«Plus dans la performance que dans le texte, "La petite fille" marque par la grande beauté de ses tableaux, d’une concision cinématographique, vivant, ambiants, vibrant d’une musique qui semble suinter de la scène plutôt que de s’y superposer...Un choix fort qui montre que l'on préfère la sensation à la cohérence...Un rêve trop semblable à la réalité. Une balade troublante au creux d’une intimité volée. » (Cindya Izzarelli, Demandez Le Programme) « D'étonnants tableaux visuels, une bande sonore enveloppante, des jeux de lumière fantasmagoriques.... Emilie Maréchal dévoile un sens visuel très prometteur.» (Catherine Mackereel, Le Soir) « Un premier spectacle déroutant et prometteur. » (Marie Baudet, La libre Belgique) « Un spectacle impressionnant par sa beauté, par sa qualité du silence aussi bien sur la scène que dans la salle. On est suspendu. » (Juliette Goudot, 50 degrés Nord) « Un spectacle essentiel sur le noir et la mémoire, sur Job et la souffrance, et pour finir, le sens très émouvant de la perte définitive de l’enfance. Première mise en scène de la jeune Emilie Maréchal, et pourtant, quelle maîtrise de l’écriture, des moyens techniques, la lumière et le son très important, et du jeu physique des acteurs pour une pièce où les mots sont avares, où la lenteur des gestes prédomine, avec l’évocation des souvenirs qui d’un coup, à la faveur d’un changement d’éclairage et de sonorité, surgissent, s’imposent à notre attention, avec une évidence : c’est ce qui se passe en nous lorsque nous entendons le bruit de la mer, ou que nous soulevons le voile du vieux téléviseur. » (Blog - Les métamorphoses de C) « Un spectacle rarissime, plein d'attentions, d'intentions, d'inventions.... Emilie Maréchal une nouvelle dramaturge/metteur en scène qui promet. » (Roger Simons – Cinemaniacs) « Un très beau projet. On est bel et bien dans le domaine des sensations. » (François Caudron - Musiq 3) « Avec simplicité et par là-même crudité, ce collectif de théâtre donne à voir des séquences intimes troublantes qui oscillent entre cauchemars successifs où l’harmonie est brisée en un rien de temps et fantasmes d’expériences évanescentes. On suit les bribes de cette histoire, de ces histoires familiales présentées dans une esthétique épurée, et d’autant plus tragiques; compartimentées sur la scène dépouillée du superflu comme souvent dans nos rêves ! Le temps s’en trouve comme réinventé, et ce, par le biais d’une chronologie déconstruite, un ralenti techniquement parfait, et des sortes de visions ou illuminations grâce à des effets visuels marquants! » (Sophie Janin, Le bourlingueur du net) « La dimension cauchemardesque est pleinement atteinte, les effets visuels tout à fait réussis. […] La jeune auteure et metteure en scène Emilie Maréchal s'inscrit ainsi dans une certaine tendance actuelle en poussant encore plus loin le non-verbal, la suggestion et surtout les non-dits. » (Suzane Vanina, Rue du Théâtre)