DEHECQ Olivier http://aide.informatique1.fr
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2016
Oracle DB 10g
ADMINISTRATION WINDOWS
OLIVIER DEHECQ
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Table des matières
1 Les bases de l’architecture Oracle ....................................................................................................... 4
2 Installation .............................................................................................................................................. 7
3 Création d’une base de données (assistant) ...................................................................................... 11
4 Le listener (p60) ................................................................................................................................... 12
5 Les statuts d’une base de données (p90) .......................................................................................... 15
6 La gestion de l’instance (p146) ........................................................................................................... 17
7 Gestion des fichiers de contrôle et de journalisation ........................................................................ 19
8 Gestion des tablespaces et des fichiers de contrôle (p171) ............................................................ 23
9 Flashback (p327 -) ............................................................................................................................... 27
10 Créer une base de données manuellement ................................................................................... 28
11 Gestion des tables et des index p243 ............................................................................................ 32
12 La gestion des utilisateurs (217) .................................................................................................... 35
13 Index ................................................................................................................................................. 40
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Signalétique
Nota, astuce :
Contient une partie serveur web qui traite les réponses statiques.
Important, à retenir :
Ceci est une chose importante
Commande MS-DOS
C:\> c:\tomcat5.5\bin\startup.bat
Commande UNIX
# /tomcat5.5/bin/startup.sh
Commande SQL
# /tomcat5.5/bin/startup.sh
Chemin de fichier, dossier, emplacement sur le disque
Fichier web.xml
Exemple de contenu de document
<Host name="localhost" appBase="webapps" unpackWARs="true" autoDeploy="true" />
Contenu du fichier web.xml
<welcome-file>index.html</welcome-file>
Contenu du fichier server.xml
port "8080" port d’écoute du connecteur
Autre contenu de fichier :
<role rolename="RUserHelloWorld"/>
Spécifique aux documents xml :
Balise
Nom de propriété
Valeur
Commentaire
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1 Les bases de l’architecture Oracle
Oracle est un Système de Gestion de Bases de Données Relationnelles (SGBDR). Il prend en compte le
SQL, utilise aussi des tables et vues système. Oracle est un logiciel. Il faut installer des clients Oracle
pour se connecter aux bases de données Oracle.
On peut acheter les licences par utilisateur ou par processeur. A titre d’exemple, Oracle 11gR2
standard va jusqu’à 6 cœur et coute 17500€ par cœur sur le serveur sur lequel le moteur est installé.
Si vous faites de la haute disponibilité, une machine virtuelle contenant le moteur Oracle installé en
version standard pouvant basculer entre 2 hyperviseurs physiques ayant chacun 2 cœurs, cela coute
4 x 17500€. S’il y a plus de 6 cœurs, il faut une licence Enterprise (35000€ par cœur). Si vous
installez au moins une fonctionnalité non comprise dans la version standard, il faut une licence
Enterprise.
Oracle coûte donc cher, et il ne faut donc pas « jouer » avec.
1.1 Présentation générale
Gammes :
Standard : limitée à 6 processeurs
Entreprise : au-delà de 6 processeurs ou au moins une fonctionnalité « non-standard »
installée
Personnel : uniquement sous Windows
XE : gratuit, pas en production, 20 à 25 connexions simultanées
Oracle est spécialisé dans les grands comptes, est indépendant de l’OS (seule l’installation est
différente, la base est identique sous Windows ou Unix) ; beaucoup de possibilités de paramétrage ;
principe de sauvegarde simple et efficace ; un seul outil d’administration qui est centralisé et permet
toutes les taches d’administration en mode web (la DBConsole).
Les éléments d’Oracle :
Oracle database : la base de données
Oracle application server : gère la base de données
Grid control : outils d’administration (en fait, la DBConsole)
Outils pour les développeurs
Les clients Oracle, avec des composants gratuits qu’on peut ajouter (driver ODBC, SQL*Plus,
assistants de connexion, etc.)
1.2 La Base de Données (p15)
(1+) Datafiles : fichiers utilisateurs
(1+) Control files : contiennent la structure de la BD, permettent de vérifier sa cohérence, font
référence aux autres fichiers.
(2+ groupes) Redo log files : fichiers de journalisation, permettent de faire des rollback (des
retours en arrière). Contient les modifications apportées à la BD. Permet de récupérer
l’instance après un arrêt anormal (pensez à faire des Backups RMAN de votre DB)
DB_NAME : nom de la base de données
Mode ARCHIVELOG : active un archivage des logs pour restaurer la BD facilement. Très utile pour les
BD qu’on ne peut pas arrêter. A faire en complément de backups RMAN.
Un schéma contient :
Tables, vues, synonymes (simplification des requêtes, passe outre le schéma mais penser aux droits),
index, séquence, programmes PL/SQL (procédures, fonctions, triggers, packages, jobs).
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1.3 Le Serveur (p19-25)
Gère l’allocation des ressources. Une instance peut ouvrir plusieurs BD, mais une seule à la fois !
ORACLE_SID : variable d’environnement, définit l’instance utilisée à un instant t
Utilisateurs:
SYS : plus haut niveau. Propriétaire du dictionnaire, démarre et paramètre l’instance
SYSTEM : propriétaire de tables complémentaires
SYSDBA et SYSOPER permettent de faire certaines manip (sauvegarde, démarrage/arrêt, etc.)
Init<%DB_NAME%>.ora (exemple : initINSTANCE.ora) : très important au niveau de l’instance. Il permet
de faire le lien avec les BD montables et de connaitre la taille allouée à l’ensemble de la mémoire
(=SGA), contient les paramètres d’archivelog et autres paramétrages de l’instance.
1.3.1 SGA (System Global Area) une par instance:
Les 3 zones mémoire de la SGA :
Database buffer cache : les données sont stockées temporairement dans cette zone avant leur
écriture sur le disque
Redo log buffer cache : enregistrement des modifications insert/update/delete rapportés à la BD.
Si un des membres d’un groupe manque, la BD continue de fonctionner.
Shared pool : pour le fonctionnement du moteur
o Library cache : zone mémoire dédiée aux requêtes (cache des requêtes)
o Dictionnary cache : zone mémoire dédiée au DICT (
équivalent de master
)
1.3.2 Les processus
PMON : en cas de plantage de process utilisateur, se charge du rollback et libère les verrous
SMON : récupère l’instance après un arrêt anormal
DBWR : (DBWriter) récupère les données du Database Buffer Cache et les écrit dans le Data Files
LGWR : (LogWriter) récupère les données du Redo Log Buffer Cache et les écrit dans le Redo Log File
CKPT : Checkpoint : permet l’écriture des logs du LGWR
Autres : processus pour les requêtes notamment
1.3.3 PGA (Program Global Area)
Aussi une zone mémoire. Permet l’exécution de certaines requêtes (exemple : tri).
1.3.4 Le listener
C’est un module d’écoute. C’est un service qui permet d’utiliser TCP/IP pour accéder à la BD. Il
écoute par défaut sur le port 1521. Il est associé à 1+ BD.
Listener.ora : fichier de configuration du listener, contient la liste des listeners
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