Périodes du Soleil de 24, 160 minutes et 11.7 années

Périodes du Soleil de
24, 160 minutes et 11.7 années
Dominique Mareau
Ingénieur-chercheur indépendant
Grenoble France
Résumé
Le satellite SOHO a détecté un des cycles du Soleil, de 24 minutes. Il pourrait être dans un rapport
harmonique de la période de 160 minutes relevée séparément par des équipes d'Ukraine et des USA. Ces
dernières mesures étant étalées sur plus de trente années. Ces relevés semblent identiques pour d'autres
étoiles de masses différentes. Cela implique la présence cachée de structures constantes et dominantes,
associées aux étoiles. Nous montrons que les galaxies sont composées d'un enchevêtrement de Condensats
de Bose Einstein (BEC) qui forment un halo étendu. Ces halos confinent la matière noire et sont détectés à la
taille prédite par le modèle. Ces BECs, tous identiques, hébergent chacun en leur centre, une étoile. Si les
étoiles sont de tailles variables, les BECs sont strictement identiques. Nous montrons comment les étoiles
sont influencées par la période constante des BECs.
Mots clés
Satellite SOHO ; KOTOV ; onde du soleil ; cycle de WOLF ; Condensat de Bose Einstein (BEC) ; tachyons ;
mitose BEC ; nombre d'or ; Fibonacci ; fractal d'or ; quinte.
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1. Rappel synthétique du modèle OSCAR
Le modèle [1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16] explique le scénario complet d'un cycle
d'univers basé le principe fort de dualité [2]. L'univers possède alternativement deux états, pré-quantique et
quantique. L'état pré-quantique est composé d'oscillateur-bosons duaux, de masse nulle. Le zéro est le
résultat de la dualité. Ainsi les prémisses définissent le néant par un nombre incommensurable d'oscillateur-
bosons stochastiques 1D [8].
Le boson stochastique possède deux tachyons. La somme de leur énergie est strictement nulle car il sont
causalement liés. Le modèle démontre que c'est la seule possibilité de définir le « rien » physique. Même les
fluctuations erratiques du point zéro sont strictement symétriques. Le monde pré-quantique est non-connexe
et donc sans espace-temps, sans masse-énergie. La seule énergie qui existe est de type imaginaire, dans le
référentiel tachyon. La causalité réciproque interdit formellement l'extraction de cette énergie. La symétrie
stricte autour du point zéro, garantit une énergie nulle. C'est le déterminisme du néant dans lequel pré-existe
le principe d'action nulle. Toutes autres prémisses qui violent ce principe, ou qui postulent des constantes
pré-établies, ne sont pas sérieuses. Ce seraient alors plutôt des prémices et donc arbitraires par nature. Le
modèle montre que dans un temps nul (espaces 1D non connexes) il existe une infinité d'arrangements
combinatoires entre les oscillateurs 1D. Pour un échantillon quelconque, la probabilité est unitaire pour
obtenir une juxtaposition des points zéro, dans un temps nul. Cette juxtaposition contraint la synchronisation
des boson-oscillants. Cela se traduit par un refroidissement. Les bosons refroidis forment donc un condensat
de Bose Einstein (BEC) primordial instable car de paramétrage aléatoire. Ce refroidissement est le crédit
d'enthalpie pour toute la phase d'univers naissant. Ensuite son entropie croissante le ramène à l'état
stochastique. LE BEC-0 se divise (mitose) en N BEC-fils stables. Dans le même temps, une petite partie des
tachyons, séparée causalement, devient un ensemble de paires électron-positrons, durant la phase synchrone
d'expansion. Ces fermions à grande échelle, deviennent donc des bosons locaux (entre voisins). Ces bosons
forment les nucléons (gluons) locaux. Le réseau de tachyons des BEC-fils est perturbé par la masse
baryonique. Leur symétrie est donc très légèrement modifiée. Une masse imaginaire émerge et se traduit par
des particules virtuelles. Cela implique une interaction tachyons-baryons. Cette interaction est la cause :
1/ de l'anomalie du moment magnétique (électron, nucléons),
2/ de l'émergence des bosons de jauge et des muon et taon,
3/ de l'habillage virtuel des masses (électron, nucléons),
4/ d'une force d'interaction (tachyon-baryon),
5/ du lorentzien (relativité quantique).
La force se traduit par un gamma centripète (BEC) constant que s'ajoute à celui de la force gravitationnelle.
Le principe de moindre action tend à réduire l'asymétrie en ramenant les masses au centre. Ce gamma est
celui mesuré sur Pioneer 11 (10-10 m/s²). Les BECs sont donc la cause de la concentration rapide des gaz en
étoiles. En effet le gamma du BEC est 107 fois plus fort que celui de la gravitation (en 1/r²), agissant aux
limites du BEC. Cela explique naturellement la précocité de formation des étoiles et donc, des galaxies. Les
collisions fréquentes entre galaxies, impliquent une annihilation partielle (non binaire) des constituants
baryoniques. C'est la définition de la matière noire. Les baryonsgénérés perdent le lien harmonique avec
les tachyons. La raie de 21 cm disparaît et l'émission spontanée de photon n'existe plus. C'est la matière noire
imposée par le modèle. On sait maintenant que les collisions coïncident avec la production de matière noire.
Les galaxies naines sont des produits de collisions, et sont noires, en partie seulement [26]. Leur halo est très
étendu et recèle surtout de la matière noire. Tout cela est bien mesuré. Les enchevêtrements de BECs
produisent, au centre galactique, des émissions de paires électron-positrons. Une partie se recouvre et forme
également de la matière noire. Cette dernière migre vers l'extérieur du halo mais forme une surdensité aux
limites. C'est cela qui est bien mesuré [27]. Le soleil, est la partie visible de son halo. Le modèle indique que
la masse visible a subit une grande annihilation primordiale. Le ratio entre le nombre de photons et le
nombre de nucléons est lié à la constante de structure fine, élevée au cube. Cela est en accord avec la mesure
de densité comparée. En revanche, le nombre de tachyons est resté inchangé. Les collisions fréquentes ont
formé des galaxies noires. Leur halo est très étendu car le taux d'enchevêtrement des BECs est très faible.
C'est ce qui matérialise, à grande échelle, les étendues noires formant les intervalles entre les filaments de
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galaxies. La célérité des tachyons (tableau 1), est telle que ces derniers sont tous en interaction à l'échelle de
l'univers. Ainsi le volume d'un BEC-fils quelconque (de rayon RBEC) est en résonance avec l'ensemble des
tachyons de l'univers qui sont très majoritaire. Ainsi une masse quelconque d'étoile, est sensée vibrer avec le
BEC-fils qui l'héberge.
Enfin, le modèle montre que le ratio maximale d'extraction d'énergie du réseau de tachyons est égal au ratio
universel, ξ = 1.54 x 1011. Cela est confirmé par la mesure de la valeur maximale des rayons cosmiques.
parameters mass time length comment
electron 1 1 1 base unitary
tachyon ξ-3 1ξ3amplitude = radius BEC RBEC
celerity tachyon - 1 ξ3l/t = co = c ξ3
Number tachyons in
BEC
- - - ξ93 × ξ6 (n layers × N/layer)
energy tachyon - - - E = co² mo = ξ3 me
energy max
extractable
see max cosmic rays ξ me
typical primordial
star (ratio)
ξ63tE RE = ξ2Typical radius crossing
(see & 3)
typical primordial
star (value)
4.8 ×1030
kg
30.7
s
9.109
m
mass = 2,5 M0
Tableau 1
La masse du tachyon est de type imaginaire. C'est la valeur dans le référentiel
tachyon. Elle tend vers zéro dans le référentiel boson (quantique).
2. Tableau des structures originelles et typiques du modèle
parameters BEC-O ξ BEC-son (galaxy) BEC-son
Number tachyons ξ11 ξ10 ξ9
Tachyon-electrons number over the
circumference of the first layer
ξ4ξ3ξ3
Radius RBEC
ƛeξ3
ƛeξ3
ƛeξ3
tangential interval tachyon
ƛ0=ƛe/ξ
ƛe
ƛe
radial interval tachyon
ƛe
ƛe
ƛe
Number electrons ξ8ξ7ξ6
NB electrons after annihilation ξ83ξ73ξ63
NB tachyons after annihilation unchanged ξ11 unchanged ξ10 unchanged ξ9
Number photons CMB ξ8ξ7ξ6
Number BECs 1 ξ ξ2
Tableau 2
Le nombre de division (mitose) est contraint par le carré de l'intervalle élémentaire
sur une couche sphérique du BEC-0. C'est la juxtaposition des sites de tachyons qui
explique la séparation causale et la mitose.
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3. La période universelle du BEC-fils
Le modèle indique la source de G [M‒1, L3, T‒2], selon les trois paramètres de l'électron. G est de la
séparation causale sur la circonférence (ξ4 paires voisines électron-positrons sur la circonférence, tableau 2).
Le temps TE= 30.779 secondes, du tableau 1, est sous la forme :
Avec le rayon typique d'une étoile originelle, la (2) peut s'écrire (voir tableau 1 et 2) :
Dans laquelle on a le rayon d'un étoile typique originelle et la masse totale des tachyons du BEC. Cependant
la constante de gravitation n'est valide que pour la masse baryonique. La somme potentielle de la masse
imaginaire des tachyons est α3 fois plus forte. Selon le modèle, la constante de Newton spécifique aux
tachyons, s'écrit :
Une étoile vibre comme le BEC-fils qui l'héberge. Ce dernier est en résonance avec les ξ11 tachyons (m0) de
l'univers et donc sa période est constante, selon :
Qui correspond à la période de 24 minutes, mesurée par SOHO. En modifiant le coefficient d'harmonicité, on
trouve la période de KOTOV [17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 28, 29], selon :
Soit 160,0848 minutes. Les BECs étant identiques dans toutes les galaxies, il apparaît normale qu'il laisse
une trace constante, partout dans l'univers.
4
G=ƛe
3
mete
2ξ4
(1)
(4)
(5)
GT=G4
3(π α)3
(2)
(3)
tE=
ƛe
3
G me
tE=
RE
3
G m0ξ9
tBEC =3
5
4/3πRBEC
3
GTm0ξ11 = 1440.7639 s.
(6)
t ' BEC =20
5
4/3πRBEC
3
GTm0ξ11 = 9605.093 s.
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4. Le cycle de WOLF de 11.7 ans pour le Soleil
En ajustant le nombre de tachyons de la relation (6) à celui d'une galaxie typique, nous obtenons :
Qui donne à 5% près, la valeur moyenne habituellement retenue. On note que les trois coefficients
d'harmonicité sont en base 5, (3, 20, 2). La quinte est liée à la suite de Fibonacci, donc au nombre d'or et à la
notion de croissance. Or la croissance par mitose en BEC-fils, joue un rôle fondamental dans ce modèle.
Tout se passe comme si la mitose fractale (5+1 homothéties) des BECs, résonnait en chacun d'eux. La masse
(quelconque) de l'étoile hôte, relativement faible, ne joue qu'un rôle négligeable. On note également que la
même base 5 des coefficients d'harmonicité des bosons de jauge, prédits par ce modèle [15] et tous mesurés
{3, 4, 5}. Leur existence étant également liée à l'interaction {baryon-tachyon}. Enfin le mode fractal de la
mitose est déterminant pour expliquer la haute fréquence des collisions des galaxies précoces. Ce même
mode fractal contraint une expansion en gradient de couches qui crée un effet retard. Ce dernier explique
directement l'accélération de l'expansion. Rien ne s'explique d'une manière fragmentaire car le paradoxe de la
non-localité nous montre que tout est lié. Les relations (5, 6, 7) se présentent sous la forme condensée :
5. Discussion
Le site de Bernard LEMPEL [29] apparaît comme le plus documenté sur la synthèse de la polémique entre
les résultats de SOHO et les mesures antérieures. Nous ne partageons pas toutes les conclusions ou
hypothèses de ce site. Notamment en ce qui concerne l'hypothèse d'un univers statique. Cependant nous
reportons ci-après, une partie de ses références. Le modèle OSCAR montre à quel point, l'univers visible est
minoritaire par rapport aux structures non directement visibles. Les BEC-fils, chacun hébergeur d'une étoile,
dominent largement les masses visibles (ou noires). Le Big Bang (mitose brutale du BEC-0) est la résonance
dominante de l'univers. Ainsi c'est la masse imaginaire de tous ses tachyons qui se manifeste dans le volume
de chacun des BECs. Par voie de conséquence, l'étoile centrale peut entrer en résonance selon un certain
mode d'harmonicité. Mais le modèle montre que le trou noir galactique peut générer des ondes en éventuelle
opposition avec cette onde fondamentale. Le trou noir central est très spécifique au modèle OSCAR [10]. Il
est directement influencé par les combinaisons d'enchevêtrement des BECs formant halo. Le modèle indique
que les galaxies naines satellites, possède des halos très étendus. De ce fait, un lien privilégié existe avec les
galaxies naines de la galaxie d'Andromède. Ainsi, il doit exister une résonance évolutive, particulière à la
Galaxie. L'évolution dépend certainement de la rotation différentielle entre les deux galaxies. Cela
expliquerait les éventuelles disparitions momentanées du cycle de WOLF (11.7 ans) et du cycle de KOTOV
(160 minutes) ou SOHO (24 minutes).
6. Reference
01/ D. Mareau; G sjournal.net 4481 "The electron, a fermion very different from other"; 2013/01/17.
02/ D. Mareau; G sjournal.net 4 533 "Duality of the universe-oscillator"; 2013 February 14.
03/ D. Mareau; G sjournal.net 4 594 "The Planck length, which leads to the elementary interval"; 2013/03/01.
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