Le propos de cet exposé est de montrer que
la « position d’indéfinitude »,
qui est centrale dans de nombreuses opérations intellectuelles
où le langage joue un rôle
déborde le cas du morphème « pronom indéfini ».
Pour montrer cela, nous allons d’abord rappeler que les pronoms indéfinis
ont une place dans un ensemble morphosyntaxique général, aux côtés d’autres pronoms.
Ensuite, nous examinerons trois exemples concrets:
les énoncés de la Loi d’Archimède
les énoncés de la Loi du talion
les énoncés du serment d’Hérode à Salomé.