr&e l’absence de floraison femelle et par voie, :Y, ; ,, ‘, ,.‘_ ‘de conaequence, bien que les ,chatons mâles exis,tent encor’e, l’absance .,: : : Ae ,! : j ,, ‘, :, de Lymantria’ dispar atteint sa croissance 6 .- La chenille avec une longueur de 60 b 70 cm & la fin de la croissanceefoi, ,. ,, au ni+ que le .. .’ : 8 mm de ion- Calosoma sycophanta . semble ,, ,., .-‘,’ ’ ,‘. ., au niveau’de il ” particulièrement station du predateur précédentes absente Fg. L$3 et sa presence est pement nous a laquelle au niveau l’absence Des remarques semble au microclimat période au niveau constatons Il égal ou inférieur thermique complétement Uj. En effet, 20 mm de longueur Nous est liège B chêne d&essentiellement de la gueur dispar . .: .: ,:. .:..,( I,‘.: I,,.: ’ .’ :: :. : :’ :: .,I. .,’ Retour au menu Au niveau n’a de ces types pas encore sible, été détruit,un a condition donnant que des pousses que celles sur de stations, et thermiques maxima de nouvelles formées en période rameaux où le débourrement nouveau les les normale est encore ne dépassent feuilles bourgeon beaucoup plus pas ~OS31°C, grandes de croissance. apres la fin de la croissance aérienIl apparaît donc qu’en juin, le chêne-liège est encore en mene normale de l’appareil vegétatif, sure, dans des conditions croissement en “Fleching L-‘attaque ” rapide de saison tant limité de poursuivre dans dispar le a mis un ac- temps. en évidence l’ap- de l’appareil aerien de Quercus suber, en fin sous une forme rapide et limitée dansle temps, de végétation, que certains et de Lymantria accidentelle B la croissance titude favorables, écologiques seuils thermiques et d’humidité ambiante sont encore favorables. VII.- CW4CLlJSION GENERALE Le groupement constitue végétal une unité Le stade le plus defini écologique évolué par son complexe floristico-ecologique fondamentale. du groupement à Quercus suber et Cytisus triflorus représente une forme biocénotique plus riche et relativement plus équilibrée par rapport au stade degradé. C’est le cas de la presence significative L’étude de Colosoma symphénologique de caractéristiques sycophanta’au du groupement phénologiques. . : ‘. * -24- niveau de ce type a mis en évidence de groupement. le présence Retour au menu La concomitsnce la floraison pleine L ‘apparition phases du début de floraison de Cistus aalviifolius. des larves de Lymantria mâle de Quercus dispar est li6e avec B ces ph&o- florales. de Lymsntria L’attaque niveau de l’appareil période g laquelle dispar époque chenille laison’joue un rôle qui se situe capital grâce & l’activité .’ Qdaphique favorable. Malgré est é la au niveau fin particuliérement juin, de la photosynthétique béreuse au notemment maximale et accuse un rbgime alimentaire s’a.ttaquant aux autres espèces du groupement. A cette destrutrice 21 la maturit6 foliaire totale de Lymentria dispar atteint la crois- foliac6 la est particuliérement sance liège suber début juillet production active vorace, la feuil- ligneuse liée et su- ZI une humidité une abondants floraison mâle, la fructification du chêneannulée par l’attaque de l’appareil aérien dans la mesure oh la chenille priviMgi6 dktruit la partie terminale de la floraison femelle. du rameau de l’année, support BIBL IM;RAPHIE LAVAGNE, A., MOUTTE, P., ZERAIA L., 1976.Carte des associations du Vallon du Maraval au 1/1OO.ilOO et Ecol. médit. T.3 n04. tales Biol. LOISEL R., 1971 .- St$ries de végétations propres en Provence sifs des Maureaet de l’Esterel (ripisiives Bull. Soc. Bot. Fr., IÊB , n03-4 vég& . aux Mas- exclues). 203-236. . -2!L Retour au menu J.V., NATIVIDAE 1956 .- Subéricult,ure Ed. PARDE PUEZ+ J., P., 1961 1956 ;- Fr. E.N.E.F., Dendrométrie :- Contribution & l’étude caduques Hist. Nat. P., 1976 .- Le dynamisme - Nancy. des Forêts d’Algérie. A..Nord'. i, de la'végétation terrandenne della . Estratto Collana Verde. tERAyA L., 1976 .- Quelquesdokinées,, logique contre I.N.R.F. Août 1 ZERAIA L., 1981 .- f+r - 309 p. id,-E.M.E.F. à feuilles MBm. S~IC. QUEZEL Nancy, I-57 en $a :’ Vol. ia vie et de Chênes r4gion médi- 39-1976, la lutte bio- Essai d’interprétation comparative des.données écologiques, phénologiques & de production subéro-ligneuse dans les forêts de chêne-liége de Provence’ cristalline ( France Méridionale) et d’Alg6rie. -26- Retour au menu T1 = Rdatim du rwau entre 1'6lmgatim - la feuillaison annuelles de Quercus suber et 1'6volytim de La cheniltri- dispar au niveau des trois grmts de5 Elongation p* ds Quercus mmdu rameau suber et nombre de feuilles ertmm55 themiqu55 en nouvelles Celosome Floraison Cistus Statim Salv. Date .vation Fl d'obser- IJt 'Floraison -Cistus Chenille -.Salv, Floraison Station L.D. --Ciatus I 18Jt F2 Salv. Station U3 1 Maxima (MI , minima au niveau des trois = 710 m = -r-7O q.s= = c0, 5 =+30 = 6mm =230 Z-,-p ~29~ =lOO = 720 .. =35lnm6f.=50mm = 220' =31 O m = +y = +30 =l b?O d q.s= M = 230 m=O qs. . . =UlWl = 230 =lOmm ,. = A.' z-30 =310 -"cl - ,. =4hm élongation (m) Thermique groupements RF. =Il0 =2chml =3Y3 x-70 =3OmmRf et feuillaison =,‘90 = z” =300 =905 =50mmlOF. =.5Omml =32 =Il0 =3?O =lOO =70mm5f. =?Omm7f. =330,5 A+0 z37.0 q +qo =55mm9f. =55mm9f. -27- (mm) = 350 =130,5 (nf) $;: (FI) Of. =37Q Z31!.0 =150 =16O =350 Z-FI ?O q 3F;Q =-..F-: CU,) (F2) --