Marché d’Intérêt National : Vers un nouveau modèle économique NOTE DE PRESSE – 13/4/2016 Contact presse : Stéphanie Arnaud – t. 05 62 27 62 81 – m. 06 88 56 23 99 [email protected] Marché d’Intérêt National de Toulouse : Vers un nouveau modèle économique Les finances de la Société d'économie mixte (SEM) du Marché d'Intérêt National (MIN) de Toulouse Métropole ne lui permettent plus aujourd'hui de maintenir ses activités de façon pérenne. Toulouse Métropole a donc décidé de lui donner les moyens d'envisager un nouveau modèle économique. Il est inscrit à l’ordre du jour du Conseil de Métropole du jeudi 14 avril 2016 la résiliation anticipée des contrats de concession relatifs à l'exploitation du MIN datant du 11 décembre 1967 et à l'exploitation du complexe agro-alimentaire La Vache datant du 7 mars 1989. C'est la première étape vers un nouveau modèle économique qui permettra de sauver l'activité de la SEM. Dans les années 1960, la Ville de Toulouse a fait construire un marché de gros classé Marché d'Intérêt National en 1964. Sa gestion a été confiée à la SEM du MIN ainsi que celle du complexe agro-alimentaire du quartier La Vache. Ces dix dernières années, la société a lancé programme de Marché. Ville La un important modernisation de Toulouse du et Toulouse Métropole ont soutenu ces travaux grâce à des avances remboursables : 6 098 000 € pour la Ville et 7 000 000 € pour la Métropole. Si le remboursement à la Ville est échelonné jusqu'en 2022, celui de Toulouse Métropole est exigible au plus tard le 3 mai 2016. Or, les derniers comptes de résultats montrent que la santé financière de la société est fortement compromise. 2 Marché d’Intérêt National de Toulouse Métropole Aujourd'hui, la SEM ne dispose pas de la trésorerie suffisante pour rembourser la collectivité et se trouverait le 3 mai en situation de cessation de paiement. La Métropole veut évidemment maintenir l'activité du Marché d'Intérêt National de Toulouse. Face à cette situation, la SEM et Toulouse Métropole, en tant qu'actionnaire majoritaire et autorité délégante, ont, depuis plusieurs mois, étudié les différents scénarii. L'analyse des comptes montre que le résultat net structurellement déficitaire est dû aux conséquences de sa politique d'investissement (amortissement) et de sa politique financière. Son activité courante, elle, s'équilibre. Seule une refonte du modèle économique du MIN lui permettra de poursuivre son activité. Cependant, elle reste impossible tant que le contrat de Délégation de service public n'est pas modifié profondément. L'hypothèse de signer un simple avenant au contrat a dû être écartée. En effet, il est nécessaire de modifier en profondeur l'équilibre économique de la délégation de service publique. Aussi, cet avenant aurait été assimilable à un nouveau contrat. Aux difficultés économiques du MINT se serait ajoutée une fragilité juridique, notamment au regard du principe de transparence des procédures et d'égalité de traitement des candidats. Toulouse Métropole et la SEM veillent à la continuité du service public du marché. C'est pourquoi elles vont résilier, de façon anticipée, leurs contrats à compter du 1er avril 2017. Cela permettra de préparer, à la fois, les modalités de sortie de l'actuel délégataire et le futur mode de gestion, sans rupture dans l'activité de cet équipement auquel les citoyens et élus sont très fortement attachés. 3 Marché d’Intérêt National de Toulouse Métropole Marché d’Intérêt National : Vers un nouveau modèle économique NOTE DE PRESSE – 13/4/2016 Contact presse : Stéphanie Arnaud – t. 05 62 27 62 81 – m. 06 88 56 23 99 [email protected] Marché d’Intérêt National de Toulouse : Vers un nouveau modèle économique Les finances de la Société d'économie mixte (SEM) du Marché d'Intérêt National (MIN) de Toulouse Métropole ne lui permettent plus aujourd'hui de maintenir ses activités de façon pérenne. Toulouse Métropole a donc décidé de lui donner les moyens d'envisager un nouveau modèle économique. Il est inscrit à l’ordre du jour du Conseil de Métropole du jeudi 14 avril 2016 la résiliation anticipée des contrats de concession relatifs à l'exploitation du MIN datant du 11 décembre 1967 et à l'exploitation du complexe agro-alimentaire La Vache datant du 7 mars 1989. C'est la première étape vers un nouveau modèle économique qui permettra de sauver l'activité de la SEM. Dans les années 1960, la Ville de Toulouse a fait construire un marché de gros classé Marché d'Intérêt National en 1964. Sa gestion a été confiée à la SEM du MIN ainsi que celle du complexe agro-alimentaire du quartier La Vache. Ces dix dernières années, la société a lancé programme de Marché. Ville La un important modernisation de Toulouse du et Toulouse Métropole ont soutenu ces travaux grâce à des avances remboursables : 6 098 000 € pour la Ville et 7 000 000 € pour la Métropole. Si le remboursement à la Ville est échelonné jusqu'en 2022, celui de Toulouse Métropole est exigible au plus tard le 3 mai 2016. Or, les derniers comptes de résultats montrent que la santé financière de la société est fortement compromise. 2 Marché d’Intérêt National de Toulouse Métropole Aujourd'hui, la SEM ne dispose pas de la trésorerie suffisante pour rembourser la collectivité et se trouverait le 3 mai en situation de cessation de paiement. La Métropole veut évidemment maintenir l'activité du Marché d'Intérêt National de Toulouse. Face à cette situation, la SEM et Toulouse Métropole, en tant qu'actionnaire majoritaire et autorité délégante, ont, depuis plusieurs mois, étudié les différents scénarii. L'analyse des comptes montre que le résultat net structurellement déficitaire est dû aux conséquences de sa politique d'investissement (amortissement) et de sa politique financière. Son activité courante, elle, s'équilibre. Seule une refonte du modèle économique du MIN lui permettra de poursuivre son activité. Cependant, elle reste impossible tant que le contrat de Délégation de service public n'est pas modifié profondément. L'hypothèse de signer un simple avenant au contrat a dû être écartée. En effet, il est nécessaire de modifier en profondeur l'équilibre économique de la délégation de service publique. Aussi, cet avenant aurait été assimilable à un nouveau contrat. Aux difficultés économiques du MINT se serait ajoutée une fragilité juridique, notamment au regard du principe de transparence des procédures et d'égalité de traitement des candidats. Toulouse Métropole et la SEM veillent à la continuité du service public du marché. C'est pourquoi elles vont résilier, de façon anticipée, leurs contrats à compter du 1er avril 2017. Cela permettra de préparer, à la fois, les modalités de sortie de l'actuel délégataire et le futur mode de gestion, sans rupture dans l'activité de cet équipement auquel les citoyens et élus sont très fortement attachés. 3 Marché d’Intérêt National de Toulouse Métropole Marché d’Intérêt National : Vers un nouveau modèle économique NOTE DE PRESSE – 13/4/2016 Contact presse : Stéphanie Arnaud – t. 05 62 27 62 81 – m. 06 88 56 23 99 [email protected] Marché d’Intérêt National de Toulouse : Vers un nouveau modèle économique Les finances de la Société d'économie mixte (SEM) du Marché d'Intérêt National (MIN) de Toulouse Métropole ne lui permettent plus aujourd'hui de maintenir ses activités de façon pérenne. Toulouse Métropole a donc décidé de lui donner les moyens d'envisager un nouveau modèle économique. Il est inscrit à l’ordre du jour du Conseil de Métropole du jeudi 14 avril 2016 la résiliation anticipée des contrats de concession relatifs à l'exploitation du MIN datant du 11 décembre 1967 et à l'exploitation du complexe agro-alimentaire La Vache datant du 7 mars 1989. C'est la première étape vers un nouveau modèle économique qui permettra de sauver l'activité de la SEM. Dans les années 1960, la Ville de Toulouse a fait construire un marché de gros classé Marché d'Intérêt National en 1964. Sa gestion a été confiée à la SEM du MIN ainsi que celle du complexe agro-alimentaire du quartier La Vache. Ces dix dernières années, la société a lancé programme de Marché. Ville La un important modernisation de Toulouse du et Toulouse Métropole ont soutenu ces travaux grâce à des avances remboursables : 6 098 000 € pour la Ville et 7 000 000 € pour la Métropole. Si le remboursement à la Ville est échelonné jusqu'en 2022, celui de Toulouse Métropole est exigible au plus tard le 3 mai 2016. Or, les derniers comptes de résultats montrent que la santé financière de la société est fortement compromise. 2 Marché d’Intérêt National de Toulouse Métropole Aujourd'hui, la SEM ne dispose pas de la trésorerie suffisante pour rembourser la collectivité et se trouverait le 3 mai en situation de cessation de paiement. La Métropole veut évidemment maintenir l'activité du Marché d'Intérêt National de Toulouse. Face à cette situation, la SEM et Toulouse Métropole, en tant qu'actionnaire majoritaire et autorité délégante, ont, depuis plusieurs mois, étudié les différents scénarii. L'analyse des comptes montre que le résultat net structurellement déficitaire est dû aux conséquences de sa politique d'investissement (amortissement) et de sa politique financière. Son activité courante, elle, s'équilibre. Seule une refonte du modèle économique du MIN lui permettra de poursuivre son activité. Cependant, elle reste impossible tant que le contrat de Délégation de service public n'est pas modifié profondément. L'hypothèse de signer un simple avenant au contrat a dû être écartée. En effet, il est nécessaire de modifier en profondeur l'équilibre économique de la délégation de service publique. Aussi, cet avenant aurait été assimilable à un nouveau contrat. Aux difficultés économiques du MINT se serait ajoutée une fragilité juridique, notamment au regard du principe de transparence des procédures et d'égalité de traitement des candidats. Toulouse Métropole et la SEM veillent à la continuité du service public du marché. C'est pourquoi elles vont résilier, de façon anticipée, leurs contrats à compter du 1er avril 2017. Cela permettra de préparer, à la fois, les modalités de sortie de l'actuel délégataire et le futur mode de gestion, sans rupture dans l'activité de cet équipement auquel les citoyens et élus sont très fortement attachés. 3 Marché d’Intérêt National de Toulouse Métropole Marché d’Intérêt National : Vers un nouveau modèle économique NOTE DE PRESSE – 13/4/2016 Contact presse : Stéphanie Arnaud – t. 05 62 27 62 81 – m. 06 88 56 23 99 [email protected] Marché d’Intérêt National de Toulouse : Vers un nouveau modèle économique Les finances de la Société d'économie mixte (SEM) du Marché d'Intérêt National (MIN) de Toulouse Métropole ne lui permettent plus aujourd'hui de maintenir ses activités de façon pérenne. Toulouse Métropole a donc décidé de lui donner les moyens d'envisager un nouveau modèle économique. Il est inscrit à l’ordre du jour du Conseil de Métropole du jeudi 14 avril 2016 la résiliation anticipée des contrats de concession relatifs à l'exploitation du MIN datant du 11 décembre 1967 et à l'exploitation du complexe agro-alimentaire La Vache datant du 7 mars 1989. C'est la première étape vers un nouveau modèle économique qui permettra de sauver l'activité de la SEM. Dans les années 1960, la Ville de Toulouse a fait construire un marché de gros classé Marché d'Intérêt National en 1964. Sa gestion a été confiée à la SEM du MIN ainsi que celle du complexe agro-alimentaire du quartier La Vache. Ces dix dernières années, la société a lancé programme de Marché. Ville La un important modernisation de Toulouse du et Toulouse Métropole ont soutenu ces travaux grâce à des avances remboursables : 6 098 000 € pour la Ville et 7 000 000 € pour la Métropole. Si le remboursement à la Ville est échelonné jusqu'en 2022, celui de Toulouse Métropole est exigible au plus tard le 3 mai 2016. Or, les derniers comptes de résultats montrent que la santé financière de la société est fortement compromise. 2 Marché d’Intérêt National de Toulouse Métropole Aujourd'hui, la SEM ne dispose pas de la trésorerie suffisante pour rembourser la collectivité et se trouverait le 3 mai en situation de cessation de paiement. La Métropole veut évidemment maintenir l'activité du Marché d'Intérêt National de Toulouse. Face à cette situation, la SEM et Toulouse Métropole, en tant qu'actionnaire majoritaire et autorité délégante, ont, depuis plusieurs mois, étudié les différents scénarii. L'analyse des comptes montre que le résultat net structurellement déficitaire est dû aux conséquences de sa politique d'investissement (amortissement) et de sa politique financière. Son activité courante, elle, s'équilibre. Seule une refonte du modèle économique du MIN lui permettra de poursuivre son activité. Cependant, elle reste impossible tant que le contrat de Délégation de service public n'est pas modifié profondément. L'hypothèse de signer un simple avenant au contrat a dû être écartée. En effet, il est nécessaire de modifier en profondeur l'équilibre économique de la délégation de service publique. Aussi, cet avenant aurait été assimilable à un nouveau contrat. Aux difficultés économiques du MINT se serait ajoutée une fragilité juridique, notamment au regard du principe de transparence des procédures et d'égalité de traitement des candidats. Toulouse Métropole et la SEM veillent à la continuité du service public du marché. C'est pourquoi elles vont résilier, de façon anticipée, leurs contrats à compter du 1er avril 2017. Cela permettra de préparer, à la fois, les modalités de sortie de l'actuel délégataire et le futur mode de gestion, sans rupture dans l'activité de cet équipement auquel les citoyens et élus sont très fortement attachés. 3 Marché d’Intérêt National de Toulouse Métropole Marché d’Intérêt National : Vers un nouveau modèle économique NOTE DE PRESSE – 13/4/2016 Contact presse : Stéphanie Arnaud – t. 05 62 27 62 81 – m. 06 88 56 23 99 [email protected] Marché d’Intérêt National de Toulouse : Vers un nouveau modèle économique Les finances de la Société d'économie mixte (SEM) du Marché d'Intérêt National (MIN) de Toulouse Métropole ne lui permettent plus aujourd'hui de maintenir ses activités de façon pérenne. Toulouse Métropole a donc décidé de lui donner les moyens d'envisager un nouveau modèle économique. Il est inscrit à l’ordre du jour du Conseil de Métropole du jeudi 14 avril 2016 la résiliation anticipée des contrats de concession relatifs à l'exploitation du MIN datant du 11 décembre 1967 et à l'exploitation du complexe agro-alimentaire La Vache datant du 7 mars 1989. C'est la première étape vers un nouveau modèle économique qui permettra de sauver l'activité de la SEM. Dans les années 1960, la Ville de Toulouse a fait construire un marché de gros classé Marché d'Intérêt National en 1964. Sa gestion a été confiée à la SEM du MIN ainsi que celle du complexe agro-alimentaire du quartier La Vache. Ces dix dernières années, la société a lancé programme de Marché. Ville La un important modernisation de Toulouse du et Toulouse Métropole ont soutenu ces travaux grâce à des avances remboursables : 6 098 000 € pour la Ville et 7 000 000 € pour la Métropole. Si le remboursement à la Ville est échelonné jusqu'en 2022, celui de Toulouse Métropole est exigible au plus tard le 3 mai 2016. Or, les derniers comptes de résultats montrent que la santé financière de la société est fortement compromise. 2 Marché d’Intérêt National de Toulouse Métropole Aujourd'hui, la SEM ne dispose pas de la trésorerie suffisante pour rembourser la collectivité et se trouverait le 3 mai en situation de cessation de paiement. La Métropole veut évidemment maintenir l'activité du Marché d'Intérêt National de Toulouse. Face à cette situation, la SEM et Toulouse Métropole, en tant qu'actionnaire majoritaire et autorité délégante, ont, depuis plusieurs mois, étudié les différents scénarii. L'analyse des comptes montre que le résultat net structurellement déficitaire est dû aux conséquences de sa politique d'investissement (amortissement) et de sa politique financière. Son activité courante, elle, s'équilibre. Seule une refonte du modèle économique du MIN lui permettra de poursuivre son activité. Cependant, elle reste impossible tant que le contrat de Délégation de service public n'est pas modifié profondément. L'hypothèse de signer un simple avenant au contrat a dû être écartée. En effet, il est nécessaire de modifier en profondeur l'équilibre économique de la délégation de service publique. Aussi, cet avenant aurait été assimilable à un nouveau contrat. Aux difficultés économiques du MINT se serait ajoutée une fragilité juridique, notamment au regard du principe de transparence des procédures et d'égalité de traitement des candidats. Toulouse Métropole et la SEM veillent à la continuité du service public du marché. C'est pourquoi elles vont résilier, de façon anticipée, leurs contrats à compter du 1er avril 2017. Cela permettra de préparer, à la fois, les modalités de sortie de l'actuel délégataire et le futur mode de gestion, sans rupture dans l'activité de cet équipement auquel les citoyens et élus sont très fortement attachés. 3 Marché d’Intérêt National de Toulouse Métropole Marché d’Intérêt National : Vers un nouveau modèle économique NOTE DE PRESSE – 13/4/2016 Contact presse : Stéphanie Arnaud – t. 05 62 27 62 81 – m. 06 88 56 23 99 [email protected] Marché d’Intérêt National de Toulouse : Vers un nouveau modèle économique Les finances de la Société d'économie mixte (SEM) du Marché d'Intérêt National (MIN) de Toulouse Métropole ne lui permettent plus aujourd'hui de maintenir ses activités de façon pérenne. Toulouse Métropole a donc décidé de lui donner les moyens d'envisager un nouveau modèle économique. Il est inscrit à l’ordre du jour du Conseil de Métropole du jeudi 14 avril 2016 la résiliation anticipée des contrats de concession relatifs à l'exploitation du MIN datant du 11 décembre 1967 et à l'exploitation du complexe agro-alimentaire La Vache datant du 7 mars 1989. C'est la première étape vers un nouveau modèle économique qui permettra de sauver l'activité de la SEM. Dans les années 1960, la Ville de Toulouse a fait construire un marché de gros classé Marché d'Intérêt National en 1964. Sa gestion a été confiée à la SEM du MIN ainsi que celle du complexe agro-alimentaire du quartier La Vache. Ces dix dernières années, la société a lancé programme de Marché. Ville La un important modernisation de Toulouse du et Toulouse Métropole ont soutenu ces travaux grâce à des avances remboursables : 6 098 000 € pour la Ville et 7 000 000 € pour la Métropole. Si le remboursement à la Ville est échelonné jusqu'en 2022, celui de Toulouse Métropole est exigible au plus tard le 3 mai 2016. Or, les derniers comptes de résultats montrent que la santé financière de la société est fortement compromise. 2 Marché d’Intérêt National de Toulouse Métropole Aujourd'hui, la SEM ne dispose pas de la trésorerie suffisante pour rembourser la collectivité et se trouverait le 3 mai en situation de cessation de paiement. La Métropole veut évidemment maintenir l'activité du Marché d'Intérêt National de Toulouse. Face à cette situation, la SEM et Toulouse Métropole, en tant qu'actionnaire majoritaire et autorité délégante, ont, depuis plusieurs mois, étudié les différents scénarii. L'analyse des comptes montre que le résultat net structurellement déficitaire est dû aux conséquences de sa politique d'investissement (amortissement) et de sa politique financière. Son activité courante, elle, s'équilibre. Seule une refonte du modèle économique du MIN lui permettra de poursuivre son activité. Cependant, elle reste impossible tant que le contrat de Délégation de service public n'est pas modifié profondément. L'hypothèse de signer un simple avenant au contrat a dû être écartée. En effet, il est nécessaire de modifier en profondeur l'équilibre économique de la délégation de service publique. Aussi, cet avenant aurait été assimilable à un nouveau contrat. Aux difficultés économiques du MINT se serait ajoutée une fragilité juridique, notamment au regard du principe de transparence des procédures et d'égalité de traitement des candidats. Toulouse Métropole et la SEM veillent à la continuité du service public du marché. C'est pourquoi elles vont résilier, de façon anticipée, leurs contrats à compter du 1er avril 2017. Cela permettra de préparer, à la fois, les modalités de sortie de l'actuel délégataire et le futur mode de gestion, sans rupture dans l'activité de cet équipement auquel les citoyens et élus sont très fortement attachés. 3 Marché d’Intérêt National de Toulouse Métropole Marché d’Intérêt National : Vers un nouveau modèle économique NOTE DE PRESSE – 13/4/2016 Contact presse : Stéphanie Arnaud – t. 05 62 27 62 81 – m. 06 88 56 23 99 [email protected] Marché d’Intérêt National de Toulouse : Vers un nouveau modèle économique Les finances de la Société d'économie mixte (SEM) du Marché d'Intérêt National (MIN) de Toulouse Métropole ne lui permettent plus aujourd'hui de maintenir ses activités de façon pérenne. Toulouse Métropole a donc décidé de lui donner les moyens d'envisager un nouveau modèle économique. Il est inscrit à l’ordre du jour du Conseil de Métropole du jeudi 14 avril 2016 la résiliation anticipée des contrats de concession relatifs à l'exploitation du MIN datant du 11 décembre 1967 et à l'exploitation du complexe agro-alimentaire La Vache datant du 7 mars 1989. C'est la première étape vers un nouveau modèle économique qui permettra de sauver l'activité de la SEM. Dans les années 1960, la Ville de Toulouse a fait construire un marché de gros classé Marché d'Intérêt National en 1964. Sa gestion a été confiée à la SEM du MIN ainsi que celle du complexe agro-alimentaire du quartier La Vache. Ces dix dernières années, la société a lancé programme de Marché. Ville La un important modernisation de Toulouse du et Toulouse Métropole ont soutenu ces travaux grâce à des avances remboursables : 6 098 000 € pour la Ville et 7 000 000 € pour la Métropole. Si le remboursement à la Ville est échelonné jusqu'en 2022, celui de Toulouse Métropole est exigible au plus tard le 3 mai 2016. Or, les derniers comptes de résultats montrent que la santé financière de la société est fortement compromise. 2 Marché d’Intérêt National de Toulouse Métropole Aujourd'hui, la SEM ne dispose pas de la trésorerie suffisante pour rembourser la collectivité et se trouverait le 3 mai en situation de cessation de paiement. La Métropole veut évidemment maintenir l'activité du Marché d'Intérêt National de Toulouse. Face à cette situation, la SEM et Toulouse Métropole, en tant qu'actionnaire majoritaire et autorité délégante, ont, depuis plusieurs mois, étudié les différents scénarii. L'analyse des comptes montre que le résultat net structurellement déficitaire est dû aux conséquences de sa politique d'investissement (amortissement) et de sa politique financière. Son activité courante, elle, s'équilibre. Seule une refonte du modèle économique du MIN lui permettra de poursuivre son activité. Cependant, elle reste impossible tant que le contrat de Délégation de service public n'est pas modifié profondément. L'hypothèse de signer un simple avenant au contrat a dû être écartée. En effet, il est nécessaire de modifier en profondeur l'équilibre économique de la délégation de service publique. Aussi, cet avenant aurait été assimilable à un nouveau contrat. Aux difficultés économiques du MINT se serait ajoutée une fragilité juridique, notamment au regard du principe de transparence des procédures et d'égalité de traitement des candidats. Toulouse Métropole et la SEM veillent à la continuité du service public du marché. C'est pourquoi elles vont résilier, de façon anticipée, leurs contrats à compter du 1er avril 2017. Cela permettra de préparer, à la fois, les modalités de sortie de l'actuel délégataire et le futur mode de gestion, sans rupture dans l'activité de cet équipement auquel les citoyens et élus sont très fortement attachés. 3 Marché d’Intérêt National de Toulouse Métropole Marché d’Intérêt National : Vers un nouveau modèle économique NOTE DE PRESSE – 13/4/2016 Contact presse : Stéphanie Arnaud – t. 05 62 27 62 81 – m. 06 88 56 23 99 [email protected] Marché d’Intérêt National de Toulouse : Vers un nouveau modèle économique Les finances de la Société d'économie mixte (SEM) du Marché d'Intérêt National (MIN) de Toulouse Métropole ne lui permettent plus aujourd'hui de maintenir ses activités de façon pérenne. Toulouse Métropole a donc décidé de lui donner les moyens d'envisager un nouveau modèle économique. Il est inscrit à l’ordre du jour du Conseil de Métropole du jeudi 14 avril 2016 la résiliation anticipée des contrats de concession relatifs à l'exploitation du MIN datant du 11 décembre 1967 et à l'exploitation du complexe agro-alimentaire La Vache datant du 7 mars 1989. C'est la première étape vers un nouveau modèle économique qui permettra de sauver l'activité de la SEM. Dans les années 1960, la Ville de Toulouse a fait construire un marché de gros classé Marché d'Intérêt National en 1964. Sa gestion a été confiée à la SEM du MIN ainsi que celle du complexe agro-alimentaire du quartier La Vache. Ces dix dernières années, la société a lancé programme de Marché. Ville La un important modernisation de Toulouse du et Toulouse Métropole ont soutenu ces travaux grâce à des avances remboursables : 6 098 000 € pour la Ville et 7 000 000 € pour la Métropole. Si le remboursement à la Ville est échelonné jusqu'en 2022, celui de Toulouse Métropole est exigible au plus tard le 3 mai 2016. Or, les derniers comptes de résultats montrent que la santé financière de la société est fortement compromise. 2 Marché d’Intérêt National de Toulouse Métropole Aujourd'hui, la SEM ne dispose pas de la trésorerie suffisante pour rembourser la collectivité et se trouverait le 3 mai en situation de cessation de paiement. La Métropole veut évidemment maintenir l'activité du Marché d'Intérêt National de Toulouse. Face à cette situation, la SEM et Toulouse Métropole, en tant qu'actionnaire majoritaire et autorité délégante, ont, depuis plusieurs mois, étudié les différents scénarii. L'analyse des comptes montre que le résultat net structurellement déficitaire est dû aux conséquences de sa politique d'investissement (amortissement) et de sa politique financière. Son activité courante, elle, s'équilibre. Seule une refonte du modèle économique du MIN lui permettra de poursuivre son activité. Cependant, elle reste impossible tant que le contrat de Délégation de service public n'est pas modifié profondément. L'hypothèse de signer un simple avenant au contrat a dû être écartée. En effet, il est nécessaire de modifier en profondeur l'équilibre économique de la délégation de service publique. Aussi, cet avenant aurait été assimilable à un nouveau contrat. Aux difficultés économiques du MINT se serait ajoutée une fragilité juridique, notamment au regard du principe de transparence des procédures et d'égalité de traitement des candidats. Toulouse Métropole et la SEM veillent à la continuité du service public du marché. C'est pourquoi elles vont résilier, de façon anticipée, leurs contrats à compter du 1er avril 2017. Cela permettra de préparer, à la fois, les modalités de sortie de l'actuel délégataire et le futur mode de gestion, sans rupture dans l'activité de cet équipement auquel les citoyens et élus sont très fortement attachés. 3 Marché d’Intérêt National de Toulouse Métropole Marché d’Intérêt National : Vers un nouveau modèle économique NOTE DE PRESSE – 13/4/2016 Contact presse : Stéphanie Arnaud – t. 05 62 27 62 81 – m. 06 88 56 23 99 [email protected] Marché d’Intérêt National de Toulouse : Vers un nouveau modèle économique Les finances de la Société d'économie mixte (SEM) du Marché d'Intérêt National (MIN) de Toulouse Métropole ne lui permettent plus aujourd'hui de maintenir ses activités de façon pérenne. Toulouse Métropole a donc décidé de lui donner les moyens d'envisager un nouveau modèle économique. Il est inscrit à l’ordre du jour du Conseil de Métropole du jeudi 14 avril 2016 la résiliation anticipée des contrats de concession relatifs à l'exploitation du MIN datant du 11 décembre 1967 et à l'exploitation du complexe agro-alimentaire La Vache datant du 7 mars 1989. C'est la première étape vers un nouveau modèle économique qui permettra de sauver l'activité de la SEM. Dans les années 1960, la Ville de Toulouse a fait construire un marché de gros classé Marché d'Intérêt National en 1964. Sa gestion a été confiée à la SEM du MIN ainsi que celle du complexe agro-alimentaire du quartier La Vache. Ces dix dernières années, la société a lancé programme de Marché. Ville La un important modernisation de Toulouse du et Toulouse Métropole ont soutenu ces travaux grâce à des avances remboursables : 6 098 000 € pour la Ville et 7 000 000 € pour la Métropole. Si le remboursement à la Ville est échelonné jusqu'en 2022, celui de Toulouse Métropole est exigible au plus tard le 3 mai 2016. Or, les derniers comptes de résultats montrent que la santé financière de la société est fortement compromise. 2 Marché d’Intérêt National de Toulouse Métropole Aujourd'hui, la SEM ne dispose pas de la trésorerie suffisante pour rembourser la collectivité et se trouverait le 3 mai en situation de cessation de paiement. La Métropole veut évidemment maintenir l'activité du Marché d'Intérêt National de Toulouse. Face à cette situation, la SEM et Toulouse Métropole, en tant qu'actionnaire majoritaire et autorité délégante, ont, depuis plusieurs mois, étudié les différents scénarii. L'analyse des comptes montre que le résultat net structurellement déficitaire est dû aux conséquences de sa politique d'investissement (amortissement) et de sa politique financière. Son activité courante, elle, s'équilibre. Seule une refonte du modèle économique du MIN lui permettra de poursuivre son activité. Cependant, elle reste impossible tant que le contrat de Délégation de service public n'est pas modifié profondément. L'hypothèse de signer un simple avenant au contrat a dû être écartée. En effet, il est nécessaire de modifier en profondeur l'équilibre économique de la délégation de service publique. Aussi, cet avenant aurait été assimilable à un nouveau contrat. Aux difficultés économiques du MINT se serait ajoutée une fragilité juridique, notamment au regard du principe de transparence des procédures et d'égalité de traitement des candidats. Toulouse Métropole et la SEM veillent à la continuité du service public du marché. C'est pourquoi elles vont résilier, de façon anticipée, leurs contrats à compter du 1er avril 2017. Cela permettra de préparer, à la fois, les modalités de sortie de l'actuel délégataire et le futur mode de gestion, sans rupture dans l'activité de cet équipement auquel les citoyens et élus sont très fortement attachés. 3 Marché d’Intérêt National de Toulouse Métropole Marché d’Intérêt National : Vers un nouveau modèle économique NOTE DE PRESSE – 13/4/2016 Contact presse : Stéphanie Arnaud – t. 05 62 27 62 81 – m. 06 88 56 23 99 [email protected] Marché d’Intérêt National de Toulouse : Vers un nouveau modèle économique Les finances de la Société d'économie mixte (SEM) du Marché d'Intérêt National (MIN) de Toulouse Métropole ne lui permettent plus aujourd'hui de maintenir ses activités de façon pérenne. Toulouse Métropole a donc décidé de lui donner les moyens d'envisager un nouveau modèle économique. Il est inscrit à l’ordre du jour du Conseil de Métropole du jeudi 14 avril 2016 la résiliation anticipée des contrats de concession relatifs à l'exploitation du MIN datant du 11 décembre 1967 et à l'exploitation du complexe agro-alimentaire La Vache datant du 7 mars 1989. C'est la première étape vers un nouveau modèle économique qui permettra de sauver l'activité de la SEM. Dans les années 1960, la Ville de Toulouse a fait construire un marché de gros classé Marché d'Intérêt National en 1964. Sa gestion a été confiée à la SEM du MIN ainsi que celle du complexe agro-alimentaire du quartier La Vache. Ces dix dernières années, la société a lancé programme de Marché. Ville La un important modernisation de Toulouse du et Toulouse Métropole ont soutenu ces travaux grâce à des avances remboursables : 6 098 000 € pour la Ville et 7 000 000 € pour la Métropole. Si le remboursement à la Ville est échelonné jusqu'en 2022, celui de Toulouse Métropole est exigible au plus tard le 3 mai 2016. Or, les derniers comptes de résultats montrent que la santé financière de la société est fortement compromise. 2 Marché d’Intérêt National de Toulouse Métropole Aujourd'hui, la SEM ne dispose pas de la trésorerie suffisante pour rembourser la collectivité et se trouverait le 3 mai en situation de cessation de paiement. La Métropole veut évidemment maintenir l'activité du Marché d'Intérêt National de Toulouse. Face à cette situation, la SEM et Toulouse Métropole, en tant qu'actionnaire majoritaire et autorité délégante, ont, depuis plusieurs mois, étudié les différents scénarii. L'analyse des comptes montre que le résultat net structurellement déficitaire est dû aux conséquences de sa politique d'investissement (amortissement) et de sa politique financière. Son activité courante, elle, s'équilibre. Seule une refonte du modèle économique du MIN lui permettra de poursuivre son activité. Cependant, elle reste impossible tant que le contrat de Délégation de service public n'est pas modifié profondément. L'hypothèse de signer un simple avenant au contrat a dû être écartée. En effet, il est nécessaire de modifier en profondeur l'équilibre économique de la délégation de service publique. Aussi, cet avenant aurait été assimilable à un nouveau contrat. Aux difficultés économiques du MINT se serait ajoutée une fragilité juridique, notamment au regard du principe de transparence des procédures et d'égalité de traitement des candidats. Toulouse Métropole et la SEM veillent à la continuité du service public du marché. C'est pourquoi elles vont résilier, de façon anticipée, leurs contrats à compter du 1er avril 2017. Cela permettra de préparer, à la fois, les modalités de sortie de l'actuel délégataire et le futur mode de gestion, sans rupture dans l'activité de cet équipement auquel les citoyens et élus sont très fortement attachés. 3 Marché d’Intérêt National de Toulouse Métropole Marché d’Intérêt National : Vers un nouveau modèle économique NOTE DE PRESSE – 13/4/2016 Contact presse : Stéphanie Arnaud – t. 05 62 27 62 81 – m. 06 88 56 23 99 [email protected] Marché d’Intérêt National de Toulouse : Vers un nouveau modèle économique Les finances de la Société d'économie mixte (SEM) du Marché d'Intérêt National (MIN) de Toulouse Métropole ne lui permettent plus aujourd'hui de maintenir ses activités de façon pérenne. Toulouse Métropole a donc décidé de lui donner les moyens d'envisager un nouveau modèle économique. Il est inscrit à l’ordre du jour du Conseil de Métropole du jeudi 14 avril 2016 la résiliation anticipée des contrats de concession relatifs à l'exploitation du MIN datant du 11 décembre 1967 et à l'exploitation du complexe agro-alimentaire La Vache datant du 7 mars 1989. C'est la première étape vers un nouveau modèle économique qui permettra de sauver l'activité de la SEM. Dans les années 1960, la Ville de Toulouse a fait construire un marché de gros classé Marché d'Intérêt National en 1964. Sa gestion a été confiée à la SEM du MIN ainsi que celle du complexe agro-alimentaire du quartier La Vache. Ces dix dernières années, la société a lancé programme de Marché. Ville La un important modernisation de Toulouse du et Toulouse Métropole ont soutenu ces travaux grâce à des avances remboursables : 6 098 000 € pour la Ville et 7 000 000 € pour la Métropole. Si le remboursement à la Ville est échelonné jusqu'en 2022, celui de Toulouse Métropole est exigible au plus tard le 3 mai 2016. Or, les derniers comptes de résultats montrent que la santé financière de la société est fortement compromise. 2 Marché d’Intérêt National de Toulouse Métropole Aujourd'hui, la SEM ne dispose pas de la trésorerie suffisante pour rembourser la collectivité et se trouverait le 3 mai en situation de cessation de paiement. La Métropole veut évidemment maintenir l'activité du Marché d'Intérêt National de Toulouse. Face à cette situation, la SEM et Toulouse Métropole, en tant qu'actionnaire majoritaire et autorité délégante, ont, depuis plusieurs mois, étudié les différents scénarii. L'analyse des comptes montre que le résultat net structurellement déficitaire est dû aux conséquences de sa politique d'investissement (amortissement) et de sa politique financière. Son activité courante, elle, s'équilibre. Seule une refonte du modèle économique du MIN lui permettra de poursuivre son activité. Cependant, elle reste impossible tant que le contrat de Délégation de service public n'est pas modifié profondément. L'hypothèse de signer un simple avenant au contrat a dû être écartée. En effet, il est nécessaire de modifier en profondeur l'équilibre économique de la délégation de service publique. Aussi, cet avenant aurait été assimilable à un nouveau contrat. Aux difficultés économiques du MINT se serait ajoutée une fragilité juridique, notamment au regard du principe de transparence des procédures et d'égalité de traitement des candidats. Toulouse Métropole et la SEM veillent à la continuité du service public du marché. C'est pourquoi elles vont résilier, de façon anticipée, leurs contrats à compter du 1er avril 2017. Cela permettra de préparer, à la fois, les modalités de sortie de l'actuel délégataire et le futur mode de gestion, sans rupture dans l'activité de cet équipement auquel les citoyens et élus sont très fortement attachés. 3 Marché d’Intérêt National de Toulouse Métropole Marché d’Intérêt National : Vers un nouveau modèle économique NOTE DE PRESSE – 13/4/2016 Contact presse : Stéphanie Arnaud – t. 05 62 27 62 81 – m. 06 88 56 23 99 [email protected] Marché d’Intérêt National de Toulouse : Vers un nouveau modèle économique Les finances de la Société d'économie mixte (SEM) du Marché d'Intérêt National (MIN) de Toulouse Métropole ne lui permettent plus aujourd'hui de maintenir ses activités de façon pérenne. Toulouse Métropole a donc décidé de lui donner les moyens d'envisager un nouveau modèle économique. Il est inscrit à l’ordre du jour du Conseil de Métropole du jeudi 14 avril 2016 la résiliation anticipée des contrats de concession relatifs à l'exploitation du MIN datant du 11 décembre 1967 et à l'exploitation du complexe agro-alimentaire La Vache datant du 7 mars 1989. C'est la première étape vers un nouveau modèle économique qui permettra de sauver l'activité de la SEM. Dans les années 1960, la Ville de Toulouse a fait construire un marché de gros classé Marché d'Intérêt National en 1964. Sa gestion a été confiée à la SEM du MIN ainsi que celle du complexe agro-alimentaire du quartier La Vache. Ces dix dernières années, la société a lancé programme de Marché. Ville La un important modernisation de Toulouse du et Toulouse Métropole ont soutenu ces travaux grâce à des avances remboursables : 6 098 000 € pour la Ville et 7 000 000 € pour la Métropole. Si le remboursement à la Ville est échelonné jusqu'en 2022, celui de Toulouse Métropole est exigible au plus tard le 3 mai 2016. Or, les derniers comptes de résultats montrent que la santé financière de la société est fortement compromise. 2 Marché d’Intérêt National de Toulouse Métropole Aujourd'hui, la SEM ne dispose pas de la trésorerie suffisante pour rembourser la collectivité et se trouverait le 3 mai en situation de cessation de paiement. La Métropole veut évidemment maintenir l'activité du Marché d'Intérêt National de Toulouse. Face à cette situation, la SEM et Toulouse Métropole, en tant qu'actionnaire majoritaire et autorité délégante, ont, depuis plusieurs mois, étudié les différents scénarii. L'analyse des comptes montre que le résultat net structurellement déficitaire est dû aux conséquences de sa politique d'investissement (amortissement) et de sa politique financière. Son activité courante, elle, s'équilibre. Seule une refonte du modèle économique du MIN lui permettra de poursuivre son activité. Cependant, elle reste impossible tant que le contrat de Délégation de service public n'est pas modifié profondément. L'hypothèse de signer un simple avenant au contrat a dû être écartée. En effet, il est nécessaire de modifier en profondeur l'équilibre économique de la délégation de service publique. Aussi, cet avenant aurait été assimilable à un nouveau contrat. Aux difficultés économiques du MINT se serait ajoutée une fragilité juridique, notamment au regard du principe de transparence des procédures et d'égalité de traitement des candidats. Toulouse Métropole et la SEM veillent à la continuité du service public du marché. C'est pourquoi elles vont résilier, de façon anticipée, leurs contrats à compter du 1er avril 2017. Cela permettra de préparer, à la fois, les modalités de sortie de l'actuel délégataire et le futur mode de gestion, sans rupture dans l'activité de cet équipement auquel les citoyens et élus sont très fortement attachés. 3 Marché d’Intérêt National de Toulouse Métropole Marché d’Intérêt National : Vers un nouveau modèle économique NOTE DE PRESSE – 13/4/2016 Contact presse : Stéphanie Arnaud – t. 05 62 27 62 81 – m. 06 88 56 23 99 [email protected] Marché d’Intérêt National de Toulouse : Vers un nouveau modèle économique Les finances de la Société d'économie mixte (SEM) du Marché d'Intérêt National (MIN) de Toulouse Métropole ne lui permettent plus aujourd'hui de maintenir ses activités de façon pérenne. Toulouse Métropole a donc décidé de lui donner les moyens d'envisager un nouveau modèle économique. Il est inscrit à l’ordre du jour du Conseil de Métropole du jeudi 14 avril 2016 la résiliation anticipée des contrats de concession relatifs à l'exploitation du MIN datant du 11 décembre 1967 et à l'exploitation du complexe agro-alimentaire La Vache datant du 7 mars 1989. C'est la première étape vers un nouveau modèle économique qui permettra de sauver l'activité de la SEM. Dans les années 1960, la Ville de Toulouse a fait construire un marché de gros classé Marché d'Intérêt National en 1964. Sa gestion a été confiée à la SEM du MIN ainsi que celle du complexe agro-alimentaire du quartier La Vache. Ces dix dernières années, la société a lancé programme de Marché. Ville La un important modernisation de Toulouse du et Toulouse Métropole ont soutenu ces travaux grâce à des avances remboursables : 6 098 000 € pour la Ville et 7 000 000 € pour la Métropole. Si le remboursement à la Ville est échelonné jusqu'en 2022, celui de Toulouse Métropole est exigible au plus tard le 3 mai 2016. Or, les derniers comptes de résultats montrent que la santé financière de la société est fortement compromise. 2 Marché d’Intérêt National de Toulouse Métropole Aujourd'hui, la SEM ne dispose pas de la trésorerie suffisante pour rembourser la collectivité et se trouverait le 3 mai en situation de cessation de paiement. La Métropole veut évidemment maintenir l'activité du Marché d'Intérêt National de Toulouse. Face à cette situation, la SEM et Toulouse Métropole, en tant qu'actionnaire majoritaire et autorité délégante, ont, depuis plusieurs mois, étudié les différents scénarii. L'analyse des comptes montre que le résultat net structurellement déficitaire est dû aux conséquences de sa politique d'investissement (amortissement) et de sa politique financière. Son activité courante, elle, s'équilibre. Seule une refonte du modèle économique du MIN lui permettra de poursuivre son activité. Cependant, elle reste impossible tant que le contrat de Délégation de service public n'est pas modifié profondément. L'hypothèse de signer un simple avenant au contrat a dû être écartée. En effet, il est nécessaire de modifier en profondeur l'équilibre économique de la délégation de service publique. Aussi, cet avenant aurait été assimilable à un nouveau contrat. Aux difficultés économiques du MINT se serait ajoutée une fragilité juridique, notamment au regard du principe de transparence des procédures et d'égalité de traitement des candidats. Toulouse Métropole et la SEM veillent à la continuité du service public du marché. C'est pourquoi elles vont résilier, de façon anticipée, leurs contrats à compter du 1er avril 2017. Cela permettra de préparer, à la fois, les modalités de sortie de l'actuel délégataire et le futur mode de gestion, sans rupture dans l'activité de cet équipement auquel les citoyens et élus sont très fortement attachés. 3 Marché d’Intérêt National de Toulouse Métropole Marché d’Intérêt National : Vers un nouveau modèle économique NOTE DE PRESSE – 13/4/2016 Contact presse : Stéphanie Arnaud – t. 05 62 27 62 81 – m. 06 88 56 23 99 [email protected] Marché d’Intérêt National de Toulouse : Vers un nouveau modèle économique Les finances de la Société d'économie mixte (SEM) du Marché d'Intérêt National (MIN) de Toulouse Métropole ne lui permettent plus aujourd'hui de maintenir ses activités de façon pérenne. Toulouse Métropole a donc décidé de lui donner les moyens d'envisager un nouveau modèle économique. Il est inscrit à l’ordre du jour du Conseil de Métropole du jeudi 14 avril 2016 la résiliation anticipée des contrats de concession relatifs à l'exploitation du MIN datant du 11 décembre 1967 et à l'exploitation du complexe agro-alimentaire La Vache datant du 7 mars 1989. C'est la première étape vers un nouveau modèle économique qui permettra de sauver l'activité de la SEM. Dans les années 1960, la Ville de Toulouse a fait construire un marché de gros classé Marché d'Intérêt National en 1964. Sa gestion a été confiée à la SEM du MIN ainsi que celle du complexe agro-alimentaire du quartier La Vache. Ces dix dernières années, la société a lancé programme de Marché. Ville La un important modernisation de Toulouse du et Toulouse Métropole ont soutenu ces travaux grâce à des avances remboursables : 6 098 000 € pour la Ville et 7 000 000 € pour la Métropole. Si le remboursement à la Ville est échelonné jusqu'en 2022, celui de Toulouse Métropole est exigible au plus tard le 3 mai 2016. Or, les derniers comptes de résultats montrent que la santé financière de la société est fortement compromise. 2 Marché d’Intérêt National de Toulouse Métropole Aujourd'hui, la SEM ne dispose pas de la trésorerie suffisante pour rembourser la collectivité et se trouverait le 3 mai en situation de cessation de paiement. La Métropole veut évidemment maintenir l'activité du Marché d'Intérêt National de Toulouse. Face à cette situation, la SEM et Toulouse Métropole, en tant qu'actionnaire majoritaire et autorité délégante, ont, depuis plusieurs mois, étudié les différents scénarii. L'analyse des comptes montre que le résultat net structurellement déficitaire est dû aux conséquences de sa politique d'investissement (amortissement) et de sa politique financière. Son activité courante, elle, s'équilibre. Seule une refonte du modèle économique du MIN lui permettra de poursuivre son activité. Cependant, elle reste impossible tant que le contrat de Délégation de service public n'est pas modifié profondément. L'hypothèse de signer un simple avenant au contrat a dû être écartée. En effet, il est nécessaire de modifier en profondeur l'équilibre économique de la délégation de service publique. Aussi, cet avenant aurait été assimilable à un nouveau contrat. Aux difficultés économiques du MINT se serait ajoutée une fragilité juridique, notamment au regard du principe de transparence des procédures et d'égalité de traitement des candidats. Toulouse Métropole et la SEM veillent à la continuité du service public du marché. C'est pourquoi elles vont résilier, de façon anticipée, leurs contrats à compter du 1er avril 2017. Cela permettra de préparer, à la fois, les modalités de sortie de l'actuel délégataire et le futur mode de gestion, sans rupture dans l'activité de cet équipement auquel les citoyens et élus sont très fortement attachés. 3 Marché d’Intérêt National de Toulouse Métropole Marché d’Intérêt National : Vers un nouveau modèle économique NOTE DE PRESSE – 13/4/2016 Contact presse : Stéphanie Arnaud – t. 05 62 27 62 81 – m. 06 88 56 23 99 [email protected] Marché d’Intérêt National de Toulouse : Vers un nouveau modèle économique Les finances de la Société d'économie mixte (SEM) du Marché d'Intérêt National (MIN) de Toulouse Métropole ne lui permettent plus aujourd'hui de maintenir ses activités de façon pérenne. Toulouse Métropole a donc décidé de lui donner les moyens d'envisager un nouveau modèle économique. Il est inscrit à l’ordre du jour du Conseil de Métropole du jeudi 14 avril 2016 la résiliation anticipée des contrats de concession relatifs à l'exploitation du MIN datant du 11 décembre 1967 et à l'exploitation du complexe agro-alimentaire La Vache datant du 7 mars 1989. C'est la première étape vers un nouveau modèle économique qui permettra de sauver l'activité de la SEM. Dans les années 1960, la Ville de Toulouse a fait construire un marché de gros classé Marché d'Intérêt National en 1964. Sa gestion a été confiée à la SEM du MIN ainsi que celle du complexe agro-alimentaire du quartier La Vache. Ces dix dernières années, la société a lancé programme de Marché. Ville La un important modernisation de Toulouse du et Toulouse Métropole ont soutenu ces travaux grâce à des avances remboursables : 6 098 000 € pour la Ville et 7 000 000 € pour la Métropole. Si le remboursement à la Ville est échelonné jusqu'en 2022, celui de Toulouse Métropole est exigible au plus tard le 3 mai 2016. Or, les derniers comptes de résultats montrent que la santé financière de la société est fortement compromise. 2 Marché d’Intérêt National de Toulouse Métropole Aujourd'hui, la SEM ne dispose pas de la trésorerie suffisante pour rembourser la collectivité et se trouverait le 3 mai en situation de cessation de paiement. La Métropole veut évidemment maintenir l'activité du Marché d'Intérêt National de Toulouse. Face à cette situation, la SEM et Toulouse Métropole, en tant qu'actionnaire majoritaire et autorité délégante, ont, depuis plusieurs mois, étudié les différents scénarii. L'analyse des comptes montre que le résultat net structurellement déficitaire est dû aux conséquences de sa politique d'investissement (amortissement) et de sa politique financière. Son activité courante, elle, s'équilibre. Seule une refonte du modèle économique du MIN lui permettra de poursuivre son activité. Cependant, elle reste impossible tant que le contrat de Délégation de service public n'est pas modifié profondément. L'hypothèse de signer un simple avenant au contrat a dû être écartée. En effet, il est nécessaire de modifier en profondeur l'équilibre économique de la délégation de service publique. Aussi, cet avenant aurait été assimilable à un nouveau contrat. Aux difficultés économiques du MINT se serait ajoutée une fragilité juridique, notamment au regard du principe de transparence des procédures et d'égalité de traitement des candidats. Toulouse Métropole et la SEM veillent à la continuité du service public du marché. C'est pourquoi elles vont résilier, de façon anticipée, leurs contrats à compter du 1er avril 2017. Cela permettra de préparer, à la fois, les modalités de sortie de l'actuel délégataire et le futur mode de gestion, sans rupture dans l'activité de cet équipement auquel les citoyens et élus sont très fortement attachés. 3 Marché d’Intérêt National de Toulouse Métropole