Les chercheurs ont démontré que les « faux » neurotransmetteurs fluorescents
constituent des sondes électro-fluorescentes adaptées à cette détection couplée. À
ce titre, ces sondes duales représentent une stratégie prometteuse pour limiter la
présence d’événements « orphelins » indésirables et favoriser la qualité de l’analyse.
Cette étude donne donc une première piste pour élaborer et développer de nouvelles
sondes encore plus efficaces et ainsi répondre aux nombreuses interrogations
concernant l'exocytose (analyse des points chauds, mécanisme du "baiser volé"...)
Source :
A Dual Functional Electroactive and Fluorescent Probe for Coupled
Measurements of Vesicular Exocytosis with High Spatial and Temporal
Resolution
Xiaoqing Liu†, Alexandra Savy†, Sylvie Maurin†, Laurence Grimaud†, François
Darchen‡, Damien Quinton†, Eric Labbé†, Olivier Buriez†, Jérôme Delacotte†,
Frédéric Lemaître†, and Manon Guille-Collignon†
†École Normale Supérieure-PSL Research University, Département de Chimie,
Sorbonne Universités - UPMC Univ Paris 06, CNRS UMR 8640 PASTEUR, 24, rue
Lhomond, 75005 Paris, France
‡Laboratoire de Neurophotonique, CNRS UMR 8250 Université Paris Descartes 45,
rue des Saints-Pères, 75006 Paris (France)
Angew. Chem. Int. Ed. 2017, 56, 1 – 6
DOI: 10.1002/anie.201611145
Contact Chercheur :
Manon GUILLE-COLLIGNON, MCF UPMC - Frédéric LEMAITRE, MCF UPMC
UMR 8640 PASTEUR (ENS/CNRS/UPMC)
Contact Communication Chimie :
Nicolas LEVY, Responsable Communication Chimie,
Département Chimie ENS (www.chimie.ens.fr)