Les + du projet :
• Additionnalité carbone : quantifiée en 2014 (les itinéraires sur les feuillus divers devront être revus)
• Projet intégrant la dimension d’atténuation du changement climatique : les conversions de taillis en futaie sont très
additionnelles du point de vue du carbone
• Projet intégrant la dimension de préservation et d’amélioration de la biodiversité.
Date de début du projet :
automne 2015
Date de fin du projet :
2016
Statut du projet :
L’ASLGF a été créée début juin. Les statuts ont été
déposés. La quantification carbone a été faite en
2014. La liste des parcelles dont les propriétaires sont
intéressés a été dressée : elle comporte une surface
bien supérieure à 20 ha. Un tri sera fait durant l’été
pour ne garder qu’une vingtaine d’hectares à faire
financer dans le cadre du projet. Le plan simple de
gestion concerté va être lancé puis rédigé.
Valorisation du projet :
• Pascal RAFFIER, un des vice-présidents de l’ASLGF,
est notamment maire de La Chapelle-Montbrandeix,
vice-président de la communauté des communes
des Feuillardiers, vice-président du PNR en charge
de la forêt et un artisan du châtaignier (entreprise
de vannerie, fabrication de meubles en bois de
châtaignier) ; cela peut avoir un effet mobilisateur
auprès des élus. Le président de l’ASLGF, Lionel
MOREAU, voit dans cette mutualisation des parcelles
une démarche citoyenne ;
• Outils de communication utilisés : probablement
rédaction d’un article dans le Forêt limousine
(magazine trimestriel à destination des propriétaires
forestiers du Limousin, tirage : 6 000 exemplaires),
dans la lettre du Parc et dans d’autres magazines
forestiers nationaux (Forêt entreprise…), valorisation
également sur les sites internet du PNR et du CNPF
et dans la presse locale ;
• Réalisation des événements pour valoriser le projet :
visites des salariés de La Poste sur le terrain + visite
des forestiers pour voir un projet innovant du point
de vue sylvicole + valorisation du projet en AG de
l’ASLGF auprès des adhérents.
Bilan et perspectives :
L’innovation consiste à avoir introduit de nouveaux
modes de gestion plus adaptés au rôle de puits de
carbone de la forêt (atténuation du changement
climatique) et tournés vers une production de bois
d’œuvre de châtaignier, essence locale à haut potentiel
d’avenir.
Enfin, la réussite aura été de créer une structure
de regroupement des propriétaires forestiers dans
une zone peu tournée vers ces modes de gestion en
commun.
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