L`initiation à la philosophie en maternelle « La philosophie n`est pas

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L’initiation à la philosophie en maternelle
« La philosophie n’est pas une pédagogie de la réponse, mais une pédagogie de la question ».
Les ateliers philosophiques, en abordant des thèmes variés, ont pour objectifs d’amener les enfants à
développer un sens critique, à apprendre à se poser des questions et à s’ouvrir au débat. Ils ne sont
pas conçus pour apporter d’emblée des réponses, mais les faire naître par la confrontation aux
autres (débats), par les échanges d’avis et de point de vue.
1. Mise en situation
Chaque stagiaire doit rédiger une question qui lui semble d’ordre philosophique.
Mettre en commun : Qu’est-ce que la philosophie, que veut dire philosopher ?
Donner les définitions de la philosophie (PP) -diapos 1 à 5
Philosopher c'est … réfléchir sur son rapport au monde, à autrui, à soi-même, habiter
intellectuellement les questions essentielles. C'est indissolublement, apprendre à :
- conceptualiser des notions (définir l'amour, la mort…)
- problématiser des affirmations (Ce que je pense est-il bien vrai ?) et formuler des interrogations
pertinentes (Peut-on dire que l'homme reste un animal ?)
- argumenter, se donner des raisons convaincantes de douter ou d'affirmer.
Réfléchir philosophiquement, c'est articuler étroitement ces trois processus de pensée quand on
dialogue rationnellement avec autrui ou soi-même, oralement ou par écrit ; c'est tenter de repérer
dans un texte la façon dont un philosophe s'y prend dans cette articulation.
La philosophie, c’est … l’accès à la connaissance par la raison mais c’est aussi et surtout : - Apprendre
à penser par soi-même, - Etre soi-même - Être dans le groupe
2. Peut-on parler de philosophie à l’école maternelle ? quels enjeux ? – diapo n°6
Visionnage de la bande-annonce du film « Ce n’est qu’un début » (1’48’’), analyse collective
Visionnage de l’extrait du film « Une constante évolution »(1’41’’) (interview de Pascaline
DOGLIANI)
Visionnage de l’extrait du film « Développer la pensée critique » (interview de M.F. DANIEL) ( 2’41)
Réflexion/débat : Tour de table après réflexion par 2 : quels enjeux de la pratique philosophique en
classe ?
Lister les enjeux (PP) – Diapos n°7, 8, 9
Un des enjeux de la philosophie est de développer la pensée autonome de l’enfant à travers diverses
compétences dont des compétences langagières.
Les ateliers à visée philosophique permettent de développer chez les élèves des aptitudes à une
forme de vie citoyenne, favorisent leur évolution dans la maîtrise langagière de la discussion et
développent la reconnaissance de soi.
Pratiquer les ateliers à visée philosophique, c’est travailler la maîtrise de la langue orale, objet de
toutes recommandations ministérielles.
Ce n’est pas le seul moyen de redonner du sens aux apprentissages mais cela peut devenir un axe
fort. En travaillant le rapport à la langue et le travail de la pensée, on accompagne l’enfant dans son
accès à la réflexion et à l’écoute.
En ayant du plaisir à penser, à réfléchir et à apprendre, l’enfant peut s’épanouir à l’école et ainsi
trouver du sens à sa vie d’enfant et d’élève : structurer pour raisonner.
L’enfant est engagé dans un voyage vers le sens des choses. Il découvre que les autres ne pensent
pas comme lui, que sa parole a de l’importance, que son « je » n’est pas universel.
L’enfant va s’ouvrir sur le monde, construire une pensée collective riche des positions de chacun.
L’élève s’aperçoit que penser peut procurer du plaisir et devient un interlocuteur valable pour
l’adulte. Il découvre une image positive de lui-même qui le valorise et se sent alors reconnu par les
autres.
Visionnage de l’extrait du film « Un pari difficile » (2’34’’) (interview de J.C. PETTIER)
3. Mettre en œuvre des ateliers philo – diapo n°10
Visionnage d’extraits du film qui permettent de voir les progrès et l’évolution des enfants dans la
prise de parole, l’écoute des autres…
En MS (total extraits 7’10’’)
-3’15 à 6’24
Mise en place du débat : « une bougie pour essayer de penser »
Besoin de réfléchir
Les maîtresses échanges sur ce premier atelier.
-27’30’’ à 29’45’’
« être intelligent ça veut dire quoi ?
En GS (total des extraits 6’40’’)
-59’51 à 1h 06’ 30’’
« c’est quoi être différent ? »
La maîtresse intervient de moins en moins.
Pertinence des propos et écoute. Les enfants tiennent compte des propos précédents
4. Liaison avec les familles – diapo n°11
-36’10’’ à 37’44’
-Bilan de fin d’année avec les parents
-Visionnage de l’extrait « on est que des parents »(2’32’’)
Famille, école, philo, un partenariat indispensable
Favoriser la liaison école-famille avec un cahier philo, des affichages, une anticipation de séances,
une boîte à questions anonyme, des rencontres café-philo, animations diverses…
Mise en place d’ateliers-rencontres parents/enfants philo au sein de l’école.
5. Peut-on réellement parler de philosophie ? – diapos n°12, 13, 14
Comparaison enfant/philosophe
6. Documents ressources : Distribution d’un document de présentation de l’atelier
Mettre en œuvre (annexe 1)
Exemple de séquence (annexe 2)
Rôle des protagonistes (annexe 3)
Des sujets potentiels (annexe 4)
Des ressources (annexe 5)
Annexe 1
Mettre en œuvre dans sa classe
Créer des rituels / Penser à : L’ESPACE, LE TEMPS, LE GROUPE,
LE DEROULEMENT pour créer un moment privilégié de libération de la parole sécuriser l’enfant
- Quelle démarche ?
- Problématiser
- Conceptualiser, contextualiser, puis argumenter
- Synthétiser pour mémoriser
- Comment préparer un atelier ?
1/ Définir les objectifs de l’atelier
Il s’agit que l’enseignant sache ce qu’il cherche à faire avec les élèves :
– Les laisser commenter librement le poster/l’album ?
– Les amener à réfléchir sur tel ou tel thème qu’il suggère ?
– Leur faire approfondir un thème qu’ils auront entrevu en l’observant (en s’adaptant alors, et en
ayant en tête des axes d’approfondissement possibles) ?
– Leur permettre d’aller un peu plus loin dans leur rapport à leur propre réflexion (d’exemples
personnels à une réflexion un peu plus générale) ?
2/ Réfléchir personnellement au sujet avant de proposer l’atelier
Il faut ensuite que l’enseignant ait déjà réfléchi aux problèmes soulevés, non pas pour faire ensuite
un « cours » mais :
– Pour mieux pouvoir d’abord se situer lui-même (au risque sinon de se trouver déstabilisé et ne
plus avoir en tête les limites à donner à l’échange).
– Pour être en mesure d’aider ensuite les élèves, parfois, à avancer dans la réflexion, en ayant par
exemple en tête des questions possibles pour les amener à préciser leur pensée ou la faire rebondir,
ou faire le lien entre ce qu’ils disent en d’autres situations qu’ils connaissent. Ils auront aussi parfois
besoin de mieux saisir le sens d’un mot, grâce à des explications accessibles.
3/ Organiser le cadre de l’atelier dans la classe
– L’enseignant fixe le moment de l’atelier(en général, une ou deux fois par semaine, pendant dix à
vingt minutes).
– Il fixe aussi le début et la fin de l’atelier : on a un temps limité, qu’on peut théâtraliser (clochette
de début et de fin, bougie).
– Il aménage sa classe pour permettre l’échange : chaises mises en cercle, coin avec moquette,
tableau visible de tous pour afficher le support si nécessaire
– Il fixe ensuite les conditions : il va rappeler (ou faire rappeler) aux élèves : ce que l’on cherche à
faire (réfléchir sur ou à partir de la grande image, à des questions très importantes pour les hommes)
; comment on s’y prend (chacun peut prendre la parole, celui qui n’a jamais parlé passe avant les
autres, on essaye d’expliquer ce que l’on veut dire, on n’a pas le droit de se moquer).
– Il va préciser aussi la nature de l’échange, qui peut varier, d’où un rôle différent pour l’enseignant
(voir fiche Le rôle de l’enseignant pendant l’atelier) et qu’il précisera : on peut imaginer des échanges
où les élèves n’ont qu’à commenter, mais aussi parfois des séances où l’enseignant posera des
questions sur ce qui est dit, ou expliquera certaines choses…
– En maternelle, on peut imaginer que l’échange se fasse dans un groupe restreint: travail de groupe
ou de demi-classe, pendant que les autres élèves travaillent en atelier ou font un dessin sur le sujet
par exemple).
Quelques idées si vous vous lancez pour la première fois :
D’après les conseils de Pascaline DOGLIANI, enseignante en maternelle, qui pratique les ateliers
philosophiques depuis 2006.
– Dans quel espace ? Un lieu tranquille, toujours le même, (la classe ou la bibliothèque).
– Quand ? Plutôt le matin, les élèves sont plus concentrés. Le mardi est un bon jour, les élèves ont
pris le rythme de l’école et ne sont pas trop fatigués.
– A quelle fréquence ? Régulière, deux fois par semaine
– Pour quelle durée ? De 15 à 20 minutes selon la maturité du groupe, le moment de l’année,
l’intérêt pour le sujet.
-Quelle organisation ? : L’atelier philosophie est mené avec la classe dans sa totalité
(malheureusement, les enfants les plus discrets ne parviennent pas à s’exprimer de façon
satisfaisante). L’idéal serait d’organiser ces débats avec un groupe d’une dizaine d’enfants.
– Comment s’installer dans l’espace ? En cercle sur des bancs ou des chaises, l’enseignant parmi les
enfants, afin de favoriser les échanges entre pairs.
– Comment faire entrer les enfants dans cette activité ? Par un outil rituel de passage comme la
bougie qu’on allume en début d’atelier et qu’on éteint à la fin. On peut aussi utiliser un bâton de
pluie ou tout autre outil.
– N’oubliez pas : c’est important de garder une trace de votre atelier, pensez à enregistrer ou noter
les propos des enfants.
Annexe 2
Exemple de séquence
En amont : Animations diverses :
Mise en place d’une boîte à question à l’entrée de la porte de classe
Mise en scène dans l’école et dans la cour sur le thème du jour pour accompagner parents et
enfants vers les ateliers philosophique (affichage, parcours…)
Lecture de plusieurs albums permettant diverses ouvertures sur le sujet à questionner et réfléchir
Une réflexion proposée (tract) au sein de la famille avec 3 petites questions sur le sujet qui
permettent un échange entre enfant et parents, ou une affiche dans le couloir qui permet aux
parents et aux enfants d’écrire quelques réflexions…
Outil de transition : bougie, bâton de pluie…..
Pendant : Atelier à visée philosophique :
Ateliers : temps du listing, questions philosophiques du jour, recherches d’exemples, argumentation,
comparaison des opinions, échanges, « débat ». Bilan : en un mot, ex : l’amitié c’est……
Marionnettes/ BD
En aval : Des prolongements
- Par la lecture d’albums.
- L’utilisation de marionnettes
- A travers le dessin et la dictée à l’adulte.
- Des installations dans la cour de récréation ou dans les couloirs.
- Par la mise en place d’un espace philo dans la classe.
- Par la conception d’un cahier philo.
Annexe 3
Rôle des protagonistes
I.
Le rôle de l’enseignant
Dans le cadre des débats, l’enseignant quitte son statut de pédagogue pour devenir un médiateur.
L’enseignant n’est pas arbitre, il ne prend pas parti, il ne juge pas Il devient en quelque sorte un
président de séance dont le rôle est multiple :
 Il anime le groupe, c’est à dire facilite la construction des débats en permettant à l’enfant
d’accéder à une réflexion autonome, argumentée par sa propre expérience ou conception
de la vie et des choses (le maître n’est plus la référence, celui qui détient la ou les
réponses). En tant que médiateur, l’enseignant doit également provoquer et faire naître
l’autonomie de la pensée chez l’enfant. Il relance la réflexion par le biais de demandes
d’explications sur les idées émises, de précisions, d’argumentations, de définitions,…
 Il s’impose comme le détenteur de l’autorité dans le déroulement des débats ; il énonce et
rappelle au besoin les règles de fonctionnement d’un débat.
 Il arbitre le temps de parole en donnant à certains moments la priorité aux enfants qui ne se
sont pas encore exprimés.
 Il veille à réintégrer dans les débats les enfants les plus silencieux (timides,…) en sollicitant
leurs opinions.
Le débat est par essence un domaine où l’expression orale prédomine mais où la liberté de
s’exprimer ne signifie pas pour autant avoir le droit de dire n’importe quoi. La parole est donc libre
de s’exprimer en relation avec le sujet débattu et l’enseignant doit garantir cette liberté.
Les idées phares :
– Première idée : que l’enseignant, après avoir proposé l’activité, n’intervienne toujours que dans un
second temps, après avoir laissé les élèves s’exprimer.
– Seconde idée : que le sens de son intervention soit plutôt d’abord de faire rebondir la réflexion en
posant des questions ouvertes, plutôt que de transmettre des éléments déjà prêts et achevés (d’où
les questions proposées dans les fiches d’accompagnement de chaque poster).
– Troisième idée : que ces questions soient organisées en fonction de ce qui s’est passé dans la
classe durant le premier temps, soit pour déclencher la parole si les élèves n’ont rien dit (questions
descriptives) ; soit pour approfondir les notions qu’ils ont évoquées et/ou pour élargir la modalité de
la réflexion;
– Quatrième idée : qu’il prenne en compte la diversité des élèves, tous n’ont pas nécessairement la
même facilité ou la même habitude de parole. Sans les forcer à parler, il peut cependant parfois
solliciter les élèves qui ne parlent jamais, au risque sinon qu’ils pensent que c’est indifférent. Certains
d’entre eux ont également plus de mal à se repérer dans ce qui est dit, il peut donc intervenir
périodiquement pour en faire une petite synthèse.
– Cinquième idée : En demandant un rappel collectif à la fin de l’échange, en demandant à certains
élèves de rappeler ce qu’on a dit, en faisant une affiche, ou en faisant dessiner chacun…
Ces éléments pourront être affichés dans la classe, ou à la sortie de la classe avec le support, et ainsi
présentés aux parents (l’élève doit alors expliquer de façon informelle ce qui s’est dit).
II.
Les enfants
Ils participent activement à l’élaboration des règles communes qui vont encadrer les débats ; ils
doivent ensuite les respecter. Ce règlement intègre des droits et des obligations. Ils sont les acteurs
à part entière des débats.
Règlement retenu par les enfants de la classe :
 Lever la main pour demander à parler.
 Attendre qu’on vous donne la parole pour la prendre.
 Il faut être sage, ne pas faire de bruits.
 Ne pas couper la parole à celui qui parle et l’écouter jusqu’au bout.
 Essayer de prendre en considération les propos dits par les autres pour éviter les redites.
 Dire ce que l’on pense.
 On a le droit de ne pas être d’accord.
 On a le droit d’être d’accord.
III.
Les déclencheurs du questionnement
 provoquer la discussion par le biais d’une histoire, d’un ouvrage, d’un film, d’une affiche,
d’un spectacle,...
 provoquer la discussion en rebondissant sur un thème développé dans le cadre du débat de
la veille. Il s’agit ici de créer des réseaux de pensées et de réflexions de façon à donner plus
de sens au débat. La notion de clarté cognitive s’en trouve ici sensiblement enrichie.
 provoquer la discussion en rebondissant sur le quotidien des enfants (événements liés à
l’école, vus à la télévision,..).
 provoquer une discussion en proposant tout simplement un questionnement de type
philosophique (métaphysique, existentiel, éthique, esthétique,…). Ces questions sont plus
difficiles à résoudre, mais elles restent indispensables (pousser la réflexion,…).
Dans tous les cas, il s’agit de susciter ou stimuler les centres d’intérêt des enfants pour les amener à
une participation active et volontaire.
IV.
La famille
Famille, école, philo, un partenariat indispensable.
Favoriser la liaison école-famille avec un cahier philo, des affichages, une anticipation de séances,
une boîte à questions anonyme, des rencontres café-philo, animations diverses…
Mise en place d’ateliers-rencontres parents/enfants philo au sein de l’école.
Annexe 4
Quelques sujets potentiels
Le plus souvent, ce sont les enfants qui font émerger le thème ou la question des débats ; ou bien les
évènements de la classe conduisent l’enseignant à imposer un thème.
1.
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…
Orienter la discussion vers une définition
C’est quoi un chef ?
Qu’est-ce qu’un ami ?
Etre intelligent ça veut dire quoi ?
C’est quoi la peur ?
C’est quoi la mort ?
C’est quoi l’amour ?
C’est quoi être différent ?
Pourquoi les pauvres, ils sont comme ils sont ?
La liberté c’est ?
C’est quoi penser ?
Est-ce qu’il est normal d’interdire les choses ?
Qu’est-ce qu’une loi ?
C’est quoi être heureux ?
Qu’est-ce que grandir ?
Qu’est-ce que vieillir ?
Qu’est-ce qu’un enfant ? un adulte ? un bébé ? un animal ?un doudou ?un élève ?
Qu’est-ce que le plaisir ? la colère ?
2. Orienter la discussion vers la confrontation de deux notions contraires
Il faut cerner des différences et des ressemblances entre deux notions contraires :
 le beau et le laid
 les rêves et les cauchemars
 la gentillesse et la méchanceté
 la vie et la mort
 Le bonheur et le malheur
 Le jeu et le travail ; …
3. Orienter le débat vers une question philosophique
 « Quelles sont les différences entre un adulte et un enfant ? »
 « Quelles sont les ressemblances entre un adulte et un enfant ? »
 « Quelles sont les différences entre un animal et un homme ? »
 « Quelles sont les différences entre une poupée et nous ? »
 « Quelles sont les différences et les ressemblances entre une fille et un garçon ? »
 « Est-ce que tout le monde est pareil ? »
 « A quoi ça sert d’aider les autres ? »
 « Qu’aimerais-tu inventer dans l’avenir ? »
 « Etes-vous pressés d’être grand ? »
 « Préférez-vous être un enfant ou un adulte ? »
 « Quelles sont les ressemblances et les différences entre un français et un africain ? »
 « Est-ce que les animaux pensent ? »
 « A-t-on le droit de tout faire ? »
 « Est-ce que les enfants ont le droit de tout faire ? »
 « Est-ce que les adultes ont le droit de tout faire ? »
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« A quoi sert un papa ? »
« A quoi sert une maman ? »
« Pourquoi faut-il faire des efforts ? »
« Quand on se trompe, est-ce que ça veut dire qu’on est bête ? »
« A-t-on le droit de se tromper ?
« Quels sont les droits des enfants ? »
« Quelles sont les obligations des enfants ? »
« A quoi ça sert de parler ? »
« A quoi ça sert de travailler ? »
« A quoi ça sert d’apprendre à lire »
« A quoi sert l’école ? »
« A quoi sert la police ? »
« Est-ce qu’un adulte à le droit de taper un autre adulte ? »
« Est-ce qu’un adulte à le droit de taper un autre adulte ? »
« Est-ce qu’un adulte à le droit de voler ? » ; …..
Annexe 5
Bibliographie-Sitographie
Sitographie
-philotozzi.com : des textes théoriques pour approfondir
-philoherb.free.fr : transcription d’ateliers philo
-edwigechirouter.over-blog.com : blog de présentation et de liens vers des ressources
-cenestquundebut.com : le site du film avec des articles, des entretiens, des liens.
Supports pédagogiques
-collection « les p’tits philosophes » de Pomme d’Api-éditions Bayard- 1 dossier thématique par mois
( affiche, BD, dossier pédagogique)
-collection « les tout petits Platon » et « les petits Platon »- Collection Télérama-le Monde
-collection « Philo’zenfants » et « Philozidée » -Nathan
-collection « les gouters philo »- Milan
-collection « Chouette. Penser ! » Gallimard
Bibliographie
-« préparer et animer des ateliers philo » Isabelle Pouyau- Retz
-« lire, réfléchir et débattre à l’école élémentaire : la littérature de jeunesse pour aborder les
questions philosophiques » Edwige Chirouter- hachette
-« Un projet pour... Apprendre à penser et à réfléchir à l'école maternelle » J.C. Pettier, P. Dogliani, I.
Duflocq - Édition Delagrave
Filmographie
« Ce n’est qu’un début » film documentaire de JP Pozzi et Pierre Barougier
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