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Ces expériences qui montrent que la réponse est plus rapide et plus efficace suite à un
deuxième contact avec l’antigène suggèrent que des effecteurs formés lors de la réponse
primaire sont conservés dans l’organisme témoignant de l’existence d’une mémoire
immunitaire.
On constate une prolifération quantitativement plus importante et qui se met
en place plus rapidement pour les lymphocytes B isolés à partir des rates de
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en place plus rapidement pour les lymphocytes B isolés à partir des rates de
souris préalablement infectées avec l’antigène.
Les lymphocytes B mémoires sont donc capables de s’activer et de proliférer
plus rapidement que les lymphocytes B naïfs.
On remarque de plus que ces cellules mémoires sont spécifiques d’un
antigène car elles ne s’activent qu’en présence de l’antigène A.
En mettant en relation ces résultats avec le document précédent, on peut
donc supposer que la réponse immunitaire secondaire est en fait
associée à l’existence de cellules mémoires, au moins en ce qui
concerne les lymphocytes