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On dit parfois que les micro-ondes sont des radiations « non ionisantes ». Cela signifie seulement que
l’énergie d’un seul photon est insuffisante pour ioniser, parce qu’elle dépend de la fréquence de l’onde.
L’amplitude des oscillations du champ électrique dépend par contre de la densité locale des photons.
Quand elle est grande, elle provoque des oscillations assez vigoureuses des électrons libres pour que
ceux-ci ionisent. Beaucoup de photons de faible énergie peuvent donc agir simultanément.
Le système PEMP proposé n’est pas seulement applicable dans l’air atmosphérique, mais également
dans de l’eau, parce qu’il suffit de l’ioniser en dissociant les molécules H
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O pour obtenir des ions H
+
et OH
-
. Quand les champs E et B qui entourent l’ovni sont assez intenses, ces ions sont mis en
mouvement et il en résulte une propulsion par réaction. On a effectivement observé des ovnis qui
plongeaient dans des océans ou en sortaient. La glasnost de Gorbatchev a même amené des officiers de
sous-marins nucléaires soviétiques à révéler qu’ils avaient détecté des objets sous-marins qui se
déplaçaient à des vitesses anormalement élevées. Quand des ovnis sortaient de l’eau ou restaient
immobiles à faible hauteur au-dessus d’une surface d’eau, on a observée des mouvements de l’eau. Ils
s’expliquent par le fait que les protons (H
+
) ont une masse suffisante pour entraîner des molécules
d’eau. Puisque les ions OH
-
ne sont que 17 fois plus lourds que les ions H
+
, ils peuvent également être
mis en mouvement et entraîner des molécules neutres. En outre, il faut tenir compte de l’ionisation
alternée au-dessus et en dessous de l’ovni. Tout cela confirme la validité de la théorie proposée.
2. Preuves d’une production de champs magnétiques très intenses, oscillant à basse fréquence
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.
Même les hypothèses de base sont confirmées de différentes manières. (1) Un disque volant qui restait
stationnaire quelque temps au-dessus d’un sol relativement humide y a laissé une trace annulaire, où le
sol fut déshydraté et comprimé. Cela s’explique par le fait que les lignes de force du champ E induit
sont des cercles centrés sur l’axe de symétrie du disque et qu’au niveau du sol, ce champ est le plus
intense dans un anneau circulaire. Il peut en résulter un courant électrique suffisamment intense pour
chauffer le sol jusqu’à 100°C et y provoquer l’évaporation de l’eau. Puisque l’amplitude des
oscillations du champ E induit est non seulement proportionnelle à la fréquence des oscillations du
champ B, mais aussi à sa grandeur, il est possible de compenser les basses fréquences par des
intensités très grandes. Le sol fut compacté dans cet anneau puisque, d’après le modèle PEMP, la force
verticale exercée par l’ovni sur les particules chargées au niveau du sol y était maximale.
(2) En 1904, un bateau à vapeur s’est trouvé enveloppé d’un nuage lumineux. L’air y était ionisé,
puisque l’équipage constatait des effets de type électrostatique. En outre, des chaînes ne pouvaient pas
être soulevées. Étant magnétisées, elles ‘collaient’ au pont en acier. Puisque la force qui les retenait
était proportionnelle à B
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, sa valeur moyenne n’était pas nulle, malgré les oscillations de B. Suspectant
une magnétisation, le capitaine regarda la boussole et vit alors que son aiguille tournait « comme un
ventilateur électrique ». (3) Une rotation continue de l’aiguille de boussoles magnétiques a également
été observée plus récemment par des pilotes, lorsqu’un ovni accompagnait leur avion. Nous avons
démontré
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que des rotations continues sont possibles. Elles ont lieu à la fréquence imposée, dans un
domaine de fréquences possibles qui s’élargit quand l’amplitude des oscillations du champ magnétique
augmente. Ce n’est pas un phénomène de résonnance, mais un phénomène régi par des équations non
linéaires. Puisque la fréquence des rotations de l’aiguille magnétique est égale à celle des oscillations
du champ EM de l’ovni, on a pu vérifier qu’il s’agit effectivement de basses fréquences.
(4) L’Américain Ray Stanford a réussi à enregistrer les variations temporelles du champ B produit par
des ovnis. Ces observations instrumentales ont révélé que B oscille à une fréquence dominante (proche
de 6 Hz dans ce cas) avec une superposition d’oscillations à d’autres fréquences. Quand les phases
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A. Meessen: Evidence of Very Strong Low Frequency Magnetic Fields,
http://www.meessen.net/AMeessen/Evidence.pdf
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http://www.meessen.net/AMeessen/Boussole/