Mauvaise Nouvelle - L’Islam mérite notre défiance
L’Islam mérite notre défiance
Par Paul Voltor
À l’heure où Valeurs Actuelles , dans son dernier numéro, fait pour nous le compte des mosquées qui colonisent
notre territoire, l’actualité internationale ne cesse de nous montrer le visage de l’Islam, celui-là même qui est le plus
respectueux de ses propres écrits :
Boko Haram, qui enlève 200 adolescentes de 12 à 18 ans. Les jeunes filles devant être sorties de l’école et
se marier dès 9 ans selon les responsables de la secte qui a prévu d’en vendre certaines et d’en garder
d’autres comme « récompense » pour ses nouvelles recrues. Tout ça comme le prescrit le Coran…
les Djihadistes venus de toute l’Europe et de la Méditerranée dans ce terrain de jeu qu’est devenue la Syrie
des rebelles et qui crucifient des Chrétiens refusant de se convertir, comme le prescrit le Coran…
La Birmanie qui établit la semaine passée la peine de mort pour les enfants dès 7 ans en cas de vol,
blasphème, apostasie… comme le prescrit le Coran…
La condamnation à mort jeudi dernier d’une Soudanaise de 27 ans, enceinte, parce qu’elle est chrétienne,…
comme le prescrit le Coran…
Que chaque semaine notre territoire se voit doter de deux nouvelles mosquées ne doit pas nous effrayer. Tous les
Musulmans n’observent pas complètement la loi. Que ces mosquées soient financées, au-delà de nos deniers, par
des puissances étrangères les plus fondamentalistes de la planète, induisant des prédications antioccidentales ne
doit pas nous inquiéter, il y a sans doute quelque part plein d’imams capables de promouvoir un message de paix
et d’amour. Que les mosquées de France puissent se doter d’un muezzin sur simple arrêté municipal ne doit pas
nous inquiéter non plus. C’est une évolution logique due à l’immigration massive et à la réislamisation des
populations lassées de la décadence matérialiste de l’Occident. Tout ça est sans conséquence et absolument pas
de nature à remettre en cause notre attitude vis-à-vis de l’Islam ou de l’immigration, tout ça finira par se diluer dans
la modernité, nous dit-on.
Tolérance aveugle et complice
Et les Français du camp du bien s’échinent à pratiquer le déni, à maintenir leurs œillères et à construire des
raisonnements piégés, pour rester cramponnés à leur sacro-sainte tolérance. Ils tolèreraient même que Lucifer
mange en face d’eux leurs propres enfants, tellement ils ont pris l’habitude de se laver les mains de tout ce qui est
de nature à satisfaire autrui. Leur insupportable tolérance vis-à-vis des crimes islamiques s’appuient souvent sur
une révision progressiste de l’Histoire des religions, en vue d’établir un égalitarisme parfait entre toutes les
religions. Le Christianisme aussi a connu des heures de barbarie…, l’Islam a quatre siècle de retard, vous verrez,
ils évolueront aussi. Formidable lâcheté intellectuelle de ne pas entrer en connaissance du Coran, du Catéchisme
de l’Église catholique, des évangiles, de la vie du prophète, de l’Histoire. Formidable suffisance de ces modernes
qui se sentent l’aboutissement de toute civilisation. Et enfin, formidable complicité de ces humanistes qui refusent
de juger et retournent consommer de la bonne conscience en calculant leur bilan carbone de la journée. Ils ont
évacué l’embarras du choix, donc l’embarras de penser.
Faut-il faire un tableau comparatif ? Faut-il donner dans la plus grande vulgarité ? Comparer le Christ mort en croix
et le prophète chef conquérant, le Christ des Béatitudes déroutantes et le prophète qui convertit à coup de sabre,
le Christ qui cherche la conversion de la pécheresse ou le prophète qui connait des jeunes filles de 9 ans, le Christ
faiseur de paraboles ou le prophète qui tue les poètes, le Christ rejeton de David ou le prophète qui massacre les
juifs de Médine… Il suffirait juste de lire le Coran ou la vie du prophète pour se rendre compte de l’aspect mortifère
et primaire de la plupart des sourates. C’est d’ailleurs ce que fit Joseph Fadel, irakien converti au christianisme.
Plutôt que de le rabâcher de façon superstitieuse, il s’est mis à le lire littéralement, ce livre venu de Dieu… Sa
lecture à l’épreuve de la raison et du cœur lui a permis de cheminer vers le Christ en tournant le dos au Coran.
Aucun musulman ne peut réellement critiquer l’Islam intégral
Si les modernes se taisent, il n’en est pas mieux pour les musulmans, dont on nous dit que les modérés sont
légion. Jamais on ne voit se lever en masse les musulmans modérés pour dénoncer tel ou tel crime proféré au
nom de l’Islam. Jamais. Où sont-ils ces musulmans dits « modérés » ? Les déclarations sont rares, les
manifestations de rue absentes, les pardons publics totalement absents. Même lorsqu’une délégation alla voir le
Pape le 25 septembre dernier, ils omirent de demander pardon, ils étaient venus dialoguer… Non seulement les
Musulmans ne se sentent pas participer à l’histoire du salut du monde et donc ne se sentent pas redevables de
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l’ensemble des crimes humains, mais ils ne le sont même pas de ceux de leur co-religionnaires. Ce n’est pas
seulement parce que l’universalisme et la communion des saints sont pour eux des notions trop éloignées. Non,
c’est aussi, que ceux qui tuent, mettent en esclavage, violent… le font tous suivant la stricte application de la
charia, la loi musulmane issue du Coran. Ce ne sont pas des extrémistes mais des intégristes tout simplement,
c'est-à-dire les musulmans les plus fidèles et les plus pratiquants. Les quelques modérés embarrassés par la
tiédeur de leur foi, finissent par se taire. Ils savent qu’ils ne sont pas de bons musulmans, c’est pour ça qu’ils se
taisent. Et d’un autre côté ils craignent d’analyser les causes de leur tiédeur à l’aune de la raison, ils pressentent la
possibilité de l’effondrement de leur certitude.
Soyez soumis ! C’est là le cœur du programme de l’Islam, c’est ce qui sauve ce syncrétisme manichéen. C’est
même ce qui permet à certains musulmans d’être bons et meilleurs. Cette soumission qui peut dans un cœur pur,
dans un environnement pur, les amener à cultiver ce « silence avant la prière qui vient », ce silence qui est élan
dans la crainte de Dieu. Mais que des Musulmans aient des choses à nous apprendre là-dessus ne doit pas nous
étonner, les plus belles fleurs poussent sur les tas de fumier, ou de façon plus jolie, là où le mal abonde, la grâce
surabonde. L’Islam révèle tous les jours son pédigrée diabolique. Il n’existe pas d’Islam modéré. Il peut exister des
Musulmans tièdes, mais il n’existe pas d’Islam modéré. On peut dialoguer avec les Musulmans, on ne le peut pas
avec l’Islam. On parle de temps à autre dans la presse de surenchère ? Non, c’est simplement l’avancée de l’Islam
que plus rien ne contient, à qui rien ne résiste, son épanouissement le plus absolu. Le seul moment où l’Islam a
été comestible fut quand il était contenu par une chrétienté très forte. Mais réjouissez-vous, la radicalité des
discours est due aux prêches de caves. Désormais que le territoire est quadrillé de mosquée au grand jour, cela va
aller mieux. Ah bon ? Avec des mosquées financées par l’Arabie Saoudite ou le Qatar, deux pays Wahhabites qui
imposent leurs imams, cela nous permet d’importer chez nous la haine de ce que nous sommes. Cette religion de
petits caïds jouisseurs, d’apprentis kamikazes, a bien de quoi continuer de se rependre sans qu’un « modéré » ne
sorte de sa cachette pour protester.
Les Musulmans ne peuvent échapper au mal sans le Christ
« Un Musulman est fait comme tout le monde, il est fait pour être converti. » Merci Jean Sévillia de rappeler cette
évidence aux Chrétiens hésitants que nous sommes. Les modernes qui croient appâter le Musulman avec leur
société de consommation, d’individualisme et de jouissance, se trompent. Ceux de chez nous qui se ré-islamisent
sont nés en modernité, ils sont allés vers l’Islam pour consommer de l’identité, eux à qui on a appris à mépriser la
France. Avec l’Islam, ils ont tout comme en modernité, c’est par réflexe fétichiste qu’ils parlent de Dieu. Donc ils
consomment de l’identité et du spirituel, collectionnent les signes d’appartenance, panoplie-pyjama, barbes faites
de poils d’ado, comme d’autres suivent la mode. Comme la modernité, l’Islam nie la personne, et le tout collectif
n’est qu’une facette de l’individualisme imposé aux masses, individualisme marqué en Islam par le salut auquel ils
ont droit compte tenu des déterminismes mis en œuvre. Et enfin, ils jouissent bien sûr. Pas de problème là-dessus.
Les blanches sont des putes, ils en profitent, et puis, ils jouissent de leurs muscles. L’Islam c’est la religion du caïd,
de celui qui convertit à coups de sabre, du fort, de celui qui fait avancer les frontières de la civilisation. Il n’y a rien
de plus horizontale comme religion, ils sont soumis à Dieu mais ne se soucient que d’étendre leurs frontières sur
terre…
Donc séculariser l’Islam, le contaminer avec les idées progressistes est une erreur. Ca ne marchera pas. La
société de consommation et l’Islam ont trop de choses en commun. Non idéalement, il faudrait christianiser l’Islam,
cela paraitrait plus bénéfique que sa laïcisation… Les laïcards devraient prendre conscience que la religion du
Christ est l’unique spiritualité en phase avec les valeurs de la République. Si seulement tous les « droits-de-l’hommistes » prenaient conscience que leur idéologie est un avatar du catéchisme, une sorte d’hérésie hors champ. Le souci de christianiser l’Islam et surtout de convertir les Musulmans, est qu’il faut être attractif pour les caïds. Notre Église déchristianisée de l’intérieur, attachée trop souvent à ânonner une morale hic et nunc, déformée par le souci d’acceptabilité du discours, n’est pas de nature à montrer toute son exigence intellectuelle, morale et d’amour. « C’est une religion gentille » disent certains Musulmans tentés. Que leur a-t-on raconté sur notre religion, que leur ont dit les Chrétiens ? A-t-on parlé de la forme du martyr chrétien ? De l’ironie du sort, de la réversibilité, de la communion des saints, du rapport entre grâce et mérite, du rapport entre foi et raison, du mystère des intentions. De cette épée que nous promet le Christ ?
Cher Pape François, en ces temps d’Islam agressif et conquérant, il serait peut être bien de béatifier les martyrs
chrétiens, pendus à des pelleteuses en Iran ou crucifiés en Syrie plutôt que d’aligner toujours plus de papes sur
nos calendriers. Le combat spirituel qui s’ouvre dans le monde est celui-là, le musulman et l’athée se moquent pas
mal de la sainteté de Sa Sainteté, de savoir si ce sommet sacerdotal est proche du royaume. Sans remettre en
cause la sainteté de nos papes, il ne me parait ni urgent, ni habile, ni pertinent, de choisir ces saints en série
comme exemple pour le monde et comme symbole pour l’Église. Préparons-nous à béatifier les 90 massacrés de
Maaloula en Syrie, les 200 jeunes filles de Boko Haram, et cette femme soudanaise qui commencera par recevoir
100 coups de fouet avant d’être pendue et de laisser son bébé mourir tranquillement dans ce tabernacle
transformé en tombeau que sera son ventre de cadavre.
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