1. Rappel synthétique du modèle OSCAR
Le modèle [1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16] explique le scénario complet d'un cycle
d'univers basé le principe fort de dualité [2]. L'univers possède alternativement deux états, pré-quantique et
quantique. L'état pré-quantique est composé d'oscillateur-bosons duaux, de masse nulle. Le zéro est le
résultat de la dualité. Ainsi les prémisses définissent le néant par un nombre incommensurable d'oscillateur-
bosons stochastiques 1D [8].
Le boson stochastique possède deux tachyons. La somme de leur énergie est strictement nulle car il sont
causalement liés. Le modèle démontre que c'est la seule possibilité de définir le « rien » physique. Même les
fluctuations erratiques du point zéro sont strictement symétriques. Le monde pré-quantique est non-connexe
et donc sans espace-temps, sans masse-énergie. La seule énergie qui existe est de type imaginaire, dans le
référentiel tachyon. La causalité réciproque interdit formellement l'extraction de cette énergie. La symétrie
stricte autour du point zéro, garantit une énergie nulle. C'est le déterminisme du néant dans lequel pré-existe
le principe d'action nulle. Toutes autres prémisses qui violent ce principe, ou qui postulent des constantes
pré-établies, ne sont pas sérieuses. Ce seraient alors plutôt des prémices et donc arbitraires par nature. Le
modèle montre que dans un temps nul (espaces 1D non connexes) il existe une infinité d'arrangements
combinatoires entre les oscillateurs 1D. Pour un échantillon quelconque, la probabilité est unitaire pour
obtenir une juxtaposition des points zéro, dans un temps nul. Cette juxtaposition contraint la synchronisation
des boson-oscillants. Cela se traduit par un refroidissement. Les bosons refroidis forment donc un condensat
de Bose Einstein (BEC) primordial instable car de paramétrage aléatoire. Ce refroidissement est le crédit
d'enthalpie pour toute la phase d'univers naissant. Ensuite son entropie croissante le ramène à l'état
stochastique. LE BEC-0 se divise (mitose) en N BEC-fils stables. Dans le même temps, une petite partie des
tachyons, séparée causalement, devient un ensemble de paires électron-positrons, durant la phase synchrone
d'expansion. Ces fermions à grande échelle, deviennent donc des bosons locaux (entre voisins). Ces bosons
forment les nucléons (gluons) locaux. Le réseau de tachyons des BEC-fils est perturbé par la masse
baryonique. Leur symétrie est donc très légèrement modifiée. Une masse imaginaire émerge et se traduit par
des particules virtuelles. Cela implique une interaction tachyons-baryons. Cette interaction est la cause :
1/ de l'anomalie du moment magnétique (électron, nucléons),
2/ de l'émergence des bosons de jauge et des muon et taon,
3/ de l'habillage virtuel des masses (électron, nucléons),
4/ d'une force d'interaction (tachyon-baryon),
5/ du lorentzien (relativité quantique).
La force se traduit par un gamma centripète (BEC) constant que s'ajoute à celui de la force gravitationnelle.
Le principe de moindre action tend à réduire l'asymétrie en ramenant les masses au centre. Ce gamma est
celui mesuré sur Pioneer 11 (10-10 m/s²). Les BECs sont donc la cause de la concentration rapide des gaz en
étoiles. En effet le gamma du BEC est 107 fois plus fort que celui de la gravitation (en 1/r²), agissant aux
limites du BEC. Cela explique naturellement la précocité de formation des étoiles et donc, des galaxies. Les
collisions fréquentes entre galaxies, impliquent une annihilation partielle (non binaire) des constituants
baryoniques. C'est la définition de la matière noire. Les baryons dégénérés perdent le lien harmonique avec
les tachyons. La raie de 21 cm disparaît et l'émission spontanée de photon n'existe plus. C'est la matière noire
imposée par le modèle. On sait maintenant que les collisions coïncident avec la production de matière noire.
Les galaxies naines sont des produits de collisions, et sont noires, en partie seulement [26]. Leur halo est très
étendu et recèle surtout de la matière noire. Tout cela est bien mesuré. Les enchevêtrements de BECs
produisent, au centre galactique, des émissions de paires électron-positrons. Une partie se recouvre et forme
également de la matière noire. Cette dernière migre vers l'extérieur du halo mais forme une surdensité aux
limites. C'est cela qui est bien mesuré [27]. Le soleil, est la partie visible de son halo. Le modèle indique que
la masse visible a subit une grande annihilation primordiale. Le ratio entre le nombre de photons et le
nombre de nucléons est lié à la constante de structure fine, élevée au cube. Cela est en accord avec la mesure
de densité comparée. En revanche, le nombre de tachyons est resté inchangé. Les collisions fréquentes ont
formé des galaxies noires. Leur halo est très étendu car le taux d'enchevêtrement des BECs est très faible.
C'est ce qui matérialise, à grande échelle, les étendues noires formant les intervalles entre les filaments de
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Ggsjournal.net/Science-Journals-Papers/Subjects/Unification Theories April 2013