Les virus forment une catégorie à part parmi les microbes. Ils ne sont pas constitués d’une cellule entière, mais d’une partie très réduite de celle-ci. Les virus font entre 0,2 et 0,1 micron (1 micron est égal à 1 millième de millimètre.). Ils ne possèdent ni membrane, ni cytoplasme, ni organites, mais uniquement du matériel génétique. Celui-ci est constitué soit d’ADN, soit d’ARN plutôt que des deux ensembles, comme c’est généralement le cas dans une cellule. Le matériel génétique du virus est entouré d’une membrane protectrice, la capside, sur laquelle se trouvent des appendices (ou queues), qui lui permettront de se fixer et de perforer la membrane de la cellule qu’il va parasiter. Un virus se limite donc à une information génétique entourée d’une coque de protection. Il s’agit plus d’une molécule que d’un organisme vivant. On comprend ainsi pourquoi ils forment la catégorie des microbes les plus petits. Cette molécule est inerte, parfois même comme cristallisée, d’où la classification des virus dans le règne minéral. Selon Christopher Vasey (alternatives naturelles aux antibiotiques chez jouvence), les virus sont dépourvus d’organites et d’enzymes ; ils ne sont capables d’aucun métabolisme. Ils ne respirent pas, ni ne se nourrissent. Tant qu’ils ne parasitent pas une cellule-hôte, ils sont parfaitement inertes. Pour se multiplier, ils dépendent entièrement des métabolismes des cellules dans lesquelles ils pénètrent. Ce sont donc des parasites cellulaires. Pour pénétrer dans la cellule avec laquelle il entre en contact, le virus troue la membrane de celle-ci avec son appendice. Son matériel génétique est alors injecté et se substitue à celui de la cellule. Désormais, l’information génétique du virus dirigera la machinerie cellulaire. Elle utilisera alors les organes de la cellule-hôte, non pas pour fabriquer les substances nécessaires à celle-ci, mais pour produire jusqu’à plusieurs centaines de nouveaux virus. Lorsque le nombre de virus nouvellement produits devient trop élevé, la cellule explose, se vide de son cytoplasme et meurt. Les virus libéré se répandront dans l’entourage et infecteront d’autres cellules. La phytothérapie peut contribuer à aider l’organisme à lutter contre différents bactéries ou virus. Les vertus de nombreuses plantes sont connues depuis des lustres, comme ceux du jus de la racine de radis noir chinois. Des textes des XVIIème et XVIII siècles en décrivent les effets. Il était dit à l’époque que le jus de la racine peut guérir les lésions de la peau et que la racine coupée en rondelle et bouillie dans du lait nettoie les taches, les petites ampoules et boutons de la peau. L’élimination de ces lésions infectieuses s’explique par sa richesse en peroxydase et en acide mironique-sinigrine. Composants naturellement antioxydants, cicatrisants, antibactériens et antivirales. Le PDG (Péroxyde de Diphényl-Glycosal), molécule extraite du radis noir, permet selon les études de Dr Cebrian, de capter des électrons pour interférer dans le processus de transport électronique dans les cellules parasitées par des virus, produisant un comportement anormal de la cellule. D’après ce chercheur évoqué cidessus, les molécules actives du PDG sont capables d’altérer définitivement l’équilibre électrique anormal exclusivement chez les cellules reconnues comme infectées. Déciment ainsi les cellules porteuses des virus et stoppant leur reproduction et dissémination dans le corps. La consommation de complément alimentaire contenant du PDG (Péroxyde de Diphényl-Glycosal), ne dispense aucunement une approche médicale en cas de maladie due à un virus. N’hésitez pas à demander avis et conseil à votre médecin traitant.