Homélie du dernier dimanche après la Pentecôte (22 novembre 2015) L’Islam jouerait-il un rôle dans les fins dernières ? Alors que se clôt en ce dernier dimanche l’année liturgique, la forme ordinaire fête le Christ-Roi, avec le grave inconvénient par rapport à la forme extraordinaire de renvoyer la royauté du Christ dans un temps eschatologique, escamotant ainsi Sa Royauté hic et nunc (ici et maintenant). La forme extraordinaire, donc la Tradition ancestrale de l’Église a placé comme séquence d’Évangile un écrit apocalyptique (Mt 24, 14-35). En effet, la SainteÉcriture renferme un grand nombre d’écrits apocalyptiques (dès l’Ancien Testament surtout avec Daniel mais aussi avec certains passages d’Isaïe ou Ézéchiel), c’est-à-dire étymologiquement qui sont une « révélation » des fins dernières (Αποκάλυψις Ιησού Χριστού). Voyons quelle leçon on peut en retirer pour aujourd’hui. I) Attendons-nous vraiment la Parousie ? a. Sommes-nous pressés que le Christ revienne dans la Gloire ? Notre Credo (« Il reviendra dans la Gloire pour juger les vivants et les morts ») évoque comme un point de dogme qu’il y a deux avènements du Christ, l’un dans l’humilité de la crèche, l’autre dans la Gloire. L’Évangile évoque aujourd’hui ce second avènement : « alors toutes les tribus de la terre (…) verront le Fils de l’homme venir sur les nuées du ciel, avec puissance et grande gloire » (« καὶ ὄψονται τὸν υἱὸν τοῦ ἀνθρώπου ἐρχόµενον ἐπὶ τῶν νεφελῶν τοῦ οὐρανοῦ µετὰ δυνάµεως καὶ δόξης πολλῆς », Mt 24, 30). Attendons-nous vraiment ce retour glorieux ? Je suis souvent frappé de voir que la Sainte-Écriture semble nous faire comme un devoir d’implorer le Seigneur. C’est la célèbre expression en araméen : « Marana Tha ! » (1 Co 16, 22) qui revient traduite en Ap 22, 20, soit parmi les tout derniers mots de la Sainte-Écriture : « Amen ! Viens, Seigneur Jésus ! » (« Ἀµήν, ναὶ ἔρχου, Κύριε Ἰησοῦ ») qui fait écho au v. 17 : « L’Esprit et l’Épouse disent : « Viens ! » Celui qui entend, qu’il dise : « Viens ! » = « Καὶ τὸ Πνεῦµα καὶ ἡ νύµφη λέγουσιν· Ἔρχου. καὶ ὁ ἀκούων εἰπάτω· Ἔρχου »). Pourtant, je ne trouve pas que les Chrétiens soient si empressés de joindre leur voix à ce chœur apocalyptique ! Comme si nous avions peur finalement d’être exaucés et que le Seigneur ne hâte Son retour ! Certes, il y a les tribulations qui précèdent. Mais ne devrait-ce pas être pourtant notre désir le plus intime : accélérer la rencontre avec le Sauveur ? L’Église n’a-t-elle pas prêché pendant des siècles, par la parole et en images, sur le Jugement Dernier, nous exhortant à être toujours prêts ? La hantise de nos ancêtres n’était-elle pas d’être pris au dépourvu ? « Cependant le jour du Seigneur viendra, comme un voleur » (2 P 3, 10) et « si le maître de maison avait su à quelle heure le voleur viendrait, il n’aurait pas laissé percer le mur de sa maison. Vous aussi, tenez-vous prêts : c’est à l’heure où vous n’y penserez pas que le Fils de l’homme viendra », Lc 12, 39-40). b. Nous ignorons le jour et l’heure de la Parousie Certes, nul ne sait quand reviendra Notre Seigneur Jésus Christ sur notre Terre. Il le dit explicitement au verset suivant notre péricope (« Quant à ce jour et à cette heure-là, nul ne les connaît, pas même les anges des cieux, pas même le Fils, mais seulement le Père, et Lui seul », Mt 24, 36). Cela est donc un choix du Père. Cependant, nous recevons la leçon de 1 Jésus : nous devons apprendre à lire les signes des temps (« Laissez-vous instruire par la parabole du figuier : dès que ses branches deviennent tendres et que ses feuilles sortent, vous savez que l’été est proche. De même, vous aussi, lorsque vous verrez tout cela, sachez que le Fils de l’homme est proche, à votre porte » Mt 24, 32-33). Nul ne contestera qu’il s’agisse là d’un exercice toujours périlleux que de se lancer dans les prophéties millénaristes maintes fois énoncées et tout autant démenties. N’est pas Paco Rabane qui veut1 ! Le Fils de Dieu ne nous donne que des indications de deux ordres dans notre extrait : la multiplication des faux messies et faux prophètes (« ψευδόχριστοι καὶ ψευδοπροφῆται », Mt 24, 11 et 24), en quelque sorte des antéchrists et des signes cosmiques avec le soleil et les étoiles. Un peu avant il parle aussi de « guerres et rumeurs de guerres ». Justement, nous sommes de nouveau entrés en guerre. Tout le monde le reconnaît : hommes politiques comme le pape François qui parle de troisième guerre mondiale 2 . Cependant le pape dénonce surtout le choc des civilisations prédit par Samuel Huntington3. Le chercheur de Harvard, qui proposait une relecture des relations internationales après la chute du communisme, avait parfaitement entrevu l’affrontement actuel entre civilisations. Bien sûr, il a été très critiqué par les pseudo-intellectuels bien-pensants du politiquement correct, si infiltré dans l’Église aujourd’hui. Tout particulièrement, il envisageait ce qui est advenu comme prémices dès la guerre de Bosnie et a fortiori après le 11 septembre 2001 : un d’affrontement direct entre la civilisation occidentale et la civilisation musulmane. c. Condamnation de l’irénisme : du religieux au politique ? Toutefois, le Pape et certains courants de l’Église ne pèchent-ils pas par une sorte d’irénisme ? L’irénisme est défini par le dictionnaire de l’Académie Française comme une « Attitude de compréhension destinée à rapprocher les chrétiens de différentes confessions par-delà leurs divergences d'ordre dogmatique. Par ext. Attitude intellectuelle qui porte à vouloir la paix ou l'apaisement ». Son étymologie provient du grec « εἰρήνη » (dont dérive le prénom Irène) : la paix. Bien sûr, la paix est un don de Dieu, mais qui va avec la justice, c’està-dire ultimement avec la Vérité : rendre à chacun son dû : appeler mal un mal et bien un bien4. Pourtant, nous ne pouvons méconnaître le fait que pour vouloir la paix, il faut être deux ! L’Occident et le Christianisme visé à travers lui et la partie adverse, l’Islam. Et si la paix devait n’être en réalité qu’un renoncement à annoncer la Vérité qu’est Jésus-Christ, alors elle ne sera que la paix des cimetières ! L’irénisme religieux (finalement n’est-ce pas ce qui advient trop souvent dans un œcuménisme et un dialogue inter-religieux mal compris aujourd’hui ?) a été sévèrement condamné par le Vénérable Pie XII sans son encyclique Humani Generis (12 août 1950) sur 1 Le couturier espagnol extralucide prévoyait dans un livre paru en mai 1999 la fin du monde le 11 août 1999 à 11h22 par la chute de la station spatiale Mir. Des plaisantins avaient alors jeté devant ses bureaux un paquet de lessive Mir dans un drap comme les pompiers en tendent pour recueillir une personne se défenestrant. 2 Homélie de la messe du 7 juin 2015 à Sarajevo : « C’est une sorte de troisième guerre mondiale livrée par morceaux et, dans le contexte de la communication globale, on perçoit un climat de guerre. Ce climat, certains veulent le créer et l’attiser délibérément, en particulier ceux qui cherchent l’affrontement entre différentes cultures et civilisations ». 3 The Clash of Civilizations and the Remaking of World Order, New York, Simon & Schuster, 1996. 4 Cf. l’interprétation du veilleur donnée par St. Jean-Paul II, le 13 août 2001 pour le Xe anniversaire des VIe journées mondiales de la jeunesse à Częstochowa (sanctuaire de Jasna Góra) : « ‘Je veille’. ‘Veillez et priez pour ne pas entrer en tentation’ (Mc 14, 38). Combien de fois le Christ a-t-il répété cette exhortation ! Je veille - cela veut dire : je m'efforce d'être un homme de conscience. Je n'étouffe pas cette conscience et je ne la déforme pas ; j'appelle par son nom le bien et le mal, je ne les confonds pas ; je fais croître en moi le bien et je cherche à me corriger du mal en le dépassant en moi-même ». 2 Quelques opinions fausses qui menacent de ruiner les fondements de la doctrine catholique : « Nous observons un autre danger qui est, lui, d'autant plus grave qu'il est plus caché sous les voiles de la vertu. De fait, parmi ceux qui déplorent la mésentente entre les hommes et la confusion des esprits, il en est plusieurs qui se montrent remués par un zèle imprudent des âmes : dans leur ardeur, ils brûlent d'un désir pressant d'abattre les enceintes qui séparent d'honnêtes gens : on les voit adopter alors un ‘irénisme’ tel que, laissant de côté tout ce qui divise, ils ne se contentent pas d'envisager l'attaque contre un athéisme envahissant par l'union de toutes les forces, mais ils vont jusqu'à envisager une conciliation des contraires, seraient-ils même des dogmes (…). Emportés par un irénisme imprudent, quelques-uns semblent prendre pour des obstacles à la restauration de l'unité fraternelle tout ce qui s'appuie sur les lois et les principes mêmes que donna le Christ, et sur les institutions qu'il a établies, sur tout ce qui se dresse, en somme, comme autant de défenses et de soutiens pour l'intégrité de la foi : l'écroulement de l'ensemble assurerait l'union, pensent-ils, mais, disonsle, ce serait pour la ruine ». Mais il existe aussi une forme d’irénisme politique, lié à l’idéologie d’une civilisation universelle ou d’un gouvernement mondial, cherchant à détruire les nations, seuls remparts efficaces contre l’invasion. Ceux-là même qui prétendent nous faire abolir toutes les frontières et veulent nous obliger à accueillir à bras ouverts ceux qui nous égorgeront demain au nom de l’Islam : les clandestins (improprement appelés « migrants »). II) L’Islam est un mal intrinsèque à combattre par tous les moyens a. Une nouvelle Croisade ? Notre Occident cherche à gommer sinon à s’excuser d’être d’origine chrétienne. Raison pour laquelle les penseurs décadents ne peuvent pas s’approprier la théorie du choc des civilisations. Ils s’efforcent de séculariser à outrance notre fin de civilisation occidentale et donc comment pourraient-ils envisager qu’on les enferme dans nos racines chrétiennes ? Mais il est intéressant de constater que les islamistes, eux, confondent Occident et Chrétienté. Ils nous appellent les « Croisés »5. Dans la revendication des attentats par l’État Islamique du pseudo califat, on lit « ...celle qui porte la bannière de la Croix en Europe, Paris ». Quelle ironie, car je ne suis pas sûr que toutes les victimes des attentats, dont ceux qui écoutaient le chant « Kiss the devil » (« embrasse le démon ») du groupe Eagles of death metal se fussent immédiatement reconnus comme des Chrétiens. Toujours est-il qu’ils sont attaqués en tant que membres de la civilisation chrétienne et qu’ils sont morts pour cette raison. Je l’ai dit, la paix ne peut être le fruit que de la justice (« L’œuvre de la justice sera la paix, et la pratique de la justice, le calme et la sécurité pour toujours », Is 32, 17 ; cf. Jc 3, 18). C’est d’ailleurs un point essentiel de la doctrine sociale de l’Église6 qui l’associe aussi à 5 Je cite le communiqué : « minimum 200 croisés tués et encore plus de blessés (…) le stade de France lors du match des deux pays croisés la France et l’Allemagne ». 6 Cf. n°494 du Compendium de la doctrine sociale de l’Église, édité par le Conseil pontifical « Justice et paix », Libreria Editrice Vaticana, Vatican, 2005, p.277-278 : « La paix est une valeur et un devoir universels ; elle trouve son fondement dans l'ordre rationnel et moral de la société dont les racines sont en Dieu lui-même (...). La paix n'est pas simplement l'absence de guerre ni même un équilibre stable entre des forces adverses, mais elle se fonde sur une conception correcte de la personne humaine et requiert l'édification d'un ordre selon la justice et la charité. La paix est le fruit de la justice (cf. Is 32, 17), comprise au sens large, comme le respect de l'équilibre de toutes les dimensions de la personne humaine. La paix est en danger quand l'homme se voit nier ce qui lui est dû en tant qu'homme, quand sa dignité n'est pas respectée et quand la coexistence n'est pas orientée vers le bien commun. Pour la construction d'une société pacifique et pour le développement intégral des 3 la charité. Mais n’oublions pas de toute façon que la justice est le degré zéro de la charité ou plutôt son strict minimum7. Par ailleurs, la vérité est une vertu annexée à celle de justice (ST, II-II, 109). Notre premier devoir est donc de dire la vérité sur l’Islam auquel je me refuse d’ajouter le moindre adjectif de type « radical » ou même le suffixe « -isme » (islamisme) car ce l’Islam tout court qui est intrinsèquement mauvais. b. Une fausse religion créée par un pervers Les musulmans ont le droit de savoir la vérité sur leur fausse religion. Elle est fausse car elle fondée par un pervers : Mahomet, faux prophète et vrai hérésiarque. Il est scientifiquement prouvé aujourd’hui que Mahomet s’enracine dans un courant perverti de messianisme judéo-chrétien nazaréen de la seconde génération qui avait transformé le messianisme biblique en idéologie politique de salut8. Raison pour laquelle d’ailleurs, il se tournait vers Jérusalem pour prier et avait vainement tenté de prendre la ville de la Passion du Christ en 629. Une vieille rengaine donc dans la Bible où l’on confond religion et pouvoir politique9. Mahomet est, au regard de la loi actuelle, un pédophile : sa 3e femme, Aïcha, a été épousée lorsqu’elle avait 6 ans et il a consommé le mariage lors de sa 9e année (lui en avait 50 !)10. Mahomet est un chef de guerre, seul moyen pour avoir accès à La Mecque et donc s’imposer aux tribus arabes de l’époque qui ne comprennent que la violence11. Il a mené luimême et fait mener par d’autres 37 expéditions ou razzias durant les 9 premières années de l’Hégire12. Il a ordonné la décapitation de 600 à 900 membres de la tribu juive des banu Qurayza après la bataille des fossés en 62713. Le paradis pour les musulmans pseudo-martyrs et vrais barbares ? Déflorer leurs 70 vierges houris pendant 70 ans ! Quels primitifs ! L’Islam n’a pas de magistère, parce que le royaume de Satan est toujours divisé contre lui-même (j’ai entendu de mes propres oreilles le démon utiliser le Coran en arabe chez une personne possédée !). Faut-il alors s’étonner que n’importe qui se puisse proclamer « imam » individus, des peuples et des nations, la défense et la promotion des droits de l'homme sont essentielles. La paix est aussi le fruit de l'amour : ‘La paix véritable et authentique est plus de l'ordre de la charité que de la justice, cette dernière ayant mission d'écarter les obstacles à la paix tels que les torts, les dommages, tandis que la paix est proprement et tout spécialement un acte de charité’ ». 7 Paul VI, Allocution de la messe pour la Journée du développement, Bogota, 23 août 1968: in AAS 60 (1968) p.626-627 = DC 65 (1968), col. 1547. Repris par Benoît XVI in Caritas in Veritate 6 : « La charité dépasse la justice, parce qu'aimer c'est donner, offrir du mien à l'autre ; mais elle n'existe jamais sans la justice qui amène à donner à l'autre ce qui est sien, c'est-à-dire ce qui lui revient en raison de son être et de son agir. Je ne peux pas ‘donner’ à l'autre du mien, sans lui avoir donné tout d'abord ce qui lui revient selon la justice. Qui aime les autres avec charité est d'abord juste envers eux. Non seulement la justice n'est pas étrangère à la charité, non seulement elle n'est pas une voie alternative ou parallèle à la charité : la justice est ‘inséparable de la charité’, elle lui est intrinsèque. La justice est la première voie de la charité ou, comme le disait Paul VI, son ‘minimum’, une partie intégrante de cet amour en ‘actes et en vérité’ (1 Jn 3, 18) auquel l'apôtre saint Jean exhorte ». 8 Cf. Gallez, Édouard-Marie, fsj, Le messie et son prophète. Aux origines de l’Islam, Studia Arabica I et II, Éditions de Paris, Paris, 2005 (2 vol). 9 Jn 6, 15 : « Mais Jésus savait qu’ils allaient venir l’enlever pour faire de lui leur roi ; alors de nouveau il se retira dans la montagne, lui seul ». 10 Hadith 114 dans le Sahîh de Muslim : Aïcha a dit : « J’avais six ans lorsque le Prophète m’épousa, neuf ans lorsqu’il eut effectivement des relations conjugales avec moi ». Cf. Sahih Bukhari Vol. 8, Liv. 73, N°151. 11 Hichem Djaït, La Vie de Muhammad : le parcours du Prophète à Médine et le triomphe de l'Islam, Paris, Fayard, 2012, p. 245. 12 https://fr.wikipedia.org/wiki/Batailles_de_Mahomet#cite_ref-1 13 Tabari (trad. Hermann Zotenberg), La Chronique, Histoire des rois et des prophètes, vol. 2, Actes-Sud/Sinbad, coll. « Thésaurus », 2001, p. 231 et Rodinson, Maxime, Mohammad, Essais Seuil, 1968, rééd. 1994, p. 247. 4 et interpréter comme il l’entend le Coran ? Sachant que cette religion reconnaît le mensonge (Taqiyya 14 ) envers les « impies » ou « polythéistes » (sic), c’est-à-dire nous, Chrétiens. Lorsqu’on nous rabâche les oreilles, au nom de la tolérance et du dialogue interrreligieux, que l’Islam serait une religion de paix, c’est un mensonge et rien d’autre. Mensonge sciemment proféré par les musulmans et contre-vérité historique. 100 ans après la mort de Mahomet en 632, les Musulmans étaient à Poitiers (732) : ils avaient tout ce chemin depuis La Mecque par la conquête guerrière. 100 ans après la mort du Christ (donc en 130), les Chrétiens étaient sur l’arène du cirque, jetés aux fauves. Voilà la différence entre Christianisme et Islam. c. Lutter efficacement contre l’Islam Pour faire la guerre, il faut savoir nommer son ennemi, surtout lorsqu’il ne porte pas d’uniforme et qu’il est parmi nous. L’Islam ne peut se répandre que face à des ennemis déjà vaincus dans leur tête : nos hommes politiques ont peur de l’Islam et sont déjà des dhimmis (soumis), n’osant pas s’imposer face à ces barbares. D’ailleurs, au nom des quelles « valeurs républicaines » ? Celles qui reconnaissent les droits à l’avortement, au « mariage » (sic) homosexuel aujourd’hui, demain à l’adoption homosexuelle et à l’euthanasie ? Quelles valeurs défendent nos compatriotes occidentaux ? Opposera-t-on aux musulmanes voulant se voiler la face et l’esprit le droit de se balader à 12 ans en string dépassant leur taille basse ? Ce n’est que par la conversion de nos mœurs, par les vertus que nous obtiendrons la vraie paix. Historiquement, l’Islam ne s’est imposé que là où le Christianisme était divisé : l’Orient et l’Afrique du Nord, berceau de la vraie foi devenues terres musulmanes étaient minées par l’hérésie (arianisme, nestorianisme, monophysisme, donatisme etc…). Les divisions entre Chrétiens en Orient rappellent ces déchirements dans la tunique sans couture du Christ. Mais là où le Christianisme est fort, culturellement et religieusement, il ne s’est pas imposé. Ainsi, en Europe balkanique (Bulgarie, Grèce, Roumanie, Serbie, Monténégro, Hongrie sauf les foyers de Bosnie et d’Albanie, jusqu’au Kosovo), il ne reste plus rien de l’Islam malgré 500 ans d’occupation. La Reconquista commence par les esprits puis passe par la politique et parfois la guerre. Si nous ne récupérons pas la main culturellement, nous risquons bien de voir l’Islam, fléau de Dieu pour nous faire revenir à la vraie foi et à la conversion par la pénitence, devenir l’instrument de notre châtiment en attendant le retour glorieux du Christ. Conclusion : Le Christianisme ne peut être fort que s’il est sûr de la Vérité de la saine doctrine qu’il doit pouvoir professer jusqu’au martyre, le vrai : celui qu’a enseigné le Christ sur la Croix, pas celui du terroriste. Nous avons aussi le devoir moral de prier pour la conversion des musulmans qui ont le droit de recevoir la Vérité du Christ comme tout un chacun, pour sortir de leur religion diabolique. 14 Cf. Raymond Ibrahim, How Taqiyya Alters Islam's Rules of War, in Middle East Quarterly, Winter 2010, p. 313, traduit en français par Jean Szlamowicz, consultable sur le site : http://www.meforum.org/2577/taqiyyaregles-guerre-islamique. Exemple: Muhammad ibn Jarir at-Tabari (mort en 923), auteur d'un commentaire du Coran, qui fait autorité, explique ainsi le verset 3:28 : « Si vous [les musulmans] êtes sous l'autorité de nonmusulmans et craignez pour vous-mêmes, conduisez-vous avec une apparence de loyauté envers eux, par la parole, tout en conservant votre hostilité à leur égard par devers vous (…) [sachez que] Allah a interdit aux croyants de se montrer amical ou intime avec les infidèles, sauf si les infidèles les dominent. Dans ce cas précis, qu'ils se comportent amicalement avec eux tout en préservant leur religion ». 5