A propos de l`astrologie uranienne : historique d`un long cheminement

A propos de l’astrologie uranienne : historique d’un long cheminement
L’apparition d’une nouveauté suscite en général un double
sentiment d’attirance et de résistance, et il est bon, peut-être, que
la résistance soit, du moins au début, un peu plus forte que
l’attirance, car cela incite à réfléchir avant d’adopter ou de
rejeter ce qui se présente de nouveau. Ainsi, ce n’est pas sans
résistance que nous avons intégré, il y a une quinzaine d’années
bientôt, les mi-points de l’école d’Ebertin dans notre pratique de
l’astrologie. Cette technique s’est imposée à nous au travers de
l’usage qu’en faisaient nos confrères britanniques dans
l’ouvrage intitulé Mundane Astrology que nous avons traduit
en français. Dans un premier temps, nous nous sommes
cantonné à un usage très parcimonieux des mi-points,
n’accordant d’attention qu’aux principaux d’entre eux :
MC/AS, Soleil/Lune et, comme nous sommes marqués par la
conjonction Saturne-Pluton de l’après-guerre, par les mi-points
Soleil/Saturne et Soleil/Pluton ainsi que Mars/Saturne et Mars/Pluton. Cet
ensemble de mi-points demeure parmi nos références les plus courantes, mais, à
l’exception des mi-points entre les rapides, nous utilisons, selon les besoins, tous
les mi-points entre les lentes, de Jupiter à Pluton.
Eh bien, il en est allé à peu près de même avec les fameuses trans-neptuniennes de
l'École de Hambourg. Certes, ce n’est pas une « nouveauté », au sens qu’elles
furent lancées dans le ciel des astrologues par Alfred Witte, puis par son
collaborateur Friedrich Sieggrün, dès l’époque de la Première Guerre mondiale.
Mais, dans le ciel très cotonneux des astrologues français, que les mi-points de
l’école d’Ebertin effarouchent encore, les Transneptuniennes apparaissent de nos
jours encore comme des sortes de monstres dont il vaut mieux ne pas parler. Si
nous y sommes venus – à notre corps défendant – c’est que nous pressentons que
les innovations de l'École de Hambourg, qui pouvaient paraître farfelues au
moment où elles étaient formulées, sont aujourd’hui devenues en prise avec
l’actualité des extraordinaires progrès de l’astronomie durant la première
décennie du XXIe siècle - laquelle, rappelons-le, est marquée du sceau du septile
Neptune-Pluton. Cet aspect subtil en qui se manifeste la puissance du Nombre
Sept mérite bien d’être mis en corrélation avec l’essor spectaculaire de nos
connaissances relatives à notre système solaire et de l’extension inouïe des limites
de notre monde, connaissances rendues possibles par des moyens d’observation
tels que Hubble ou par les navettes d’exploration spatiale qui sont en train de nous
relier jusqu’à la région de Pluton et, bien au-delà, jusqu’aux confins de notre
système solaire.
Il n’aura sans doute pas échappé aux lecteurs attentifs de nos écrits astrologiques que, depuis
quelque temps, apparaissent des références aux méthodes de l'École de Hambourg, et aux fameuses
trans-neptuniennes (Transneptuniennes) utilisées par ce qu’on appelle plutôt aujourd’hui « l’astrologie
uranienne ». De fait, ces références se sont insinuées pendant un certain temps de façon très discrète –
témoignant de notre résistance, sinon de notre répugnance envers cette école très particulière.
2
Il nous semble que la première fois, ce fut à l’occasion d’une conférence donnée à Lille en juin
2006 (et rédigée en avril 2006), où nous avons parlé de l’œuvre et de la vie de J.R.R. Tolkien au
regard de l’astrologie, plus précisément de la relation entre l’auteur et le Seigneur des Anneaux par
l’étude des thèmes astraux et des cycles planétaires1. Nous avions remarqué que le 29 juillet 1954, jour
de la publication du Seigneur des Anneaux, Vulcanus se situait au mi-point de Neptune/Pluton, cycle
majeur dans l’existence de Tolkien, natif de la conjonction Neptune-Pluton de 1891. La formule du
Regelwerk de Witte est la suivante : « Le développement secret, qui tend avec force vers un résultat et
sort ainsi de la clandestinité ». Quoi de plus éloquent pour cette œuvre qui, nourrie par une activité
créatrice remontant à l’époque de la Première Guerre mondiale, avait mûri en secret durant quarante
ans et dont la parution allait assurer à son auteur une célébrité bien méritée. De même, dans le thème
de la sortie du film de Peter Jackson, le 19 décembre 2001, deux indications peuvent être interprétées
dans le sens d’un accomplissement (Kronos sur le MC natal de Tolkien), mais aussi d’un blocage,
d’une stérilité (Saturne-Neptune-Zeus) : certes, le film attirait des millions de spectateurs, mais il y a
risque qu’il contribue malheureusement à priver beaucoup de ces spectateurs du contact direct avec
l’œuvre écrite, dont la lecture est pourtant source de tant de joies. Il nous était apparu enfin que le jour
où nous avions terminé la rédaction de notre livre Tolkien, le Chant du Monde2 – le 27 mai 2003 - une
conjonction Saturne-Kronos transitait à 0° Cancer sur le MC de Tolkien, tandis que Poséidon
transitait notre propre Ascendant, à 5° du Scorpion, ce que nous nous sommes risqué à interpréter de la
façon suivante : « Peut-être pourrait-on y voir la signature céleste de la transmission aux lecteurs de ce
livre d’un message d’ordre spirituel placé sous la haute et bienveillante autorité de Tolkien ».
Ainsi, au printemps 2006 déjà, nous avions pris publiquement le risque de nous référer à des
éléments d’analyse qui appartiennent en propre à l’astrologie uranienne. C’était le fruit d’une
évolution lente qui remontait vers la fin de l’année 2004. A cette époque, un ami aussi attentionné et
bienveillant qu’opiniâtre ne ménageait pas sa peine pour tenter de nous ouvrir aux apports de l'École
de Hambourg envers laquelle nous n’éprouvions alors aucun penchant, ne connaissant d’elle que
1 Cf. sur ce site l’article « Tolkien et le Seigneur des Anneaux ».
2 RIDOUX Charles, Tolkien, le Chant du Monde, Encrage - Les Belles-Lettres, 2004.
Tolkien et le Seigneur des Anneaux
29 juillet 1954
Publication du Seigneur des Anneaux
de J.R.R. Tolkien
19 décembre 2001
Sortie du film
de Peter Jackson
27 mai 2003
Fin de la rédaction
du Chant du Monde
NE/PL=VU Trigone SA-NE-ZE
Kronos au MC
SA-KR sur MC de
Tolkien
Poséidon
Sur AS de Ch. R.
3
l’allure rébarbative sous laquelle elle se présentait et le caractère fantaisiste de ses hypothétiques
planètes trans-neptuniennes. Voici, d’ailleurs, ce que nous écrivions à cet ami au début janvier 2005 :
J’ai lu avec intérêt tout ce que vous exposez de l’histoire de l'École de Hambourg et de la vie
de Witte. Je ne manquerai pas, si l’occasion m’en est donnée un jour dans le cadre de mes
cours de mondiale, d’évoquer ces travaux, bien que je n’aie pas l’intention de me plonger
dans une étude approfondie de cette école si particulière. J’avoue que j’ai peine à
comprendre, par exemple, comment il est possible de calculer les éphémérides de planètes
hypothétiques et de travailler ensuite à des pronostics sur des bases aussi fragiles ; mais je
sais que, chez nos cousins germains d’Outre-Rhin, l’esprit de système peut s’allier sans
difficulté à l’intuition et même à la fantaisie (au sens schumannien de ce terme, bien sûr).
J’espère que vous ne prendrez pas en mauvaise part mes impertinentes remarques, en tout
cas, je partage vos inquiétudes relatives à la période 2010-2015 (phase du carré évolutif
Uranus-Pluton).
Il semblait bien, au début 2005, que notre aimable correspondant n’ait aucune chance de nous
amener sur les terres embrumées de l'École de Hambourg. Toutefois, sans même que nous en soyons
bien conscient, il existait un point d’ancrage, dans notre pratique courante, avec un dérivé de cette
école : en effet, douze ans plus tôt, nous avions consacré toute l’année 1993 à la traduction d’anglais
en français du livre Mundane Astrology de nos confrères d’Outre-Manche3 ; or ceux-ci utilisaient le
plus naturellement du monde les mi-points et se référaient constamment au COSI de Reinhold Ebertin
dont Henri Latou avait donné une traduction en français4. Un bref séjour auprès d’Henri Latou nous
permit de bien comprendre cette technique dont personne, en France, ne nous avait parlé, de nous
familiariser avec elle, et la lecture d’un excellent ouvrage publié par Michael Harding et Charles
Harvey nous conduisit à approfondir notre approche en nous initiant à l’enseignement de John Addey
sur les Harmoniques5. Depuis lors, nos lecteurs savent qu’ils n’échapperont pas, dans nos analyses, à
la prise en compte de configurations de mi-points ; cependant, nous nous efforçons toujours de
présenter de la façon la plus claire possible uniquement les mi-points qui entrent dans l’analyse d’un
phénomène, en allant toujours à l’essentiel. Dès lors, le rejet des mi-points (et de leur représentation
dans le cadre des éphémérides graphiques) relève de la mauvaise foi, de la paresse intellectuelle ou
d’un singulier blocage envers des techniques jugées trop « mathématiques », comme si la France
n’avait jamais donné au monde de mathématiciens de renom ! Mathématiques bien rudimentaires,
d’ailleurs, dans le cas des mi-points, puisqu’il suffit de savoir faire des additions et des divisions par 2,
par 4, par 8 ou par 16… En outre, nos logiciels d’astrologie nous fournissent toutes les listes de mi-
points consultables sur un simple clic. Bref, depuis longtemps, la technique des mi-points, en référence
à Ebertin, nous était devenue tout à fait familière, mais il il n’était pas question pour nous de remonter
d’Ebertin à l'École de Hambourg, dont il dérivait, et nous lui étions même plutôt reconnaissant d’avoir
simplifié à l’extrême l’héritage d’Alfred Witte et d’avoir écarté soigneusement ces hypothétiques
trans-neptuniennes dont personne au monde ne savait justifier ni l’existence ni l’attribution
d’éphémérides à des corps célestes parfaitement invisibles et fantomatiques. La question semblait
donc bien tranchée – et raisonnablement tranchée.
Il conviendrait toutefois de se souvenir que, dans l’histoire des sciences, il n’y aurait jamais eu le
moindre progrès si des « novateurs » ne s’étaient attaqués précisément à des domaines qui semblaient
jusqu’alors devoir demeurer confinés dans la sphère des phénomènes inaccessibles à la raison humaine
et rejetés dans les ténèbres extérieures de l’irrationalité. Les lumières de la raison, lorsqu’elles sont
judicieusement appliquées, permettent d’élargir la sphère des connaissances, d’intégrer des archipels
ou des continents nouveaux, sans que jamais, pour autant, les mystères de l’univers et de la vie ne
soient épuisés ; bien au contraire, chaque élargissement du savoir augmente et aiguise la conscience de
l’étendue de notre ignorance. Pour se lancer dans l’exploration des terres inconnues, il faut commencer
3 HARVEY Charles, CAMPION Nicholas, BAIGENT Michaël, L’Astrologie mondiale, Editions du Rocher, Paris, 1995 Traduit de
l’anglais par Charles RIDOUX (610 pages).
4 EBERTIN Reinhold, Combinaison des influences astrales, Ed. du Rocher, 1983 (trad. Henri LATOU). - KdG (Kombination
der Gestirneinflüsse) ou COSI (Combination of Stellar Influence).
5 HARDING Michael et HARVEY Charles, Working with Astrology, The psychology of Harmonics, Midpoints and
Astro*Carto*Graphy, Londres, Arkana,1992 (2° éd.).
4
par admettre que, précisément, elles nous sont inconnues, et accepter donc de ne pas disposer, au
départ, d’explication achevée des phénomènes que l’on est en train d’intégrer dans le champ du savoir.
C’est ainsi que l’on peut suspendre, jusqu’à mieux informé, tout jugement de valeur sur la nature
ontologique des trans-neptuniennes (corps célestes réellement existants, fantômes d’une imagination
débridée ou outre chose encore), sans s’interdire pour autant, bien au contraire, de les prendre en
compte dans une analyse astrologique et de voir les profits que l’on peut en tirer. Bien sûr, on peut se
passer des Transneptuniennes ; on peut aussi se passer des trans-saturniennes (certains puristes de
l’astrologie ancienne ne veulent pas entendre parler d’Uranus, de Neptune ou de Pluton) ; on peut
aussi bien, pourquoi pas, se passer de l’astrologie !
Notre blocage envers l'École de Hambourg ne s’est pas levé d’un coup, il s’est opéré, au travers
de diverses rencontres, une lente maturation et l’intérêt pour l’œuvre d’Alfred Witte et de ses
successeurs s’est soudain avivé lorsque, au cours de l’étude sur les cycles Uranus-Pluton, nous avons
pris conscience de l’implication des Transneptuniennes dans deux moments clés de l’évolution
planétaire : dans le cycle Uranus-Pluton commencé en 1710 et qui culmine à l’opposition entre 1792 et
1794, au cœur de la Révolution française ; et au cours de l’année 2031 qui apparaît comme cruciale
non pas au regard de l’astrologie mondiale, mais dans le cadre de la cyclologie traditionnelle. C’est en
préparant, au début de l’année 2007, un séminaire consacré à la Révolution française que nous avons
pris conscience de l’implication des Transneptuniennes dans le tableau de la conjonction Uranus-
Pluton de 1710, thème-racine non seulement de la Révolution française, mais du phénomène
révolutionnaire moderne dans toute son ampleur tout au long du XXe siècle et, sans doute, encore actif
au cours du XXIe siècle. Voici ce que nous pouvions dire en introduction à notre séminaire du 15 avril
2007 :
Partant des oppositions de 1792 nous sommes remonté à la conjonction Uranus-Pluton de
1710, racine du cycle majeur de la Révolution française. Et, chemin faisant, nous nous
sommes rendu compte que ce moment était à la racine non seulement du phénomène
historique particulier qu’est la Révolution française – si grande soit son importance – mais
d’un phénomène plus général, sans doute universel, qui est le déploiement du phénomène
révolutionnaire à travers le monde, qui s’est manifesté d’abord dans les révolutions
américaine et française de la fin du XVIIIe siècle, puis dans les révolutions russe et chinoise
Transneptuniens : 1710 et 2031
19 février 2007
PL=HA/KR
UR/NE=NE/PL=PV
1710
1710
2031
863
5
du XXe siècle, et qui réserve sans doute encore des surprises pour notre XXIe siècle. Un
phénomène qui n’est pas sans être lié à ce qu’on appelle la mondialisation (ou
« globalisation » si l’on veut s’aligner sur la terminologie anglo-saxonne) et qui est
susceptible d’aboutir, dans les prochaines décennies, à la mise en place d’un gouvernement
mondial que le transit de Pluton en Capricorne, de 2008 à 2023, pourrait favoriser. Ce qui,
sur le plan astrologique, donne une telle importance à la conjonction Uranus-Pluton de 1710,
c’est qu’elle s’inscrit en fait dans le cadre d’une triple conjonction avec Hadès (alors au carré
de Kronos), l’une des trans-neptuniennes (Transneptuniennes) de l'École de Hambourg.
C’est en réalisant le travail préparatoire à ce séminaire que, personnellement, nous avons eu
le sentiment d’entrer véritablement dans le XXIe siècle. Et cela s’est produit, très
précisément, le 19 février 2007, jour où Pluton se trouvait très exactement au mi-point d’une
conjonction Hadès-Kronos en formation, qui sera exacte en 2032. En intégrant les
Transneptuniennes à notre pratique astrologique, nous allons peut-être vers une synthèse –
que nous espérions depuis longtemps réaliser - entre astrologie mondiale et cyclologie
traditionnelle6.
Dans notre vie d’astrologue, il nous a été donné, jusqu’à présent, de connaître deux moments
privilégiés qui sont comme une sorte d’illumination ou de participation de l’être à un tableau cosmique
avec lequel s’établit une résonance harmonique suscitant un sentiment de plénitude extraordinaire. La
première fois, ce fut un dimanche matin, le 22 septembre 1996, lorsque, étudiant la position de Chiron
dans le thème des États-Unis la curiosité nous vint, pour la première fois, d’aller regarder sa position
dans notre propre thème. La découverte que Chiron transitait en ce moment sa position natale et la
lecture d’un article de Marin de Charrette sur ce sujet nous causa un profond sentiment de jubilation
intérieure ; il se trouve, par ailleurs, que ce même dimanche le pape Jean-Paul II célébrait à Reims une
cérémonie commémorative du XVIe centenaire du baptême de Clovis, événement fondateur de la
France chrétienne. Dans la semaine qui suivit, nous fîmes connaissance avec Benoît de Meester, aussi
discret qu’érudit, dont les travaux sur Chiron en astrologie mondiale sont d’un intérêt de premier
ordre. Chiron était venu s’imposer à nous, dans notre pratique de l’astrologie, au moment même de
son retour jubilaire dans notre thème natal.
Le second de ces grands moments, ce fut le 19 février 2007. C’est le jour même où Pluton
transitait au mi-point Hadès-Kronos (Hadès-Kronos) que nous découvrions cette relation entre la
planète la plus lente dans l’astrologie classique et le cycle Hadès-Kronos qui progresse vers son
renouvellement lors de la prochaine conjonction en 2031. Là encore, la concomitance entre une
configuration céleste et la prise de conscience de son existence par l’astrologue fut la cause d’une joie
intense, mais hélas non partagée avec quiconque, puisque nous ne connaissons pas grande monde, de
nos jours, qui puisse s’exalter d’un mi-point Pluton=Hadès/Kronos, et qu’il faut remonter peu après la
mort de Charlemagne pour trouver une configuration semblable ! Un mi-point, d’ailleurs, qui n’est pas
anodin : « Les grandes vilenies en voie de développement. L’augmentation des grands maux ». Ces
notations du Regelwerk de Witte ont d’autant plus de poids que le cycle Hadès-Kronos se rattache à
l’année 2031, qui nous est connue depuis longtemps comme date majeure dans divers courants
relevant de la cyclologie traditionnelle7.
C’est la configuration du 10 janvier 2031 qui a eu finalement raison de nos résistances à l’égard
des Transneptuniennes. L’élément décisif a été pour nous la découverte de la conjonction Hadès-
Kronos qui se produit alors. Dans cette configuration, nous relevons deux éléments forts : d’une part,
l’opposition du Soleil à la conjonction Hadès-Kronos, à 20° Cancer (lieu de la conjonction Uranus-
Neptune de 1993) ; d’autre part, l’opposition de Pluton à Vulcanus au carré d’Apollon, avec un double
relais - harmonique et dissonant - de Saturne, au semi-carré de Hadès-Kronos et au sextile de
Vulcanus. Il faut remonter à l’an 863 pour tomber sur la conjonction précédente. L’opposition tombe
entre 1442 et 1454, au moment de la chute de Constantinople, que l’on peut considérer comme la
véritable fin de l’Empire romain.
6 Cf. sur ce site notre étude sur la Révolution française.
7 Cf. sur ce site notre étude sur « Cyclologie traditionnelle et fin du Kali-Yuga ».
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