AVANT-PROPOS
Si le travail à accomplir pour en arriver à la rédaction de ce mémoire m'a
souvent paru énorme, un nombre impressionnant de personnes ont été présentes pour me
faciliter la tâche. Tous ces gens, au cours des années, ont été d'une patience infinie face
à mes interrogations.
Tout d'abord, mes premiers remerciements sont pour le professeur Monique
Cardinal pour sa façon de me guider à travers ce long processus. Grâce à son
perfectionnisme dans la méthode et à sa disponibilité constante, j'ai pu écrire, sous sa
gouverne, un mémoire dont je suis fière. Merci donc de m'avoir appris à devenir une
chercheuse. De plus, ma reconnaissance va au professeur André Couture qui m'a
toujours aidée à m'y retrouver dans les dédales administratifs et a répondu gentiment à
tous mes appels au secours.
À Bamako, je remercie tous mes répondants ainsi que toutes les personnes qui
m'ont ouvert leurs portes pour me permettre de mener à bien mes recherches. Ma
reconnaissance va aussi à mes amis, les garçons du grin, Makan, Alexis et les autres,
pour la patience dont ils ont fait preuve en répondant à mes questions parfois
surréalistes ; à Traci de même, pour toutes nos discussions, sur nos recherches
respectives ou autres. Sans elle, la vie à Bamako n'aurait pas été la même.
De plus, je tiens à souligner l'aide précieuse d'Angèle, Francine et Tatek. Ils ont
corrigé et re-corrigé les différentes versions de mon mémoire et ils ont toujours répondu
à mes appels de dernière minute avec bonne humeur.