Untitled - Théâtre des Doms

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Going Home
Théâtre
10h45
de Vincent Hennebicq
7 au 27 juillet
Relâche 13 et 21
Durée : 1h
Théâtre National / Bruxelles
Distribution
Texte et mise en scène : Vincent
Hennebicq
Avec : Vincent Cahay (en alternance
avec Maxime Van Eerdewegh), Dorcy
Rugamba, François Sauveur
Scénographie et lumière : Fabrice
Murgia et Giacinto Caponio
Vidéo : Olivier Boonjing
Costumes : Émilie Jonet
Musique originale : Vincent Cahay
et François Sauveur
Régie générale : Romain Gueudré
Création et régie son : Cédric Otte
Régie lumière : Jody De Neef
Une production du Théâtre National
de Bruxelles, du KVS et du Festival de
Liège.
Avec le soutien de La Chaufferie-Acte 1.
Remerciements : Philippe Meert,
Thewodros Berhanu, Françoise Pastor,
Dawitt, Popi Jones, Denise Maillot et
Setual Ayele.
Contact
Charlotte Jacques
Responsable diffusion
+32 (0)499 29 63 59
[email protected]
La presse en parle
« Going Home joue sur les rythmes
et les silences en immergeant le texte
porté par le comédien dans des compositions originales et jouées en direct par Vincent Cahay au piano et
à la batterie, et François Sauveur au
violon et à la guitare. Le récit et la musique se complètent parfaitement et
s’enrichissent en outre de projection
vidéo. Plus que de simples illustrations, les images appuient le propos
du conteur en prenant le contre-pied
des clichés d’une Éthiopie pauvre et
minée par les famines pour montrer
le visage d’un pays plein de grandeur
et de beauté. »
« Mise en scène avec fièvre par Vincent
Hennebicq, Going Home défile en une
heure de diamant brut. Inflammable,
la performance de Dorcy Rugamba
(Rwanda 94, Bloody Niggers) est le premier combustible d’un récit à la fois noir
et lumineux, dur et touchant. Les pulsations de son jeu sont encore attisées
par la musique live (et les compositions
originales) de Vincent Cahay et François
Sauveur. À la batterie ou au violon, ils
embrasent le combat de Michalak contre
la fatalité, ils exaltent les images vidéo
d’une Éthiopie belle, lyrique, fière, loin du
misérabilisme dont la parent habituellement les jumelles occidentales. »
Didier Béclard - L’Écho
Catherine Makereel - Le Soir
Going Home
Vincent Hennebicq
Grandes émotions, images fortes et musique live pour ce récit à la première personne d’une migration à l’envers. La force
d’un opéra rock au service d’un conte moderne en prise avec
l’actualité, le tout accompagné d’images fascinantes venues
d’Éthiopie.
Diplômé du conservatoire de Liège, Vincent Hennebicq est comédien et metteur en scène. Il a notamment travaillé avec des metteurs en scène comme
Fabrice Murgia, Jeanne Dandoy, Coline Struyf,
Jacques Delcuvellerie, Mathias Simons, Frédéric
Dussenne, Michaël Delaunoy... Il a aussi appris
le néerlandais pour jouer dans Baal et plus tard
dans Tribuna(a)l tous deux mis en scène par Raven
Ruëll et Jos Verbist. Vincent Hennebicq a également
commencé à enseigner au Conservatoire de Liège.
Après Parasites de Von Mayenburg et HEROES
(Just For One Day), il s’agira de sa troisième mise
en scène au Théâtre National.
Vincent Hennebicq a reçu le Prix de la Critique
2011/2012 du meilleur espoir masculin pour sa remarquable prestation dans Baal.
L’histoire commence à Hambourg dans un parc et sous la
neige. Il y a là un homme noir égaré, avec 5000€ à ses pieds.
Le braquage a mal tourné, la police est venue l’arrêter. Tout le
monde le regarde. Il se demande ce qu’il fait là.
En quelques mots, le décor est planté : l’histoire de « Michalak
l’éthiopien » s’offre à nous. Celle d’un jeune homme, adopté par
une famille autrichienne, embarqué dans une histoire chaotique de Salzbourg à Addis Abeba. Il a fui ce pays qui n’est pas
le sien et rêve d’argent facile, de femmes et de soleil. Mais ses
illusions vont se heurter brutalement à la réalité. Ce spectacle à
hauteur d’homme, au verbe lyrique, nous offre surtout à voir un
combat contre la fatalité et un chemin d’espoir.
Juliette Thieme
Chargée de diffusion
+32 (0)486 53 17 31
[email protected]
www.theatrenational.be
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Happy Hour
Danse
12h45
de Mauro Paccagnella & Alessandro Bernardeschi
Cie Wooshing Machine
7 au 27 juillet
Relâche 13 et 21
Durée : 55’
Distribution
Conception et interprétation : Mauro
Paccagnella & Alessandro Bernardeschi
Musique : Claudio Monteverdi, Siegfried
Kessler, Bob Dylan, Amanda Lear, Sibylle Baier, Siouxsie and The Banshees
Création lumière : Simon Stenmans
Une production de Wooshing Machine
réalisé avec le soutien du Ministère
de la Culture de la Fédération Wallonie-Bruxelles, WBI, WBT/D.
Wooshing Machine Cie est accompagnée par le Grand Studio et est en
résidence administrative au Théâtre
Les Tanneurs.
Remerciements à King’s Fountain
La presse en parle
« HAPPY HOUR n’est pas un théâtre
despotique ou de la dissidence, un
théâtre qui choque la réception ou
qui crache sa misère. HAPPY HOUR
est précisément le contraire : critique
sociale amusée et d’une générosité
débordante notamment dans la relation directe des danseurs avec le public. Deux danseurs qui amènent leur
maturité artistique et physique et qui
déjouent avec finesse les canons actuels d’une apologie de la jeunesse.»
Afonso Becerra Arrojo - ALT 16. Festival Alternativo das Artes Escénicas
de Vigo.
Contact
Wendy Toussaint
Chargée de diffusion
+32 (0)477 494 054
[email protected]
www.wooshingmachine.com
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« Mauro et Alessandro sont là, dans
cette qualité qui fait trembler leur geste
d’une justesse absolue, celle qui nous
rend curieux de chaque tableau, passant
pourtant de l’humour à la mélancolie
sans ménagement. »
Sylvia Botella - RTBF
« La réussite du Collectif Wooshing Machine tient à l’intime fusion des langages
qui se confrontent et se surimpriment,
et perturbent joyeusement nos perceptions. Et puis, surtout, l’univers ! Sans
concessions, mais ouvert. Noir mais
drôle. Étrange mais proche. Un regard,
une vision. »
Patrick Bonté - directeur des Brigittines
(Centre d’Art contemporain du Mouvement - Bruxelles)
Happy Hour
Cie Wooshing Machine
Le plaisir de danser, partagé par deux compères facétieux et
drôles qui aiment jouer avec le vrai et le faux pour détourner
les codes des arts de la scène. Dix tableaux chorégraphiques
pour raconter l’histoire de leur danse impertinente et de leur exigeante amitié.
Wooshing Machine est un collectif de danse théâtre
bruxellois créé en 1998 par le chorégraphe et danseur Mauro Paccagnella. L’activité du groupe se définit par le désir d’un acte de création partagé, à l’intérieur ou à l’extérieur du cadre théâtral et associe le
travail de composition chorégraphique à un acte de
recherche transdisciplinaire.
Les intentions dramaturgiques de chaque création
de la compagnie ont créé des opportunités pour une
réflexion et un questionnement ouverts et partagés
entre un auteur et interprète chorégraphique, Mauro
Paccagnella, et des collaborateurs d’horizons artistiques différents, à la recherche d’un élan de création collectif et d’un acte théâtral sans concessions.
Ce processus de création a produit des œuvres qui
se révèlent dans la multiplicité de l’imagerie qui interroge le geste théâtral dans ses frottements subtils
et subversifs entre forme et contenu, entre danse et
théâtralité, entre contemporanéité et tradition.
Wooshing Machine se propose donc comme un outil de recherche et de création artistique qui met la
danse, la parole, la musique et l’image à disposition
d’un questionnement contemporain sur l’identité et
l’appartenance, en utilisant le cadre théâtral comme
une interface ouverte, non linéaire et fictionnelle, au
delà des genres et au dessus des jugements.
Forts d’une complicité qui dure depuis presque 20 ans, Mauro
Paccagnella et Alessandro Bernardeschi se retrouvent ici pour
un duo dansé en forme performance. Un acte chorégraphique
exécuté par deux corps qui ont vécu le même nombre d’années,
deux danseurs italiens émigrés qui ont presque le même poids,
la même calvitie et les mêmes rides. Happy Hour ou heure de
bonheur. Un temps au-delà du quotidien, où le jeu se pose sur
un fil tendu entre danse et amitié, fiction et réalité. Une heure
seulement pour s’interroger sur cet espace où l’affection et la
bienveillance se déploient et s’expriment en mouvement, ce lieu
où la représentation entre en relation avec le réel. Des questions
à deux balles, peut-être ? Mais finalement, c’est bien ce qu’on
gagne en faisant ce métier, non ? Alors, débutons peut-être ici,
accordons-nous sur un principe simple : Restons humain !
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Nasha Moskva
Théâtre
14h30
de Marie Bos, Estelle Franco, Francesco Italiano
D’après les Trois Sœurs de Tchekhov
7 au 27 juillet
Relâche 13 et 21
Durée : 1h35
Le Colonel Astral
La presse en parle
Distribution
Conception, adaptation, mise en scène
et interprétation : Marie Bos, Estelle
Franco, Francesco Italiano
Co-mise en scène : Guillemette Laurent
Lumière : Julie Petit-Etienne
Mise en espace : Nicolas MouzetTagawa
Costumes : Thijsje Strijpens
« Idée géniale de l’équipée folle
puisque tout repose, dans la pièce,
sur l’ennui mortel de trois sœurs qui
ne rêvent que de retrouver la trépidante Moscou, la ville de leur enfance
fantasmée en paradis originel. (...)
Il y a quelque chose de régénérant
à voir ces trois comédiens triturer
Tchekhov, le tordre dans tous les
sens, en émietter un bout puis en
raccommoder un autre. Le concasser
jusqu’à la moelle, jusqu’à la folie. »
Catherine Makereel - Le Soir
Un projet du Colonel Astral en coproduction avec le Théâtre Océan Nord Bruxelles et la SACD Belgique.
Contact
Stéphanie Barboteau
AUDIENCE/Factory
+33 (0)782 13 25 35
+32 (0)488 596 719
[email protected]
www.audiencefactory.be
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« Un étonnant voyage autour des
trois sœurs, de la folie, du théâtre aujourd’hui, et de tout ce que votre générosité de spectateur voudra bien y trouver. Francesco Italiano y est émouvant et
drôle, Estelle Franco touchante et juste
et Marie Bos sait se montrer crispante à
souhait et nous offrir d’en rire.
Nasha Moskva apparaît comme une
audacieuse proposition théâtrale, parsemée de fortes trouvailles musicales et
scéniques qui portent un récit entre délire maîtrisé et mise en abîme de la détresse, de la folie… et de l’espoir. Le projet prend aux tripes et saute au visage
plus d’une fois sans préavis. »
FV - Demandez le programme
Nasha Moskva
Le Colonel Astral
Nasha Moskva - qui signifie « notre Moscou » en Russe - est
l’histoire de trois êtres contemporains qui se projettent au cœur
du récit des Trois Sœurs de Tchekhov. C’est un jeu de miroir
entre trois fous, trois personnages, trois magnifiques acteurs qui
vivent cet instant où la réalité contamine la fiction. Ces trois-là
jouent leur humanité autour, avec et au cœur même de l’œuvre
de Tchekhov.
Leur démarche :
Interroger ce qu’est l’être humain, ce qu’est le théâtre
et en quoi l’un et l’autre sont indissociablement liés
est le cœur de notre recherche. Une recherche dans
laquelle chaque membre de l’équipe est impliqué,
laissant place à une grande porosité entre les différents postes.
Nous revendiquons un théâtre où l’acteur et le
spectateur sont au centre, réunis par un dispositif
scénique qui privilégie une grande intimité. La question du présent partagé est essentielle : rien n’est
définitivement fixé dans la représentation, celle-ci se
module selon l’échange particulier qui a lieu chaque
soir avec les spectateurs, laissant la porte ouverte
à une part d’improvisation. Une écriture scénique
qui résulte de la mise en résonance de matériaux
différents voir divergents, où le jeu s’affranchit des
codes, entretenant ainsi un trouble constant entre
fiction et réalité, temps présent et temps de la narration, être « soi-même » et être « un autre »...
Le refus de toute régularité narrative, esthétique ou
dramaturgique nous permet de créer une esthétique
du renouvellement permanent. L’acte théâtral que
nous voulons donner à voir, c’est la vie elle-même
dans ce qu’elle a de plus dense et insaisissable.
Début du XXIème siècle : trois êtres improbables - Sabine, Edith
et Bernard - oscillant entre marginaux amateurs de théâtre et
patients d’un centre psychiatrique, sont profondément épris de
l’œuvre de Tchekhov, dans laquelle ils se reconnaissent jusqu’à
la fusion. Monter cette pièce à trois en jouant non seulement les
trois sœurs elles-mêmes, mais aussi les onze autres personnages qui la composent devient alors l’enjeu de leur vie.
Fin du XIXème siècle : trois sœurs orphelines - Olga, Macha et
Irina - vivent en province dans une grande maison dans la banlieue d’une ville grossière. Elles se sentent comme des étrangères
et rêvent de retrouver Moscou, lieu mythique de leur enfance,
paradis originel où elles ont grandi.
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Mange tes ronces!
Théâtre d’ombres
de Manah Depauw
À partir de 5 ans
Cie Brigand Rouge /
Boîte à Clous Production
16h45
7 au 27 juillet
Relâche 13 et 21
Durée : 50’
Distribution
Idée, réalisation des ombres : Théodora
Ramaekers
Mise en scène : Manah Depauw
Interprétation ombres : Virginie Gardin
et Théodora Ramaekers
Musique et bruitages : Jean-Luc Millot
Prix de la Ministre de l’Enseignement
fondamental, Joëlle Milquet et Prix
Kiwanis lors des Rencontres Théâtre
Jeune Public de Huy 2015.
En coproduction avec le Centre Culturel
du Brabant Wallon et avec le soutien
de La Fabrique de Théâtre, La Roseraie,
Le Centre Culturel de Schaerbeek,
Le Centre de la Marionnette de la Fédération de Wallonie-Bruxelles.
Contact
Manah Depauw
+32 (0)486 60 36 80
[email protected]
www.mangetesronces.be
La presse en parle
« Point de secret de fabrication ici, le
jeune spectateur assiste en «live» à
la représentation et découvre l’envers
du théâtre d’ombres sans pour autant
perdre une épine de ce conte cruel et
piquant. »
Laurence Bertels - La Libre Belgique
« Avec de moyens très ordinaires,
une réalisation fabuleuse qui crée
tout sous les yeux du public, métamorphose le bricolage en poésie visuelle et sonore. Un fort moment de
rire et de poésie. (...) Rien ne remplace la présence des artisans du
spectacle pour que celui-ci soit en
échange permanent avec la salle qui
les regarde. C’est une évidence avec
cette réalisation de la Boîte à Clous.
Compagnie théâtrale bien nommée,
puisqu’elle réalise des prouesses
à partir de bricolages de bric et de
broc. »
Michel Voiturier - Rue du Théâtre
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« Par mille et un systèmes ingénieux de
petites languettes et de juxtapositions,
un sourire se glisse imperceptiblement
sur les visages, des larmes débordent
dans les yeux, des paysages bucoliques
à travers la vitre de la fenêtre se transforment en rêves épiques dans la tête de
Léopold et des trucages se glissent dans
la soupe aux orties.
Un théâtre d’ombres ultra raffiné. Dessins, collages, gravures et autres matières passionnantes sont manipulées à
vue sur des rétroprojecteurs et accompagnées, en direct, par les bruitages et
les mélodies d’un musicien au taquet.
Magique! »
Catherine Makereel - Le Soir
Mange tes ronces!
Cie Brigand Rouge /
Boîte à Clous Production
Du théâtre d’ombres qui assume une saine férocité et qui se joue
à vue. Au menu une mamie poilue du menton. Un conte piquant,
tout en images, joyeusement bucolique, mené par des manipulatrices investies.
Virginie Gardin, Jean-Luc Millot et Théodora Ramaekers font partie du collectif BOÎTE À CLOUS depuis
plusieurs années lorsque, fin 2012, l’envie de créer
ensemble un spectacle d’ombres sur le thème de
la peur fait surface. Imprégnés de l’esprit de Boîte
à Clous, ils veulent un spectacle léger et accessible,
créé avec des moyens simples et bruts, et résultant
d’une recherche où interviennent simultanément
leurs différentes pratiques artistiques. De cette méthode naissent les «trouvailles» de narration : musiques, bruitages, images, mouvements et voix se
complètent et apportent leur lot de décalages provoquant le rire, l’indignation, la compassion et autres
réactions.
En juin 2014, Manah Depauw rejoint l’équipe pour la
mise en scène et mener le projet à son aboutissement. Le choix de dévoiler le processus est pris. Les
spectateurs ont la possibilté de suivre les ombres
et, complices, d’observer le processus. Les manipulations, les expressions des comédiennes, la «cuisine» du musicien, tout cela fait partie du spectacle
sans jamais en faire perdre le fil, ni passer à côté de
l’émerveillement des ombres. De leur collaboration
au sein de Boîte à Clous, vivier artistique et structure de production, naît une compagnie : BRIGAND
ROUGE, nommée en ce mois de septembre 2015.
Brigand Rouge rêve déjà à d’autres ombres...
Mamie Ronce vit avec Moquette, son basset « qui déteste les enfants ». Chaque matin, elle regarde son feuilleton Une Rose sur
le Mur, puis s’en va faucher le fond de son jardin. Envoyé prendre
un bol d’air chez sa grand-mère, Léopold doit débroussailler les
fourrés grouillant de ronces. Il entend ricaner… et se pique! Le
soir tombe. Mamie Ronce prépare une soupe… une soupe aux
orties ! À l’ombre des ronces urticantes et épineuses, se nichent
la peur et ses chimères. Où trouver du réconfort quand on a six
ans et que Mamie file les chocottes? Un spectacle d’ombres aux
moyens volontairement artisanaux qui, avec humour et fantaisie,
assoit le spectateur sur des chardons ardents!
Le spectacle est sélectionnée pour le
Festival du Chaînon Manquant 2016
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J’habitais une petite maison
sans grâce, j’aimais le boudin
Théâtre
18h15
Collectif Travaux Publics et Théâtre Varia
(Centre dramatique de Bruxelles)
7 au 27 juillet
Relâche 13 et 21
Durée : 1h20
Distribution
D’après Spoutnik de Jean-Marie
Piemme.
Adaptation et réalisation : Virginie
Thirion, Philippe Jeusette
Avec : Claire Bodson, Philippe Jeusette,
Eric Ronsse
Composition musicale : Eric Ronsse
Scénographie : Sarah de Battice avec
l’aide de Philippine Boyard
Construction : Laurent Notte, Philippine
Boyard, Margaud Carpentiers
Costumes : Elise de Battice
Réalisation des images : Bob Jeusette,
Tawfik Matine
Création et régie lumière : Eric Vanden
Dunghen
Assistanat : Tawfik Matine
Spoutnik, Édition Aden, 2008,
Collection « Rivière de Cassis ».
Un spectacle du Collectif Travaux
Publics et du Théâtre Varia (Centre
dramatique de Bruxelles).
Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles, service du Théâtre.
Contact
Nathalie Kamoun
Théâtre Varia
+32 (0)495 18 89 25
[email protected]
Sylvie Somen
Théâtre Varia
+32 (0)026 40 82 58
http://varia.be
La presse en parle
« Si le souvenir hante le spectacle, la
nostalgie ne le grève jamais. (…) Aux
racines d’un homme font écho celles
d’une région, d’une industrie, d’une
classe sociale, autant d’éclairages
aux remous actuels, autant de fils
tendus entre l’individu et le contexte,
sans pourtant de leçon, ni historique,
ni sociale, ni économique. »
Marie Baudet - La Libre Belgique
« Philippe Jeusette est absolument
parfait, endossant un tas de rôles
disparates, de la pure candeur du fils
à la rudesse de façade du père. (…)
Le tout se déguste comme un bon
boudin noir, modeste et rustique en
apparence mais intense au palais. »
Catherine Makereel - Le Soir
« Au total un spectacle qui joue sur
le charme et l’intelligence critique. Un
très beau Piemme, doux, tendre, lucide. »
Christian Jade - RTBF
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« C’est une tranche de vie qui nous est
proposée, l’intimité d’un foyer, touchant, sincère. Mais, au travers de l’histoire personnelle, c’est également une
époque, un air du temps, un art de vivre
qui nous sont contés. Simple et délicate,
l’écriture de Jean-Marie Piemme est ici
portée et servie par un Philippe Jeusette
admirable de justesse et de sensibilité.
Son interprétation donne le tempo de la
pièce, qui semble refléter les sentiments
de son personnage : joyeux, taquin, envolé, parfois plus sérieux et triste. »
Marion Le Guilloux - Culture Remains
« Philippe Jeusette et Virginie Thirion
sont comédiens, complices, adaptateurs,
amis de l’auteur et cette réalisation est
un beau cadeau qu’ils lui font car l’impact
sur le public est bien réel, le spectacle
réussi en tous points : touchant, drôle,
et malgré la nette localisation, à portée
universelle. Cols bleus et cols blancs. »
Suzane Vanina - Rue du Théâtre
J’habitais une petite maison
sans grâce, j’aimais le boudin
Extrait
Une enfance en Wallonie industrielle revisitée par la langue et
le regard de Jean-Marie Piemme. De grands comédiens et de la
musique live pour tracer le portrait d’une époque, d’une société
et d’une région.
Je suis né dans la cave, sous les bombardements.
Il était trois heures et demie, c’était la sortie des
classes, je voyais défiler les jambes des écoliers devant le soupirail.
« Poussez ! » Quelqu’un a dit « poussez! » et ma
mère a poussé. Moi, je n’en demandais pas tant mais
sous l’effet du mouvement, j’ai été forcé de sortir la
tête. Quel jour sommes-nous, ai-je dit ? Avant tout,
je voulais me donner une contenance devant tous
ces gens qui m’attendaient.
Dans Spoutnik, le seul récit autobiographique qu’il ait écrit,
Jean-Marie Piemme (L’ami des Belges, Dialogue d’un chien
avec son maître sur la nécessité de mordre ses amis, Les pâtissières…) retrace son enfance jusqu’à sa vie de jeune adulte, en
même temps qu’il revient sur les traces de l’usine de Seraing et
de cette Wallonie profonde qui l’ont vu naître et grandir dans la
deuxième moitié du XXème siècle. La maison, l’usine, l’école, la
filiation et le rapport au père comme lien entre tout, deviennent
une nouvelle matière pour raconter l’émancipation d’un homme
au regard de l’évolution et de la transformation de son histoire
ouvrière et familiale.
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Le 16 novembre, imbécile.
Ça m’a vexé. Oui, ça m’a vexé que mon père me
parle sur ce ton. Après tout, on se connaissait à
peine. Trente secondes, au plus ! Illico, j’ai alors décidé de marquer le coup. Il fallait qu’il comprenne
tout de suite que je serais un enfant difficile. Mon
Papa, malgré l’émotion qui nous étreint tous, ai-je
dit en crachotant une saloperie qui me collait aux
gencives, je n’oublie pas ce que tu m’as balancé
quand Maman t’a dit qu’elle était enceinte. Il avait
grogné ! Il avait pesté! Il avait hurlé : je n’en veux
pas, on a déjà le chien !
Ils tentèrent de fuir
Théâtre
de Soufian El Boubsi et Joachim Olender
Théâtre de Namur / Centre dramatique
À partir de 14 ans
20h15
7 au 27 juillet
Relâche 13 et 21
Durée : 1h25
Distribution
Auteur : Georges Perec
Adaptation et mise en scène : Soufian
El Boubsi et Joachim Olender
Interprétation : Nathalie Mellinger et
Pierre Verplancken
Créateur lumière/régie : Frédéric
Nicaise
Vidéos/scénographie : Vincent
Pinckaers
Costumes et accessoires : Prunelle
Rulens
Spectacle nominé aux Prix de la critique
belge 2015 dans la catégorie «Meilleur
auteur».
Une création et une production du
Théâtre de Namur / Centre dramatique
en coproduction avec le Théâtre de la
Vie.
La presse en parle
« Nathalie Mellinger et Pierre Verplancken, acteurs formidablement
complices et complémentaires, se
font tantôt lecteurs, tantôt personnages, ici témoins de leur propre histoire, là chercheurs au cœur du livre
et d’autres qui l’éclairent ou creusent
le sujet.
Les concepteurs du spectacle auscultent l’être et l’avoir, les résonances
à travers les générations, les autoroutes toutes tracées et les voies de
traverse, nos paradoxes en somme.
En les incluant dans une forme complexe mais lisible, où cohabitent simplicité et détails ciselés, humour et
désespoir. »
Marie Baudet - La Libre Belgique
« La pièce est une claque retentissante
à notre aveuglement collectif. L’humour
est omniprésent et le jeu vidéo apporte
un contre-point ludique. On y croise les
images d’un JT de la RTBF qui réussit,
avec un semblant d’analyse économique, à reporter la faute du chômage
sur un spectateur qui ne consommerait
pas assez. »
Catherine Makereel - Le Soir
« L’interprétation convaincue et puissante des deux comédiens est extrêmement touchante. Tous deux portent tout
le désespoir et la colère que suscite le
constat de nos misérables inerties de
citoyens passifs. À voir d’urgence pour
sortir de sa léthargie, et reprendre ses
droits et devoirs de citoyen pensant ! »
Marion LG - Culture Remains
Ils tentèrent de fuir
Soufian El Boubsi
et Joachim Olender
Les Choses de Perec réinvesties et réinventées par deux comédiens qui nous ressemblent assez pour que la critique de la société du « tout avoir » nous touche de l’intérieur.
2015 : le roman de Perec pose-t-il encore aujourd‘hui les mêmes questions, provoque-t-il le
même malaise qu’à l’époque de sa parution ?
Soufian El Boubsi et Joachim Olender en sont persuadés. Mais il n’est pas question ici d’adaptation
littérale; l’idée était d’interroger le roman pour en
dégager les résonances actuelles. Il en résulte un
travail d’écriture tout à fait séduisant mais qui ne
masque pas pour autant la complexité du thème.
Grâce à la complicité de deux excellents comédiens,
Nathalie Mellinger et Pierre Verplancken, les auteurs
jouent sur plusieurs tableaux, mêlent les voix, multiplient les angles de vue : on glisse du livre de Perec
au quotidien d’un couple d’aujourd’hui, en passant
par des citations éclairantes sur le sujet (Baudrillard,
Barthes, Ramonet ou Debord).
Un texte qui suscite la réflexion mais sans donner
de leçon, un texte miroir qui nous renvoie à nousmêmes, consommateurs prisonniers de cette « formidable machine à désirs qu’est notre société capitaliste ».
Pouvons-nous encore résister? Les héros de Perec s’y essaient : Ils tentèrent de fuir écrit l’auteur
pour amorcer la seconde partie de son roman. Cette
phrase, Soufian El boubsi et Joachim Olender ne
l’ont-ils pas choisie précisément comme titre de leur
spectacle ?
Il était une fois un joli couple qui n’en avait jamais assez. Ils nous
ressemblent, nous, les insatisfaits qui en voulons toujours plus,
qui rêvons de possession, qui existons à travers ce qui nous appartient. Jusqu’au jour où...
Cinquante ans après, que reste-t-il des «choses » et de la description clinique faite par Georges Perec d’une société semblant
atteindre les sommets de la consommation de masse ? Deux
acteurs plongent dans l’œuvre pour y répondre.
Contact
Marine Haulot
Théâtre de Namur
+32 (0)492 97 35 11
[email protected]
www.theatredenamur.be
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Décris-ravage
Spectacle
documentaire
d’Adeline Rosenstein
À partir de 15 ans
Spectacle documentaire consacré à la question de Palestine
22h15
7 au 27 juillet
Relâche 13 et 21
Durée : 1h40 (par partie)
Les 7, 9, 11, 14, 16, 18, 22, 24 et 26 juillet
Partie 1
Les 8, 10, 15, 17, 19, 23, 25 et 27 juillet
Partie 2
Les 12 et 20 juillet
Partie 1 & 2
Distribution
Textes écrits ou recueillis et mis en
scène par Adeline Rosenstein
Avec : Léa Drouet, Céline Ohrel, Adeline
Rosenstein, Isabelle Nouzha et Olindo
Bolzan
Espace : Yvonne Harder
Lumière : Caspar Langhoff
Création sonore : Andrea Neumann
Regards scientifiques : Julia Strutz,
Henry Laurens, Tania Zittoun
Dessin : Verena Kammerer
Une production Little Big Horn avec
l’aide de la FWB - service du Théâtre
- Conseil d’aide aux projets théâtraux,
de la Cocof et de WBI pour la diffusion
internationale.
Contact
Leïla Di Gregorio
Little Big Horn asbl
+32 (0)494 63 95 84
[email protected] ou
[email protected]
www.adelinerosenstein.com
La presse en parle
« Un feuilleton bluffant d’originalité
et d’intelligence sur la question du
conflit israélo-palestinien. »
Gilles Renault - Libération
« À travers une conférence sans
power point mais avec des amis acteurs, Adeline Rosenstein reprend la
question palestinienne depuis le début. Décris-ravage est un spectacle
à la fois érudit, impertinent et ludique, une sorte de détournement du
théâtre documentaire dans la joie du
savoir. »
Jean-Pierre Thibaudat - Mediapart
« Des spectacles pour donner à penser.
Un projet hors norme piloté par des
artistes et des chercheurs. »
Marina Da Silva - L’Humanité
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« La spécificité de Décris-ravage dans
sa simplicité, sa vitalité, son intelligence
et son efficience théâtrales, de la pertinence de sa forme pour l’entreprise de
compréhension qui est la sienne. (…)
Cette part de restitution est essentielle :
elle permet un ludisme théâtral qui n’a
rien d’une ironie ou d’une esquive mais
dont l’humour, la mise à distance et le
plaisir sont les moyens d’une ressaisie,
d’une entreprise d’enquête et de compréhension au présent. »
Christophe Triau - Alternatives Théâtrales
Décris-ravage
Adeline Rosenstein
Cinq comédiens sans ornement et dépourvus d’artifice pour ce
détournement brillant de la conférence-spectacle. En deux parties vivifiantes et bienveillantes ils nous racontent sans pathos
l’histoire d’un conflit qui prend ses racines au XVIIIème siècle.
Née en 1971, de nationalité allemande, elle a grandi
à Genève, étudié à Jérusalem, Berlin, travaillé entre
Buenos Aires, Berlin et Bruxelles, où elle vit depuis
2009.
Basées essentiellement sur des entretiens et du
matériau factuel développé par des chercheurs en
sciences humaines, ses pièces traitent de sujets
aussi divers que la main-d’œuvre masculine d’Europe de l’Est à Berlin, les exilés juifs allemands en
Argentine pendant la dernière dictature militaire,
ou l’histoire des discours d’experts de la traite des
femmes. Sa dernière création, décris-ravage, porte
sur l’histoire de la Question de Palestine, et se développe par étapes successives depuis 2010.
Elle est également active dans le domaine associatif
où elle réalise des ateliers radiophoniques avec des
femmes en alphabétisation, et continue de travailler
en tant que comédienne, dramaturge, metteur en
scène et traductrice de l’allemand pour différentes
compagnies de théâtre (Thibaut Wenger, Céline Ohrel, Chico Mello).
Ses nombreuses collaborations avec le milieu universitaire témoignent d’une réflexion approfondie
concernant le type de savoirs mobilisés, construits
et véhiculés par son travail.
Série de conférences sur la question de Palestine de 1798 à nos
jours, en deux parties. Dans Décris-ravage l’image est absente,
c’est à tous de tout imaginer grâce aux gesticulations conférencières des cinq performeuses démystificatrices brillantes et généreuses. Avec tendresse et humour parfois, l’histoire meurtrie
de cette partie de notre monde, s’égrène irrémédiablement, loin
des surenchères et des outrances, presque chaleureusement.
Décris-ravage reçoit le prix de la « découverte » des prix de la critique 2014.
« Décris-ravage est une vraie conférence qui n’oublie jamais qu’elle est du
théâtre, offre un point de vue et, non
sans humour, une aire ouverte à la curiosité et au doute. »
Marie Baudet - www.lesprixdelacritique. be
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Les Vies en soi
Récitsperformances
Le CORRIDOR
À partir de 9 ans
Quatre récits-performances
11h
11 au 23 juillet
Relâche 13 et 21
Durée : 1h
Les 11, 14, 16, 18, 20 et 23 juillet à 11h
Les images flottantes
Les 12, 15, 17, 19, et 22 juillet à 11h
La rivière bien nommée
La presse en parle
Distribution
Ecriture, scénographie et jeu : Patrick
Corillon
Collaboration artistique et technique,
animations : Dominique Roodthooft
Assistance graphique et scénographique : Rüdiger Flörke et Raoul
Lhermitte
Une production du CORRIDOR
Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles, service du Théâtre et de
la Région Wallonne
Contact
Céline Eloy
et Fanny Lacrosse (stagiaire)
+32 (0)4 227 77 92
[email protected]
www.lecorridor.be
« (…) Ses performances «contées»,
une spécialité «inouïe», un ovni
culturel inépuisable sont à voir au
moins une fois dans une vie de «curieux culturel». … Il enchantera ceux
qui aiment le mélange des genres et
recherchent une «performance» un
peu folle, mêlant le plus vieux de tous
les arts, la parole, le conte et l’autre
très vieil art… plastique.
Pas de retour toutefois à l’art des cavernes ou à Homère, encore que… il
aime se balader comme Ulysse dans
le grand monde… actuel et son monde
intérieur. Corillon se raconte et nous
raconte en jonglant avec les mythes,
les sensations, les non-sens à la
française mais aussi avec de grands
livres d’images étalés contenant des
mots qu’il extirpe du livre et brandit
comiquement! »
Christian Jade - RTBF.be
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« Du Danube à la Seine, du Mékong à la
Tamise, nous le suivons dans sa quête
d’un savoir perdu, lequel donne son
sens au sous-titre du spectacle Soixante
minutes pour être de son temps. En recherchant cette légende oubliée, puis
en la retrouvant - sans bien sûr nous
la livrer -, ce « souffleur des braises du
passé » navigue entre livres (ceux de
Colette, de Virginia Woolf, de sa mère) et
chansons. Et de s’interroger sur la possibilité de vivre au présent une époque
chargée d’histoire(s) et de continuer à
transmettre collectivement des imaginaires. »
Clément Dirié - Le Quotidien de l’Art
Les Vies en soi
Le CORRIDOR
Venez rencontrer Les vies en soi, quatre récits-performances
racontés par un plasticien généreux et savant. Des ovnis spectaculaires, menés par un maître de la proximité et du hors-jeu
théâtral. Quatre œuvres d’art faites de mots et d’images livrées
en toute simplicité dans un atelier d’artiste non loin du Théâtre
des Doms.
Patrick Corillon, est artiste plasticien associé au
CORRIDOR et représenté par la galerie In Situ-Fabienne Leclerc à Paris.
Les 11, 14, 16, 18, 20 et 23 juillet à 11h
Les images flottantes
Les images flottantes racontent l’histoire d’un petit garçon transporté dans le monde des images. Il apprendra, grâce à un stage
d’initiation à la peinture au Musée d’Art moderne de la Ville de
Paris, à sortir de lui-même et en quelque sorte à sortir du cadre
pour découvrir le monde.
Les 12, 15, 17, 19, et 22 juillet à 11h
La rivière bien nommée
Le conteur manipule des livres-objets pour incarner un récit de
voyage. Réunis autour d’une boîte au trésor, les spectateurs
écoutent le narrateur raconter sa quête des origines de la légende de la Rivière bien nommée.
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Créé et dirigé depuis 2004 par Dominique Roodthooft, le CORRIDOR est une maison de production
et de créations artistiques située à Liège.
Sa démarche est axée sur des questions philosophiques et politiques, ancrées dans l’histoire et l’actualité du monde, de ses cultures et de ses sciences.
Renforçant les ponts entre art vivant, arts plastiques
et musique, le CORRIDOR porte un intérêt croissant
aux formes artistiques où la question du théâtre est
mise de côté. Mais où la théâtralité s’immisce pour
donner lieu à des conférences scientifiques poétiques, des oeuvres plastiques mises en scène, des
contes scéniques, des documentaires dessinés, des
laboratoires d’idées.
Les Vies en soi
Récitsperformances
Le CORRIDOR
À partir de 9 ans
Quatre récits-performances
15h
11 au 23 juillet
Relâche 13 et 21
Durée : 1h
Les 11, 14, 16, 18, 20 et 23 juillet à 15h
Le Benshi d’Angers
Les 12, 15, 17, 19 et 22 juillet à 15h
L’appartement à trous
La presse en parle
Distribution
Ecriture, scénographie et jeu : Patrick
Corillon
Collaboration artistique et technique,
animations : Dominique Roodthooft
Assistance graphique et scénographique : Rüdiger Flörke et Raoul
Lhermitte
Une production du CORRIDOR réalisée
en coproduction avec le Fresnoy, Studio
national des Arts contemporains
(Tourcoing)
Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles, service du Théâtre et de
la Région Wallonne
« Du Danube à la Seine, du Mékong
à la Tamise, nous le suivons dans sa
quête d’un savoir perdu, lequel donne
son sens au sous-titre du spectacle
Soixante minutes pour être de son
temps. En recherchant cette légende
oubliée, puis en la retrouvant - sans
bien sûr nous la livrer -, ce « souffleur des braises du passé » navigue
entre livres (ceux de Colette, de Virginia Woolf, de sa mère) et chansons.
Et de s’interroger sur la possibilité de
vivre au présent une époque chargée
d’histoire(s) et de continuer à transmettre collectivement des imaginaires. »
Clément Dirié - Le Quotidien de l’Art
« Ces 60 min pour ne rien dire ne seront
en rien muettes. De détours en digressions, mais aussi en manipulations, le
récit prend des couleurs mythologiques,
initiatiques, intimistes, tandis que le
conteur déploie les secrets ingénieux
de son installation plastique. Sur scène
Patrick Corillon apparaît dans l’au-delà
du jeu théâtral, quoique pleinement dans
l’appréhension ludique du monde et des
histoires. »
Marie Baudet - La Libre Belgique
Les Vies en soi
Le CORRIDOR
Venez rencontrer Les vies en soi, quatre récits-performances
racontés par un plasticien généreux et savant. Des ovnis spectaculaires, menés par un maître de la proximité et du hors-jeu
théâtral. Quatre œuvres d’art faites de mots et d’images livrées
en toute simplicité dans un atelier d’artiste non loin du Théâtre
des Doms.
Patrick Corillon, est artiste plasticien associé au
CORRIDOR et représenté par la galerie In Situ-Fabienne Leclerc à Paris.
Les 11, 14, 16, 18, 20 et 23 juillet à 15h
Le Benshi d’Angers
À la manière des benshi - conteurs japonais qui commentaient
les films à l’époque du cinéma muet - le conteur projette et commente les pages d’un livre qu’il a lui-même dessiné. Il conte ainsi
une histoire intime ponctuée de souvenirs de famille et de légendes lointaines invitant le spectateur à un voyage poétique et
graphique.
Les 12, 15, 17, 19 et 22 juillet à 15h
L’appartement à trous
Contact
Céline Eloy
et Fanny Lacrosse (stagiaire)
+32 (0)4 227 77 92
[email protected]
www.lecorridor.be
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Sur une table aux multiples tiroirs, le conteur raconte des histoires de manière résolument contemporaine. Dans ce récit-performance, il allie les dessins à la narration pour donner vie à des
personnages, des paysages s’inspirant de la résistance d’Ossip
Mandelstam quand, pour garder espoir, il racontait des histoires
à ses compagnons qui partageaient sa cellule en Union soviétique.
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Créé et dirigé depuis 2004 par Dominique Roodthooft, le CORRIDOR est une maison de production
et de créations artistiques située à Liège.
Sa démarche est axée sur des questions philosophiques et politiques, ancrées dans l’histoire et l’actualité du monde, de ses cultures et de ses sciences.
Renforçant les ponts entre art vivant, arts plastiques
et musique, le CORRIDOR porte un intérêt croissant
aux formes artistiques où la question du théâtre est
mise de côté. Mais où la théâtralité s’immisce pour
donner lieu à des conférences scientifiques poétiques, des oeuvres plastiques mises en scène, des
contes scéniques, des documentaires dessinés, des
laboratoires d’idées.
Jazz for kids
Musique
Manuel Hermia
De 3 à 99 ans
Spectacle jazz pour petites et grandes oreilles
Dans le cadre de Têtes de Jazz à l’AJMi
9-10 et 13-16 juillet
15h30
11-12 juillet
12h30
Durée : 50 min
La presse en parle
Distribution
Manuel Hermia : saxophone et flûtes
Sam Gerstmans : contrebasse
Pascal Mohy : piano
En partenariat avec l’AJMi,
Jazz Club d’Avignon.
Produit par Jackal Productions asbl
Contact
Manuel Hermia
Jackal Productions
+32 (0)474 10 26 85
[email protected]
www.manuel-hermia.com
« Pas sûr qu’il n’y ait que les enfants
qui accrochent au « Jazz for kids »
de Manuel Hermia. « Je rencontre
des parents qui me disent, après le
concert, qu’ils ont enfin compris l’improvisation en jazz ! ». Au départ de
comptines ou d’airs connus, les trois
musiciens développent de courtes
improvisations ou proposent des
devinettes musicales de façon à décortiquer, de manière didactique, les
éléments fondamentaux de la musique. La basse qui marche, le saxophone qui trace la mélodie comme le
contour d’un dessin et le piano qui
apporte des couleurs. « Jouer et improviser, c’est raconter une histoire »,
explique Manuel Hermia qui propose
aux enfants trois interprétations de la
souris verte. Si la matière est basique,
les improvisations restent franches,
sans compromis. Free jazz, Be Bop
ou arrangements à la Bill Evans : le
trio ouvre des portes de manière lisible et interactive.
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« Le jazz est une musique considérée
comme difficile. Elle peut être aussi très
amusante et accessible au plus grand
nombre si l’on y met un peu de pédagogie », déclare Manuel Hermia.
Philippe Bodeux - Le Soir
Jazz for kids
Manuel Hermia
Trois jazzmen s’adressent aux enfants et à tous ceux qui ont
envie d’aimer le jazz. Ils ont pris le parti d’improviser à partir
du seul répertoire de « standards » que les enfants connaissent
tous : les comptines. Ils explorent ces trésors et en font leur terrain de jeu, tout en veillant à respecter les mélodies et à stimuler
les oreilles, petites et grandes.
A la fois improvisateur, compositeur et explorateur
des musiques du monde, Manuel Hermia a développé des projets personnels dans plusieurs directions : en jazz avec son Quartet (L’esprit du Val,
Igloo 1999 et Rajazz, Igloo 2006), avec le groupe
Slang (Los Locos, Save the Chilis, It’s on the way)
ou encore, à la flûte indienne cette fois, avec « Le
Murmure de l’Orient » (IglooMondo 2005, et Cristal/
Harmonia Mundi 2005).
Manu Hermia et ses deux compagnons de route musicale, trois
musiciens confirmés et reconnus, nous plongent au cœur des
comptines et nous aident à en saisir deux dimensions bien distinctes : mélodie et harmonie par le jeu d’expérimentations sonores délicates et savoureuses. On découvre une musique aux
possibilités foisonnantes qui sert un territoire cher à l’enfance :
celui des personnages qui peuplent les nuits et les forêts.
Une douce folie, au sein d’une poétique musicale qui libère l’esprit et cultive l’âme des plus petits. Un jazz généreux et plein
de bonnes énergies pour faire comprendre, et surtout goûter,
aux enfants - mais aussi aux plus grands - comment le jazz
transforme, par l’improvisation, une simple mélodie en petit bijou
musical.
Il a joué avec nombre d’artistes de diverses cultures :
Mamady Keita (Guinée), Dhruba Ghosh (Inde), Regis
Gizavo (Madagascar), Ben Ngabo (Rwanda), Nono
Garcia (Espagne), Joao Braga (Brésil), Dobet Gnahoré (Côte d’Ivoire), Abid Bahri et Majid Bekkas (Maroc), Manou Gallo (Côte d’Ivoire)… Il a aussi joué pour
la compagnie de cirque contemporain Feria Musica pendant 10 ans. Il apparaît comme invité sous
d’autres horizons avec Fred Wesley, Pierre Van Dormael, Didier Laloy, Karim Baggili, Salvatore Adamo,
Sttellla, William Sheller, Khadja Nin, Dick Annegarn,
Clarika, The Guilty Brothers Experience, Oxymore…
Manuel Hermia a été récompensé en 2011 de l’Octave de la Musique, catégorie Jazz, pour son album
«Long Tales & Short Stories».
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Só20
Danse
12h
As Palavras - Cie Claudio Bernardo
10 au 20 juillet
Relâche le 15
Durée : 55 min
Dans le cadre de L’été danse au CDC #5
Distribution
Concept, interprétation et scénographie : Claudio Bernardo
Assistanat artistique : Anne-Cécile
Massoni
Réalisation vidéo : Cristina Dias, KINOdoc
Images d’archive : Claudio Bernardo,
Cristina Dias, KINOdoc
Régie : Tom Van Antro
Construction décor : Arnaud Paquotte,
Frédéric Op de Beeck
Montage des extraits musicaux :
Maxime Denuc
En partenariat avec le CDC-Les Hivernales, le Centre de Développement
Chorégraphique d’Avignon.
En coproduction avec Charleroi-Danses,
Centre Chorégraphique de la Fédération
Wallonie-Bruxelles.
Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles, service de la danse,
le Théâtre Varia, Wallonie-Bruxelles
International, Wallonie-Bruxelles
Théâtre/Danse, SACD Belgique.
Avec l’aide de la Vila das Artes (Fortaleza/Brésil)
Le spectacle est reconnu par les Tournées Art & Vie (Belgique).
La compagnie est en résidence artistique au Théâtre Varia / Centre
dramatique de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
La presse en parle
« Solo d’un chorégraphe dont on n’a
jamais oublié les formidables talents de
danseur. Dans un rapport intime avec
le spectateur, le chorégraphe redevient
danseur et acteur pour mieux explorer son passage à la création chorégraphique. Une manière d’entrer dans
son univers pour ceux qui souhaitent le
découvrir et de retrouver de multiples
bribes de son parcours pour ceux qui le
suivent.
Véritable bête de scène, on est heureux
de retrouver Claudio Bernardo.»
Jean-Marie Wynants - Le Soir
« Il existe en danse contemporaine
des personnalités et des interprètes
singuliers qui sautent aux yeux. Pas
nécessairement pour leur esthétique
ou leur technique, mais par le caractère unique de l’intensité qu’ils transmettent à celui qui les regarde, par la
nécessité et l’urgence qu’ils éprouvent
à être sur scène. Des personnalités
comme Claudio Bernardo. Un voyage
fait de souvenirs et de sentiments,
véhiculé par les formes, les gestes,
les dynamiques, les récits. »
Carlo Argiolas - L’Unione Sarda
Contact
Léonore Guy
As Palavras - Cie Claudio Bernardo
+32 (0)2 643 33 24
+32 (0)471 45 11 39
[email protected]
http://aspalavras.org
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Só20
As Palavras
Lorsqu’un danseur se retourne sur sa vie de belgo-brésilien,
c’est le parcours kilométrique d’un chorégraphe de talent qui se
dessine. Le danseur raconte et ponctue ce récit de vie artistique
par de magnifiques instants de langage du corps.
Claudio Bernardo est né au Brésil où il entreprend des
études de danse dès l’âge de 15 ans. Il débute avec la
compagnie de Victor Navarro à Rio de Janeiro, puis en
1986 entre à Mudra, l’école dirigée par Maurice Béjart.
Il danse avec Frédéric Flamand, et devient résident au
Théâtre des Tanneurs avec les chorégraphes Nicole
Mossoux et Patrick Bonté, José Besprosvany et Jacopo Godani. En 1995, il fonde la compagnie As Palavras
et de 1999 à 2012. Il est également artiste en résidence
à “La Machine à Eau” dans la ville de Mons et artiste
associé du Centre Culturel Transfrontalier Le Manège.
Mons. Il y crée le festival «Le Mouvement-Mons», né
du succès de l’organisation du grand colloque «Le
Plat Pays - Plancher pour un mouvement» autour
du mouvement de la danse en Belgique. Les liens
avec Charleroi-Danses (Centre Chorégraphique de
la Fédération Wallonie-Bruxelles) permettent la circulation d’oeuvres remarquables de la Biennale de
Charleroi et la création d’une plateforme européenne
d’échanges entre artistes de tous domaines. En 2012
le Théâtre Varia propose une résidence à As Palavras,
qui revient alors à Bruxelles où elle est aujourd’hui
basée. La danse de Claudio Bernardo pourrait être
qualifiée de calligraphique, le geste est écriture, les
corps dansant sont intimement liés à la parole.
La compagnie compte plus de 60 oeuvres à son répertoire, dont plus de 40 créations.
« Le titre de la pièce signifie «Seulement 20 ans». Il me vient
d’une lettre que m’a adressée ma compagne Stella de Mello, qui
vit à Rio de Janeiro. Dans cette lettre d’une beauté inouïe, écrite
en 1986, l’année où j’ai quitté le Brésil pour venir faire mes études
à Bruxelles, elle parle de nos vies éloignées, de l’amour et de
ma carrière de chorégraphe. À la fin, Stella dit que nous avons
encore tant de choses à réaliser car elle a tout juste trente ans
et moi, seulement vingt. Mon chemin continue d’être celui de la
danse et, au bout d’une quarantaine de créations, cette danse
que j’ai envie de raconter, finalement, me raconte. Ces pièces
forment donc un puzzle qui me révèlent à moi-même. «Só20»
n’est ni un adieu ni une pierre tombale, le marbre est trop brillant
pour s’attacher à son vivant. C’est simplement la diagonale d’un
regard sur un métier et une vie, dans le choix de la liberté du
chemin. »
Claudio Bernardo, Bruxelles, mars 2016
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Hom(m)
Cirque
Loïc Faure - Compagnie Jongloic
À partir de 5 ans
Dans le cadre de Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées
fait son cirque en Avignon - Île Piot
17h40
9 au 19 juillet
Relâche le 14
Durée : 1h
Distribution
De et par Loïc Faure
Mise en scène et dramaturgie : Philippe
Vande Weghe
Scénographie, design : Gilles Gardula
Aide à la création de décors : L’Atelier
de Latitude 50°
Création sonore : Thomas Barlatier
Création lumière : Nicolas Diaz
En partenariat avec la nouvelle grande
Région « Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées fait son cirque en Avignon » est une opération organisée par
les quatre principales structures cirque
de cette région (CIRCa, le Lido,
La Verrerie et La Grainerie).
Une production de la Cie Jongloic réalisée avec l’aide de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
Coproductions : MA Scène nationale
- Pays de Montbéliard, Maison de la
Culture de Tournai, Compagnie Les
Argonautes.
Contact
Marion Lesort
La Chouette diffusion
+32 (0)495 16 86 92
[email protected]
www.lachouettediffusion.com
La presse en parle
« Hom(m), un curieux seul en scène
où le jongleur se bat contre les barreaux de deux cages et où Loïc Faure
offre une métaphore poétique du
quotidien d’un artiste de cirque. »
Catherine Makereel - Le Soir
« Aujourd’hui, on le sait, le cirque ne
cherche pas : il « est » recherche.
Sous l’avalanche de balles, le jeu des
chaînes, le lit de zinc ou le coussin
de fer créés par Hom(m), Loïc Faure
démontre qu’il a parfaitement compris cet élan créateur. Mais sous ce
jeu multipiste, encouragé par la mise
en scène complice de Philippe Vande
Weghe, apparaît aussi une évidence :
l’excellence technique. On a beau être
un jongleur ne voulant plus vraiment
jongler, on ne refuse pas non plus la
tentation du plaisir ! »
Laurent Ancion - Cirq en Capital
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« Hom(m) c’est du théâtre physique, engagé. Une réflexion violente sur le parcours d’un homme, jongleur et acrobate.
Un artiste obsédé par son désir de jongler. Visuel dans sa forme, la proposition
circassienne est aussi à apprécier pour
cette lecture sous-jacente qui lui donne
un relief particulier. »
Nathalie Boutiau - L’Avenir
Le spectacle est sélectionnée pour le
Festival du Chaînon Manquant 2016
Hom(m)
Loïc Faure - Cie Jongloic
Un personnage seul ne peut rien contre les éléments de son quotidien qui se déchaînent quand bien même serait-il le meilleur
acrobate, le plus habile jongleur, le plus émouvant des poètes et
le plus astucieux des clowns.
Jongleur-Acrobate au regard Clownesque, Homme
de Cirque. Personnage de jeu, Timide ou Fou, Drôle
et Décalé.
Ici, tout s’enchaîne comme dans un dessin animé des années 50.
Un animal de jonglerie et d’acrobatie se confronte aux éléments
qui ont décidé de ne pas lui laisser un moment de répit. Drôle,
clownesque et virtuose, le spectaculaire donne vie aux objets qui
virevoltent et réjouissent petits et grands.
Acrobaties au sol, cascades, tours de force, Loïc Faure pratique
un théâtre physique où toujours il jongle. Épris de défis, il cultive
sa passion en l’assaisonnant d’embûches. Avec Hom(m), il faudra entrer dans la cage-matrice pour s’adonner au désir irrépressible de jongler. Et comment s’y prendre quand les mains
sont entravées ? Homme Fort des foires d’antan, cascadeur de
balle, danseur, coureur de fond, singe ou écureuil, Loïc devient
un drôle d’animal dont on scrute, fasciné et souriant, le singulier
comportement.
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Un « cascadeur de balle », enfant du Périgord,
d’origine basque espagnol, breton et yougoslave,
parti dans le plat pays pour achever sa formation à
L’École Supérieure des Arts du Cirque de Bruxelles.
Acrobate-jongleur dans Infundibulum et Sinué la Cie
FeriaMusica, Loïc participe aussi à la création de Jetlag avec la Cie Chaliwaté, (sortie mars 2015).
C’est avec sa propre Cie qu’il souhaite continuer de
surprendre le public, partager une folie joyeuse et
généreuse et développer une technique singulière
qui allie la fluidité du mouvement et la théâtralité du
corps.
Aux quatre coins du jardin
Rencontres
et lectures
En marge de sa programmation, le Théâtre des Doms organise de nombreuses
activités dans son jardin, accessibles à tous les curieux du spectacle vivant.
7 au 27 juillet
Relâche 13 et 21
Programme détaillé de toutes nos rencontres sur notre site (www.lesdoms.eu)
Les invités du jardin
Le Pechakucha Spécial Avignon
Dimanche 10 juillet à 22h
Une dizaine d’intervenants dont
chaque présentation dure 6 minutes
et 40 secondes. Quand la contrainte
stimule la créativité !
En collaboration avec la SACD Belgique et la région PACA
Les lundis en coulisse
Lundis 11 et 18 juillet à 11h
La découverte de nouvelles pièces
de théâtre belges. Un passeur propose deux coups de cœur récents
pour une lecture impromptue par
des volontaires présents qui interprètent des rôles au pied levé…
Les apéros d’Émile&Cie
Les lundis 11, 18 et 25 juillet à 18h
3 rendez-vous incontournables permettant de (re)découvrir des invités
francophones tous azimuts.
Contact
Hervé d’Ottrèpe
Théâtre des Doms
+32 (0)2 643 33 24
+33 (0)4 90 14 07 99
[email protected]
www.lesdoms.eu
Les Universités Populaires du Théâtre
Vendredi 15 juillet à 11h et 18h
2 lectures : «Les Combats de Célestin Freinet» de Jean-Claude Idée
et «Quelle Connerie la Guerre» de
Jean-Pol Baras et Denis Lefebvre.
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Les éditions de l’Attribut
Dimanche 17 juillet à 11h
Rencontre avec Anne-Marie Autissier, auteure de «Europe et Culture, un
couple à réinventer ?»
There are alternatives !
Dimanche 17 juillet à 18h
Double rencontre publique autour de
publications récentes de la revue Alternatives théâtrales.
« Écrire le geste » sur l’œuvre construite
par Claudio Bernardo et « There are alternatives ! ».
Lecture de «Jours Radieux»
de Jean-Marie Piemme
Mercredi 20 juillet à 11h
La lecture sera accompagnée d’une
rencontre avec Jean-Marie Piemme.
Lectures Arts2 (École supérieure de
Théâtre à Mons)
Vendredi 22 juillet à 11h et 18h
Lectures et échanges par et avec les
acteurs-auteurs de demain.
Lectures en trois dimensions.
Samedi 23 juillet à 11h
Du théâtre d’aujourd’hui x 3 écritures.
Aux quatre coins du jardin
Le Jardin du Théâtre des Doms, hors de l’agitation, mais pas hors du réel que l’on ressent peut-être mieux là qu’ail-leurs, dans
ces temps et jardin suspendus.
Nous le cultivons de rencontres, de prises de parole et d’écoute. On y abordera des sujets liés à la programmation des Doms.
On y lira des textes dans des formes diverses. On y accueillera des invités. Chaque rencontre sera assortie d’un apéro pour le
plaisir de prolonger.
Un document plus détaillé et listant les intervenants de chaque rencontre sera disponible au Théâtre des Doms.
Les voyages artistiques et géographiques des artistes circassiens, nomades par excellence.
Mardi 12 juillet à 11h
Bruxelles accueille des circassiens du monde entier. Une
table ronde interroge, au national et à l’international, formation, professionnalisation, circulation des artistes et des
œuvres circassiennes.
Avec l’aide du Ministre de la Fédération Wallonie-Bruxelles
en charge de la Promotion de Bruxelles.
Ce que photographier le plateau veut dire.
Mardi 19 juillet à 11h
Peut-on dévoiler l’essence de la création à l’aide de la photographie et du dessin ? Que veut dire photographier et dessiner le plateau à l’ère du tout « médiatique » et de l’internet ?
En collaboration avec les Archives & Musée de la Littérature
de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
Danse : le corps à l’épreuve du temps
Mardi 19 juillet à 18h
La vie est longue mais le corps tient-il la distance ? Qu’il y
a-t-il derrière le désir du chorégraphe qui donne à voir le
corps vieilli qui danse ? Que peut ce corps qui a quitté la jeunesse ? Que nous dit-il ?
En collaboration avec Charleroi-Danses, Centre chorégraphique de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
L’art de la marionnette, art mineur ou art majeur ?
Jeudi 14 juillet à 18h
Tradition, modernité et hiérarchie des arts : une réflexion à
plusieurs voix sur la condition actuelle de l’art de la marionnette qui se mêle de plus en plus à d’autres formes artistiques.
En collaboration avec le Centre de la Marionnette de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
Ces quatre rencontres sont organisées en collaboration avec la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
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William Henne
Art visuel
Art visuel en résidence
7 au 27 juillet
Relâche 13 et 21
Auteur de BD et cinéaste belge,
en résidence au Théâtre des Doms du 30 juin au 10 juillet.
Livres
Contact
William Henne
+32 (0)484 67 04 29
[email protected]
L’épuisement, Zorobabel, Bruxelles, 1994.
Le poulpe, t. 8 : La disparition de Perek
(d’après Hervé Le Tellier), 6 pieds sous terre,
coll. Céphalopode, Montpellier, 2001.
La Poursuite [découpage], La Cinquième
Couche, coll. Extracteur, Bruxelles, 2001.
L’Annonceur, La Cinquième Couche, coll.
« F. », Bruxelles, 2003.
La Station, La Cinquième Couche, coll. Extracteur, Bruxelles, 2004.
La Régression (scénario), avec François
Olislaeger (dessin), La Cinquième Couche,
Bruxelles, 2005.
La Permutation [Errata], La Cinquième
Couche, coll. Extracteur, Bruxelles, 2006.
Les songes [Reliefs], La Cinquième Couche,
Bruxelles, 2009.
1h25, avec Xavier Löwenthal et Thomas Boivin, La Cinquième Couche, coll. Extracteur,
Bruxelles, 2009.
Momon, avec Xavier Löwenthal et Thomas
Boivin, La Cinquième Couche, coll. Extracteur,
Bruxelles, 2011.
L’hôte [été 1977], La Cinquième Couche, coll.
Points Métal, Bruxelles, 2013.
La Poursuite [contre-sens], La Cinquième
Couche, Bruxelles, 2014.
Le dédoublement [à quatre mains], avec
Xavier Löwenthal, La Cinquième Couche, coll.
Points Métal, Bruxelles, 2015.
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Filmographie
Tout jeune garçon*, animation, 7’, 1997.
Barbe-Bleue*, animation, 15’, 2000.
Le petit Théâtre mécanique*, animation,
7’30, 2002.
Le complot de famille*, animation, 6’, 2003.
Jan Hermann*, animation, 9’, 2004.
Transit*, animation et docu., 23’, 2005.
Otomi*, animation, 9’, 2006.
Le diagramme du migrant*, animation, 2’,
2007.
Déjà vu*, animation, 19’57, 2008.
Kill the surfers*, animation, 3’23, 2009.
L’affaire Ginzhu*, animation, 16’20, 2010.
Kimiko*, animation, 3’30, 2011.
Kin*, animation, 11’, 2011.
Pigmaleón*, animation, 4’45, 2011.
Quand j’étais petit, je croyais que*, animation, 52 X 45, 2013.
La chair (avec Louise Lemoine Torrès), animation, 15’, 2014.
No-go zone*, animation, 5’00, 2015.
* Avec l’Atelier Collectif
William Henne
Biographie
Le dessinateur belge William Henne est l’invité du Théâtre des
Doms, il aura pour mission d’en croquer les coulisses effervescentes et d’en extraire une fresque qui nous accompagnera
jusqu’à la fin de notre festival.
William Henne, (né le 11 juin 1969) est un auteur de
bande dessinée et cinéaste belge, né à Bruxelles. Il
est aussi éditeur et producteur.
Avant de rejoindre en 1998 le collectif La Cinquième
Couche, William Henne publie en 1994 son premier
recueil de bande dessinée, L’épuisement, à compte
d’auteur. En 2001, il réalise l’adaptation en bande
dessinée d’un épisode du Poulpe, La disparition de
Perek d’Hervé Le Tellier, aux Éditions Six-Piedssous-Terre. Depuis, il apporte annuellement une
pièce supplémentaire à l’édifice cohérent qu’est sa
bibliographie. Il publie aussi de nombreux courts
récits (Frigobox, Le Matin, Comix 2000, Jade, Le
coup de grâce, Nos restes, Cola de Mono, George,
GrandPapier). Il dirige actuellement les Éditions de
La 5e Couche en compagnie de Xavier Löwenthal.
On lui prête un rôle dans la création de l’œuvre de
Judith Forest, qu’il n’a jamais confirmé.
Il est également le fondateur avec la réalisatrice
Delphine Renard du studio de cinéma d’animation
Zorobabel, coordinateur de l’Atelier Collectif, producteur et réalisateur de plusieurs films d’animation.
L’idée ici est de donner à voir par le truchement d’un regard et
d’un geste artistique ce qui reste souvent invisible aux festivaliers : les coulisses. Le projet visuel consistera à effectuer une
chronique dessinée, au jour le jour, autour des 7 compagnies
jouant au Théâtre des Doms, pendant leur préparation, les répétitions et les représentations. Les dessins seront quotidiennement mis en ligne sur www.facebook.com/CarnetdesDoms2016
ainsi que sur le site de bande dessinée en ligne www.grandpapier.org. La pratique du croquis est une façon de garder la main
en marge des albums de bande dessinée, pour l’artiste, comme
le fait de participer régulièrement à des soirées de dessins de
modèle vivant entre amis dessinateurs.
Le séjour se terminera par l’exécution d’une fresque dans l’entrée du Théâtre des Doms visible à partir du 9 juillet (vernissage)
et jusqu’au 27 juillet.
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Infos pratiques
TARIFS DES SPECTACLES
Tarif plein : 17 €
Tarif réduit : 12 € (cartes Off, artistes, étudiants, voyageurs Thalys, Pécous)
Tarif super réduit : 8 € (groupes d’adultes,
artistes Off, artistes FWB)
Tarif super super réduit : 6 € (enfants
jusqu’à 13 ans, accompagnants de programmateurs et groupes de jeunes)
Tarif Patch Culture/Université d’Avignon : 5 €
Abonnement 3 spectacles : 30 €.
En vente à la billetterie.
Vous pouvez acheter vos billets à
l’avance.
La caisse est ouverte de 10h00 à 22h30.
Réservations et infos au
04 90 14 07 99 de 9h à 20h.
Les places réservées non retirées
sont mises en vente 1/2 heure
avant le spectacle.
Billetterie en ligne sur www.lesdoms.eu
BAR-RESTAURANT
Dans la cour ombragée du théâtre, autour de la fontaine, le bar-restaurant
vous accueille de 10h à 0h30.
Catherine et son équipe prennent soin
de nos papilles avec une cuisine simple
et naturelle, d’ici et d’ailleurs,
pour les petites et les grandes faims.
Photos HD / Dossiers / Communiqués / Liens vidéos, etc.
sont téléchargeables dans l’espace presse du site
www.lesdoms.eu
Codes accès :
Nom d’utilisateur : presse
Mot de passe : 1789
Équipe des Doms
Directeur : Alain Cofino Gomez
Expert en diffusion & Conseiller artistique : Hervé d’Otreppe
Administration & production : Bénédicte Battistella
Communication, accueil, presse : Aurore Duprey et Isabelle Gachet Régie générale : Saïd Zaïour assisté de Nicolas Chevalier et de Gildas Gros (stagiaire)
Communication visuelle : Lucas Racasse
Assistante communication, production et administration : Karine Laborde
Accueil pros festival : Hervé d’Otreppe et Colette Verstraeten
Régie générale festival : Michel Delvigne
Equipe technique ‘renfort’ festival : Emmanuel Vandevelde, Maxime Delvigne et
Emma Laroche
Accueil, billetterie, promotion festival : Aurélie Alessandroni, Justine Dibling, Lisa
Gilot, Agathe Meziani, Tiphaine Van Der Haegen, Lucie Yerlès
Fée du logis : Christelle Négrel
Le Théâtre des Doms est membre du Cercle de Midi (Fédération PACA du Réseau Chaînon FNTAV), de Avignon Festival & Compagnies (AF&C).
Nos partenaires
CONTACTS
1bis, rue des Escaliers
Sainte-Anne
84000 Avignon
tél: +33 (0)4 90 14 07 99
[email protected]
www.lesdoms.eu
Nous remercions chaleureusement :
Le Gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles
Le Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles
Wallonie-Bruxelles International
Le Ministère de l’Aide à la jeunesse, des Maisons de justice et de la Promotion
de Bruxelles.
Le Conseil d’Administration et le Conseil consultatif de Programmation du
Théâtre des Doms
Les Halles de Schaerbeek
Le Théâtre de Liège
Charleroi-Danses
Le Théâtre National
Le Théâtre Varia
Languedoc Roussillon Midi-Pyrénées fait son cirque en Avignon!
Le CDC-Les Hivernales
L’AJMi (Jazz Club)
Et tous nos partenaires consultables sur la page liens de notre site
www.lesdoms.eu
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