o Le maximum de RS incident au sommet de l'atmosphère (> 500
W/m2) se décale du pôle sud en décembre au pôle nord en juin
o L’hémisphère sud reçoit plus de RS que l’hémisphère nord en
décembre et inversement en juin
o Les valeurs sont quasi-constantes toute l’année au-dessus de
l’équateur
o L’évolution est quasi-identique pour les autres champs
climatiques (2 et 3)
o On remarque toutefois que le RS absorbé en surface (c'est-à-dire
la quantité d'énergie qui va servir par exemple à échauffer le sol)
n'est pas maximal à l’équateur mais plutôt vers 25°-30°S en
décembre/janvier et vers 25°-30°N en juin/juillet
temporelles du rayonnement solaire (2)