Going Home
de Vincent Hennebicq
Théâtre National / Bruxelles
Théâtre
10h45
7 au 27 juillet
Relâche 13 et 21
Durée : 1h
Distribution
Texte et mise en scène : Vincent
Hennebicq
Avec : Vincent Cahay (en alternance
avec Maxime Van Eerdewegh), Dorcy
Rugamba, François Sauveur
Scénographie et lumière : Fabrice
Murgia et Giacinto Caponio
Vidéo : Olivier Boonjing
Costumes : Émilie Jonet
Musique originale : Vincent Cahay
et François Sauveur
Régie générale : Romain Gueudré
Création et régie son : Cédric Otte
Régie lumière : Jody De Neef
Une production du Théâtre National
de Bruxelles, du KVS et du Festival de
Liège.
Avec le soutien de La Chaufferie-Acte 1.
Remerciements : Philippe Meert,
Thewodros Berhanu, Françoise Pastor,
Dawitt, Popi Jones, Denise Maillot et
Setual Ayele.
Contact
Charlotte Jacques
Responsable diffusion
+32 (0)499 29 63 59
Juliette Thieme
Chargée de diffusion
+32 (0)486 53 17 31
www.theatrenational.be
Grandes émotions, images fortes et musique live pour ce ré-
cit à la première personne d’une migration à l’envers. La force
d’un opéra rock au service d’un conte moderne en prise avec
l’actualité, le tout accompagné d’images fascinantes venues
d’Éthiopie.
L’histoire commence à Hambourg dans un parc et sous la
neige. Il y a là un homme noir égaré, avec 5000€ à ses pieds.
Le braquage a mal tourné, la police est venue l’arrêter. Tout le
monde le regarde. Il se demande ce qu’il fait là.
En quelques mots, le décor est planté : l’histoire de « Michalak
l’éthiopien » s’offre à nous. Celle d’un jeune homme, adopté par
une famille autrichienne, embarqué dans une histoire chao-
tique de Salzbourg à Addis Abeba. Il a fui ce pays qui n’est pas
le sien et rêve d’argent facile, de femmes et de soleil. Mais ses
illusions vont se heurter brutalement à la réalité. Ce spectacle à
hauteur d’homme, au verbe lyrique, nous offre surtout à voir un
combat contre la fatalité et un chemin d’espoir.
« Mise en scène avec fièvre par Vincent
Hennebicq, Going Home défile en une
heure de diamant brut. Inflammable,
la performance de Dorcy Rugamba
(Rwanda 94, Bloody Niggers) est le pre-
mier combustible d’un récit à la fois noir
et lumineux, dur et touchant. Les pul-
sations de son jeu sont encore attisées
par la musique live (et les compositions
originales) de Vincent Cahay et François
Sauveur. À la batterie ou au violon, ils
embrasent le combat de Michalak contre
la fatalité, ils exaltent les images vidéo
d’une Éthiopie belle, lyrique, fière, loin du
misérabilisme dont la parent habituelle-
ment les jumelles occidentales. »
Catherine Makereel - Le Soir
« Going Home joue sur les rythmes
et les silences en immergeant le texte
porté par le comédien dans des com-
positions originales et jouées en di-
rect par Vincent Cahay au piano et
à la batterie, et François Sauveur au
violon et à la guitare. Le récit et la mu-
sique se complètent parfaitement et
s’enrichissent en outre de projection
vidéo. Plus que de simples illustra-
tions, les images appuient le propos
du conteur en prenant le contre-pied
des clichés d’une Éthiopie pauvre et
minée par les famines pour montrer
le visage d’un pays plein de grandeur
et de beauté. »
Didier Béclard - L’Écho
La presse en parle Vincent Hennebicq
Diplômé du conservatoire de Liège, Vincent Henne-
bicq est comédien et metteur en scène. Il a notam-
ment travaillé avec des metteurs en scène comme
Fabrice Murgia, Jeanne Dandoy, Coline Struyf,
Jacques Delcuvellerie, Mathias Simons, Frédéric
Dussenne, Michaël Delaunoy... Il a aussi appris
le néerlandais pour jouer dans Baal et plus tard
dans Tribuna(a)l tous deux mis en scène par Raven
Ruëll et Jos Verbist. Vincent Hennebicq a également
commencé à enseigner au Conservatoire de Liège.
Après Parasites de Von Mayenburg et HEROES
(Just For One Day), il s’agira de sa troisième mise
en scène au Théâtre National.
Vincent Hennebicq a reçu le Prix de la Critique
2011/2012 du meilleur espoir masculin pour sa re-
marquable prestation dans Baal.
Going Home
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Happy Hour
de Mauro Paccagnella & Alessandro Bernardeschi
Cie Wooshing Machine
Danse
12h45
7 au 27 juillet
Relâche 13 et 21
Durée : 55’
Distribution
Conception et interprétation : Mauro
Paccagnella & Alessandro Bernardeschi
Musique : Claudio Monteverdi, Siegfried
Kessler, Bob Dylan, Amanda Lear, Si-
bylle Baier, Siouxsie and The Banshees
Création lumière : Simon Stenmans
Une production de Wooshing Machine
réalisé avec le soutien du Ministère
de la Culture de la Fédération Wallo-
nie-Bruxelles, WBI, WBT/D.
Wooshing Machine Cie est accom-
pagnée par le Grand Studio et est en
résidence administrative au Théâtre
Les Tanneurs.
Remerciements à King’s Fountain
Contact
Wendy Toussaint
Chargée de diffusion
+32 (0)477 494 054
www.wooshingmachine.com
Le plaisir de danser, partagé par deux compères facétieux et
drôles qui aiment jouer avec le vrai et le faux pour détourner
les codes des arts de la scène. Dix tableaux chorégraphiques
pour raconter l’histoire de leur danse impertinente et de leur exi-
geante amitié.
Forts d’une complicité qui dure depuis presque 20 ans, Mauro
Paccagnella et Alessandro Bernardeschi se retrouvent ici pour
un duo dansé en forme performance. Un acte chorégraphique
exécuté par deux corps qui ont vécu le même nombre d’années,
deux danseurs italiens émigrés qui ont presque le même poids,
la même calvitie et les mêmes rides. Happy Hour ou heure de
bonheur. Un temps au-delà du quotidien, où le jeu se pose sur
un fil tendu entre danse et amitié, fiction et réalité. Une heure
seulement pour s’interroger sur cet espace où l’affection et la
bienveillance se déploient et s’expriment en mouvement, ce lieu
où la représentation entre en relation avec le réel. Des questions
à deux balles, peut-être ? Mais finalement, c’est bien ce qu’on
gagne en faisant ce métier, non ? Alors, débutons peut-être ici,
accordons-nous sur un principe simple : Restons humain !
« Mauro et Alessandro sont là, dans
cette qualité qui fait trembler leur geste
d’une justesse absolue, celle qui nous
rend curieux de chaque tableau, passant
pourtant de l’humour à la mélancolie
sans ménagement. »
Sylvia Botella - RTBF
« La réussite du Collectif Wooshing Ma-
chine tient à l’intime fusion des langages
qui se confrontent et se surimpriment,
et perturbent joyeusement nos percep-
tions. Et puis, surtout, l’univers ! Sans
concessions, mais ouvert. Noir mais
drôle. Étrange mais proche. Un regard,
une vision. »
Patrick Bonté - directeur des Brigittines
(Centre d’Art contemporain du Mouve-
ment - Bruxelles)
« HAPPY HOUR n’est pas un théâtre
despotique ou de la dissidence, un
théâtre qui choque la réception ou
qui crache sa misère. HAPPY HOUR
est précisément le contraire : critique
sociale amusée et d’une générosité
débordante notamment dans la rela-
tion directe des danseurs avec le pu-
blic. Deux danseurs qui amènent leur
maturité artistique et physique et qui
déjouent avec finesse les canons ac-
tuels d’une apologie de la jeunesse.»
Afonso Becerra Arrojo - ALT 16. Fes-
tival Alternativo das Artes Escénicas
de Vigo.
La presse en parle Cie Wooshing Machine
Wooshing Machine est un collectif de danse théâtre
bruxellois créé en 1998 par le chorégraphe et dan-
seur Mauro Paccagnella. L’activité du groupe se dé-
finit par le désir d’un acte de création partagé, à l’in-
térieur ou à l’extérieur du cadre théâtral et associe le
travail de composition chorégraphique à un acte de
recherche transdisciplinaire.
Les intentions dramaturgiques de chaque création
de la compagnie ont créé des opportunités pour une
réflexion et un questionnement ouverts et partagés
entre un auteur et interprète chorégraphique, Mauro
Paccagnella, et des collaborateurs d’horizons artis-
tiques différents, à la recherche d’un élan de créa-
tion collectif et d’un acte théâtral sans concessions.
Ce processus de création a produit des œuvres qui
se révèlent dans la multiplicité de l’imagerie qui in-
terroge le geste théâtral dans ses frottements subtils
et subversifs entre forme et contenu, entre danse et
théâtralité, entre contemporanéité et tradition.
Wooshing Machine se propose donc comme un ou-
til de recherche et de création artistique qui met la
danse, la parole, la musique et l’image à disposition
d’un questionnement contemporain sur l’identité et
l’appartenance, en utilisant le cadre théâtral comme
une interface ouverte, non linéaire et fictionnelle, au
delà des genres et au dessus des jugements.
Happy Hour
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Nasha Moskva
de Marie Bos, Estelle Franco, Francesco Italiano
D’après les Trois Sœurs de Tchekhov
Le Colonel Astral
Théâtre
14h30
7 au 27 juillet
Relâche 13 et 21
Durée : 1h35
Distribution
Conception, adaptation, mise en scène
et interprétation : Marie Bos, Estelle
Franco, Francesco Italiano
Co-mise en scène : Guillemette Laurent
Lumière : Julie Petit-Etienne
Mise en espace : Nicolas Mouzet-
Tagawa
Costumes : Thijsje Strijpens
Un projet du Colonel Astral en copro-
duction avec le Théâtre Océan Nord -
Bruxelles et la SACD Belgique.
Contact
Stéphanie Barboteau
AUDIENCE/Factory
+33 (0)782 13 25 35
+32 (0)488 596 719
www.audiencefactory.be
Nasha Moskva - qui signie « notre Moscou » en Russe - est
l’histoire de trois êtres contemporains qui se projeent au cœur
du récit des Trois Sœurs de Tchekhov. C’est un jeu de miroir
entre trois fous, trois personnages, trois magniques acteurs qui
vivent cet instant où la réalité contamine la ction. Ces trois-là
jouent leur humanité autour, avec et au cœur même de l’œuvre
de Tchekhov.
Début du XXIème siècle : trois êtres improbables - Sabine, Edith
et Bernard - oscillant entre marginaux amateurs de théâtre et
patients d’un centre psychiatrique, sont profondément épris de
l’œuvre de Tchekhov, dans laquelle ils se reconnaissent jusqu’à
la fusion. Monter cette pièce à trois en jouant non seulement les
trois sœurs elles-mêmes, mais aussi les onze autres person-
nages qui la composent devient alors l’enjeu de leur vie.
Fin du XIXème siècle : trois sœurs orphelines - Olga, Macha et
Irina - vivent en province dans une grande maison dans la ban-
lieue d’une ville grossière. Elles se sentent comme des étrangères
et rêvent de retrouver Moscou, lieu mythique de leur enfance,
paradis originel où elles ont grandi.
« Un étonnant voyage autour des
trois sœurs, de la folie, du théâtre au-
jourd’hui, et de tout ce que votre géné-
rosité de spectateur voudra bien y trou-
ver. Francesco Italiano y est émouvant et
drôle, Estelle Franco touchante et juste
et Marie Bos sait se montrer crispante à
souhait et nous offrir d’en rire.
Nasha Moskva apparaît comme une
audacieuse proposition théâtrale, par-
semée de fortes trouvailles musicales et
scéniques qui portent un récit entre dé-
lire maîtrisé et mise en abîme de la dé-
tresse, de la folie… et de l’espoir. Le pro-
jet prend aux tripes et saute au visage
plus d’une fois sans préavis. »
FV - Demandez le programme
« Idée géniale de l’équipée folle
puisque tout repose, dans la pièce,
sur l’ennui mortel de trois sœurs qui
ne rêvent que de retrouver la trépi-
dante Moscou, la ville de leur enfance
fantasmée en paradis originel. (...)
Il y a quelque chose de régénérant
à voir ces trois comédiens triturer
Tchekhov, le tordre dans tous les
sens, en émietter un bout puis en
raccommoder un autre. Le concasser
jusqu’à la moelle, jusqu’à la folie. »
Catherine Makereel - Le Soir
La presse en parle Le Colonel Astral
Leur démarche :
Interroger ce qu’est l’être humain, ce qu’est le théâtre
et en quoi l’un et l’autre sont indissociablement liés
est le cœur de notre recherche. Une recherche dans
laquelle chaque membre de l’équipe est impliqué,
laissant place à une grande porosité entre les dif-
férents postes.
Nous revendiquons un théâtre où l’acteur et le
spectateur sont au centre, réunis par un dispositif
scénique qui privilégie une grande intimité. La ques-
tion du présent partagé est essentielle : rien n’est
définitivement fixé dans la représentation, celle-ci se
module selon l’échange particulier qui a lieu chaque
soir avec les spectateurs, laissant la porte ouverte
à une part d’improvisation. Une écriture scénique
qui résulte de la mise en résonance de matériaux
différents voir divergents, où le jeu s’affranchit des
codes, entretenant ainsi un trouble constant entre
fiction et réalité, temps présent et temps de la narra-
tion, être « soi-même » et être « un autre »...
Le refus de toute régularité narrative, esthétique ou
dramaturgique nous permet de créer une esthétique
du renouvellement permanent. L’acte théâtral que
nous voulons donner à voir, c’est la vie elle-même
dans ce qu’elle a de plus dense et insaisissable.
Nasha Moskva
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Mange tes ronces!
de Manah Depauw
Cie Brigand Rouge /
Boîte à Clous Production
Théâtre d’ombres
À partir de 5 ans
16h45
7 au 27 juillet
Relâche 13 et 21
Durée : 50’
Distribution
Idée, réalisation des ombres : Théodora
Ramaekers
Mise en scène : Manah Depauw
Interprétation ombres : Virginie Gardin
et Théodora Ramaekers
Musique et bruitages : Jean-Luc Mil-
lot
Prix de la Ministre de l’Enseignement
fondamental, Joëlle Milquet et Prix
Kiwanis lors des Rencontres Théâtre
Jeune Public de Huy 2015.
En coproduction avec le Centre Culturel
du Brabant Wallon et avec le soutien
de La Fabrique de Théâtre, La Roseraie,
Le Centre Culturel de Schaerbeek,
Le Centre de la Marionnette de la Fédé-
ration de Wallonie-Bruxelles.
Contact
Manah Depauw
+32 (0)486 60 36 80
www.mangetesronces.be
Du théâtre d’ombres qui assume une saine férocité et qui se joue
à vue. Au menu une mamie poilue du menton. Un conte piquant,
tout en images, joyeusement bucolique, mené par des manipu-
latrices investies.
Mamie Ronce vit avec Moquette, son basset « qui déteste les en-
fants ». Chaque matin, elle regarde son feuilleton Une Rose sur
le Mur, puis s’en va faucher le fond de son jardin. Envoyé prendre
un bol d’air chez sa grand-mère, Léopold doit débroussailler les
fourrés grouillant de ronces. Il entend ricaner… et se pique! Le
soir tombe. Mamie Ronce prépare une soupe… une soupe aux
orties ! À l’ombre des ronces urticantes et épineuses, se nichent
la peur et ses chimères. Où trouver du réconfort quand on a six
ans et que Mamie file les chocottes? Un spectacle d’ombres aux
moyens volontairement artisanaux qui, avec humour et fantaisie,
assoit le spectateur sur des chardons ardents!
« Par mille et un systèmes ingénieux de
petites languettes et de juxtapositions,
un sourire se glisse imperceptiblement
sur les visages, des larmes débordent
dans les yeux, des paysages bucoliques
à travers la vitre de la fenêtre se trans-
forment en rêves épiques dans la tête de
Léopold et des trucages se glissent dans
la soupe aux orties.
Un théâtre d’ombres ultra raffiné. Des-
sins, collages, gravures et autres ma-
tières passionnantes sont manipulées à
vue sur des rétroprojecteurs et accom-
pagnées, en direct, par les bruitages et
les mélodies d’un musicien au taquet.
Magique! »
Catherine Makereel - Le Soir
« Point de secret de fabrication ici, le
jeune spectateur assiste en «live» à
la représentation et découvre l’envers
du théâtre d’ombres sans pour autant
perdre une épine de ce conte cruel et
piquant. »
Laurence Bertels - La Libre Belgique
« Avec de moyens très ordinaires,
une réalisation fabuleuse qui crée
tout sous les yeux du public, méta-
morphose le bricolage en poésie vi-
suelle et sonore. Un fort moment de
rire et de poésie. (...) Rien ne rem-
place la présence des artisans du
spectacle pour que celui-ci soit en
échange permanent avec la salle qui
les regarde. C’est une évidence avec
cette réalisation de la Boîte à Clous.
Compagnie théâtrale bien nommée,
puisqu’elle réalise des prouesses
à partir de bricolages de bric et de
broc. »
Michel Voiturier - Rue du Théâtre
La presse en parle Cie Brigand Rouge /
Boîte à Clous Production
Virginie Gardin, Jean-Luc Millot et Théodora Ramae-
kers font partie du collectif BOÎTE À CLOUS depuis
plusieurs années lorsque, fin 2012, l’envie de créer
ensemble un spectacle d’ombres sur le thème de
la peur fait surface. Imprégnés de l’esprit de Boîte
à Clous, ils veulent un spectacle léger et accessible,
créé avec des moyens simples et bruts, et résultant
d’une recherche où interviennent simultanément
leurs différentes pratiques artistiques. De cette mé-
thode naissent les «trouvailles» de narration : mu-
siques, bruitages, images, mouvements et voix se
complètent et apportent leur lot de décalages provo-
quant le rire, l’indignation, la compassion et autres
réactions.
En juin 2014, Manah Depauw rejoint l’équipe pour la
mise en scène et mener le projet à son aboutisse-
ment. Le choix de dévoiler le processus est pris. Les
spectateurs ont la possibilté de suivre les ombres
et, complices, d’observer le processus. Les manipu-
lations, les expressions des comédiennes, la «cui-
sine» du musicien, tout cela fait partie du spectacle
sans jamais en faire perdre le fil, ni passer à côté de
l’émerveillement des ombres. De leur collaboration
au sein de Boîte à Clous, vivier artistique et struc-
ture de production, naît une compagnie : BRIGAND
ROUGE, nommée en ce mois de septembre 2015.
Brigand Rouge rêve déjà à d’autres ombres...
Mange tes ronces!
8 9
Le spectacle est sélectionnée pour le
Festival du Chaînon Manquant 2016
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