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REMERCIEMENTS
Je veux d’abord dire toute ma gratitude à Alexandra Poulain pour son accompagnement et
son soutien tout au long de ce travail, son écoute et sa patience à toute épreuve. Je la
remercie pour ses remarques et ses commentaires toujours stimulants qui m’ont permis
d’avancer dans mes recherches, dans ma réflexion et dans mon travail de rédaction. Je lui
suis aussi reconnaissante de m’avoir encouragée à participer à divers colloques et
séminaires très enrichissants.
Mes remerciements vont également à Carle Bonafous-Murat, pour avoir un jour mentionné
Denis Johnston parmi d’autres noms d’auteurs délaissés par la critique et dont l’œuvre
« mériterait de plus amples recherches », puis dirigé mes recherches dans le cadre de mon
Master 2.
Je remercie aussi la SOFEIR, l’École Doctorale SHS et le Laboratoire CECILLE de
l’Université Lille 3 – Charles de Gaulle, dont le généreux soutien m’a permis de travailler
sur les manuscrits de Denis Johnston conservés à Trinity College, Dublin et à l’Université
d’Ulster, Coleraine. Je pense aussi aux autres chercheurs, doctorants et enseignants, qui ont
enrichi mon travail de leur propres travaux et de pistes de recherches évoquées lors de
colloques ou journées d’études, tout en l’égayant de leur conversation ou courriels,
notamment Laurence Cazeneuve-Guegan, Mehdi Ghassemi, Antonella Trombatore,
Élisabeth Angel-Perez, Hélène Lecossois et Jeffrey Hopes, Maryvonne Boisseau, Fiona
McCann, Wesley Hutchinson, P.J. Matthews, Bernard Adams, Christopher Morash, Ondrěj
Pilný, Christine St Peter, Margaret Mills Harper, Claudia Luppino et Eamon Maher.
J’ai également eu la chance de rencontrer les enfants de Denis Johnston, Jennifer, Micheál
et Rory, que je tiens à remercier pour leur accueil chaleureux, leur gentillesse et l’intérêt
qu’ils ont témoigné pour mon travail, et plus particulièrement Micheál, pour sa permission
de citer l’œuvre dramatique de son père dans mes articles, et Rory, pour sa permission de
citer le reste de l’œuvre, notamment les manuscrits, pour les longs courriels que nous
avons échangés, et pour les ressources qu’il a mises à ma disposition : photos personnelles,
archives du Gate Theatre de Dublin, conservées à Chicago, et autres documents alimentant
la page Facebook que nous avons créée ensemble dans l’espoir de faire mieux connaître
l’œuvre de son père.
Enfin, je remercie ma famille et mes amis pour leur écoute, leur soutien, et la patience dont
ils ont fait preuve ces dernières années. Je pense d’abord à mon père, qui m’a réappris à
écrire lorsque je rédigeais mon mémoire de Master 2 et qui aurait tant aimé voir le
prolongement de ce travail. Un grand merci aussi à Sarah Hirsch, Laure Legrand, Caroline
Kuntz et Christiane Jouve pour leur présence et leur amitié. Toute ma reconnaissance va
enfin à Loïc Pietka, à qui ce travail est dédié.