Finalités en histoire

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De quelques approches
en histoire
Bergerac – 24 octobre 2012
Quelques rappels
La culture humaniste
• « La culture humaniste ouvre l’esprit des élèves
à la diversité et à l’évolution des civilisations,
des sociétés, des territoires, des faits religieux et
des arts ; elle leur permet d’acquérir des repères
temporels, spatiaux, culturels et civiques. Avec
la fréquentation des œuvres littéraires, elle..
• donnent des repères communs, temporels et
spatiaux,
• Développe curiosité, sens de l’observation et
esprit critique. »
Finalités en histoire
« un voyage initiatique dans le temps » F. Dosse
1 - Ce que dit le B.0.
- « identifier et caractériser les grandes périodes qui
seront étudiées au collège »… sauf qu’au collège ni la
Préhistoire, ni les gaulois, ni les invasions.
• « Connaître les personnages [placez avant le mot
événement] ou événements représentatifs de chacune
de ces périodes » – avec une liste de ces repères.
• Donner « la base d’une culture commune ».  « jalons
d’une histoire nationale ».
2 – Ce qu’il ne dit pas :
Les élèves ne sont pas de futurs historiens  on
n’accumule pas les faits, les démarches historiques. On
ose le récit, le quotidien, l’accroche par le détail...
Ne parle pas d’esprit critique : pas avant la 1ere. Avant les
élèves pensent que le document dit vrai car il est dans le
manuel. On ne compare pas deux documents qui
s’opposent, on ne déstabilise pas.
En bleu les repères que l’on trouve aussi en collège.
Importance des personnages dans les repères de l’Ecole par rapport au collège.
La Préhistoire
L’homme de Tautavel il y a près de 500 000 ans ; Lascaux il y a 17 000 ans.
L’Antiquité
Jules César et Vercingétorix ; 52 avant notre ère : Alésia.
Le Moyen Âge
496 : baptême de Clovis ; 800 : couronnement de Charlemagne ;
987 : Hugues Capet, roi de France ; Saint Louis ; Jeanne d’Arc.
Les Temps modernes
Gutenberg ; 1492 : Christophe Colomb en Amérique ; François Ier ; Copernic ; Galilée ;
Henri IV et l’édit de Nantes ; Richelieu ; Louis XIV,
Voltaire, Rousseau..
La Révolution française et le XIXème siècle
Louis XVI ; 14 juillet 1789 : prise de la Bastille ; 26 août 1789 : Déclaration des droits de l’Homme
et du citoyen ; 21 septembre 1792 : proclamation de la République ; 1804 : Napoléon Ier,
empereur des Français ;
1848 : suffrage universel masculin et abolition de l’esclavage ;
1882 : Jules Ferry et l’école gratuite, laïque et obligatoire ; Pasteur ; Marie Curie ; 1905 : loi de
séparation des Églises et de l’État.
Le XXème siècle et notre époque
1916 : bataille de Verdun ; Clemenceau ; 11 novembre 1918 : armistice de la Grande Guerre ;
18 juin 1940 : appel du général de Gaulle ; Jean Moulin ; 8 mai 1945 : fin de la Seconde Guerre
mondiale en Europe ; 1945 : droit de vote des femmes en France ;
1957 : traité de Rome ; 2002 : l’euro, monnaie européenne.
1958 : Charles de Gaulle et la fondation de la Vème République ;
1989 : chute du mur de Berlin ;
Comparaison 1°degré / collège
• Différences :
•
•
Les différences concernent
essentiellement le programme de 6ème,
puis de 5ème. C’est-à-dire au moment où
l’élève change de cycle  comment faire
des liaisons ?
La place de la France dans les prog.
6ème : centré sur le bassin méditerranéen :
elle débute à Sumer au III° mill. av. JC
avec l’écriture qui est dans vos manuels
mais pas dans vos prog. Le christianisme
mais pas la christianisation de la Gaule.
Concerne surtout les 6ème et 5ème ; après
cela s’attenue mais sans totalement
disparaitre.
- abs du Haut Moyen âge, des invasions,
naissance du royaume de France.
•
L’autre : Chine ou Inde en 6ème; Afrique
médiévale et la traite africaine en 5ème.
•
La place des personnages : cf les
repères. rares pour les périodes
anciennes : ni Clovis, ni Charlemagne, ni
Hugues Capet, Henri IV, Richelieu..
• Points communs:
•
La romanisation,
•
Les relations entre seigneurs et
paysans ; le rôle de l’Eglise. L’Islam ;
les croisades. Les grandes
découvertes et premiers empires
coloniaux. La Renaissance, la
monarchie absolue.
A partir de Louis XIV, les programmes
se rapprochent :
les Lumières. La traite et l’esclavage.
Le révolution et le premier empire.
Expansion industrielle et urbaine. Les
expériences politiques, la III°Rep.
Les deux conflits; l’extermination, la
révolution scientifique, technique; le
triomphe du capitalisme. La V° Rep.
L’union européenne.
•
•
•
Les approches
La place de la chronologie
•
Ne pas réduire l’histoire à des dates. Le programme en prévoit 5 en CM1 et
15 en CM2 : ne pas en faire apprendre d’autres, ne pas aller au-delà.
– Construire une frise en plaçant les personnages mais aussi quelques œuvres
d’art (Louis IX par une enluminure ou une cathédrale, Richelieu ; Louis XIV de
Rigaud; Napoléon de David,… )
•
Donner du sens aux dates ; jamais la date pour la date :
-Ex. baptême de Clovis
 un peuple étranger (des francs) a conquis le pays, a obtenu par la
guerre un royaume. Pour être accepté, pour s’intégrer il accepte la religion
et la langue locales (le gallo-romain). Le français est une langue avec très
peu de mots francs
 alliance entre la monarchie et l’Eglise
- Ex 800 : Charlemagne : souvenir de l’empire romain; être sacré pour
devenir empereur. Importance du sacre pour être légitime.
- 21 sept. 1792 : La 1ere République : la fin de la monarchie ; une première
étape vers le démocratie, vers un autre régime politique.
•
Travailler sur le temps mais sans en attendre une réelle compréhension de
la durée par les élèves. Se contenter de l’avant / l’après, c’est bien. Malgré
tout travailler sur la chrono car cela permettra plus tard, vers 14 ans, à
l’enfant d’appréhender cette notion; de comprendre ce que signifie un
siècle, etc..
Le RECIT HISTORIQUE : raconter et faire raconter
« faire de l’histoire, c’est s’inscrire dans une narration » Paul Ricoeur.
1–
•
•
•
Raconter :
Utiliser des extraits tirés de romans historiques permet de faire LIRE
S’appuyer sur un ou deux documents pour raconter la vie quotidienne (par
exemple la promiscuité dans le château, l’absence de chambre personnelle
avant le XV°; la naissance en public;etc.
S’appuyer sur les biographies des acteurs, sur les repères. On incarne
l’histoire.
2 – Faire raconter
• Demander aux élèves de se mettre à la place et de raconter le récit d’un
homme de la préhistoire, d’un chrétien qui arrive à Jérusalem ; d’un
esclave..
• De faire des recherches sur un acteur dans le but d’un exposé oral en
classe.
• Après avoir vu un film, entendu votre récit demander aux élèves de le
transformer en un récit libre, et avec leurs récits construire la trace écrite.
NE PAS DESINCARNER L’HISTOIRE (abs. d’acteur /le tout document); c’est le
professeur qui dit l’histoire autant que les doc. L’ASSUMER
La place des documents / documents patrimoniaux
• Pas d’histoire sans s’appuyer sur des documents. Mais quels
documents ?
– Faire varier la nature : fouilles, manuscrits, textes, images, un tableau,
une œuvre patrimoniale, une chanson, une musique,etc. mais aussi des
films mais dans ce cas en demander un récit pour aller au-delà de la
passivité devant l’image.
– Mettre les élèves en contact avec des documents « vrais » : aller aux
archives, aux musées, à Vesunna, apporter un document,..
• Attention aux dates des doc. Eviter les anachronismes. Ne pas
utiliser si possible des reconstitutions car temporalité peu construite,
sinon le souligner fortement. Cela augmente les confusions pour les
moins scolaires. Faire attention aux documents du manuel qui font
des anachronismes.
• Que tirer du document ?
– apprendre à prélever quelques informations  ne pas hésiter à utiliser
des documents illustratifs.
– Support à un récit. À faire parler les élèves, à travailler sur l’oral.
– Pour raconter autour du document.
Lire un document
• Oter le titre (et tout le para-texte) pour demander aux élèves d’en
donner un.
• Respecter la virginité de l’élève devant le document ; lui laisser le
temps de se l’approprier.
- Le faire décrire si c’est une image, le plus précisément possible.
Lui poser des questions pour l’aider. Ne pas étiqueter à priori ou si
l’élève le fait lui demander pourquoi il a dit cela.
- L’interroger si c’est un texte : qui parle ? De quoi cela parle ? 
permet de travailler l’oral.
• De ce temps oralisé, tirer en commun un enseignement. Construire
ensemble un résumé.
• Après ou parallèlement à ce temps de découverte du doc. le
professeur met ce dernier en contexte. De quand date-t-il ? Qui l’a
écrit ? Qui l’a commandé? Des moines, un écrivain, etc.. A ce
moment on donne le para-document, et souvent le compléter :
combien d’élèves savent que le document qu’ils viennent de
travailler a été écrit en latin ?
Histoire et histoire des arts
• Comme le précise le B.O. on travaille sur des œuvres patrimoniales,
c-à-dire reconnues comme majeures. « mettre en évidence
l’importance des arts dans l’Histoire de la France et de l’Europe »
« enseignement (..) fondé sur une découverte sensible »
• « Les images sont à la fois des matériaux, des documents et des
supports d’expressions »
• S’en servir pour une lecture historique parfois illustrative mais ne
pas oublier le sensible. Exemple : la tapisserie de Bayeux pour
travailler le seigneur. C’est le professeur qui donne le contexte.
Support à la description; faire remarquer la taille, le vêtement, des
personnages ; le professeur raconte et les élèves construisent un
récit. On peut aussi leur donner les images et leur demander
d’imaginer le récit.les donner dans le désordre (adoubement) et les
élèves remettent les images dans l’ordre
• Apprendre et laisser l’élève s’exprimer devant l’œuvre, il a le droit
de trouver ça triste (couleurs marron, noire..), pas beau.. Mais lui
demander de le justifier.
Les programmes
Programme et manuels
• L’aspect « light » du B.O. permet de grandes
différences d’un manuel à l’autre.
• - ceux qui ne respectent pas le manuel : il
manque certains chapitres (Belin CM1 : absence
de la préhistoire et de l’antiquité !); ou ceux qui
en rajoutent comme sur la vie des seigneurs (le
programme s’intitule «les relations entre
seigneurs et paysans » non la vie seigneuriale
ou la vie paysanne – cela c’est un ancien
programme. –
• - ceux qui se contentent d’un résumé du manuel
du collège.
• Ceux qui ont une démarche différente entre
CM1 et CM2
Préhistoire
•
•
•
« La Préhistoire
Les premières traces de vie humaine, la maîtrise du fer et les débuts de l’agriculture, l’apparition
de l’art.
L’homme de Tautavel il y a près de 500 000 ans ; Lascaux il y a 17 000 ans. »
• Des erreurs dans le B.O. que reprennent les manuels + Des sauts
temporels difficiles à appréhender.
• L’homme de Tautavel est une forme humaine intermédiaire entre
homo erectus et l’homme de Neandertal – il vivait au plus tôt entre –
400/350000 ! Et non 500 000
• Puis l’ordre est erroné : l’art est premier (v. 35.000), les débuts de
l’agriculture (v. 7.000 ans en France) et enfin la maitrise du fer (v.
2.800 ans en France) qui est l’œuvre des gaulois ( celtes) et non
de l’homme préhistorique !
• Trois vagues successives d’immigration sur l’actuel territoire de la
France : Homo Erectus (1 million d’années); celle de l’homo sapiens
(35.000 ans) [connus depuis 100.000 ans au Pr Orient, colons
sédentaires venant aussi du P.O via côte med. ou via le Danube
apportant l’agriculture (-3 500 ans). Une sédentarisation +/- partielle
est connue avant. Insister sur les mixités entre groupes humains;
sapiens n’a pas détruit par la violence Neandertal.
Ouvrage de référence : Demoule…
L’antiquité :Les Gaulois, la romanisation de la Gaule et la
christianisation du monde gallo-romain.
Jules César et Vercingétorix ; 52 avant notre ère : Alésia.
•
Vercingétorix est un mythe de type christique développé en relation avec la
défaite de 1870; il se serait sacrifié pour le pays ; vaincu par la « force
aveugle ». Or « Vercingetorix deditur, arma proiciuntur » écrit César [ on
livre Vercingétorix, on jette les armes] (du haut des remparts dans les
fossés). Il est emmené à Rome, jeté en prison, il y reste six ans avant d’être
exhibé comme une bête humiliée lors d’un triomphe de César; il sera
étranglé la nuit suivante. Jeune homme il a servi ds armée romaine comme
de nbreux gaulois.
•
Pas de Gaule avant les romains. Avant le territoire est occupé par trois
groupes humains : les Belges, les Aquitains et les Celtes (gaulois dans
notre langue dit César). « La Gaule » est un espace habitée par une
soixantaine de peuples différents ; chacun correspond à des « cités », nos
diocèses  Pas de nation gauloise, pas de Gaule comme espace unifié.
Attention à ne pas reprendre la vision coloniale que la III°Rep donne à la
romanisation; on éduque les bons sauvages, ici les gaulois. Ne pas oublier
que la société gallo-romaine comme à Rome est une société esclavagiste.
.
Ouvrage de référence : Demoule, TDC sur les Gaulois.
La Gaule
Périodisation :
-
VII/VI°: sociétés fortement hiérarchisées avec de gros bourgs fortifiés
(« résidences princières ») jalonnent tous les 60 km les paysages de la Lorraine,
au SW de l’Allemagne; tombes somptueuses (Vase de VIX)
– V°s : Sté plus égalitaire où hameaux et fermes parsèment le pays au nord Loire,
forte densité
– IV°s à nouveau de riches tombes (tombes à char) – société aristocratique
– IV/III°s les celtes pris entre les romains au sud et les germains à l’est, s’étendent
vers le sud. Prise de Rome en -390 par Brennus, sud de la Grèce, fonde le
royaume des Galates en Turquie. Nombreux gaulois mercenaires armées
grecques, puis romaines. Installation en Cisalpine.
– II°s émergence des premiers Etats gaulois avec des corps spécialisés dont les
druides. Apparition de villes fortifiées (oppida) aux quartiers spécialisés ;
monnaies sont courantes  une soixantaine d’Etats + des fermes aristocratiques
dans les campagnes.
 Pas une Gaule chevelue. Un territoire bien exploité et mis en valeur par des
sociétés prospères à l’économie et aux techniques inventives et dynamiques
possédant villes et battant monnaie qui fut intégré par Rome. La chasse est une
activité aristocratique ; le gaulois ne mange pas de sanglier.
 Les romains se moulent dans la société gauloise; un contrat avec l’aristocratie.
Les acquis de la civilisation gauloise furent réincorporés à la nlle sté galloromaine née de la conquête : les divisions territoriales ; la structure aristocratique
très inégalitaire ; culte des eaux et de sources …
Les problématiques : Moyen âge
• Le moyen-âge : le BO propose plusieurs problématiques
• 1- la construction du royaume de France : du royaume personnel au
royaume de France : du suzerain au souverain – un fil directeur qui
va jusqu’aux Lumières ; peu traité. Un royaume qui grandit par
mariage, par guerre, par lien individuel. Permet de donner une
cohérence depuis les mérovingiens à Louis XIV.
• 2 – les liens entre les hommes (entre seigneurs, entre paysans et
seigneurs, entre paysans, entre maitre et compagnons, etc..)toute la
société fonctionne sur cette relation.
• 3 - Le (les) rôle de l’Eglise : évangélisation ; pacification de la
société (les trêves, la canalisation de la violence des chevaliers, la
fin de l’esclavage), rôle social (redistribution, santé) et culturel
(conservation et transmission du savoir ; construction d’édifices).
• 4 – conflits et échanges en Méditerranée : Pour Islam ne pas parler
des rituels, pas faire du CATECHISME ; Prendre même approche
que pour le christianisme.
Les problématiques : Temps modernes
• Les découvertes :
– Des espaces, évolution rapide de l’alimentation.
– De l’autre
– Du monde physique et technique.
• une crise religieuse complexe : rupture avec les Orient ; expulsion
des juifs d’Espagne; découverte de mondes non chrétiens ;
divisions religieuses, contre-reforme  un art nouveau, des
courants artistiques nouveaux. Une société de l’écrit. 
appréhender ces changements via des œuvres d’art dont le chant.
• Le politique : absolutisme (qu’il faut nuancer fortement) – comment
on passe d’un royaume propriété personnelle du roi composé de
territoires variées, au royaume territoire composé de sujets (le pré
carré) à la nation composée de citoyens –. Impensable sans
l’omniprésence de la guerre, l’essor de la Police et la pratique de
l’extraordinaire.  La nation France, engendrée par les guerres ,
les pratiques du pouvoir et les cartes.
• les Lumières insistent sur le contrat entre le monarque et les
« citoyens ».
Les problématiques : Révolution et XIX°s
• Une question politique en deux temps : montrer la tension entre
Liberté et l’Egalité devant la Loi  le triomphe des possédants.
– Révolution entre égalité et liberté avec oubli complet de la Fraternité !
Le recul sur la situation des femmes, des travailleurs; disparition des
systèmes de protection (corporations, Eglise).
Pb des manuels qui ne donnent que des extraits de la DDHC et sans
l’article 16 sur la propriété; il est essentiel pour comprendre le XIX°s et
XX°s. La Révolution et l’empire comme redistribution des biens.
– Installation de la démocratie (détachée de la révolution) et de la
République : école, science, laïcité : La république est le triomphe d’une
vision libre penseur de l’Etat
•
– Le triomphe de la Bourgeoisie s’inscrit dans les mœurs par réactions
contre les mœurs aristocratiques de la Régence et de Louis XV
Entre coupée par une question sociale :
- les transformations économiques et le monde du travail. Evitez les clichés.
La France est encore rurale à 50% en 1930 ! Le problème de l’énergie :
« les bouches à feu », retard français s’explique en partie par la présence
de forêt et par la profondeur des veines de charbon par rapport à
l’Angleterre.
Fraternité : notion rattachée par les faits, non les concepts - héritage social et
religieux de la révolution ; conséquence de la DCC
XXème
Deux approches
• 1 – thématique, même si cela s’appuie sur des
faits :
– La violence : des guerres ;modernes; extermination.
– Sciences et consommation détachées des trente
glorieuses, des conditions de vie : un cadre pour les
deux chapitres suivants.
• 2 – avant tout politique et chronologie
– V° République
– La construction européenne : avant mur / après mur
En résumé
• Eviter le discours téléologique.
• Mettre du récit, de la narration ; accepter
d’être dans le sensible.
• Travailler l’oral, la lecture. Diversifier les
supports; lier le discours et des documents
mais ne pas faire du « petit collège »
• Ne pas chercher l’exhaustivité et accepter
de ne pas tout dire, choisir des angles
d’approche des questions. Réfléchir sur la
notion de vérité, ne pas la rechercher.
 Peu mais bien.
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