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Cours UE2 Prs B. Bloch, G Simonet, J Cambar
QCM 1-2 : Biosynthèses, transports moléculaires et métabolismes
dans la cellule
On considère une cellule qui synthétise plusieurs récepteurs membranaires parmi lesquels le
récepteur membranaire des LDL et des récepteurs à des neurotransmetteurs. Cette cellule
produit par ailleurs une hormone peptidique à partir d’un précurseur protéique de haut poids
moléculaire.
QCM 1
A. Dans cette cellule, en présence de LDL, le récepteur des LDL est endocyté dans des
vésicules recouvertes de clathrine pour permettre la dégradation intracytoplasmique
des molécules de LDL VRAI Cf cours
B. Dans cette cellule, la synthèse du précurseur de l’hormone peptidique est assurée par
le réticulum endoplasmique granuleux. Ce précurseur comporte un peptide signal qui
est clivé dans l’appareil de Golgi FAUX Clivage dans le réticulum endoplasmique granuleux
C. Dans cette cellule, le protéasome a pour fonction la dégradation de protéines à pH 7
dans des vésicules intracytoplasmiques, après identification par des molécules
d’ubiquitine FAUX Pas dans vésicules (Le protéasome n’est pas délimité par membranes)
D. Les glycoprotéines du glycocalyx (cell coat) sont apportées par des vésicules de
transport et ont plusieurs fonctions : de structure, de récepteur et de transporteur
VRAI Vu en cours
E. Dans cette cellule, les récepteurs synthétisés transitent par l’appareil de Golgi pour
être déposés à la membrane plasmique par des grains de sécrétion FAUX Par des
vésicules de transport (≠ de grains de sécrétions)
Cours UE2 Prs B. Bloch, G Simonet, J Cambar
QCM 1-2 : Biosynthèses, transports moléculaires et métabolismes
dans la cellule
On considère une cellule qui synthétise plusieurs récepteurs membranaires parmi lesquels le
récepteur membranaire des LDL et des récepteurs à des neurotransmetteurs. Cette cellule
produit par ailleurs une hormone peptidique à partir d’un précurseur protéique de haut poids
moléculaire.
QCM 2
A. Dans cette cellule, il existe des phénomènes d’exocytose qui permettent le recyclage
des récepteurs du LDL à la membrane plasmique après dégradation des LDL VRAI
Cf cours
B. Dans cette cellule, il existe des hétérolysosomes VRAI Il existe au minimum des
lysosomes impliqués dans la dégradation des LDL venant de l’extérieur de la cellule
C. Dans cette cellule, les vésicules porteuses de T-SNARES sont impliquées dans la
sécrétion régulée de l’hormone peptidique par exocytose FAUX Implication ici des VSNARES
D. Dans cette cellule, les récepteurs aux neurotransmetteurs peuvent être des protéines
transmembranaires pouvant jouer un rôle de ionophore couplées à une protéine G
FAUX Ces récepteurs= soit ionophores, soit couplés à une protéine G, pas les deux à la fois
E. Dans cette cellule, les molécules destinées à participer à la constitution du cell coat
suivent le même cheminement intracytoplasmique que l’hormone synthétisée et sont
déversées par exocytose à l ’ extérieur de la cellule FAUX Voie constitutive pour
constituants du «cell coat» et voie régulée pour l’hormone
Cours UE2 "Chromatine et Chromosomes" (E. CHEVRET)
QCM 3 : La chromatine
A. Est répartie de manière aléatoire au sein de l’espace nucléaire FAUX La répartition de la
chromatine dépend de la condensation et transcription (cf notion d ’ euchromatine et
d’hétérochromatine). Revoir la notion de territoires chromatiniens
B. Est constituée d’ADN et de protéines VRAI Protéines histones et non histones participent à
l’enroulement de la molécule d’ADN
C. S’associe à 2 types d’histones FAUX Au moins 5 types d’histones: Molécule d’ADN +
histones (H2A, H2B, H3 et H4)x2 = nucléosomes, + histone H1 = chromatine
D. Possède des portions d’ADN réprimées VRAI Hétérochromatine = chromatine condensée
en interphase (ADN inactif, non transcrit)
E. Lorsqu’elle est toujours condensée, se nomme euchromatine FAUX Euchromatine =
chromatine décondensée en interphase (chromatine fonctionnelle, qui peut être transcrite)
Cours UE2 "Noyau" (D. CAPPELLEN) et "Chromatine et Chromosomes" (E. CHEVRET)
QCM 4 : Le noyau et son activité
A. La taille et l’état de condensation du noyau reflètent l’activité de la cellule VRAI Noyau
petit et condensé= cellules peu actives, Noyau grand et peu condensé= cellules actives
B. La membrane externe de l’enveloppe nucléaire est en continuité avec le réticulum
endoplasmique lisse et peut porter des ribosomes sur sa face externe FAUX Continuité
avec le réticulum endoplasmique granuleux (Cf présence de ribosomes pour mémoire)
C. Au niveau des pores nucléaires, toutes les molécules sont prises en charge par un
mécanisme de transport actif et transportées à travers le canal central FAUX Petites
molécules < 50 KDa = diffusion passive (sans consommation d’énergie) par canaux latéraux
D. En télophase, la mise en place des nucléoles témoigne de la reprise des activités
transcriptionnelles du noyau VRAI Cf cours Dr E. Chevret
E. L’euchromatine contient des gènes pouvant être transcrits VRAI Attention, des gènes
contenus dans l ’ euchromatine ne sont pas toujours transcrits (nécessité de facteurs de
transcription actifs en plus de chromatine décondensée)
Cours UE2 "Noyau" (D. CAPPELLEN) et "Chromatine et Chromosomes" (E. CHEVRET)
QCM 5 : L’enveloppe nucléaire au cours de la mitose
A. La formation de l ’ enveloppe nucléaire est due aux propriétés des filaments
intermédiaires qui sont capables, d’une part, de former un réseau avec des membranes
et, d’autre part, de s’associer à la chromatine VRAI Cf cours
B. Au cours de la mitose, la dispersion de l’enveloppe nucléaire et sa reconstitution sont
liées à des modifications de la phosphorylation des lamines nucléaires VRAI
Phosphorylation des lamines en début de mitose = désagrégation de l’enveloppe nucléaire;
Déphosphorylation des lamines en fin de mitose = reconstitution de l’enveloppe nucléaire
C. En prométaphase, la dispersion de l ’ enveloppe nucléaire permet l ’ arrimage des
chromosomes aux microtubules du fuseau mitotique VRAI Cf cours Dr E. Chevret
D. A la fin de la mitose, l ’ enveloppe nucléaire se reconstitue autour de chaque lot
chromosomique VRAI Cf cours
E. Au moment de la cytodiérèse, un anneau contractile se met en place au niveau de la
membrane nucléaire FAUX ENVELOPPE nucléaire dissoute en début de mitose et anneau
contractile (actine/myosine II) se met en place sous la MEMBRANE PLASMIQUE au moment de
l’ANAPHASE
Cours UE2 "Mitochondries et Peroxysomes" (D. CAPPELLEN)
QCM 6 : Les mitochondries
A. Possèdent leur propre génome, l’ADN mitochondrial, qui est de type procaryotique,
dépourvu d’introns VRAI Code génétique (=codons) également de type procaryotique
B. Produisent de l’ATP par phosphorylation oxydative par une enzyme appelée ADP kinase
au niveau de leur membrane interne FAUX Enzyme = ATP Synthase («phosphorylations
oxydatives» et «oxydations phosphorylantes» = termes équivalents)
C. Contiennent des lipides et des protéines spécifiques dans leur membrane interne ; les
proportions lipides/protéines y sont équivalentes à celles de la membrane externe FAUX
Proportion de protéines plus élevée dans la membrane interne
D. Sont d’origine maternelle, et, de ce fait, les maladies des fonctions mitochondriales sont
toujours transmises par la mère FAUX Transmission le plus souvent d’origine maternelle
(mutations de l ’ ADN mitochondrial), mais les mutations des nombreuses protéines
mitochondriales codées par l'ADN nucléaire peuvent être transmises par le père ou la mère
E. Présentent, au niveau de leurs membranes, des complexes transporteurs afin d’importer
des protéines d ’ origine cytosolique VRAI Transporteurs TOM et TIM situés dans
membranes externe et interne
Cours UE2 "Mitochondries et Peroxysomes" (D. CAPPELLEN)
QCM 7 : Les peroxysomes
A. Les peroxysomes ressemblent morphologiquement aux pré-lysosomes, mais sont
caractérisés par leur contenu enzymatique très différent VRAI Caractérisation histoenzymologique: oxydases/catalases (peroxysomes) / hydrolases acides (lysosomes)
B. Les peroxysomes comportent des protéines spécifiques, les peroxines, qui agissent à
des étapes particulières de leur formation: import de protéines membranaires, synthèse
de protéines de la matrice FAUX Toutes les protéines des peroxysomes= codées par des
gènes nucléaires et proviennent du cytosol où elles sont synthétisées; Peroxines = adressage de
certaines protéines vers la membrane et la matrice des précurseurs des peroxysomes
C. Les peroxysomes contiennent dans leur matrice des oxydases et des catalases VRAI
Oxydases= détoxification de molécules/oxydation ; Catalases= élimine les radicaux oxygénés
produits par les oxydases et dont l’excès est nocif (réaction de sauvegarde)
D. Les peroxysomes jouent un rôle important dans le catabolisme et la biosynthèse de
certains lipides VRAI β-Oxydation des acides gras à très longues chaînes (AG courts=
mitochondries) et formation des sels biliaires par oxydation du cholestérol (hépatocytes);
biosynthèse du cholestérol et dérivés phospholipidiques spécifiques (ex. myéline)
E. Des déficits de la fonction peroxysomale peuvent entraîner de graves
dysfonctionnements neurologiques, rénaux et hépatiques VRAI Cf rôles des peroxysomes
dans ces tissus (Cf cours et QCM 7D)
Cours UE2 « le cycle cellulaire » (JB. CORCUFF)
QCM 8 : A propos du cycle cellulaire
A. Le cycle cellulaire dépend de mécanismes qui contrôlent ses étapes de manière à ce
qu’elle se déroulent dans un ordre particulier VRAI Séquence ordonnée, pas de retour en
arrière possible
B. Le cycle cellulaire est organisé en étapes successives : M1, G1, M2, S, G2 FAUX G1, S,
G2, M
C. Les points de contrôle du cycle cellulaire dépendent de signaux « positifs » activant
l’avancée dans le cycle FAUX Les points de contrôle dépendent de signaux «négatifs»,
bloqueurs (arrêt de cycle) par opposition à des stimuli positifs qui entraineraient le cycle
D. Les cycles de multiplication cellulaires sont sous la commande exclusive de facteurs
intracellulaires FAUX Des facteurs extracellulaires assurent que les conditions
environnementales sont appropriées pour que la cellule se divise
E. A la sortie de la phase S, une cellule en déficit énergétique peut entrer en phase G0
FAUX Entrée en G0 à partir de G1 (si déficit énergétique en fin de phase S, blocage en phase
S, ou en G2 si la transition vers G2 est déjà enclenchée, mais pas en G0)
Cours UE2 « le cycle cellulaire » (JB. CORCUFF)
QCM 9 : A propos du contrôle moléculaire du cycle cellulaire
A. Le contrôle du cycle cellulaire repose sur des protéine-kinases spécifiques, les cyclines
FAUX Les CDK sont des kinases, les cyclines sont des activateurs de ces kinases
B. Les cyclines S lient une kinase dépendante des cyclines (CDK) à la phase S et sont
nécessaires à l’initiation de réplication de l’ADN VRAI Activation, en particulier, de la
transcription des gènes dont les produits sont impliqués dans la réplication de l’ADN
C. Les CDK sont activées en 2 étapes : liaison à une cycline puis phosphorylation VRAI Cf
cours: activation= association cycline/CDK + phosphorylation. L’association à la cycline modifie la
conformation de la CDK et rend possible la phosphorylation par CAK. Attention une étape
supplémentaire de phosphorylation inactivatrice par Wee-1 peut nécessiter une
déphosphorylation par cdc25 (cf schéma page suivante). Cette étape supplémentaire est une
mise en attente le temps que les formes cyclines-CDK activées s'accumulent.
D. Les CDK sont inactivées par une déphosphorylation et un changement de conformation
FAUX Inactivation par des phosphorylations supplémentaires et des changements de structure
E. Les variations de concentrations intracellulaires des cyclines dépendent de l’équilibre
entre la dégradation et la traduction protéique VRAI Cf cours
QCM 9: A propos du contrôle moléculaire du cycle cellulaire
Inactivation des CDK :
CKI & phosphorylations
CDK
active
Phosphorylations
Distorsions
Phosphate
activateur
p27
Kinase
Wee1
14
T et Y15
Phosphatases
Cdc 25
CDK
inactive
CIP/KIP (ATP)
INK4 (ATP et cyclines)
CDK
inactive
Alberts 17, 18, 19
Cours UE2 « La différentiation cellulaire » (JB. CORCUFF)
QCM 10 : A propos de la différenciation cellulaire
A. Les cellules souches peuvent avoir des divisions symétriques ou asymétriques VRAI
B. Les cellules somatiques sont toutes les cellules d’un individu autres que les cellules
germinales VRAI D’après définition vue en cours: dans l'organisme, il y a les cellules
germinales et les cellules somatiques. Les cellules souches sont dans ces mêmes catégories :
celles qui sont à l'origine des cellules somatiques et celles à l'origine de la lignée germinale.
C. La différentiation cellulaire, par exemple en neurone ou cellule épithéliale, se fait par
élimination contrôlée de gènes FAUX Pas d’élimination de gène : régulation de la
transcription
D. Dans un type cellulaire donné, un même facteur de différentiation, peut activer
l’expression de gènes cibles et inhiber l’expression d’autres gènes VRAI Cf cours
E. Un même facteur peut activer l‘expression de gènes cibles différents en fonction de la
présence de co-facteurs différents VRAI Cf cours
Cours UE2 « La motilité cellulaire » (JB. CORCUFF)
QCM 11 : A propos de la motilité cellulaire
A. La motilité cellulaire est l’aptitude d’une cellule à effectuer des mouvements spontanés
sans consommation d’énergie FAUX Propriété des cellules à produire des mouvements, pas
toujours spontanés (cf réponses à certains stimuli) et énergie-dépendants
B. La plupart des cellules des eucaryotes pluricellulaires se déplacent grâce à un
mouvement ciliaire FAUX Seuls les spermatozoïdes se déplacent avec un flagelle
C. La motilité cellulaire est un élément clef de la cicatrisation et de la défense d’organismes
adultes VRAI Comblement de la brèche par des cellules migrantes
D. La chimiotaxie est un mécanisme par lequel des chimiokines d’origine extracellulaire
influencent la migration cellulaire VRAI Ces chimiokines peuvent en effet être d’origine
autocrine (produites par les cellules qui migrent) ou paracrine (produites par d’autres cellules) et
dans ces 2 cas elles sont extracellulaires car ce sont des protéines sécrétées
E. Le déplacement des cellules eucaryotes peut se faire en fonction de la perception d’un
gradient de facteur chimiotactique par des récepteurs de surface VRAI Cf cours
Cours UE2 « La motilité cellulaire » (JB. CORCUFF)
QCM 12 : La migration cellulaire est un phénomène qui
permet aux cellules d'un organisme de contribuer :
A. à développer l'embryon VRAI Par exemple migration des cellules de la crête neurale
B. à assurer la défense vis à vis des agressions bactériennes VRAI Mobilisation des
polynucléaires
C. à la contraction cardiaque FAUX
D. au fonctionnement harmonieux du système nerveux périphérique FAUX
E. au déplacement des spermatozoïdes VRAI Cf cours
Cours UE2 « La motilité cellulaire » (JB. CORCUFF)
QCM 13 : A propos des processus de polymérisation et
dépolymérisation de l'actine
A. La profiline favorise la polymérisation VRAI Cf cours et schéma page suivante
B. La cofiline aide directement à la polymérisation FAUX La cofiline aide à la dépolymérisation
(mais favorise donc de ce fait indirectement la polymérisation en mettant à disposition des
monomères d’actine qui pourront re-polymériser ensuite)
C. Seules les molécules d'actine-ADP peuvent entrer en phase de nucléation avant de se
polymériser FAUX C’est l’actine-ATP qui polymérise
D. La thymosine aide directement à la polymérisation FAUX La thymosine inhibe la
polymérisation en séquestrant l’actine monomérique et empêchant le passage sous forme liée à
l’ATP
E. L’actine se comporte comme un récepteur aux chimiokines FAUX L’actine est une
protéine intracellulaire et n’est pas un récepteur membranaire
QCM 13 : A propos des processus de polymérisation et
dépolymérisation de l'actine
Migration sur un support solide : protrusion
Profiline
Facilitation de la polymérisation
par la Profiline
Actine G
Cofiline : favorise la dépolymérisation
Thymosine
Séquestration et inhibition de la polymérisation
par la Thymosine
Actine F
Cours UE2 « L’apoptose cellulaire » (JB. CORCUFF)
QCM 14 : A propos de l’apoptose
A. C’est un processus pathologique qui entraine la nécrose des cellules attaquées par des
agents externes FAUX L’apoptose peut être physiologique et est distincte de la nécrose
B. Les voies de signalisation impliquées mettent en jeu des phosphorylations, des
interactions protéines/protéines et des dégradations protéiques par le protéasome VRAI
Cf cours
C. Les caspases sont des protéines kinases phosphorylant les acides aspartiques
cellulaires FAUX Caspases = protéases
D. L’apoptose dite extrinsèque fait intervenir un récepteur dit de mort cellulaire avec un
domaine DD (Death Domain) VRAI Cf cours
E. L’apoptose dite intrinsèque fait intervenir l’inactivation de la protéine Bcl-2 VRAI Cf cours
+ schéma page suivante
QCM 14 : A propos de l’apoptose
Stimulus
apoptotique
BH 3
active
Fuite des protéines
Bcl-2 inactive
BH 123
aggrégée active
Cytochrome C
Cours UE2 « L’apoptose cellulaire » (JB. CORCUFF)
QCM 15 : A propos de l’apoptose
A.
Des cellules apoptotiques peuvent être détectées grâce à des marqueurs fluorescents
de l’ADN VRAI Par exemple étude de la compaction de la chromatine en microscopie à
fluorescence
B.
Des cellules apoptotiques isolées peuvent être détectées grâce à un passage dans un
Tunnel illuminé par des ultra-violets FAUX Cf cours sur technique TUNEL (technique de
marquage de l’ADN fragmenté entre les nucléosomes, signe de l’apoptose)
C.
Des cellules apoptotiques peuvent être détectées grâce à des techniques de
cytométrie de flux VRAI Par exemple marquage fluorescent de l’ADN permettant la mise en
évidence d’un pic inférieur au pic G1 (du à la fragmentation de l’ADN et des noyaux cellulaires),
ou encore marquage par l’annexine V, Cf QCM 15E
D.
Des cellules apoptotiques peuvent être détectées grâce à l’étude de la fragmentation
des ARN cellulaires FAUX Fragmentation de l’ADN, Cf réponse au QCM 15B
E.
Des cellules apoptotiques peuvent être détectées grâce à la fixation sélective de
l’annexine V sur les phosphatidyl-sérines membranaires VRAI Cf cours et application en
microscopie à fluorescence ou en cytométrie de flux (Cf réponse au QCM 15C)
Cours UE2 (J-B CORCUFF)
QCM 16 : Lors de la transition G2/M du cycle cellulaire
A. Il existe un contrôle de la qualité de l’ADN répliqué. VRAI Cf cours. Ce système peut
toutefois ne pas s’avérer totalement efficace dans certains cas, d’où la possibilité d’apparition
de mutations
B. Le complexe cycline M – CDK active les topoisomérases FAUX Les cyclines de la mitose
ne sont pas concernées par la réplication de l’ADN, étape à laquelle interviennent les
topoisomérases
C. Le complexe cycline M – CDK permet le désassemblage du réticulum FAUX Il n’y a pas
de désassemblage du RE mais scission d’organites (RE, Golgi) et répartition dans cellules filles
(c’est l'enveloppe nucléaire qui est totalement désagrégée durant la phase M)
D. Le complexe cycline M – CDK est éliminé par exocytose contrôlée juste avant la
métaphase FAUX Pas d’exocytose pour des protéines qui ne sont pas sécrétées.
E. Les cellules entrent en apoptose si le réticulum se fragmente au point de contrôle G2/M
FAUX Pas de rapport entre apoptose et réticulum
Cours UE2 "Chromatine et Chromosomes" (E. CHEVRET) et "Cycle cellulaire" (J.B. CORCUFF)
QCM 17 et 18 : Chromatine, chromosomes et cycle cellulaire
Le schéma ci-dessous vous permettra de répondre aux QCMs 17 et 18
Le schéma indique la quantité d’ADN contenue dans une cellule au cours
du cycle cellulaire.
Quantité d’ADN
C
4C
B
A
2C
Temps
Cours UE2 "Chromatine et Chromosomes" (E. CHEVRET) et "Cycle cellulaire" (J.B. CORCUFF)
Quantité d’ADN
QCM 17 : Chromatine,
chromosomes et cycle cellulaire
C
4C
B
A
2C
Phase G1
Phase S
Phase G2/M
Temps
A. Sur le schéma, la phase dénommée A indique la phase G1 du cycle cellulaire au cours
de laquelle la quantité d’ADN contenue dans une cellule diploïde est de 2C VRAI Une
cellule diploïde a un contenu ADN de 2C
B. Une cellule diploïde en phase A renferme 2n chromosomes VRAI Une cellule diploïde a un
contenu en ADN de 2C et 2n chromosomes, n= 23 chromosomes
C. Au cours de la phase B, le nombre de chromosomes contenu dans la cellule double
FAUX La quantité d’ADN et le nombre de chromatides doublent, pas le nombre de chromosomes
D. Les mécanismes qui se déroulent au cours de la phase B permettent de doubler le
nombre de chromatides VRAI Les chromosomes passent de 1 chromatide à 2 chromatides
sœurs, préparation de l’anaphase de mitose
E. En début de phase C, la cellule est tétraploïde FAUX, la cellule est diploïde, tétraploïde
correspond à 4n chromosomes et non à 4C ADN (en début de phase C on a 2n chromatides
sœurs, pas 4n chromosomes)
Cours UE2 "Chromatine et Chromosomes" (E. CHEVRET) et "Cycle cellulaire" (J.B. CORCUFF)
Quantité d’ADN
QCM 18 : Chromatine,
chromosomes et cycle cellulaire
C
4C
B
A
2C
Phase G1
Phase S
Phase G2/M
Temps
A. La phase A correspond à la période de dégradation des CDK préliminaire à la mitose
FAUX Il n’y a pas de dégradation des CDK
B. La phase B correspond à la période de synthèse des cyclines G1 FAUX La phase S est
ultérieure à celle où sont synthétisées les cyclines de G1
C. Au cours de la phase B, les histones produites transitent par la réticulum endoplasmique
FAUX Histones nécessaires à l’enroulement de l’ADN nouvellement synthétisé et leur quantité
augmente proportionnellement à celle de l’ADN durant la phase S, mais ce sont des protéines
nucléaires, synthétisées au niveau cytoplasmique et importées dans le noyau
D. En phase B, le centrosome se duplique VRAI La duplication du centrosome est nécessaire à
la mise en place du fuseau mitotique
E. La phase C permet de répartir n chromosomes dans chaque cellule fille
FAUX La phase C regroupe la phase G2 et la mitose. En mitose 2n chromosomes sont répartis
dans les cellules filles qui sont, comme décrites ici, diploïdes
Cours UE2 (D CAPPELLEN, J-B CORCUFF)
QCM 19 : Chimiotaxie et déplacement cellulaire
Les polynucléaires neutrophiles, cellules du système de défense immunitaire
recrutés sur le lieu d ’ une infection, sont capables de phagocyter les
microorganismes. Le recrutement initié par des molécules libérées par les
microorganismes peut s’amplifier par la sécrétion de chimiokines libérées par
les polynucléaires eux-mêmes.
A. Les polynucléaires sont susceptibles de migrer vers les zones inflammatoires par
attraction chimiotactique VRAI Par exemple migration hors de l’espace vasculaire
B. Un signal chimiotactique est le plus souvent perçu par un récepteur cytoplasmique
FAUX Récepteur membranaire
C. Un signal chimiotactique perceptible par des polynucléaires entrainera la disparition de la
membrane nucléaire FAUX Migration ici, pas mitose! Or c’est durant la mitose que
l’ENVELOPPE nucléaire est désassemblée
D. La migration des polynucléaires en réponse aux chimiokines est liée à la dissociation
des polymères de lamine FAUX La dissociation des polymères de lamines est impliquée dans
la désagrégation de l’enveloppe nucléaire en début de mitose, pas dans la migration (Cf 21 C)
E. Les mitochondries localisées au niveau des striations basales de la membrane des
polynucléaires fournissent l’énergie nécessaire à leur déplacement FAUX Mitochondries
réparties dans le cytoplasme; il n ’ y a pas de striations basales* dans les polynucléaires
(*spécifiques de certaines cellules épithéliales dont tube contourné proximal rénal, canaux
excréteurs glandes salivaires, canaux excréteurs pancréas exocrine)
Cours UE2 (D CAPPELLEN, J-B CORCUFF)
QCM 20 : Chimiotaxie et déplacement cellulaire
Les polynucléaires neutrophiles, cellules du système de défense immunitaire
recrutés sur le lieu d ’ une infection, sont capables de phagocyter les
microorganismes. Le recrutement initié par des molécules libérées par les
microorganismes peut s’amplifier par la sécrétion de chimiokines libérées par
les polynucléaires eux-mêmes.
A. Les chimiokines modifient la production de seconds messagers intracellulaires VRAI
Production d’inositols phosphates par exemple
B. Les chimiokines entrainent l’expression de sélectines à la surface des polynucléaires
pour permettre leur immobilisation sur la paroi vasculaire FAUX Augmentation d’expression
d’intégrines; les sélectines sont des molécules déjà exprimées à l ’ état «basal» (avant
stimulation)
C. La séquestration membranaire de la profiline empêche la polymérisation d’actine VRAI
C’est sous l’effet des chimiokines que se libère la profiline qui lie l’actine, permettant ainsi sa
polymérisation
D. Les chimiokines entrainent la dissociation des hemi-desmosomes des polynucléaires
neutrophiles, permettant ainsi leur migration FAUX Il n’y pas d’hémi-desmosomes dans les
polynucléaires neutrophiles. Ces structures sont caractéristiques des cellules épithéliales
E. Les chimiokines entrainent le battement de cils localisés à la membrane plasmique des
polynucléaires neutrophiles, permettant ainsi leur mobilité FAUX Il n’y pas de cils à la
membrane des polynucléaires neutrophiles. D’autre part, les cils ne sont pas impliqués dans les
déplacements cellulaires (≠ des flagelles des spermatozoïdes)
Cours UE2 « Le Cytosquelette » et « La motilité cellulaire » (D CAPPELLEN, J-B CORCUFF)
QCM 21 : Cytosquelette et migration cellulaire
Des cellules épithéliales expriment de manière endogène le récepteur tyrosine kinase ERBB2 normal
(ERBB2n+). Ces cellules ont été génétiquement modifiées pour invalider l’expression de ce récepteur (ERBB2n-)
ou pour exprimer des formes mutées (ERBB2 muté) déficientes pour 5 tyrosines cytoplasmiques (Tyr Ø) ou ne
conservant qu’une seule de ces tyrosines (Tyr A, B, C, D ou E). Ces cellules normales ou génétiquement
modifiées ont alors été traitées ou non par un ligand, l’Héréguline (HRG), et analysées pour leurs capacités
migratoires (le graphique montre le nombre de cellules migrant/mm2, en présence et en absence d’Héréguline).
Nombre de cellules migrant /mm2
70
60
50
40
30
20
10
0
Absence de ligand
+ Héréguline (HRG)
+ n- rØ rA rB rC rD rE
n
2 B2 Ty Ty Ty Ty Ty Ty
B
B RB
ER E
ERBB2 muté
Pour les cellules étudiées dans cet exemple:
A. La liaison d’un ligand à des récepteurs à activité tyrosine kinase entraine la dimérisation des récepteurs
B. La liaison du ligand active la fonction tyrosine kinase de ce type de récepteurs
C. La liaison d’un ligand à des récepteurs à activité tyrosine kinase entraine leur phosphorylation
D. La stimulation de la migration cellulaire par l’Héréguline nécessite l’expression du récepteur ERBB2. Cette
réponse est en grande partie dépendante de certains des sites de phosphorylation
E. Les sites de phosphorylation Tyr C et Tyr D de ERBB2 sont les moins importants pour la migration cellulaire
induite par l’Héréguline
Cours UE2 « Le Cytosquelette » et « La motilité cellulaire » (D CAPPELLEN, J-B CORCUFF)
QCM 21 : Cytosquelette et migration cellulaire
Ph
os
ph
or
yla
tio
n
ns
me
mb
ra
nn
Ki
air
na
e
se
Tr
a
Ex
tra
-c
Domaines:
el l
ula
ire
Cytoplasmique
ERBB2 normal (ERBB2n)
A
B
C
D
E
Sites de phosphorylation: Tyrosines
Rappel de la structure protéique des récepteurs à activité tyrosine kinase
(ici ERBB2 mais voisine pour autres récepteurs de cette superfamille)
Illustration concernant la réponse aux items 21A, B et C:
A. La liaison d’un ligand à des récepteurs à activité tyrosine kinase entraine la dimérisation des récepteurs VRAI
B. La liaison du ligand active la fonction tyrosine kinase de ce type de récepteurs VRAI
C. La liaison d’un ligand à des récepteurs à activité tyrosine kinase entraine leur phosphorylation VRAI
Rappels sur la structure (cf schéma) et le mode d’activation des récepteurs à activité tyrosine kinase:
Liaison du ligand, changement conformationnel, dimérisation, activation des domaines kinases des 2
molécules de récepteurs dimérisées et phosphorylation réciproque des 2 molécules de récepteurs et
recrutement de protéines de signalisation au niveau des sites phosphorylés
Cours UE2 « Le Cytosquelette » et « La motilité cellulaire » (D CAPPELLEN, J-B CORCUFF)
QCM 21 : Cytosquelette et migration cellulaire
Des cellules épithéliales expriment de manière endogène le récepteur tyrosine kinase ERBB2 normal
(ERBB2n+). Ces cellules ont été génétiquement modifiées pour invalider l’expression de ce récepteur (ERBB2n-)
ou pour exprimer des formes mutées déficientes pour les 5 sites d’autophosphorylation (Tyr Ø) ou ne présentant
qu’un seul de ces sites (ERBB2 muté-Tyr A, B, C, D ou E). Ces cellules normales ou génétiquement modifiées
ont alors été traitées ou non par un ligand, l’Héréguline (HRG), et analysées pour leurs capacités migratoires (le
graphique montre le nombre de cellules migrant/mm2, en présence et en absence d’Héréguline).
Nombre de cellules migrant /mm2
70
60
50
40
30
20
10
0
Absence de ligand
+ Héréguline (HRG)
+ n- rØ rA rB rC rD rE
n
2 B2 Ty Ty Ty Ty Ty Ty
B
B RB
ER E
ERBB2 muté
Pour les cellules étudiées dans cet exemple:
D. La stimulation de la migration cellulaire par l’Héréguline nécessite l’expression du récepteur ERBB2. Cette
réponse est en grande partie dépendante de certains des sites de phosphorylation VRAI L’invalidation de
ERBB2n inhibe toute réponse à l’HRG, et l’expression de certaines formes mutées entraine une réponse
très amoindrie (5 sites de phosphorylation mutés ou bien lorsqu’il ne subsiste que les sites Tyr A, B ou E)
E. Les sites d’autophosphorylation Tyr C et Tyr D de ERBB2 sont les moins importants pour la migration
cellulaire induite par l’Héréguline FAUX Au contraire, ces 2 sites sont les plus importants. En effet, les
formes mutées ne conservant que l’un ou l’autre de ces 2 sites permettent une réponse quasi équivalente
à celle de ERBB2n (c’est-à-dire avec les 5 sites présents). Les sites A, B et E semblent en revanche être
moins importants pour la migration induite par l’HRG (réponse voisine ou inférieure à celle de Tyr Ø).
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QCM 22 : Cytosquelette et migration cellulaire
Des cellules épithéliales ont été traitées (+) ou non (-) par différents ligands et/ou inhibiteurs pharmacologiques.
Ces cellules ont alors été analysées pour la phosphorylation (P-) de certaines protéines (1) et leurs capacités
migratoires (2).
(1) Phosphorylation des protéines
P-
80
70
60
50
40
30
20
10
0
Ligand (Héréguline, HRG):
Cellules migrant/mm2
(unités arbitraires)
Phosphrylation
80
70
60
50
40
30
20
10
0
Ligand (Héréguline, HRG):
(2) Migration cellulaire
- + - + - +
M
K
AP
P
K
-P
B
P
38
p
-
Inhibiteur :
-
+
-
+
+
+
Inhib. Inhib. Inhib.
MAPK PKB
p38
Pour les cellules étudiées dans cet exemple:
A. Les voies de signalisation des protéines kinases MAPK, PKB et p38 sont stimulées par l’Héréguline
B. La migration cellulaire est stimulée par l’Héréguline. Cette stimulation est totalement dépendante de chacune
des voies de signalisation MAPK, PKB et p38
C. La migration induite par l’Héréguline est liée à l’activation d’une voie de signalisation intracellulaire unique:
l’activation de MAPK.
D. Une des étapes clefs du déclenchement de la migration cellulaire est la phosphorylation des lamines
E. La migration cellulaire peut impliquer des remodelages des filaments d’actine (lamellipodes) et des
microtubules
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QCM 22 : Cytosquelette et migration cellulaire
Des cellules épithéliales ont été traitées (+) ou non (-) par différents ligands et/ou inhibiteurs pharmacologiques.
Ces cellules ont alors été analysées pour la phosphorylation (P-) de certaines protéines (1) et leurs capacités
migratoires (2).
(1) Phosphorylation des protéines
P-
80
70
60
50
40
30
20
10
0
Ligand (Héréguline, HRG):
Cellules migrant/mm2
(unités arbitraires)
Phosphrylation
80
70
60
50
40
30
20
10
0
Ligand (Héréguline, HRG):
(2) Migration cellulaire
- + - + - +
M
K
AP
P
K
-P
B
P
38
p
-
Inhibiteur :
-
+
-
+
+
+
Inhib. Inhib. Inhib.
MAPK PKB
p38
Pour les cellules étudiées dans cet exemple:
A. Les voies de signalisation des protéines kinases MAPK, PKB et p38 sont stimulées par l’Héréguline VRAI
HRG stimule ces voies de signalisation, cf augmentation de la phosphorylation des protéines
B. La migration cellulaire est stimulée par l’Héréguline. Cette stimulation est totalement dépendante de chacune
des voies de signalisation MAPK, PKB et p38 FAUX L’effet des inhibiteurs montre que la migration
stimulée par l’Héréguline est en grande partie dépendante des voies de signalisation MAPK, PI3K ou p38,
mais pas totalement (la migration est encore stimulée par Héréguline, même en présence de chaque
inhibiteur, mais stimulation amoindrie)
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QCM 22 : Cytosquelette et migration cellulaire
Des cellules épithéliales ont été traitées (+) ou non (-) par différents ligands et/ou inhibiteurs pharmacologiques.
Ces cellules ont alors été analysées pour la phosphorylation (P-) de certaines protéines (1) et leurs capacités
migratoires (2).
(1) Phosphorylation des protéines
(2) Migration cellulaire
P-
80
70
60
50
40
30
20
10
0
Ligand (Héréguline, HRG):
Cellules migrant/mm2
(unités arbitraires)
Phosphrylation
80
70
60
50
40
30
20
10
0
Ligand (Héréguline, HRG):
- + - + - +
M
K
AP
P
K
-P
B
p
P-
38
Inhibiteur :
-
+
-
+
+
+
Inhib. Inhib. Inhib.
MAPK PKB
p38
Pour les cellules étudiées dans cet exemple:
C. La migration induite par l’Héréguline est liée à l’activation d’une voie de signalisation intracellulaire unique:
l’activation de MAPK. FAUX L’Héréguline active MAPK, p38 et PKB (3 kinases cytoplasmiques, cf
augmentation de phosphorylation, QCM22A) et des inhibiteurs de ces 3 kinases diminuent fortement la
migration induite par l’Héréguline, indiquant que ces 3 kinases sont impliquées dans cette réponse
D. Une des étapes clefs du déclenchement de la migration cellulaire est la phosphorylation des lamines FAUX
La phosphorylation des lamines est impliquée dans la division cellulaire (désagrégation de l’enveloppe nucléaire
en début de mitose; leur déphosphorylation permettant la reconstitution de cette enveloppe en fin de mitose),
pas dans la migration
E. La migration cellulaire peut impliquer des remodelages des filaments d’actine (lamellipodes) et des
microtubules VRAI Le remodelage du cytosquelette d’actine (dont lamellipodes) et des microtubules est
impliqué dans la migration de certaines cellules
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QCM 22 : Cytosquelette et migration cellulaire
Contrôle
(en absence de ligand)
= cellule immobile
Actine F
Membrane
plasmique
Tubuline-α
Actine F: marquage phalloïdine, vert;
Microtubules: marquage anticorps, rouge
ADN (noyau): marquage agent intercalant, bleu
Comme vu en cours, le nom du ligand
et les réactifs de marquage
ne sont pas à connaître
Noyau
+ Héréguline (Ligand)
= cellule initiant
sa migration
Réorganisation des microtubules
(qui s’étendent eux aussi dans les lamellipodes)
Lamellipode
(extension périphérique
du réseau d’actine F)
Actine F
Tubuline-α
Cellules de carcinome mammaire migrant en réponse à l’Héréguline
Photographies en microscopie à fluorescence
Dr Ali Badache, INSERM U 891, Université Aix-Marseille
(D’après Marone et al. Nat Cell Biol. 6: 515)
Illustration concernant la réponse à l’item 22E:
E. La migration cellulaire peut impliquer des remodelages des filaments d’actine (lamellipodes) et des
microtubules VRAI Le remodelage du cytosquelette d’actine (dont lamellipodes) et des microtubules est
impliqué dans la migration de certaines cellules
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